À cette époque j'avais 18 ans, j'étais en pleine période d'examen. En ces moments, un rien ou un tout vous fait flipper grave. Ma mère qui, en ce moment (elle est en retraite aujourd'hui), était institutrice dans une école maternelle de la ville, école qui partait en vacances.
À la maison, pendant les préparatifs pour aller à la fête de fin d'année de ladite école. On était un peu stressé. Ma belle-sœur Colette voulait que je porte un pantalon.
Colette: je pense que tu devrais porter ce pantalon.
Moi: non, je refuse, car il ne me plait pas
C: tu vas porter quoi?
M: cette culotte et c'est non négociable.
C: d'accord, mais dépêchons-nous!
Arrivé à la fête, je le vis, il était le photographe. On se lançait des coups d'œil du coin de l'œil. Pendant trois heures, on flirtait, puis quand il fallut partir, il prit mon contact. Pendant des jours et des jours, on sextait. Le petit vilain. Un jour, il prit l'initiative d'organiser un plan cul, il voulait la jouer du genre “en réalité c'était juste pour causer”. Oui pour que sa bite cause avec mon minou vierge.
Il connaissait un coin sombre parfait pour qu'on puisse baiser sans être dérangés. On se faisait des caresses.
Je sentis une main qui me caressait le dos, je sursautais et m’aperçus que c’était Bobo qui me disait discrètement de me taire. J’entendais le souffle de ses poumons. Bobo était debout derrière moi et me dit silencieusement à l’oreille
Bobo: ça ne t’embête pas que je vienne en toi?
J’acceptai et il vint se coller à moi.
Alors il a baissé doucement mon slip puis le sien et il se mit à caresser mes fesses pendant longtemps. Il adorait pétrir mes fesses qui étaient épaisses et bien rondes. Sa queue était devenue très dure, la mienne aussi et cela pendant une heure faite de caresses et de palpations…
Il m’avait pris la verge dans sa main et lui imprimait des pressions régulières. Puis cette caresse fut telle que j’en ressentis une étrange sensation, un bien-être extraordinaire et un sentiment de plaisir intense qui montait de mon sexe. Puis d'un coup, il s'arrêta. De mon côté même si ce n'est pas ma pratique préférée, je m'étais lubrifié. Il était très détendu, sur le dos, avec sa belle bite arquée. Il ne broncha pas quand je vins m'accroupir sur lui, bien positionné.
Quand il comprit que je m'embrochais sur lui, il eut un petit sourire vicieux. Je dirigeai toutes les étapes, accélérant ou décélérant quand il le faut.
À un moment, je sentis sa résistance diminuer et je trouvai la bonne posture pour qu'il m'inonde. Il était aux anges, d'autant qu'effectivement, il se mit vite à rebander. Je le suçai alors le mieux possible et après quelques minutes, il m'envoya sa purée.
Je n'avais toujours pas joui, il ne voulut pas essayer de me sucer, il accepta juste de me branler, ce qui n'était pas grand-chose, mais suffisant.
Sauf qu'au moment de jouir, alors que nous étions collés comme 2 collégiens, je l'embrassai à pleine bouche, ce qu'il ne rejeta pas.
On refit l'amour de la même manière dans la nuit.
Je le rendis rassasié à sa copine. Mon cousin n'est pas devenu gay, on a fait l'amour de temps en temps, de manière de plus en plus espacée. J'ai réussi tout de même à ce qu'il me suce sans avaler et, une fois à l'enculer, profitant du fait qu'il était bourré suite à la naissance de son premier enfant.
Il ne m'en a pas voulu, mais il n'y eut plus qu'une fois après.
Après chacun a pris son chemin.
Abdon14
abdonmakota14@gmail.com
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