Ma vie sexuelle est devenue très différente depuis deux ans, car avec l’âge tout s’est dégradé.
Ma femme, Martine, toujours très belle, a subi la ménopause l’an passé et elle a connu une nette baisse d’envie sexuelle. Et, de mon côté, les érections se sont mises à raccourcir !
Je l’aime encore et comme j’ai un pote (Denis, avec qui je fais du quad) qui a toujours été amoureux d’elle, on a souvent parlé d’une triplette, elle et moi… Mais elle est assez coincée et s’est bornée à me dire qu’elle n’aimait que moi. Denis m’a parlé de sexe une fois et m’a avoué sa frustration. Depuis son divorce, il vit seul depuis trois ans et il m’a confessé qu’il se branlait souvent en pensant au petit cul de ma femme. Il m’a demandé si on baisait souvent… J’étais gêné, mais je lui ai répondu que non et que j’étais frustré moi aussi. On a discuté un moment, comme ça…
– Et elle prend par-derrière ?
– Ben non.
– Et elle suce, au moins ?
– Non plus !
– Oh, c’est con, parce qu’elle est belle… J’adore l’anal, moi. Et toi ?
– Ben oui, mais bon…
– Bon tu sais quoi, c’est des chieuses ces bonnes femmes. Ça te dirait d’essayer avec moi ?
J’étais au garage avec lui en train d’entretenir nos quads. Sa remarque m’a troublé. J’ai répondu que je ne savais pas trop. Que je n’y avais jamais pensé ! « Ben tu sais, un cul de mec, c’est tout aussi bon, sauf qu’il n’y a pas autant de seins ! » Je me sentais très bizarre. Des images se formaient dans mon esprit. Il a continué à me parler de cul et m’a dit qu’il se taperait bien un petit cul serré. « J’ai les couilles qui vont exploser, moi ! » s’est-il emporté. Je ne savais pas quoi lui répondre.
Il m’a touché les fesses. On était tous les deux en short. Il a continué sur la même lancée, « hé, mais on t’a déjà dit que tu as un vrai cul de femme ? » J’ai rougi. « Ben, n… non ! » ai-je bégayé. Il a saisi mon derrière plus fermement avec ses gros doigts. Il m’a tâté l’anus tout en me collant un gros baiser plein de salive. Je me suis mis à aimer sa caresse. Il l’a senti très vite. Il a baissé mon short et mon slip. Il m’a dit : « Tu es vierge du cul ! » J’étais convaincu : « Oui, vas-y, j’ai envie de sentir ta queue moi aussi. J’en ai marre des meufs, je suis trop frustré ! »
Il n’a plus hésité, il s’est mis à poil. J’ai découvert sa verge, à l’équerre et d’une taille impressionnante. J’étais très excité ! Je me suis mis à genoux et je l’ai sucé. J’ai bien léché ses couilles qui avaient un goût salé. Il m’a dit que c’était très bon, mais qu’il ne voulait pas couler dans ma bouche. Il voulait mon petit cul. J’en avais très envie, mais vu la taille de son truc… Il m’a quand même rassuré en me disant qu’il irait tout doucement.
Il a salivé sur mes fesses. Il a approché deux, puis trois doigts de ma pastille qu’il a massée. Quand il m’a senti prêt, il a posé la pointe de sa verge sur ma raie et il a poussé sans se presser. Il m’a assuré que ce serait si fort et si bon que je ne pourrais plus m’en passer. Avec beaucoup de douceur, il m’a enculé jusqu’aux couilles, puis il s’est arrêté. J’étais rempli ! Ensuite, il a commencé à me limer. À ce moment-là, j’ai cru m’évanouir tellement c’était bon ! Je n’avais jamais connu autant de plaisir de ma vie, même avec les plus belles femmes (peu nombreuses !) que j’avais eues. C’était moi qui bougeais sur sa queue. Je lui en demandais encore plus ! Lorsqu’il a soufflé qu’il allait se vider, je lui ai dit de bien se lâcher : « Vas-y Denis, je veux ton jus en moi ! » Il était tout heureux et il rigolait :
« Tu vois, tu es ma salope maintenant ! » Il s’est vidé, et j’ai eu un orgasme fou. Ça m’a traversé de part en part. Quand il s’est retiré de mon cul, je me suis jeté sur sa queue pour la laper. J’ai avalé tout le jus !
Ensuite, j’ai repris mes esprits… J’avais honte tout à coup ! Denis l’a bien compris et m’a dit que c’était tout à fait normal. Il a ajouté que j’avais un cul fait pour ça et que vu la petite taille de mon sexe ma femme ne devait pas sentir grand-chose de toute façon. J’ai un peu eu le blues, j’avoue. Il m’a demandé de l’excuser : « Je ne voulais pas te vexer, mais avoue que c’est meilleur pour toi quand tu ne fais pas l’homme ! »
Là-dessus, il m’a embrassé alors que ma bouche était pleine de sperme. J’étais très surpris. Il a ajouté : « Je t’aime, je vais faire de toi ma chérie et je vais te combler de plaisir. » J’ai dit OK et, depuis, je me fais sauter le soir après le boulot et même le week-end ! Je suis devenu accro ! Je ne me gêne plus pour faire la femme avec Denis. Il me soumet, et j’aime ça. Je ne lui refuse rien. Il me lime même avec des godes ! Grâce à lui, j’aime la vie à nouveau. J’ai réussi à sauver mon couple aussi : je baise ma femme et je réussis à jouir en me fourrant un sextoy dans le cul. Parfois, j’ai un peu honte, mais c’est mon secret : j’aime la bite et ma femme. J’arrive à tout gérer.
Abdon14
abdonmakota14@gmail.com
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