C’est à mon adolescence, dans les années soixante-dix, que j’ai compris que je n’étais pas vraiment comme les autres. Tout d’abord, un très fort retard de puberté, ensuite je regardais avec davantage de plaisir les garçons de mon lycée que les filles.
Les vestiaires à la fin des cours de sport étaient presqu’un supplice pour moi. Premièrement de voir tous ces mecs quasi nus, voire nus devant moi, et ensuite de constater, qu’à plus de 18 ans, j’avais l’impression d’être un élève de Seconde, perdu dans une classe de terminale. Mes yeux se posaient discrètement et avec plaisir sur leurs plastiques viriles, que je ne possédais pas.
Un mois environ avant le Bac, je suis allé à la piscine, comme tous les mercredis, où j’ai pu voir, pour la première fois, un black en maillot de bains. Même si c’était plutôt rare à l’époque, j’avais pu en rencontrer plus d’un, en ville ou dans les transports et la puissance de ces hommes me subjuguait.
Son maillot était hyper bien rempli, beaucoup plus que ceux de mes potes du lycée, laissant apparaître une masse, qui me fascinait. Le suivant des yeux, après une heure d’exercices, il s’est dirigé vers les douches, je lui ai emboîté le pas aussitôt.
Nous rinçant du chlore accumulé sur notre peau, c’est en partageant notre savon, qu’il a baissé légèrement son maillot pour faire subir le même traitement à son sexe. Par pudeur, il s’était mis un peu de côté, mais comme j’étais de profil, j’ai pu voir cet énorme cylindre noir en sortir, bien plus gros au repos, que ma petite bite en érection.
Le flash s’est alors imposé à mes yeux… J’étais homo et je ne voulais que des Noirs, même si je devrais attendre un temps certain pour concrétiser mes désirs.
Les semaines qui ont suivi ont été très studieuses, acharné à mes révisions pour le Bac, décroché avec une superbe mention, et ce, juste deux semaines avant mon anniversaire, où mes 18 ans arrivaient.
Nous avons fêté ça dignement avec ma famille, mes parents devant partir en vacances en Espagne pour presqu’un mois, comme d’habitude, mais j’avais refusé de les accompagner, mettant en avant mes démarches pour la fac et autre.
Après plein de bisous le jour de leur départ, mon père m’ayant donné l’argent nécessaire pour rester seul, sachant aussi que le frigo et les placards étaient pleins. Comme j’adorais faire la cuisine, ça ne me gênait pas, comme tous les ados, pâtes et frites me convenaient très bien, avec souvent aussi, des crudités et des légumes que j’aimais beaucoup.
Trois jours après, j’avais envie de poisson grillé. J’ai pris le bus pour me rendre jusqu’au port, où le frère d’un pote du lycée tenait un stand de pêcheur, mais qui avait quelques tables et un barbecue à côté pour faire profiter ses amis de sa pêche fraîche.
Dès qu’il m’a vu, un large sourire a illuminé son visage…
« Comment tu le sais ? »
« Comment je sais quoi ? »
« Que je viens de prendre un superbe loup … !!! » Avec ses yeux bien rieurs.
Il a commencé à le préparer, comme je l’aimais, avec de l’huile d’olive, des branches de fenouil et des légumes grillés. Il le faisait assez souvent, pour me remercier de l’aide que je lui apportais lorsque je l’accompagnais en sortie en mer. J’adorais ça… !!!
Repu de ce merveilleux repas, j’ai repris le bus pour rentrer chez moi, et deux stations plus tard… Le miracle, le mirage, m’est apparu…. Un immense black, de 25 ou 30 ans, je ne saurais pas trop dire. Déjà, quand il est passé devant moi pour occuper le siège juste en face, je l’ai vu de profil avec une bosse… Que je ne m’imaginais pas être possible… !!!
J’avais conscience que je risquais de me prendre une baffe monumentale, mais je ne pouvais quitter son entrejambe des yeux. C’était sans doute une vision de mon esprit, mais il me semblait qu’elle prenait encore de l’ampleur, s’allongeant contre sa cuisse.
« Ça te plait ? » Dans un murmure à mon oreille…
Je n’arrivais pas à répondre, j’ai juste hoché de la tête…
« Elle est à toi… suis-moi » après avoir pris ma main pour la poser, dans un geste discret sur son énorme colonne de chair.
Il m’a amené jusqu’à un appart discret où j’ai trouvé 4 hommes noirs comme lui prenant un verre dans le salon.
« Je vous présente Marc, les amis…. On doit parler tous les deux, dans ma chambre »
« Bien sûr mec, à tout à l’heure »
Une fois dans son domaine, nous avons parlé, me questionnant mais de manière amicale et insidieuse à la foi. Finalement, je me suis lâché, lui expliquant mon désir inavoué et inavouable pour les hommes, et particulièrement les noirs.
« Tu as déjà couché avec un Noir ? »
« Non, jamais… »
« Avec un mec quand même ??? »
« Non, jamais »
« Tu vas pas me dire que tu es vierge ??? »
« Oui… »
« Tu te sens prêt à franchir le pas ? A réaliser ton fantasme ?
« Oui… J’avoue, j’en ai super peur, mais j’en ai trop envie aussi. »
« Eh bien, tu vas sentir passer ton dépucelage mon ami… !!! »
« Pourquoi ? »
« 26 cm dans ta bouche et dans ton cul de puceau, tu vas souffrir… Je veux te défoncer complètement, t’habituer aux gros calibres de blacks… Ou tu vas détester et tu vas fuir, ou tu vas adorer, dans ce cas, tu ne pourras jamais plus t’en passer, à toi de choisir. »
« J’en ai trop envie, je rêve de ça depuis trop longtemps… Défonce-moi de partout, même si ça me fait hyper mal, mais n’oublie pas quand même que je suis puceau. »
Il ne s’en est pas privé… Il m’a baisé, comme jamais, la bouche, le cul, même dans mes rêves les plus fous, je ne pensais être autant et aussi bien possédé. Heureusement, une de ses pommades africaines m’a bien aidé à prendre en moi l’intégralité de ce monstrueux phallus, et à plusieurs reprises. Plus il me prenait, plus j’avais mal, et plus je jouissais. Ses potes avaient dû entendre mes hurlements de plaisir. Après des heures à avoir été défoncé par Daniel (Ivoirien donc prénom français) c’est comme une chiffe molle qu’il m’a amené au salon rejoindre ses amis.
« C’est plus facile de vivre ensemble Marc, ça nous coûte moins cher et au moins, on ne se sent pas seuls » Tout en me servant un thé, bien salvateur, avec juste une tunique sur moi, mais en puant le sexe et le foutre dégoulinant entre mes cuisses.
J’étais assis en face de lui, entre deux autres hommes, sur un vieux canapé qui avait bien vécu, leurs mains me pelotant de partout…
« Tu es accro aux noirs maintenant Marc, et mes amis ont besoin de plaisir aussi… tu veux leur en donner ? »
Je suis resté 3 jours avec eux, me faisant prendre de partout, encore en encore, Daniel ajoutant régulièrement à mon thé, un aphrodisiaque africain à base de plantes, hyper efficace, sans aucun danger, pour que je puisse subir les assauts répétés de ces mâles toujours en rut, avec une envie permanente.
Rentré chez moi, devant le miroir de la salle de bains, après une longue douche, je suis parti d’un rire sardonique, mon corps meurtri par tous ces accouplements, tout ce sperme que j’avais avalé, mais qui me restait aussi profondément dans mon antre. J’en étais fier, comblé. J’étais devenu une pute à Blacks et je voulais l’être toute ma vie.
Pendant les vacances de mes parents, je suis allé très souvent chez Daniel, dont les amis africains, toujours plus nombreux, prenaient possession de mon corps avec un plaisir chaque fois plus intense d’être perforé par ces membres énormes, mon orifice s’y étant bien adapté grâce à ses pommades, et les réclamaient.
C’est juste avant la rentrée en fac que tout s’est effondré… Daniel m’avait raccompagné chez moi, et n’avait pu s’empêcher de m’embrasser à pleine bouche, juste à côté de ma résidence. Hélas un voisin à qui j’avais refusé « mes faveurs », ben oui… il était blanc et moche, nous avait vu et s’est empressé de le rapporter à mes parents.
En rentrant de la première journée d’orientation de la Fac, ma mère s’est jetée sur moi comme une furie et m’a poussé violemment sur la canapé…
« Alors…. Non seulement tu es un PD, mais en plus tu couches avec des noirs… !!! »
Autant j’adorais mon père, autant je détestais copieusement ma mère, seuls le fric, l’orgueil et sa santé d’hypocondriaque l’intéressaient…
Alors, dans un courage et avec un air de défi dont je ne m’étais jamais senti capable envers elle, je l’ai foudroyé du regard…
« Oui je suis homo, oui je couche avec des blacks, qu’avec des noirs d’ailleurs, et plusieurs, je suis leur pute et j’adore ça… »
« Tu n’es qu’un sale pervers, une putain… !!! »
« Bien sur Maman, et je prends un pied phénoménal à chaque fois… Tu ne sais pas ce dont je parle évidement, pauvre femme frigide… »
« Prends tes affaires et dégage… »
« Avec plaisir Maman, je vais pouvoir enfin faire ce que je veux… Continuer mes études et être une vraie pute à Blacks »
Sac sur le dos, je suis allé chez Daniel, en lui expliquant la situation, ma mère m’ayant foutu dehors de chez moi.
« Tu es le bienvenu Marc, tu seras bien accueilli… Mais tu sais aussi, qu’en étant étudiant, tu ne pourras pas participer aux frais… »
« Je sais, je pourrais essayer de trouver un petit job, non ? »
« Tes études sont très prenantes, tu n’auras pas le temps…. Je pense à autre chose… Tu m’as saisi ? »
« Oui Daniel, je pense avoir compris, tu as raison, et je suis parfaitement d’accord »
C’est ainsi que ma vie d’étudiant et de femelle à blacks a commencé. Je n’avais exigé qu’une chose de Daniel…. Que des noirs, et autant qu’il voulait…Il n’en n’y avait pas énormément à Nice à l’époque, mais peu de vraies putes acceptaient de coucher avec eux, sauf des vieilles bien usées. Donc, quelle aubaine pour eux de baiser un jeune petit minet qui supportait leur membre avec plaisir, qu’elles qu’en soient leur taille. Daniel et ses amis se chargeaient de me préparer préalablement aux visites pour que personne ne soit déçu.
CalinChaud
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