Je ne rencontre pas souvent un garçon sur le pouce mais, parfois, les choses se mettent de façon favorable. Une envie, une plus grande ouverture d’esprit que d’habitude peut-être, être disponible, avoir une proposition sympa, provenant d’un gars tout aussi sympa. Sympa dans les échanges en tous cas car celui dont il est question ici ne m’a pas envoyé de photo. Par contre, moi, je place toujours une photo, de la tête, sur mon profil en ligne. Je ne lui demande pas de photo. Je suis d’humeur à laisser entretenir ma curiosité jusqu’au dernier moment. Je sais juste qu’il s’appelle Théo, qu’il a 20 ans, qu’il est grand et brun et qu’il vient de me faire une étrange proposition :
- ça te dirait un apéro-nu ?
C’est ainsi qu’il m’a abordé sur le site de rencontre. On discute un peu. Je suis curieux et je me dis qu’avec un jeune homme de 20 ans, je ne risque pas grand-chose. Il n’habite pas tout près. J’en ai pour quasi une heure de route. J’ai hésité, l’espace de quelques secondes, mais ma soirée est libre et, tant qu’à boire un verre, autant trinquer en faisant connaissance dans un contexte qui s’annonce singulier.
J’accepte donc la proposition, il me refile son adresse.
- J’amène des bières de mon coin ! Lui dis-je
- Ok super, y’aura des chips ! Cool que tu acceptes de venir chez moi !
On est en automne, la nuit tombe tôt – on se fixe rendez-vous à 19h. J’ai largement le temps de me doucher, me tailler la barbe, me raser les couilles, m’entretenir un peu les poils du torse, les aisselles et mon pubis devenu un peu trop broussailleux. En été, j’entretiens tous ces poils mais une fois que je ne me balade plus torse-nu, que je sais que je ne vais pas passer du bon temps ni avec Seb, ni avec Tom et encore moins avec Bruno, j’espace les tailles ! Vous me direz : mais, enfin, faut toujours être prêt ! Vous avez sans doute raison !
Je sors de la salle de bain, tout propre, tout net – enfin à mon goût en tout cas. Et je pense, en toute modestie, que je peux être plaisant pour ce ptit gars. J’enfile un joli shorty qui me met bien en formes. Je regarde mon portable et vois qu’il y a un nouveau message. Ah, c’est Théo :
- Veux-tu que je sois déjà nu ?
Je ne peux m’empêcher de pouffer de rire. Mais en fait, je suis émoustillé ! Et puis, cette spontanéité me plait ! ça y est, je bande ! Je ne peux m’empêcher de glisser la main dans mon shorty, sortir mon sexe et le tripoté en cherchant un sweet-shirt sympa et un pantalon cargo. Habillons nous confortable et dans la facilité de se désaper ! Je mouille déjà, flûte – faut pas que je tache mes sous-vêtements !
Je ne lui réponds pas ! Je le laisse prendre l’initiative et me faire la surprise !
Je ne vous raconte pas le trajet, sans intérêt. Arrivé à l’adresse donnée, je suis étonné de deviner, dans la pénombre, une assez jolie demeure. Pour un gars de 20 ans, j’avais imaginé, avec préjugés, un appartement. Je range la voiture, m’engage à pied dans l’allée arborée. Je suis quand même un peu stressé et excité. Et, pourtant, si c’était un guet-apens ? J’ai déjà lu des trucs du genre – des pièges à pds… Je n’ai pas encore eu l’occasion de sonner que la porte s’ouvre !
- Salut Ben ! Entre, entre ! N’ayant pas eu de réponse, j’ai gardé le short !
me dit-il avec un grand sourire. Il tend la joue, on se fait la bise. Je suis tout à fait rassuré.
- Pas de soucis, Théo, on n’est pas pressé !
Un grand gars à la peau clair, aux cheveux châtain foncé bouclés et aux yeux vert en amande. Une petite barbe de quelques jours, qui adopte très bien son visage. Un corps fin et élancé. Il est torse nu et je peux dès lors déjà détailler le dessus de ce corps. C’est le genre de garçon dont le torse dessine un V sans être musclé. Vous savez, de ces gars fins de taille et carrés des épaules qui, même s’ils ne sont pas musclés, et plutôt maigrelets, ont quand même un corps qui en impose. Au premier abord, je ne suis pas déçu ! Il est plutôt plaisant même si je préfère généralement les gars plus latins, plus musclés et plus virils. Le torse est totalement glabre en effet et ses 2 jolis tetons sombres attirent spontanément le regard …
Forcément, on est un peu mal à l’aise au cours des premiers instants. Un peu maladroit. Que dire pour ne pas être bateau ?
- Euh, passe-moi les bières, si tu veux bien, je vais les mettre au frais ! Ah, elles sont déjà bien fraiches ! parfait, on va pouvoir se mettre à l’aise ! me lance-t-il avec un clin d’œil !
C’est étrange, ce garçon me trouble, la situation me trouble. Cette démarche « apéro-nu » est un peu déroutante. Le peu de fois où j’ai fait un plan cul, on ne parle pas des masses, on se retrouve rapidement à poil, sans fioritures. Ici, l’idée de déjà partager une bière, même tout nu, ça donne une approche toute différente, une convivialité de mecs !
- Je suis hyper content que tu ais accepté mon invit’ ! ta tête me plaisait bien ! Tu as l’air sympa et honnête ! C’est la première fois que tu acceptes ce genre d’invitation ?
- De rencontrer un garçon, non ! mais une proposition comme la tienne, oui !
Il a une bonne tête aussi, le Théo. Un jeune gars qui semble un peu rêveur, qui respire la gentillesse. Non, clair que je ne suis pas tombé sur une coquille vide – enfin, on peut toujours se tromper ceci-dit !
- On se met nu ? Demande Théo avec beaucoup de spontanéité et un peu d’impatience.
Je ne dis rien, et commence à enlever le haut. Je n’avais pas encore prêté attention à la musique diffusée dans la maison mais en entrant dans le salon où nous allons, semble-t-il, prendre notre apéro, je suis surpris de reconnaitre de l’électro qui m’est familière.
- Hé ! mais c’est Christian Löffler que tu écoutes ! J’adore ! Torse nu, je reste un peu stupéfait d’entendre cette musique ici !
- Wow ! Tu connais ?! J’adore cette zic électro !
- Je crois que c’est la première fois que je rencontre quelqu’un qui écoute cet artiste !
- Haha, oui, moi aussi ! Génial ! On va pouvoir parler musique lors de notre apéro ! Je te ferai écouter d’autres trucs ! Ouf, ça c’est un torse de mec !
J’étais, là, debout devant lui en train de détacher ma ceinture, un peu fier de ce compliment. Théo était déjà en train de descendre son caleçon, dévoilant sans pudeur un long sexe reposant sur de belles couilles bien pendantes. Son pubis est tondu assez court et laisse juste une ombre sombre en surplomb du 3 pièces harmonieux. Je me retrouve rapidement nu aussi. Comme vous savez, je ne suis pas pudique et plutôt satisfait de mon corps.
- Voilà ! On se sent mieux ainsi ! C’est toujours cool de découvrir un corps. Et franchement, je ne suis pas déçu de ce que je vois !
- Théo, tu vas me faire rougir ! pour une rencontre à l’aveugle, c’est plutôt pas mal aussi de ton côté !
- Merci, Ben ! C’est vrai que tu ne savais pas du tout à quoi je ressemblais, dis ! J’aime bien les gars curieux qui prennent des risques ! » Lance –t-il avec un clin d’œil.
Son long sexe à la peau mate à de belles proportions et dévoile sans retenue un assez joli gland. Il semble circoncis. En fait, je ne sais pourquoi mais je ne m’attendais pas à cela. Je l’avais imaginé plus petit, ce zizi ! On dirait qu’elle ne demande qu’à être stimulée cette longue bite !
- Installe-toi où tu veux, Ben ! Moi, je m’assieds ici !
Tant qu’à faire, je m’assieds à côté de lui. Deux verres à bière nous attendent déjà sur la petite table basse ainsi que des chips de différentes saveurs.
- Je te sers un verre ou tu bois à la bouteille ?! Cool, une bière que je ne connais pas !
- Bah, à la bouteille, c’est bien pour moi tu sais ! J’ai amené des blondes et des brunes !
- Euh, tu parles de bières je suppose ? pouffe Théo
Il me fait rire. Il se lève d’un coup et me fait un signe mimant le décapsuleur. En effet, ce sera plus facile pour ouvrir les bouteilles. Il me revient tout sourire. Bah, oui, il est plutôt plaisant ce ptit gars, malgré ce corps un rien trop fin et un peu trop imberbe. Dommage qu’il se rase le pubis aussi court, ça rajouterait à son charme de garder son unique toison. Il est là, debout à côté de moi, décapsulant les bières. Le sexe quasi à hauteur de mon visage. Il finira par me faire bien bander, j’en suis certain maintenant. D’ailleurs, elle prend déjà un peu de volume…
- Santé, Théo !
- Santé à toi ! C’est donc ton premier apéro nu ? ça se fête !
- Oui !
On parle de tout, de rien, de ses études, de mes activités, de musiques. On est bien là, l’un à côté de l’autre dans ce sofa. Nos genoux se touchent parfois. Ses jambes velues contrastent avec le reste de son corps. Il parle beaucoup et pose de temps en temps, par reflexe (ou pas envie) sa main sur ma cuisse. On parle de garçons, de nos histoires respectives. Moi, je le regarde. Je commence à bander et il ne peut pas ne pas le voir. Son sexe étant déjà large et long au repos, j’ai du mal à me rendre compte s’il bandouille déjà ou pas. Ce n’est que quand il se tripote que je me rends compte qu’il est aussi en phase ascendante. Il voit que j’ai les yeux qui se fixent sur son bas-ventre.
- Oui, je ne peux pas m’en empêcher, tu sais. Je bande tout le temps et encore plus dans une situation comme celle-ci. Une fois que je commence, je vais rester bandé toute la soirée ! Dit-il en rigolant.
- Comme tu vois, on est sur la même longueur d’onde là ! Et moi aussi, je suis un bon bandeur.
Etant très à l’aise avec ma queue, je n’ai aucun problème à me laisser durcir d’autant plus qu’on est déjà dans une ambiance un peu sexe avec sa bite qui pointe de plus en plus vers le haut… et puis, un apéro nu entre gars…
- elle est très bien cette bière ! Elle me plait aussi ! Me lance-t-il en me fixant dans les yeux.
Ses yeux verts sont agréables et doux. Nos lèvres se rapprochent, attirées sans calcul. Un premier baiser s’échange, … déjà ! Je ne m’attendais à rien de particulier en venant ici. Tout au moins, une soirée à poil, à l’aise. Au mieux, une bonne branle partagée, voire peut être une pipe… mais je n’avais pas pensé aux bisous… ses lèvres sont… agréables. Sa main droite se dépose sur mon flanc gauche.
- Tes lèvres sont douces ! lui dis-je.
Nos queues ont apprécié également. Il a, en effet, un très beau sexe. Bien sûr, y a pas que cela chez un gars mais quand on est tout nu, on ne peut s’empêcher de regarder, d’admirer le cas échéant.
- Ah, c’est agréable ! me dit-il en tripotant son jouet. C’est quand même cool 2 mecs qui bandent. J’adore ton gland ! Tout en rondeur.
J’avais pris la précaution de me décalotter avant de me défroquer. Mon gland violacé est en pleine forme. Ses compliments m’amènent à le tâter, à le caresser. Je commence à mouiller.
- Tu veux qu’on se branle ? demande-t-il, quasi à la manière d’un gosse qui demanderait si on veut jouer avec lui.
- On a le temps, tu ne trouves pas ?
- Oui, on a toute la soirée. Suis à l’aise avec toi ! je peux m’installer comme ça ?
Et il pose sa tête sur le dessus de mes genoux, manipulant son gsm pour changer la plage de musique.
- Et ça ? tu connais ?
Il lance un album de Zero 7 ! J’adore ce groupe !
- C’est pas zéro 7, ça ?
- Wow, t’es fort !
- C’est surtout que tu écoutes la musique que j’écoute aussi !
Je regarde son visage. Il ferme les yeux. Il est mignon. J’aime bien son style. Ses courbes, les petites taches de soleil qui parsèment ses pommettes. Je passe la main gauche sur son torse, sur ses pectos. Sa peau est douce, lisse. Ses petits pectos sont fermes.
- Mmm… c’est agréable…
Il tourne son visage vers moi. Il me sourit de son plus beau sourire. Je passe le revers de la main sur son visage, sur sa joue à la barbe drue. Je sens qu’on va faire l’amour tendrement ce soir. Je saisis ma bière pour descendre une gorgée. Ma bite est fière, dressée devant le regard de Théo.
- Je crois que c’est la première fois que je rencontre un homme aussi viril que toi !
- Ah bon ? Ai pas l’impression d’être un mec super viril pourtant !
- Tous ces poils !
- Ça te dérange ? Suis quand même pas à ce point poilu !
- Non, pas du tout ! mais ça me change ! Je rencontre plus souvent des gars de mon âge ou plus jeune… Du coup, quelques années de plus… Mais ça te va bien sur le torse, comme ça ! Mais tu te rases quand même les couilles ! dit-il d’un ton espiègle, en les effleurant de la main.
- Ouaip !
- Honnêtement, si je ne me tonds pas le pubis, c’est une véritable forêt de poils sombres que je porte. Et en plus, vu que j’ai pas de poils sur le corps, ça parait encore plus fourni. Mais toi, ça te va bien ! C’est harmonieux avec le reste de ton corps !
Il se redresse, hésite quelques secondes puis descend une gorgée de sa bière. Sa tige est bien droite maintenant. Elle est clairement plus longue que la mienne, mais plus fine finalement. Ça sent le mâle.
- Si ça te dit, après la bière, on passera dans ma chambre, on y sera plus à l’aise ! Je ne propose pas toujours cela mais j’ai envie de te sentir contre moi !
- Tu invites souvent un gars pour un apéro ?
- Pas souvent, non. Quelques fois… quand je croise un gars qui semble me plaire. Mais parfois entre les quelques mots échangés sur le net, quelques photos, même une cam et la vraie rencontre, c’est le choc. Je me suis déjà retrouvé avec un gars tellement pas cool et pressé de me fourrer sa queue que je n’ai quasi pas bandé et que je suis resté sur mes gardes toute la soirée, ici, dans le sofa ! raconte-t-il avec beaucoup d’emphase.
Et poursuivant son monologue.
- Tu l’auras compris je suis passif. Et toi ? tu es actif j’espère ? J’imagine ! Un gars comme toi avec une queue comme ça, c’est pas passif !
Flûte, Théo a envie de se faire prendre… moi qui ne suis jamais stimulé par l’idée… Bon, ça va, je préfère dans ce sens-là. Ne pas pénétrer un gars qui en veut, y a toujours moyen de s’en sortir… C’est moins évident quand tu te retrouves avec un mec qui n’en veut qu’à ton cul…
- On va s’allonger dans la chambre ? On y sera mieux…
Insiste Théo. C’est vrai que j’aurais bien envie de le découvrir ce garçon, de lui faire des câlins, de gouter la salinité de son gland, de parcourir sa jolie peau blanche… De voir gicler cette belle tige !
- Allez, je te suis, Théo. Je peux pas te mentir ! Ma queue parle pour moi comme tu vois !
- Bas de mon lit, Bonobo ! Un chat gris et blanc, sommeillant sur la couverture, fuit à notre arrivée. Théo tire la couverture, ouvre le lit et s’y laisse tomber sur le dos.
- Viens !
Je m’allonge à ses côtés. Les draps sont frais. Je me tourne vers lui, l’embrasse. Nos bouches communient, les yeux se ferment. C’est bon de se retrouver allongé ainsi avec un garçon. Se branler entre gars, se frotter la queue ensemble, vite fait, c’est chouette mais un peu de tendresse en ce début d’automne, ça fait du bien. Sa peau est agréable. Il embrasse bien. Il plonge ses yeux dans les miens. Son regard est amoureux. Nos bouches explorent les peaux. Je suis comme un amoureux qui passe sa première nuit avec l’homme qu’il convoite depuis longtemps. Etrange de se sentir aussi envouté avec un gars « juste comme ça ». Je me suis couché sur lui, nos sexes se rencontrent. J’adore ces sensations de bites qui font connaissance. Mes lèvres visitent son cou, le creux de ses épaules. Je le couvre de petits baisers. Nos jouent s’effleurent. J’adore quand les barbes se mélangent. J’aime bien les mecs qui « piquent » !
- Mmmm, comme j’aime ta douceur, Ben… Tu viens pour un apéro nu et tu m’embrasses comme jamais un gars ne m’a embrassé !
Oui, je sais, je suis dangereux sur ce plan. J’aime le sexe mais j’aime aussi la douceur… Au point que certains garçons se sont déjà mépris sur mes intentions. J’aime m’investir dans le moment présent mais j’ai rarement envie de m’investir au-delà ! La pulpe de mes doigts parcours son corps, ses flancs, son ventre. Il frisonne. Je tourne autour de ses tétons avec un index, tantôt autour de l’un, tantôt autour de l’autre tout en titillant de temps en temps leur pointe durcie. Il ferme les yeux, s’abandonne à mes caresses. Je me suis relevé, assis sur son ventre pour mieux le regarder, mieux le faire vibrer de mes caresses sur son torse. Je sais, c’est pas sympa, mais j’ai envie de le rendre dingue. De mettre tout mon savoir-faire de séducteur sur ce jeune gars. Ça lui apprendra à inviter des inconnu chez lui me dis-je en souriant.
Je sens sa queue contre mes fesses. Il me mouille de son pré-jus. Je m’en occuperai plus tard de cette bite qui n’attend que cela. Lui, il a pleine vue sur ma tige dressée. Mes couilles flasques reposent sur son ventre…
- Tu te rapproches, dis ? Tu me nargues avec ta belle queue !
Me dit-il en tendant la langue vers mon sexe, les yeux rieurs. Je ne me fais pas trop prier mais je traine volontairement pour avancer sur son torse, amenant inévitablement ma bite vers cette langue impatiente… Sans mot dire, il tend le cou pour atteindre mon gland du bout de sa langue, titille l’objet du désir. Je continue à avancer. Mon gland est maintenant parcouru sur tout son pourtour par une langue experte. Je ne peux contenir quelques soupirs de plaisir qui conforte Théo dans son activité. Mon gland disparait de moitié, gobé par ses douces lèvres. Il finit par s’enfourner totalement, bousculé par le muscle lingual qui tourne et tourne encore. Wow ! Théo se retire.
- J’adooore ! Lance-t-il.
- Moi aussi ! Dis-je
- Ton gland est très agréable en bouche ! Il est lisse et si ferme et si gros ! C’est mon préféré entre tous ! Affirme-t-il !
- Et toi, Théo, tu aimes qu’on te suce ?
- Oui… mais je préfèrerais te sentir en moi ! Je suis tellement excité !
- Ecoute, Théo, je vais te décevoir… mais je ne suis ni actif, ni passif…
- Ah ? comment ça se fait ? ça existe ça ? Et donc ? tu as jamais pénétré un gars ? Tu es un passif qui s’ignore ?
De nouveau, Théo pose plein de questions, avec la curiosité des ados !
- Il y a de ces gays qui n’aiment pas la pénétration, Théo, j’en fais partie. On les appelle des ‘sides’. Mais il y a 1001 autres manières de prendre son pied, tu sais !
- Eh, c’est pas grave hein, j’avais juste envie. Pour une fois qu’un mec que je rencontre me donne envie. Je suis tellement en confiance avec toi !
Toujours assis sur son torse, je m’abaisse pour l’embrasser, nos langues se chamaillent. Je retrouve le gout de ma bite. Je prends l’initiative de lui faire découvrir ce qui m’excite toujours beaucoup. Je glisse vers l’arrière, le long de son torse, frôle son ventre, rencontre sa longue queue, passe au-dessus et la place devant moi, fière, droite, devant la mienne. Théo me regarde curieux et amusé. Son gland mouille : c’est un plus. Je suis gonflé à bloc. Lui aussi. Sa bite est très raide et très dure. J’entreprends de mouiller son gland et le mien de salive. Je saisis sa queue et place son gland en contact avec le mien. Doucement je frotte mon fruit gorgé contre le sien, je le tourne autour de son bout ferme. Les deux glands glissent franchement, fort de leur viscosité et de leur dureté. Théo se mord les lèvres. J’appuie de plus en plus fort mon sexe contre le sien. Je saisis nos deux queues et les branle lentement, emprisonnées dans ma main droite.
- Whroo, c’est bon, dis ça ! S’exclame Théo
Heureux que mes pratiques lui plaisent, je ne peux que continuer. Je nous branle maintenant plus franchement. Les 2 sexes s’adoptent très bien. Théo mouille assez fort. Moi aussi. Nos pré-jus se mélangent et donnent le parfait lubrifiant pour nos bites en chaleur. Je lâche les tiges, m’allonge sur mon amant et attrape sa bouche qu’il m’offre instantanément.
- Toi, alors… tu me fais découvrir des trucs… mon cul n’est pas stimulé mais j’ai l’impression de redécouvrir ma bite !
- J’ai envie de jouir avec toi, nos sexes en communion, plongé dans tes yeux ! » Lui dis-je.
- Putain, ouai ! continue ton truc !
Je me recule, lui demande de s’asseoir. Il n’a pas l’air de comprendre. Je lui montre comment j’aimerais qu’on se positionne. Je passe les jambes de part et d’autre de son bassin. J’attire ses jambes de part et d’autre de moi. On se retrouve tous les 2 assis, face à face, torse contre torse, bite contre bite, nos visages à quelques centimètres. On s’embrasse. Je saisi à nouveau nos sexes de la main droite et je reprends cette branlette serrée. Toute la longueur de nos bites en communion, empoignées par ma ferme main qui coulisse et frotte du pouce nos glands. Théo se tortille, me mord l’oreille gauche, me mordille les lèvres. Il est en transe. Mon jeu sur nos mats de chair se prolonge un peu de temps…
- Je vais jouir… Murmure Théo.
Je n’attends que cela, je suis sur la corde depuis un moment et me demande comment j’arrive encore à contrôler la montée de ma sève.
Théo finit pas se libèrer, je peux me lâcher enfin aussi ! Nos queues, érigées vers le ciel, crachent de belles giclées fournies à la verticale. La semence retombe dans un bruit sourd sur nos ventres et nos bites. On s’embrasse furieusement. Ma langue parcours son visage, son cou, ses oreilles. Je suis comme un petit animal en rut. Cette jouissance est magique !
Théo s’écroule contre moi, la tête dans le creux de mon épaule. Il me sert le torse de ses bras. Il me dépose des bisous dans le cou et sur l’épaule… On se détache et on s’allonge côte à côte sans mot dire.
- C’est marrant… je découvre une autre approche du sexe entre garçons avec toi. Moi qui ne voyais que la pénétration comme finalité ou la simple branlette partagée. Quelle partage intime, cette jouissance face à face ! C’est cool !
Pour toute réaction, je ne peux m’empêcher de me tourner sur le flanc et de caresser doucement son torse de mes doigts, d’épouser les formes de son corps de mon index, rencontrant au hasard de son cheminement, les reliquats poisseux de notre plaisir…
- Tu restes pour dormir, hein ?
- Si tu me le proposes, Théo, c’est avec plaisir que je passerai cette nuit avec toi !
- Serre-moi contre toi, s’il te plait !
Et il vient se blottir contre moi. Il ne faut pas attendre 10 min pour qu’il s’endorme. C’est toujours agréable de passer une douce nuit avec un joli corps nu contre soi. Je profite de l’instant. De sa peau douce, de son odeur, des effluves de nos semences qui planent toujours dans la chambre. Je dépose quelques doux baisers dans son cou et finis par m’endormir moi aussi… Voilà une bien étrange soirée qui commençait par une initiative quelque peu frivole et qui se terminait dans une grande tendresse, comme les gars peuvent s’en donner quand ils sont en parfaite harmonie des corps… Et, mince ! Je ne l’ai même pas sucé… moi qui adore cela aussi ! Demain matin est un autre jour…
Oakspirit
oakspirit@proximus.be
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