Salut le gars, c’est Ben ! L’été est enfin arrivé avec ses envies de bouger, de partager, de se dévêtir ! Après ce long confinement, on a décidé Seb et moi de prendre quelques jours de vacances. Rien de bien extraordinaire : un endroit sympa, une tente, un coin ensoleillé, un endroit pour se baigner, une certaine tranquillité…
On est installé dans son jardin à discuter. Il fait beau, il fait bon, on est assis dans l’herbe, le torse nu, au soleil.
« Alors on prend ma bagnole, on charge ma tente 4 places, comme ça on est à l’aise, les vtt et on descend dans le sud ! »
« Dis, Ben, on proposerait bien à Bruno de nous accompagner ? On pourrait charger 3 vélos sur ton porte-bagages ?!»
« Hé, pourquoi pas, Seb ! Je sais que tu apprécies Bruno ! »
« Ne me dis pas que tu le trouves pas chouette aussi ! Suis certain que ce serait génial !»
Bien sûr qu’avec Bruno ((voir l’histoire « Bruno »), ça ferait une chouette équipe de gars sans complexe. Seb et moi, comme vous le savez, on a appris à se connaitre très intimement. La nuit aux Pays-Bas, avant le semi-marathon en novembre dernier fut mémorable ! (voir l’histoire «Le joli fruit ») On a plus eu de nuit ensemble mais, bien sûr, nos corps ont eu besoin de se revoir, nos queues ont été souvent en manque et on s’est retrouvé régulièrement l’espace d’une heure ou 2 pour affiner nos plaisirs et poursuivre ce cadeau que nous fait la vie ! On est devenu de super sexfriends. Je crois qu’on est bien d’accord pour ne pas s’engager dans une relation au sens noble du terme. La relation de complicité amicale et physique que nous menons nous convient amplement. Juste se retrouver pour se donner du plaisir en confiance…
Bref, oui, l’idée que Bruno nous accompagne m’émoustille assez. Je ne sais pas pourquoi mais je pense qu’on pourra vraiment bien s’amuser… j’en bande déjà !
« Tu sais quoi, Ben… je bande ! »
Je lui saisis la main et la pose sur ma bosse tout en rigolant.
« Je suppose que ça veut dire OK pour inviter Bruno ! » sort Seb, amusé.
« Ben, … j’ai terriblement envie ! Viens, nos bites ont besoin de se retrouver ! »
Et Seb me saisis l’avant-bras, m’entraine vers son garage. Clair, là, j’ai envie de lui, à fond !
A peine la porte fermée, nos lèvres se joignent, nos langues se cherchent, fougueusement, bestialement ! Nos torses se touchent, se frottent. Nos peaux ont besoin de contacts. Les boutons et les tirettes de nos shorts se détachent, les tissus tombent sur les pieds. Nos sexes dressés se bousculent. Seb saisit nos queues, les branle. Ça mouille déjà pas mal et nous retrouvons ces agréables sons des frottements humides.
Je retire les pieds de mon short car je n’ai pas envie qu’il soit maculé de foutre. Seb fait de même et repousse son short du pied. On est tous les 2 à poil, debout dans son garage, corps contre corps, en parfaite communion de tout ce qui peut se frotter l’un contre l’autre. Il me mordille les lèvres, je lui rends la pareille. On est ivre de désir, ivre de sexe.
A ce rythme, ça ne va pas s’éterniser mais qu’importe, lui comme moi, on a surtout envie de jouir ensemble !
On souffle, on grogne. Oui, on fait l’amour comme on ne l’avait pas encore fait. Un truc viril, sans façon, debout, juste pour se donner du plaisir complice.
« Je vais jouir… » souffle Seb
« Laisse toi aller, Seb, je te suis ! »
Nos bouches se quittent. Lui comme moi, on a envie de voir l’explosion de nos bites branlées tantôt par sa main, tantôt par la mienne ! Je lui pince les tétons ce qui déclenche quasi instantanément son éjac ! Comme d’hab, une belle décharge de plusieurs jets bien fournis lancés vers le ciel et retombant au petit bonheur la chance sur le sol, sur nos mains, sur mon ventre. Je lui emboite le pas et sers également une volée soignée qui nous éclabousse sans ménagement. On se regarde dans les yeux, on s’embrasse tendrement, on rigole. Mais comme il est beau ce gosse ! De plus en plus beau, de plus en plus mec avec cette virlité qui s’installe toujours un peu plus tant par sa barbe qui se densifie encore que par la pilosité de son corps aux jolies courbes. Il est clair que je n’ai plus devant moi, le gars qui sort de l’adolescence mais un beau jeune homme mûr qui a apprivoisé sa vraie nature.
« Wow, Ben, mais que c’est bon le sexe avec toi ! Putain, j’en avais sacrément envie ! »
« oui, ça j’ai vu que tu en avais bien envie – c’est super d’être sur la même longueur d’onde mon Seb. On aime ça, on aime partager ! pfff, on a du sperme partout, regarde mon ventre, regarde mes pieds ! »
« Yen a pas qu’à moi ! tu en as mis une bonne dose aussi ! » dit Seb amusé.
Nos queues ont dégonflé. On est là, nus, à regarder où on en a ramassé. Et on n’a même rien pour essuyer le plus gros… Seb ramasse son calbut, l’enfile avec son short. Je fais de même. Quelqu’un qui nous croiserait en sortant de ce garage repèrerait sans soucis cette odeur bien singulière.
« Moi, jte dis, Ben, je suis quasi certain que Bruno ne serait pas contre des ptits trucs un peu fun à 3 ! »
« Vous avez encore eu l’occas de vous branler ensemble depuis qu’on l’a fait à 3 ? »
« Oui, 2 fois ! Une fois en pleine nature, un peu avant notre semi-marathon. Et une autre fois en hiver, chez lui. Mais juste jouer avec nos bites, comme on l’a fait à nous trois. On n’est pas allé plus loin. J’aime bien Bruno, il est cool ! »
« Je suis certain qu’il aime la bite ! Mais… il ne le sait peut-être pas encore ! Comme toi il y a quelques mois !» Cette remarque nous fait rire mais on est tout excité par ce qu’on vient encore de partager et à l’idée de, peut-être, partager cela avec un 3e larron qui nous plait !
On reprend place dans la pelouse. Tout en discutant, Seb détache machinalement les petites pellicules de sperme qui sèchent dans les poils de ses jambes et sur son ventre.
« Bon, je sonne à Bruno ! »
« Yes, qu’on soit fixé ! On partirait la semaine prochaine ? lundi ? »
« Salut Bruno, c’est Seb ! Dis, tu fais quoi la semaine prochaine ? ça te dit quelques jours au soleil du sud de la France ? Oui, avec la voiture de Ben ! On serait nous trois ! Lundi ? Ok ? On camperait dans un coin tranquille. Pour se baigner, on prendrait aussi nos vtt ! Oui, Bruno, tu nous connais ! Génial, mec, on va bien se marrer !» et Seb raccroche en rigolant.
« Pourquoi tu rigoles ? C’est ok ? »
« Ouai ! il est super partant ! Il a rien de spécial dans le chemin ! Oh, je rigolais comme ça ! »
Le jour venu, tout est chargé dans ma voiture et on démarre pour aller chercher Bruno. Seb a enfilé un joli débardeur bleu clair qui met son bronzage er ses épaules en valeur. Bruno a juste un petit sac. « Jme suis dit qu’il n’y avait pas à se charger inutilement. Dans le sud, on ne va pas utiliser beaucoup de t-shirt et j’ai juste embarqué 2 paires de tongues ! Vous m’avez pris un pneumatique et un sac de couchage ? » « Oui ! t’inquiète ! » C’est vrai qu’on ne devrait pas être souvent très vêtu. Bruno porte un t-shirt prêt du corps, un petit short en jeans et a enfilé ses tongues. Sur la route, il fait vite un peu chaud dans la voiture. Seb vire son débardeur, Bruno suit. A la prochaine halte je vire aussi mon t-shirt ! On est clairement des gars qui aiment vivre « shirless » dès que possible ; l’été est là pour combler cette attente. La route se passe bien, faite de discussions, de musique, de rires.
On décide de faire une première halte dans un camping qui nous semble sympa avec pas mal de jeunes, une piscine, une ambiance qui nous semble chouette ! La tente est rapidement montée, mes acolytes sont débrouillards. Pieds nus et torse nu, habillés de leur petit short, ils sont craquants, le torse satiné par la sueur, ils s’activent tout en s’amusant avec une toile de tente un peu rebelle. Je ne me lasserai jamais, je pense, de ces jeunes adultes, tout juste sortis de l’adolescence, le corps toujours élancé mais déjà charpenté, la moue insouciante et légère. Ces barbes et ces poils qui ont décidé de chasser l’enfance et de bonifier les corps tout en respectant les jeunes courbes … La tente montée, on décide d’aller profiter de la piscine de ce camping. Elle ne tardera pas à fermer vu l’heure déjà tardive. Juste le temps d’enfiler nos maillots de bain. Dans nos jeux d’eau bien chahutés, je prends quand même le temps d’observer les gens encore présents autour du bassin. De nombreux regards se posent sur nous, sur nos corps, sur notre bonhommie. Il faut dire qu’on n’est pas discret avec nos rires et nos cris et puis, honnêtement, on n’est loin d’être les plus moches. Quelques petits groupes de filles se chuchotent à l’oreille, rigolent tout en nous regardant discrètement, ou pas. L’un ou l’autre garçon ne peut s’empêcher de nous mater également. De nous jeter des regards discrets mais insistants. Ces petits shorties colorés, moulant parfaitement des petits culs plaisants, bombés en surplomb de longues jambes sportives et quelque peu velues et des torses bien faits, peuvent rendre un tantinet jaloux, donner envie, peut-être même entrainer une petite érection inconfortable dans un maillot… D’autant plus que, nous, sans bander franchement, elles ne sont pas totalement au repos sous nos tissus et que, ça doit sans doute se voir pour qui reluque. Nos peaux se touchent très fréquemment lors de nos jeux. On est comme 3 gamins qui se retrouvent et qui déconnent dans l’eau. A se couler, à se saisir par les jambes, à se pousser sur les épaules pour se couler… les corps réagissent…
Les jeux aquatiques sont suivis d’une pizza au resto-bar du camping, accompagnée d’une bonne bière, toujours uniquement vêtu de nos maillots. On est attablé, ils sont face à moi. Je peux facilement les comparer, épaule contre épaule. Bruno est un peu plus large, plus trapu, plus poilu, plus bronzé, plus barbu. Peut-être que l’année qui les sépare fait en partie cette différence. Il a un corps élégant et bien équilibré. Seb a un torse plus élancé, les épaules carrées mais un torse plus fin et les tétons un rien plus saillants. Il est tout aussi élégant et équilibré dans les proportions qu’offrent son jeune corps d’homme. J’ai du mal à dire lequel des 2 est le plus beau. J’aime bien les 2 versions… Je pense quand même avoir un faible pour Seb. Quand ses yeux noisette se plongent dans les mien, quand son sourire dévoile ses dents blanches et que je regarde ses lèvres charnues, son charme naturel, je craque…
« Dis, tu arrêtes de nous mater comme ça, Ben ! » lance Seb, amusé. Mes 2 hommes se lançant un regard complice. Les tetons commencent à pointer car le fond de l’air devient plus frais, la nuit tombant et moi, je bande. Faut que je pense à autre chose, que j’arrête de regarder ces beaux torses qui s’exposent devant moi. On décide de retourner à la tente pour se coucher : on est claqué ! Pas le courage de se laver. Et puis, on s’est baigné un bon moment !
« Dites les gars, il va faire chaud dans cette tente ! Je suppose que vous dormez à poil ? Moi je m’encombre pas en tous cas ! »
Et joignant le geste à la parole, Bruno laisse tomber son shorty, avant de rentrer dans la tente. Nous offrant ses jolies fesses blanches contrastant avec son dos bronzé, un petit cul bombé et un peu velu. Une jolie paire de couilles qui pendouillent entre ses jambes lorsqu’il s’abaisse pour entrer sous la toile. Merde, il va déjà me faire bander ferme, ce con !
Ni une, ni deux, Seb me regarde avec un grand sourire et se fout également à poil. Le sexe déjà un peu gonflé. Inutile de vous dire que je ne déroge pas à la règle qui se met spontanément en place. J’enlève ce que j’ai de tissu et entre également nu dans la tente avec une érection qui aurait été bien difficile à dissimuler, si je l’avais voulu !
La tente est assez large pour 3, nous y avons nos aises.
« Eh ben, les mecs, moi qui étais un peu embêté par le fait que je commençais déjà à bander sans raison, vous me rassurez ! » Dit Bruno exhibant une bite qui grossissait à vue d’œil ! »
Chacun se couche sur son matelas pneumatique, en dehors de son sac de couchage. Bruno est sur le dos, il fixe le dessus de la toile de tente, l’air plongé dans ses pensées. Les mains placées sous la nuque, il m’offre une vision plaisante sur l’une de ses aisselles assombrie par un poil court et fourni. Sur son torse finement dessiné, sur l’un de ses tetons sombres. Son visage se détache dans ce début de pénombre. Un visage positif, harmonieusement barbu qui garde des traces adolescentes, les yeux rieurs, le nez retroussé. Il est plaisant. Son long sexe semble se conforter dans les poils de son bas-ventre et monte au-delà du nombril. Il n’est pas décalotté malgré une relativement belle érection.
Je suis couché sur le ventre. Je suis surpris de sentir un doigt s’aventurer sur la longueur de ma colonne vertébrale, partant de mon cou jusque dans le creux de mes reins.
Je tourne la tête vers Seb. Il est tourné vers moi, appuyé sur un coude, il me regarde, il me sourit. Son visage moqueur, ses yeux noisette, sa chevelure ébouriffée avec les mèches retombant largement sur le front, sa ptite gueule barbue, ses lèvres charnues. Je le préfère avec les cheveux courts mais ces mèches frontales lui donnent un petit air qui me plait bien cet été. « Comme tu es beau ! » lui dis-je tout bas… Son torse est mis en valeur ainsi appuyé et son sexe ample repose sur sa cuisse gauche. Son gland rosé, sorti de sa gangue de peau, est un appel pour ma bouche. Seb voit que je suis subjugué par son membre et il ne peut empêcher ce dernier de prendre du volume. Sous l’afflux de sang, la tige se redresse, le gland passe au violet et quitte la hanche pour pointer vers moi.
« Pfff, ne me regarde pas comme cela, Ben, tu vois bien ce qui se passe quand tu me regardes ainsi ! »
« Hé, les amoureux, je suis là aussi !» lance Bruno, railleur, tout en me malaxant habilement les fesses.
Mon sexe est de plus en plus dur et la position sur le ventre devient inconfortable. Je me retourne sur le dos pour libérer cette pression et discuter avec les 2 voisins installés de part et d’autre.
« Ah, enfin, tu nous montres ta bite !» lâche Bruno
« Désolé les gars, loin de moi l’idée de vous priver de quoi que ce soit ! J’aime bien être sur le ventre quand je bandouille mais là, elle est trop raide ! Tu ne te décalotes pas, Bruno ?
Ben, oui, Bruno, laisse respirer ton gland ! » Renchérit Seb.
Ni une, ni deux, Bruno descend son prépuce et exhibe son joli gland qui n’attendait que cela pour finaliser son durcissement. On est cool, là tous les 3, dans cette chaleur supportable de notre petit espace intime toilé, nos paires de couilles lâches et pendouillantes sur nos cuisses, nos sexes fermes, dressés sur nos ventres. Ça me permettait de comparer encore une fois nos 3 jouets. C’est clairement Bruno qui a la plus longue mais aussi la plus fine. Son gland n’est pas plus gros que le mien mais semble plus volumineux vu l’épaisseur de sa tige. C’est lui aussi qui est le plus poilu sur son bas ventre et son pubis est très fourni à moins que ce soit dû à la couleur plus sombre de sa toison… Le corps de Seb, je le connais quasi par cœur maintenant et je ne me lasse pas de cette belle queue épaisse portant ce superbe gland à l’esthétique parfaite à mes yeux. Je remarque qu’il continue à se raser les couilles. Ce qui n’est pas le cas de Bruno. Je ne suis pas en reste pour les mensurations, très similaire à Seb et mes quelques années de plus entrainant sans doute une pilosité plus soutenue sur le torse que mes 2 partenaires, jeunes adultes pour qui les poils sur les pectos est une situation finalement assez neuve…
Ça sent un peu le mâle dans cette espace confiné. On a beau être propre, on sue un peu et la mise à l’air de nos glands… Seb dont le pré-jus perle déjà à la sortie de son méat…
« C’est fou, Seb, comme tu mouilles vite, toi ! Tu ne joues même pas avec et ça sort déjà ! »
« Ouai, chais bien, je fais toujours des tâches dans mes caleçons. Dès que je bande un peu dur, je mouille… ! »
« Ouai, c’est dingue ça ! moi, faut que je sois hyper chaud pour voir perler quelque chose ! Toi, Ben, tu mouilles volontiers aussi ! » sort Bruno
« On a compris, Bruno, ça t’excite pas d’être avec nous ! Il te faudrait une meuf à la place de Ben, c’est ça ! »
« Que t’es con, Seb ! » et mes 2 compagnons se chamailles un peu verbalement sur ce gland de Bruno qui reste plus sec que les nôtres.
Bref, on discute de nos queues et de leurs spécificités. Pénards, allongés à poil sur nos matelas, exhibant nos jouets durcis sans aucun complexe.
« C’est vraiment cool d’être avec vous ! Franchement, j’ai pas d’autres potes comme ça ! où on se retrouve à poil, où on s’excite entre nous sans aucune gêne. C’est clairement mon trip les gars de bander avec vous et de se regarder la bite. J’ai pas de gêne à vous avouer ça !»
Sa spontanéité nous fait rire.
La nuit tombe lentement et il fait de plus en plus sombre sous notre tente. Moi, perso, je suis trop claqué et j’ai plus envie de dormir que de me branler mais si mes compagnons se soulagent, je serai solidaire ! Je préférerais m’astiquer demain matin. J’ai toujours une érection d’enfer au réveil…
« Je sais pas vous les mecs mais moi je suis claqué ! » dis je
« Ouai, putain, moi aussi, je suis mort ! » dit Bruno
« Ok, on dort alors ? Moi je sais pas si je vais pouvoir dormir avec une queue raide comme ça ! »
« on t’interdit pas de te branler, Seb, si tu en as besoin ce soir ! Vide toi, on est entre nous !»
« Non, Bruno, c’est plus cool tous ensemble ! ok, on dort ! »
La nuit est maintenant bien là et je distingue juste des ombres, des doux reflets de peau. Je me tourne sur le côté sur lequel je m’endors habituellement. « Bonne nuit, Bruno, bonne nuit Seb ! »
« Bonne nuit, petit cul ! » « Bonne nuit, ptite bite ! » On se mare bien entre nous !
A peine tourné, j’entends Seb qui se met en mouvement, il vient s’installer contre moi. C’est confortable quand on est d’un gabarit similaire. Ses genoux viennent se caler dans le creux de mes genoux pliés, ses pieds se fondent contre le dessous des miens, son sexe de pierre se glisse sous mes fesses et vient toucher l’arrière de mes couilles. Je sens sa toison sur le bas de mon fessier, ses pectos sur mes omoplates, sa barbe sur mon épaule, son souffle chaud dans mon cou. Il me distribue quelques bisous silencieux dans le creux de l’épaule droite. Son bras droit passe sous mon aisselle droite et son bras gauche passe habillement sous mon cou. Il m’enlace le torse, dépose sa main droite sur mon pecto droit, me titille tendrement le téton. Il prend de l’assurance et de l’initiative mon petit mâle. Quel chemin il a parcouru sur quelques mois… Il ne débande pas que du contraire. Je sens les soubresauts de son gland contre mes testicules qu’il est en train d’humidifier. Il est chaud, mon Seb, il est tendre. Bruno respire profondément : il dort déjà ! je ne tarde pas à tomber endormi aussi. Il y a bien longtemps qu’un homme ne m’a plus pris comme cela dans ses bras. D’habitude, c’est moi qui enlace ! Mais là, je peux bien laisser cet avantage à mon ptit Apollon !
La nuit fut très bonne. Je pense que nous avons dormi tous les 3 comme des souches. Le soleil d’été est déjà arrivé sur la tente et c’est la lumière et la montée de la chaleur qui m’ont éveillé. Je suis toujours contre Seb mais c’est mon bras gauche cette fois qui entoure son torse. Et j’ai un autre bras qui passe sur mon flanc gauche et une main sur mon ventre… qui n’est pas la main de Seb… Bruno s’est manifestement rapproché dans son « sommeil». Comme chaque matin, je bande comme un âne. Je ne sais pas ce qu’il en est de mes compagnons mais j’imagine que, nus et décalottés, ils sont dans le même état que moi. Ma main descend sur le ventre de Seb et je ne dois pas descendre bien bas pour butter contre un élément ferme et rigide. Je tente de tâter Bruno mais je suis mal positionné. Je détache mon bras de Seb sans le réveiller, me tourne sur le dos. La main de Bruno restant dans sa position, son avant-bras se retrouve maintenant sur mon bas ventre. Là, maintenant, dans ce juste après sommeil, je me branlerais bien ! Bruno est couché sur le ventre, son bras gauche allongé sur moi. Je regarde ses courbes, de nouveau son ptit cul bombé et assombri par un duvet sombre que je trouve assez sexy. Son dos est ferme, ses muscles galbent l’ensemble et ses épaules ont une bien jolie forme. Ouai, c’est un très joli garçon aussi. Mais cela, je l’avais déjà bien remarqué lors de notre branlette partagée chez Seb. Il commence à bouger, il s’éveille ! Je reste à le regarder jusqu’à ce que nos regards se croisent. Il m’offre un délicieux sourire matinal.
« Salut Bruno ! Bien dormi ? »
Retirant sa main tout en la passant doucement sur mon bas ventre, rencontrant au passage mon membre rigide, il s’étire les bras et se retourne aussi sur le dos « Ouai ! super bien dormi. C’est très agréable de se lover contre un gars comme toi durant une partie de la nuit ! C’est la première fois que je dors nu avec des gars comme ça, tu sais ! Jme suis pas encombré de principes, j’espère que ça t’a pas dérangé ! »
J’ai donc manifestement fait du corps à corps cette nuit tant avec Seb qu’avec Bruno. Quand je suis fatigué, je dors très profondément. Je n’ai pas senti le corps de Bruno contre moi. Ce n’est sans doute que partie remise !
Oakspirit
oakspirit@proximus.be
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