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Femme(s), copine(s) et amant(s).
Cela fait plus de quatre mois que je suis devenue parisienne. Je dis bien parisienne car j'y vis plus habillée en femme qu'en homme. J'ai considérablement garni ma garde-robe si bien que je n'hésite plus à sortir ainsi, même en pleine journée. Dans mon studio s'empilent les fringues diverses, les chaussures que je ne compte plus, les perruques, les sacs à main et les bijoux comme les bites s'empilent dans mon cul. Patrick réussit à me consacrer de plus en plus de temps, il faut dire que je suis de plus en plus attirante !
Je continue à faire des passes mais uniquement auprès de ma petite clientèle que je me suis constituée. Il est rare que je fasse le trottoir à proprement parlé, sauf si le désir est trop fort. Je me déplace uniquement à leur domicile ou bien à l'hôtel. J'ai revu mes tarifs à la hausse et je dois dire que j'ai déjà plus de cinquante mille euros que je cache dans un coffre individuel d'une banque étrangère.
Mais ce que je préfère par-dessus tout, ce sont toutes les fois où je suis avec mon homme, chez moi ou à l'extérieur, au restaurant, au Secret Place, en boite de nuit. Je ne manque aucune occasion de me mettre en valeur à son bras. Seuls ou à plusieurs, nous baisons jusqu'à épuisement de notre plaisir. Cependant, je remarque que ma mouille n'est plus aussi importante qu'avant que je rapproche à une libido en berne avec ma copine depuis quelques temps. Un sentiment de culpabilité m'envahit peu à peu, jusque là je ne ressentais pas ma réelle infidélité, qui selon moi, ne pouvait s'appliquer que vis-à-vis d'une autre.
Ce soir, Patrick me prévient par texto qu'il sera finalement disponible et qu'il viendra me voir au studio, son épouse s'étant décommandée au dernier moment. Pour passer le temps, je passe différents ensembles que je remixe entre eux. J'opte pour un pantalon noir à fines rayures qui laisse apparaitre le dessin de ma raie, accentué par ma posture sur des hauts talons argent et un fin pull bordeaux à col roulé. Je finis à peine de me maquiller et de clipper des boucles d'oreille que mon homme frappe à la porte.
" Enfin mon a... Heu, bonjour. Vous désirez ? " me reprenne-je face à une femme d'âge mûr mais encore très séduisante avec sa crinière châtain et vêtue d'un jean et d'une veste claire.
" Je suis la femme de Patrick et vous devez être sa maitresse non ? " me claque-t-elle au visage.
" ... ".
" Ne restez pas plantée là et faites-moi entrer, nous avons des choses à nous dire ".
Hébétée, je lui offre de s'assoir sur le fauteuil et je lui fais face, assise sur le bord du lit. Elle a enfin trouvé l'adresse de la garçonnière de son époux et s'est décidée à me piéger. Elle m'explique qu'elle a découvert depuis longtemps les infidélités de son mari, qu'elle a fini par tolérer. Elle m'avertit que je ne dois sans doute pas être la seule, ce que je reconnais. Elle désire que je sois la seule afin de limiter les risques de scandale dans sa vie bourgeoise, elle me demande mon aide pour le restreindre à ses bras ou les miens. J'exige le mardi, mercredi et jeudi soir ainsi que certains week-ends.
" C'est d'accord, je suis ravie que tu comprennes ma situation. Tu as l'air d'être une fille sensée et compréhensive et je dois dire que mon mari a bon goût".
" Merci ".
"On va se tutoyer, moi c'est Agnès et toi ? ".
" Julia ".
" Je vais te faire une petite confidence entre femmes, j'entretiens moi aussi une relation extraconjugale. Avec une femme ".
" Donc ca ne te dérange pas du coup que je me tape ton mari ? ".
" En quelque sorte mais je ne renonce pas pour autant à sa bite. Mais j'avoue que là, une rousse comme toi ne me laisse pas indifférente et je pense avoir méritée une sorte de droit de cuissage !".
Relevant sa jupe, elle écarte ses jambes qui dévoilent son sexe rasé, nu. Elle me tire par la main puis abaisse ma tête et ma bouche contre les lèvres de son vagin.
" Oh vas-y bouffe-moi le minou ! " m'ordonne-t-elle à la manière de son mari.
Sa respiration s'accélère à mesure que j'humidifie sa fente, mais le plaisir intense libère bientôt une mouille toute aussi intense. Je me délecte de son goût bien plus sucré que celui de ma copine, un vrai nectar dont je me délecte. Son orgasme s'exprime par de petits cris saccadés de plus en plus bruyants. Ses cuisses m'enserrent la tête, limitant considérablement mes capacités d'action. Ses mains finissent de me repousser définitivement pour m'attirer vers sa bouche.
" Hmmm, tu m'as fait jouir comme une petite salope. Dommage que je ne puisse pas rester plus longtemps mais il me faut partir. A bientôt j'espère ma belle Julia " me dit-elle avant de partir.
A cet instant, tout devient clair et évident, je dois dire la vérité à ma copine. J'effectue le lendemain matin, mon dernier aller-retour à Marseille, je sais que je vais la trouver à l'appartement car elle ne travaille pas le jeudi matin. Elle y est effectivement, mais elle n'est pas seule. Un jeune de cité la prend sauvagement en levrette dans notre lit.
" Attends ton tour à coté cousin, j'ai pas encore fini avec cette pute ! " m'annonce-t-il.
" T'inquiètes ! Je suis juste venu la larguer. Oh Caro ! Je fais la même chose à Paris, autant qu'on s'arrête là ! Adieu ".
Dès que le train quitte la gare St Charles, je me sens libéré d'un poids, je respire mieux et une larme de joie coule sur ma joue. Je suis déçu de l'absence de réaction de celle qui est dorénavant mon ex, mais je n'ai pas eu a avoué ma nouvelle vie. Désormais, je serai Julia et uniquement Julia. A cette pensée, le désir de la bite de mon homme envahit mon trou, j'ai envie de lui. Je lui transmets par texto mon impatience de le voir ce soir, sa réponse positive me réjouit d'autant plus.
" Ciao bello, baise-moi tout de suite je n'en peux plus ! " le supplie-je en l'accueillant telle une pute en talons aiguilles et porte-jarretelles.
" Alors tu sais quoi faire petite salope ! ".
" Mmm, oui ".
A genoux, ma bouche va et vient sur son membre au rythme de mes pendentifs qui s'entrechoquent. Je l'avale jusqu'à la garde avec enthousiasme, j'ai faim de sa queue, je ne suis plus qu'à lui et je veux qu'il me possède.
" Viens sur moi ! " m'ordonne-t-il en se couchant sur le dos à même le sol.
" Hannnnnn... " souffle-je lorsque je m'empale sur son pieu.
" Allez ! Remue un peu ton cul de salope! ".
" Oh oui ! Oooh ouuui, oui, oui, oui,... ".
Accroupi sur mes talons aiguilles et les mains posées sur son torse, mon cul monte et descend autour de son membre. Puis il me bloque le bassin et c'est le sien qui me pilonne maintenant par en-dessous, comme une mitraillette. Mon orgasme est violent, je crie ma jouissance dans une longue complainte puis je m'affale sur le torse de mon amant qui poursuit son oeuvre, mon sexe pris entre nos deux corps. Je mouille. Je me repousse à la verticale quand je sens la semence m'inonder.
" Oh c'était si bon mon chéri ! " lui dis-je en m'allongeant à ses cotés, une jambe remontée sur les siennes et jouant avec son sexe.
" Je vois que tu as mouillé comme une pute ! C'est bien petite salope ! ".
" Oui. J'ai rompu avec ma copine, maintenant je suis cent pour cent à toi ! Ca nous fera encore plus de temps ensemble au cas où ta femme te libère " rajoute-je en connaissance de cause.
" Bien ! Il est possible que je t'envoie chez des amis pour exercer tes talents ".
" A tes ordres mon beau ! ".
La journée s'annonce radieuse quand Patrick me réveille en me pénétrant, alors qu'il est blottit contre mon dos. L'oreiller étouffe cette extase matinale qui prend source dans mes entrailles. Le rythme lent mais progressif s'interrompt pour laisser place à des pénétrations franches et entières, la douleur brutale se transforme en une suite d'explosion de plaisir, je jouis encore et encore.
" Fais-moi boire ton jus mon chéri avant de venir ! " exige-je.
Je m'allonge sur le dos et il vient se positionner à genoux au-dessus de mon torse. Sa bite baise ma bouche avec force, son gland tape au fond de celle-ci puis y déverse son jus en quantité. Repu, je reste ainsi dans les draps tandis que mon homme passe sous la douche. Je me rendors après son départ.
La sonnerie de mon téléphone me réveille à nouveau un peu avant onze heures. Il s'agit de Lisa, rencontrée au Secret Place, qui me propose de manger avec elle vers treize heures. Elle m'indique l'adresse d'un restaurant dans le marais. J'ai envie de l'impressionner encore et je m'attache à me préparer soigneusement, tant dans mon maquillage que dans le choix de mes vêtements.
" Oh ! Tu es splendide ma chérie ainsi en tailleur, tu as vraiment des jambes ravissantes ! " déclare-t-elle en m'embrassant devant la porte du restaurant.
" Merci, toi aussi. Je suis contente de passer un peu de temps avec toi ".
Nous parlons de tout et de rien autour d'une salade ; de moi, de Patrick, de ma nouvelle vie à Paris. Elle n'arrête pas de me complimenter pour ma plastique féminine, regrettant néanmoins l'absence d'une réelle poitrine. Elle me félicite aussi de l'avoir bernée lors de notre première rencontre, étant pourtant connaisseuse en la matière. Elle me questionne quand aux soins dermatologiques que je dois m'appliquer, étant naturellement imberbe, ceux-ci restent limités au maquillage.
" J'ai une question intime à te poser " me dit-elle.
" Vas-y, je t'écoute " réponds-je simplement.
" Je t'ai vu jouir l'autre soir au club, j'ai l'impression que tu simules mais pourtant tu mouilles comme une femme quand on t'encule. Alors ? ".
" J'en suis aussi surprise que toi. Je ne sais pas comment ca se fait mais c'est comme ca. Le plaisir monte en moi comme une vague de chaleur et je ne me contrôle plus après, je subis ".
" Alors tu as des orgasmes, comme nous les femmes. Tu es décidément très spéciale ! " conclue-t-elle dans un éclat de rire.
J'admire cette femme, elle me fascine par sa beauté, sa prestance et sa simplicité. Ses yeux verts me déroutent, ils sont douceur au milieu de ce visage slave aux traits marqués sous ces cheveux bruns au carré. Je ne peux pas dire si j'éprouve des sentiments lesbiens ou si mon hétérosexualité reprend le dessus, mais je désire cette femme. Je veux jouir avec elle. Semblant lire dans mes pensées, elle me propose d'aller prendre le café à son domicile, à deux pas de là.
A peine sommes nous arrivées chez elle qu'elle me saisit, me caresse et me déshabille dans un même mouvement. Elle en fait presque de même en n'enlevant que sa veste et son chemisier. Elle sort un godemiché-ceinture d'un tiroir qu'elle saisit par le harnais afin que je le suce, son autre main maintient l'arrière de ma tête de manière à l'amener à la rencontre de ce pénis artificiel. Constatant mon empressement naturel sur sa verge de plastique aux formes irrégulières, cette dernière main gagne bientôt mes fesses et je sens un doigt s'immiscer dans mon anus.
" Enfile ton gode et prends-moi, je n'en peux plus ! " implore-je en le recrachant.
" Relève ta jupe, je vais te baiser ma salope ! ".
" Ooooh !... Ooooh !... Ooooh !...ah oui...ooh...oui ! " exprime-je alors que son sexe s'enfonce en moi.
" h, mon petit jouet te plait déjà ? Attends un peu que je l'allume ! ".
Soudain ce sexe boursoufflé se met à vibrer et m'emporte dans un puissant orgasme. Allongée sur le dos, je vois sa poitrine rebondir sous ses à-coups et cette vision m'emmène encore plus loin dans l'extase. Je jouis, je crie, je mouille ce qui renforce son entrain à me pénétrer. Je me caresse la poitrine, j'aimerai en avoir une vraie. Epuisée, Lisa m'intime de s'occuper d'elle à mon tour et se positionne jambes écartées dans un fauteuil. Elle conserve son faux pénis sur elle, son harnais me permet d'accéder à son vagin que je lèche avec appétit. Des tremblements agitent ses jambes quand elle est parcourue par un orgasme, ses yeux à demi clos et sa bouche entre-ouverte m'ordonnent de poursuivre les mouvements de ma langue.
" Tu m'as bien fait jouir petite chienne ! ".
" Mmm, toi aussi tu m'as bien fait mouiller " réplique-je.
"J'ai encore une question à te poser. Tu es quasiment parfaite ma chérie, mais tu ne rêves pas d'avoir une poitrine féminine ? " me demande-t-elle.
" Si. D'ailleurs je jalouse la tienne ".
" Je peux te conseiller un ami chirurgien plastique si tu veux, pour dix mille euros il te créée des seins qu'on croirait naturels ".
Je rentre chez moi à la fois perplexe et encouragée dans cette transformation. J'observe les poitrines que je croise sur le chemin puis une fois arrivée, c'est ma silhouette que je regarde dans le miroir, sans artifice. En y réfléchissant, il n'y a rien qui me retient de ne pas le faire. En femme je vis, en femme je m'habille, en femme je jouis, il me faut en avoir les attributs les plus visibles. Il faut que j'en parle à mon homme, dès ce soir.
" Non ! " me répond-il.
" ... ".
" Je veux pouvoir te baiser en homme et en femme ! ".
" Mais je pourrai tellement mieux ressembler à une salope ainsi " implore-je pour le convaincre.
" Tu as suffisamment de fringues pour ca ! Le sujet est clos ! Prépares-toi maintenant, on va être en retard sinon".
Je boude sur le trajet qui nous mène au Secret Place, j'ai envie d'être offerte à d'autres ce soir, j'ai envie qu'il me voit prendre mon pied sans lui, d'ailleurs je me suis habillée en conséquence avec une petite jupe d'écolière et un pull en mohair qui laisse apparaitre mon nombril. Au fond de moi, je sais que je me plierai à sa volonté malgré tout. David nous accueille chaleureusement et nous conduit à ses parents, Robert et Colette. Après nous avoir salués, ceux-ci accaparent Patrick un instant et je suis contente de voir Lisa assise au bar. Je la rejoins après en avoir fait signe à mon homme.
" Coucou ma belle ! Quelque chose ne va pas ? " s'enquiert-elle aussitôt après s'être embrassées.
" J'ai parlé à Patrick à propos d'implants mais il refuse. Il veut pouvoir me baiser en mec ! ".
" Il changera peut-être d'idée dans quelques temps " tente-t-elle pour me rassurer, posant sa main sur ma joue.
" Je sais pas. Peut-être. J'en ai tellement envie ! ".
" T'as réfléchi à te trouver quelqu'un d'autre ? Tu n'aurais aucun mal à trouver, au cas où, j'en connais à qui tu plairais ".
" Hein ? Non...non...enfin je ne crois pas ".
Elle calme mon anxiété en me prenant dans ses bras, sa chaleur m'apaise, je sens ses seins s'écraser sur moi.
" Tiens. On dirait que Patrick te demande de passer à coté " remarque Lisa.
Immédiatement, je vais le rejoindre, je lui en veux toujours mais je suis accro. Il m'annonce que je dois m'occuper d'une personne importante dans la back-room, il me faudra obéir à tout ce qui me sera demandé. Puis il m'embrasse et me demande de lui faire honneur.
Seul le lit central est éclairé, le reste de la pièce demeure dans la pénombre où je devine la présence de quelques personnes. Sous la lumière, un homme à la peau ébène et aux muscles dessinés m'observe de ses grands yeux qui se détachent sur son corps. Il caresse son énorme verge qui fait paraitre sa main petite. Je me dandine autour du lit, scrutant ce dieu africain sous tous ses angles.
" Allez, viens sucer mon black mamba petite salope, t'en as envie ! " m'ordonne-t-il.
" Oh oui mon beau, j'en ai envie ! ".
Il s'allonge complètement sur le dos et, à genoux sur le lit, je me penche au-dessus du phénoménal pénis. Il est encore loin de bander complètement et j'arrive à le prendre en bouche malgré sa taille déjà conséquente. J'active ma langue sur son gland, sur sa hampe, j'essaye d'aller le plus loin possible mais j'ai encore la place d'apposer mes deux mains pour le branler. Sans que je m'interrompe, il me tourne l'arrière-train vers lui et ses doigts couverts de sa salive franchissent ma rondelle. Le plaisir accroit mon enthousiasme sur son pieu qui se dresse de plus en plus.
" Maintenant vient te planter dessus, espèce de chienne affamée ! ".
" Hn... haan.. oh putaiiiiiiin ! " m'exclame-je alors que je descends sur ce membre.
" Là ! Là ! Là ! Ca y est je suis bien à fond ! Je vais te faire couiner ! ".
" Oooooh...ooooh...ooooh! ".
L'énorme piston m'écarte les fesses et me ramone les entrailles, sa vitesse augmente encore et encore, je jouis, ma mouille s'écoule sur le bassin de mon amant. Il écarte mon string de mon sexe raidi et commence à le branler dans son énorme main rugueuse. Je me penche en arrière pour m'offrir encore plus. Puis il me ramène contre lui pour imprimer lui-même le rythme de notre ébat. Je gémis de plaisir, mes fesses claquent contre ses cuisses puis ses mains prennent le relais et m'infligent une terrible fessée. Douleur et plaisir s'entremêlent, se combinent et se multiplient. Je jouis.
" C'est ca petite pute ! Cries tant que tu veux ! T'es qu'une salope de trans qui aime la bite ! "
" Oui, je suis qu'une salope et je veux boire ta crème ! ".
" Alors enlèves-toi et mets-toi à genoux " me dit-il en se mettant debout sur le lit.
Mes jambes se mettent instantanément à trembler alors qu'il se retire et un dernier orgasme, mais pas le moins puissant, me transperce de l'anus jusqu'à la bouche. Je lui tire moi-même le lait et celui-ci me remplit bientôt la bouche en plusieurs saccades bruyantes. Je gémis encore sous l'impulsion de brefs spasmes de plaisir.
" Occupes-toi de moi chérie maintenant ".
Un homme en costume gris s'avance vers le lit et fini de sortir son sexe par sa braguette, sa voix me semble familière et je le reconnais définitivement lorsque son visage pénètre les cônes de lumière de l'éclairage. C'est un ancien ministre, je ne me rappelle plus de son nom mais c'est lui, c'est sûr. Sans attendre, je me glisse jusqu'au bord du lit où il se tient debout. Je m'applique à le sucer avec délectation, j'ai envie que ca soit la meilleure fellation qu'on lui ait jamais faite. En peu de temps, son jus s'écrase sur mon palais puis coule dans ma gorge.
" Très bien Julia. On se reverra " me décrète-t-il lorsqu'il tourne les talons.
Je demeure encore interloquée alors que mon homme me ramène au studio, je ne suis même pas déçue qu'il ne passe pas la nuit avec moi, je ne pense qu'au ministre qui connait mon nom, lui. Il me faut plus d'une heure et demie pour enfin trouver le sommeil en raison des questions qui me traversent l'esprit.
Bearhand
bearhand@hotmail.fr
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