Et voilà, encore un plan cul qui tombe à l'eau à cause d'un indécis ou d'un fantasmeur. Fait chier ! Ca fait plus d'une semaine qu'on ne m'a pas baisé et je n'en peux plus, je me faisais une joie de recevoir ce jeune de 23 ans super chaud pour défoncer un passif viril de 35 ans chez moi, et peut-être dans mon lit pour la nuit. Ca fait plus d'une heure qu'il devrait être là, comme un con je ne lui ai pas demandé son téléphone et là mes e-mails restent sans réponse. J'avais prévu une bouteille, à sa demande en plus. Non, franchement, ça fait chier.
Je décide de soulager ma frustration sur mon gode et dans quelques verres, mais cela ne me satisfait pas, je veux sentir la fougue et la puissance d'un homme. Pas d'autre annonce intéressante et de toute façon, il y a peu de chance de trouver un plan de secours à la dernière minute car il faut dire que je ne suis installé dans la région que depuis quinze jours environ, les deux plans que j'ai pu trouver n'étaient pas très concluants. En plus le gode n'a fait que raviver mon désir, la rondelle me démange et appelle son dû. Non, il faut réellement que je trouve le moyen de me faire baiser, mais dans une petite ville de province on ne trouve pas systématiquement un bar gay ou autre lieu similaire afin de faire des rencontres. Du moins, je n'en connais pas encore.
Il me vient une idée, pourquoi ne pas aller précisément à la recherche de ces lieux. Cette perspective me chauffe encore plus que mon plan foireux ne l'avait fait, j'ai envie de m'offrir à un ou plusieurs mâles. Je me sens salope et je m'amuse à prendre la pose devant le miroir de plain-pied, je porte un marcel blanc et un vieux jean qui me galbe les fesses à la perfection, mais alors que je me penche en avant, j'entends la toile craquer. Signe ou coïncidence, le trou se situe tout juste sur mon trou à moi. Je décide aussitôt de porter mon jean en mode commando, sans sous-vêtement. Le contact sur mes fesses nues me fait frémir alors que je glisse mon sexe le long de ma cuisse. Je passe deux doigts par le trou et me titille un peu la rondelle, c'est parfait. En route.
Je descends ma rue et m'oriente vers le centre ville pour commencer. Je croise mon reflet dans les vitrines fermées des magasins, j'admire mon galbe dans ma démarche que je m'amuse à exagérer d'ailleurs. Je passe deux ou trois fois dans la rue où se trouvent trois bars, dont un qui ferme tard, essayant de croiser un regard amical de la part d'un fumeur ou de quelqu'un en terrasse. Mais rien. Je poursuis mon chemin et me retrouve dans des coins que je ne connais pas, normal vu que je ne connais pas encore ma nouvelle ville, et j'en viens à croiser un groupe de jeunes qui semble boire des bières et fumer des joints dans un petit square.
" Salut les gars, y'a moyen de choper un truc dans le coin ? " lance-je en guise d'entrée dans leur conversation.
" Heu, nous, on a pas beaucoup mais tu peux trouver sur la prochaine place, là où il y a les putes. Tu verras des gars appuyés contre les murs autour de la place " me répond l'un d'eux en m'indiquant la direction de la main.
Malgré quelques attitudes suggestives, je n'ai pas pu capter leur attention mais je me dis que les putes, comme ils disent, pourront sans doute me renseigner. Effectivement, l'une d'entre elles m'oriente vers les berges de la rivière qui traverse la ville, plus précisément vers un parc. Moins de dix minutes plus tard, j'entre dans celui-ci et me mets aussitôt à l'aise et un peu aguicheur en ouvrant le premier bouton de jean et en relevant mon marcel au-dessus du nombril. Très vite, un homme s'approche de moi et se met à me caresser les fesses.
" T'es mignon toi, t'as envie de quoi ? " me demande-t-il d'une voix mûre.
" De ta bite " lui réponds-je simplement.
" Alors, viens bouffer ma queue ! ".
Il m'entraine aussitôt entre un simple banc et un bosquet, sur un parterre de gazon. J'y tombe à genoux devant lui alors qu'il ouvre sa braguette pour laisser une queue déjà presque dure, j'en devine la taille respectable à la lueur des quelques éclairages publiques qui parsèment le parc. A peine ai-je ouvert la bouche que celle-ci s'y engouffre entièrement dans un coup de hanches. Je manque de déglutir et me saisit de la base de son sexe afin de reprendre les choses en main. Je m'applique à sucer son gland et surtout le bout, mais lui me pousse la tête d'une main afin que j'aille plus loin. Je m'exécute en accélérant la cadence en plus, si bien qu'il finit par me baiser la bouche à proprement parler.
" Rrrraah ! Bois tout mon jus salope ! " m'avertit-il en maintenant ma tête à deux mains.
Je suis rassuré de voir que tout son jus ne représente que deux petits jets que je n'ai eu aucun mal à engloutir, mais je suis toujours frustré.
" h c'était bon. Tu suces comme une vraie salope toi ! " me complimente-t-il en se rhabillant.
" J'aurais voulu que tu me baises ! " lui dis-je en posant une joue sur l'herbe, toujours à genoux, le cul ostensiblement offert.
" T'inquiètes pas petite chienne, tu as quelques spectateurs ! " me fait-il en hochant la tête en face de lui.
Je n'ai pas le temps de me tourner qu'une main se pose sur mes fesses et finit par trouver la déchirure de mon jean. Sans ménagement, deux doigts s'y introduisent et pénètrent ma rondelle déjà sensible.
" Putain cette pute ne porte pas de culotte et y'a un trou dans son froc pour la niquer direct'! " commente ce nouvel inconnu.
" Oh oui, vas-y ! Baise-moi comme ça si tu veux, mais baise-moi ! " implore-je.
" Ouais ! Toi, t'es une chienne ! Mais il faut que j'agrandisse le trou " précise-t-il en l'écartant de ses mains.
La toile craque un peu plus mais c'est bientôt son gland qui tape contre mon trou et qui en trouve l'entrée. Je gémis au fur et à mesure que son pieu, parce qu'il s'agit d'un pieu, me pénètre jusqu'à la garde. Il me travaille les entrailles d'abord doucement, en allant bien au fond depuis ma rondelle puis il accélère subitement sur quatre ou cinq mouvements. Je me redresse sur les mains secoué par la douleur, mais je crie de plaisir. Quelqu'un me baise et c'est ce que je veux, en plus il a l'air d'être un dominant ce qui n'est pas pour me déplaire.
" Oooh oui, défonce-moi bien le cul ! Oui ! Oui ! Oui ! Oooooh... ".
" ah t'as un petit cul de salope bien serré ! Vas-y, continue de jouir comme une femelle ! ".
" ah moi, je veux juter sur sa gueule ! " intervient un autre homme, sans doute spectateur, alors qu'il se présente devant moi.
Son sperme s'écrase sur ma joue, sur mon nez qui s'écoule jusqu'à ma bouche. Avant même que je ne puisse prendre ce sexe en bouche, voilà que son propriétaire le range puis disparait dans la pénombre. L'autre me ramone toujours, je m'attends à le sentir se contracter à tout instant en raison de son ardeur, mais il continue de me pilonner tel un hardeur. Je suis aux anges, ma rondelle surtout, je jouis comme une folle.
" ah t'es mon type de mec toi ! Costaud et viril mais chienne du cul, comme une vraie salope, han ! " me confie-t-il dans un râle.
" Et moi je kiffe les mecs bien membrés qui me baisent comme toi ! ".
" h je vais jouir salope ! Je vais te remplir le cul ! ".
" Ooooh...oooh... ".
Pendant encore cinq bonnes minutes, il continue de me fendre à un rythme, certes moins violent. Mon fion a la consistance d'une chatte humide et baveuse, des bruits de bave ponctuent ses lents vas et vient. Le con est en train de me faire jouir du cul, la démangeaison se transforme en chaleur qui gagne petit à petit tout mon corps. Je tremble de plaisir. Il s'allonge carrément sur moi, me plaquant entièrement dans l'herbe, et m'écrasant de son poids, il ondule contre mes fesses. J'ai un orgasme, incroyable. M'ayant averti que je le trouverais souvent ici, il se retire de moi et disparait lui aussi dans la nuit.
Rentrant chez moi, certainement par le chemin le moins direct, je sens la semence de cet homme qui s'écoule de mon cul. Il m'en reste encore sur le visage, séché. J'ai reçu ma dose, la chienne nocturne que je suis est rassasiée, pour un temps. Je souris en sachant où retrouver du plaisir désormais.
Bearhand
bearhand@hotmail.fr
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