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Voyage au Brésil

Amateur de sports et cadre dans une société bancaire internationale, je viens d'apprendre que je viens de remporter un voyage ainsi que trois places pour la coupe du monde au Brésil. Je me nomme Camille Grodard et j'ai 43 ans, ancien joueur de rugby, je conserve un physique musclé sous mes cheveux blonds. Avec mon mètre quatre vingt-dix, collègues et amis me qualifient de beau gosse, du genre qui ne veut pas se caser pour multiplier les conquêtes. Il est vrai que j'ai tendance à ne pas vouloir m'attacher. Après tout, je suis bien comme ça et puis oui, j'en profite. Mon patronyme est source de railleries, il est vrai que la nature m'a bien doté ce qu'ont pu remarquer mes amis lors d'un barbecue-piscine. Je crois que certains d'entre eux m'envient, je vois bien qu'eux et leurs épouses ont parfois tendance à figer leur regard sur mon entre-jambe. S'ils savaient.
S'ils savaient qu'en réalité, je donne le change avec toutes ces fameuses conquêtes et que ce que je préfère c'est d'avoir le sexe d'un homme en moi. Je trouve plus facile, et quelque part plus excitant peut être, de maintenir cette image d'hétéro à succès bravant les conventions. Mais la bestialité et le plaisir d'être pénétrer me font plus que vibrer. Je reste néanmoins attiré par les femmes que je rencontre. La douceur de leur peau, de leurs mains, leurs seins, leur bouche, leur corps sont aussi source de plaisir. Bref, on peut dire que je suis bisexuel à tendance gay passif. Quand même, quelque unes, par un détail, un je-ne-sais-quoi, arrivent à me faire oublier les hommes, pendant quelques jours parfois.
Mais revenons en a aujourd'hui, mon numéro d'identification au sein de l'entreprise vient d'être tiré au sort, dont le prix est ce voyage de dix jours. Je ne suis pas le seul à avoir gagné, pour être exact nous sommes douze pour la France et un peu plus de cinquante en comptant les autres pays. Le départ est prévu dans quatre semaines. Evidemment, tout se sait très vite et bientôt mon bureau se retrouve rempli de collègues heureux pour moi et sûrement un peu jaloux aussi. Je ne peux pas leur en vouloir, je pense que j'agirai de même. Néanmoins, je deviens le sélectionné du service, entre les demandes de souvenirs farfelus et les sous-entendus concernant certaines filles brésiliennes, je promets au moins de leur écrire. Je sais très bien à quoi fait allusion mon collègue, aux transsexuelles brésiliennes dont le pays abrite nombre de cliniques spécialisées dans ce genre d'opération. Il parait que certaines sont à s'y méprendre, mais après tout, ce serait là l'occasion de réunir mes orientations.

1) Le vol

Le jour du départ est enfin arrivé et me voici dans le grand hall de l'aéroport Charles de Gaulle. Sur l'immense panneau afficheur des vols au départ, je repère les numéros des guichets d'enregistrement de mon vol. Devant ceux-ci, je rencontre les autres gagnants français, cinq femmes et six autres hommes. Comme je suis le dernier arrivé, ils ont déjà fait connaissance et les présentations ressemblent à un flot d'informations qu'il me faut digérer. Je connais deux d'entre eux, Serge, la cinquantaine, que je n'apprécie pas spécialement d'ailleurs, dans le genre bourrin et lourd, rencontré lors d'un stage de management effectué deux ans plus tôt. Il y a aussi Bertrand, un jeune brun d'une trentaine d'années travaillant dans une annexe de mon site. Une rousse ravageuse aux seins siliconés s'empresse de m'embrasser quand vient son tour. Elle s'appelle Virginie, a vingt six ans et je comprends très vite à son accent chantant qu'elle vient du site de Marseille. Les autres ne me font pas grande impression, on dirait qu'ils ne sont pas heureux d'être là. L'un d'entre eux annonce clairement qu'il n'aime pas le foot et qu'il ne part uniquement parce que le voyage et l'hébergement sont offerts, il désire même revendre son pass d'accès aux stades. Ma foi, c'est lui que ça regarde.
Une fois nos bagages enregistrés, notre petit groupe se rend vers la porte d'enregistrement où nous trouvons un écran annonçant un retard d'une heure environ. La bande des râleurs reprennent de plus belle leurs critiques et reproches, Serge, Virginie, Bertrand et moi-même sommes les seuls à vouloir prendre patience sur les sièges à disposition. Rapidement, Serge commence à me taper sur les nerfs et je prétexte une envie pressante pour m'excuser. Heureusement, il n'a pas envie lui aussi. Alors que je sors des toilettes, Virginie me saisit par le poignet et m'entraine derrière elle, dans une cabine WC. Je me laisse un peu faire.
" Toi, tu me plait drôlement. J'avais peur que le petit jeune allait être la seule nourriture comestible pour ce voyage ! "
" Je ne sais pas si c'est bien de le commencer directement comme ça just... ".
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'elle s'est jetée à mes pieds et s'affaire à ouvrir mon pantalon.
" Oh putain l'engin ! " et aussitôt embouche mon gland et commence à faire tournoyer sa langue autour. Pas de doute, elle sait y faire et je me demande si elle en a usé pour accélérer sa carrière ainsi que de son physique. Je sais c'est un cliché mais elle a la gueule et le corps d'un cliché après tout. Je l'imagine bien dans un tailleur au boulot, elle doit en exciter plus d'un.
" J'ai envie de toi là maintenant " me lance-t-elle dans une mimique digne d'un film porno. Franchement, j'ai l'impression de ne pas me tromper tellement à son sujet. Mais après tout, il m'arrive bien aussi d'être affamé devant le sexe d'un homme. Par contre je n'ai pas envie d'elle maintenant et je ne retiens pas mon éjaculation, à sa grande déception. Mon sperme macule le sol blanc.
" Oh ! Et moi qui voulais tant te sentir en moi... " me fait-elle d'une moue lascive et déçue.
" On pourra essayer de remettre ça plus tard peut être ". Mais pas tout de suite en tout cas, pensais-je.

Enfin, nous embarquons dans l'énorme A380. Avec ses deux ponts, c'est un véritable palace volant au design raffiné. De superbes hôtesses arborant une blanche et impeccable dentition nous souhaitent la bienvenue. Leur uniforme les rends irrésistiblement attirantes, leur petite robe met en valeur leurs fessiers petits et rebondis. J'imagine que leur affectation sur ce type de vol sous-entend d'avoir un physique plus qu'agréable. Je rejoins mon siège et remercie le ciel que nous ne soyons, curieusement, pas assis les uns à coté des autres. Au moins, je suis sûr de ne pas être assis pendant douze heures à coté d'un des râleurs, ou pire de Serge. L'avion n'est pas tout à fait plein et la place voisine de la mienne n'a pas l'air d'être occupée. Un vieux couple brésilien complète ma rangée près du hublot, nous nous sourions lorsque je m'assoie. L'avion bientôt s'ébranle et rejoint la piste, les hôtesses rappellent aux derniers étourdis d'attacher leur ceinture, je n'aurai pas de voisin à priori. Quelques minutes plus tard, un rugissement puissant propulse l'appareil vers les cieux rosés d'une belle fin de journée d'été et le Brésil.
Le grand jeu d'un tel vol de presque douze heures est d'occuper le temps. Pour ce faire, j'ai pris ma tablette contenant jeux et films ainsi qu'un roman, un polar. Il nous est proposé deux films disponibles en plusieurs langues, un avant et un après le repas, qui n'ont pas l'air d'être très intéressants à la vue de leur bande-annonce. Evidemment, je sais que Virginie serait partante pour combler quelques heures en ma compagnie, si je lui demandai.
Je sors la tête du polar quand une hôtesse brune, au carré plongeant, me dépose mon plateau repas sur ma tablette de siège. Elle présente le menu qui une fois traduit, consiste en une entrée plutôt simple suivie d'une viande rouge servie avec des pommes de terre rissolées, une pâtisserie fait office de dessert. Je remarque le regard intense qu'elle me porte et je connais bien ce genre de regard, ce qu'il signifie. Soudain un des pilotes interrompt son manège car il désire remonter l'allée vers le cockpit de l'appareil. Pour ce faire, il me demande de me décaler momentanément vers le siège vide afin qu'il prenne refuge devant mon siège. Son costume sombre portant ailes et galon se retrouve à quelques centimètres de mon visage, et étant assis, son anatomie aussi dont je vois poindre la forme sous le revers de sa veste. Lorsqu'il se recule pour se dégager, je comprends dans son regard qu'il a vu le mien posé sur son entre-jambe. Sous ses cheveux ras et gris, ses yeux bleus me toisent impassibles, mon cerveau élabore déjà des scenarii nous mettant en scène. L'hôtesse me tire des mes pensées, alors qu'il s'éloigne dans l'allée.
" Je vous souhaite un bon appétit monsieur, n'hésitez pas si vous avez besoin de quoi que ce soit. Même s'il est tard " me souffle-t-elle à l'oreille sur ces derniers mots.
Je lui réponds par un sourire entendu, au cas où mes phantasmes avec ce pilote ne se réalisaient pas. Après tout, l'absence de tout signe équivoque de sa part m'invite à refreiner mes envies et puis il est vrai que cette hôtesse me plaît bien. Après tout, il reste bien encore neuf ou dix heures de vol. Le repas se révèle être délicieux et plus raffiné qu'il n'y parait, et malgré sa faible quantité, le vin commence à me faire légèrement tourner la tête. L'altitude doit y jouer aussi. Une fois débarrassé du plateau, je lance un film sur mon I-Pad mettant en scène Al Pacino et Robert DeNiro. L'action me porte sans que je n'aie trop à y réfléchir.
L'appareil file depuis quelques heures déjà dans la nuit noire, la quasi-totalité des passagers est endormie tantôt la tête rejetée en arrière ou bien pendante sur le torse ou alors, recroquevillés sur eux-mêmes ou l'épaule de leur voisin. Je commence à me caresser discrètement sous la couverture que j'ai étalée sur mes jambes, dès que je suis certain que le vieux couple est bien endormi. C'est à ce moment-là que je vois le pilote revenir dans l'allée, passer à ma hauteur sans me jeter un coup d'oeil et disparaitre vers la queue de l'appareil. Je reste encore une fois sur ma faim. Quelques minutes après, un autre pilote revient de l'arrière et s'en va vers le cockpit. Ca doit être la relève pour la nuit. Alors que je regarde par-dessus les sièges pour m'assurer de l'absence de toute autre personne éveillée afin de reprendre mon petit manège, je sens une main saisir mon sexe sous la couverture. C'est mon pilote !
" Viens avec moi " me dit-il simplement.
Sans mot dire, je lui emboite le pas vers l'arrière de l'appareil et je le vois ouvrir une porte à l'aide d'une clé sur laquelle est marqué crew only. Deux lits simples composent cette petite cabine privée. Mais très vite et alors que je m'y apprêtais, ses mains me poussent vers le bas me faisant ainsi faire face à la bosse formée sous son pantalon. Saisissant maintenant mes cheveux, il m'oblige tout d'abord à lécher et à embrasser cette protubérance au travers de son pantalon. Je sens bientôt son sexe grossir et se redresser dans son entrave vestimentaire, d'un geste il ouvre sa braguette et le libère. Il est plus petit que le mien mais il est bien plus large et j'ai tout d'abord du mal à le prendre dans ma bouche. Ses couilles sont énormes et pendent fièrement, je les soupèse d'une main avant de venir les gober une à une, de la main je le masturbe lentement en décalottant et reculottant son gland.
" Attends, viens par là que je te prépare bien le cul " me dit-il crument alors qu'il me relève et me penche au-dessus d'une des couchettes où je prends appui avec mes mains.
" Oh oui, vas-y ! ". Je n'attends que ça.
" Humm, mais tu es bien monté toi aussi " me fait-il après avoir fait descendre pantalon et boxer sur mes chevilles.
Je n'ai pas la possibilité de lui répondre car déjà je commence à pousser de petits râles de plaisir, ma respiration devient plus forte et je ne peux plus les retenir lorsque sa langue commence à fouiller mon intimité. A chaque de ses coups, je sens mon trou s'entrouvrir comme s'il en voulait plus. L'excitation est à son comble lorsque sa main me masturbe tel je lui avais fait un peu avant, puis que sa bouche vient embrasser et lécher mon gland en tirant vers lui. Le majeur de son autre main me pénètre, bientôt rejoint par l'index. Le plaisir me gagne et j'en veux plus. Lui aussi car il a déjà enfilé un préservatif lorsque je le sens se relever dans mon dos, ses deux grosses mains écartent mes fesses en les empoignant fermement. Sa bite me comble les entrailles et ses mouvements très vite débridés m'amènent vers un orgasme anal.
" Oh oui encore. Bourres moi bien le cul, je suis qu'une petite chienne en chaleur. Vas-y jusqu'au bout ! Oh oui je jouis encore. Oh que c'est bon, oh oui, encore... " m'entend-il lui dire, j'en suis presque surpris d'être aussi soumis au plaisir.
" Oh ! Vite ta bouche, je vais venir " m'ordonne-t-il tout en me prenant la tête vers son sexe dont il a ôté la protection.
Sur les genoux, je me jette sur sa queue que j'enfourne aussitôt dans ma bouche. Plusieurs saillies inondent ma gorge et je m'applique à sucer son gland pour en tirer la dernière goutte. Je suis rassasié de sa semence et j'aimerai qu'il s'occupe de faire jaillir la mienne, mais il me pousse déjà vers la porte car il lui faut dormir quelques heures. Je finis d'attacher ma ceinture quand je me retrouve dans l'espace situé proches des toilettes. C'est alors que l'hôtesse des plateaux repas apparait dans le passage menant à l'allée.
" Je sais que tu sors de la cabine du commandant et pourquoi tu y étais. Mais maintenant, tu es à moi " me lance-t-elle en jetant ses lèvres contre les miennes.
Je me retrouve plaqué contre une cloison tandis que sa main fouille déjà mon boxer. Sans étonnement ou compliment, elle avale rapidement ma queue presqu'entièrement. Ses mèches brunes se balancent au rythme de cette divine fellation, ses mains caressent ses seins au travers de sa veste qu'elle déboutonne peu à peu. S'étant relevée, elle me tend un préservatif que j'applique aussitôt tandis qu'elle relève sa jupe. Elle ne porte rien d'autre. Alors qu'elle s'accroche à mon cou, c'est moi qui la plaque contre la cloison passant mes bras sous ses cuisses. Vu son poids plume, je n'ai aucun problème à la maintenir ainsi et je présente son sexe sur le mien.
" Humm, c'est bon ! " dit-elle en coulissant sur ma verge jusqu'à sa base.
" Toi je vais te pilonner " lui dis-je d'un ton dominateur, désireux peut être d'égaler son ardeur.
" Alors vas-y fort, j'aime ça et j'ai déjà eu plus gros que la tienne " me rassure-t-elle.
Je n'hésite pas et j'entreprends un va-et-vient frénétique ponctué du clapotis de son plaisir, elle mord sa lèvre inférieure afin de ne pas exprimer celui-ci. Ses gémissements étouffés et sa profonde respiration expriment sa jouissance intérieure. Les hochements de sa poitrine battent la mesure mais elle les fait cesser lorsque, lâchant sa prise autour de mon cou, elle les saisit au travers de son chemisier blanc. Je sens l'éjaculation monter alors que, les serrant l'un contre l'autre, elle me les présente sous mon nez.
" Je vais venir, tu veux où ? " je lui demande entre deux mouvements.
" Dans ma bouche, donne-moi tout ! " tout en quittant son perchoir.
Entre le commandant et elle, j'ai l'impression d'être prêt à lâcher des litres de sperme. En quelques giclées, mon extase s'évanouie alors qu'elle me purge tel que j'ai purgé le commandant plus tôt. Alors qu'elle m'embrasse pour clore notre étreinte, elle me déverse mon propre jus dans la bouche, m'obligeant à l'avaler. Puis elle réajuste sa petite robe sur ses fesses et remonte l'allée en relevant sa veste exhibant ainsi son postérieur balloté par un déhanchement forcé. Je rejoins alors ma place, satisfait, et ne tarde pas à m'endormir peu après.

Reposé, je me réveille comblé par la nuit passée et c'est tel un vainqueur recevant son trophée que je considère le plateau du petit-déjeuner, servi cette fois par une hôtesse différente de la veille. Je ne tarde pas à comprendre pourquoi, à coup sûr, cette dernière aura raconté nos ébats devant les toilettes de queue car elle me glisse à l'oreille :
" Il reste encore plus d'une heure de vol, je serai ravie de vous la rendre agréable ".
Je suis prêt à me laisser tenter lorsque je vois Virginie arriver d'un air réprobateur. Je décline poliment la proposition de la belle grande blonde en uniforme, estimant en partie que les occupants de l'appareil sont maintenant réveillés et se succèdent aux toilettes. De toute façon, Virginie, agissant telle ma copine, se faufile devant mes genoux en m'offrant le spectacle de son postérieur, pour venir s'assoir sur le siège libre.
" Bein alors, t'es passé où hier soir ? Je t'ai cherché dans tout l'avion et je suis sûre d'être venue ici. Alors ? " m'interroge-t-elle en fronçant ses fins sourcils.
" J'étais pas bien une partie de la nuit et j'ai passé un long moment au-dessus de la cuvette. Sans doute la bouffe, j'ai trouvé un drôle de goût au dessert. La crème au beurre a dû tourner ", excuse plausible dont sur le coup, je suis fier.
" Mon pauvre chaton, si tu veux je peux prendre soin de toi pour que tu te rétablisses ".
" Ca va maintenant, merci pour la proposition quand même ".
" Il n'y a pas de quoi, c'est aussi pour te remercier de m'avoir porté ma valise sur le tapis du guichet ".
" Heu, je pense que tu l'as déjà fait dans les WC de l'aéroport hier ! " je lui fais remarquer.
" Ah oui, c'est vrai. Mais je pensais plus à te chevaucher en guise de remerciement, tu as été trop rapide à venir ".
Je remercie le fait que mes voisins de rangée soient brésiliens et ne comprennent pas les sous-entendus de Virginie. Elle me raconte alors que par dépit de ne pas me trouver, elle avait jeté son dévolu sur Bertrand et qu'une partie de jambes en l'air s'en était suivie dans les toilettes. Trop jeune et trop court à son goût, et malgré son ardeur, Bertrand n'avait pas pu la satisfaire complètement. Elle se blottit contre mon épaule saisissant mon bras et m'intime à lui laisser profiter de la taille fabuleuse de mon engin, selon ses dires, dans sa chambre d'hôtel à notre arrivée. Elle soupçonne Bertrand de s'être en amouraché d'elle étant donné qu'il avait tenté, sans succès, d'échanger sa place pour la nuit avec un inconnu satisfait, lui, d'être assis à coté d'une fille comme Virginie. Ce dernier avait, m'avoua-t-elle, eu la main un peu balladeuse mais, feignant le sommeil en prenant une position foetale, elle avait fini par dégoûter ce pervers par son absence de réaction.
" J'aurai aimé que tu sois là pour m'éviter ce genre de gars ! " finit-elle par me reprocher.
Intimée par une hôtesse qui l'enjoint à regagner son siège, elle me quitte à regret, non sans exposer son postérieur alors qu'elle se dégage vers l'allée. Peu après, l'appareil commence sa descente finale sur la piste, le Brésil se dévoile par les hublots.

Bearhand

bearhand@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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