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Nouvelle perspective, nouvelle vie.
Après plusieurs tentatives infructueuses, j'arrive enfin à obtenir un entretien d'embauche pour cette grande compagnie d'assurances. Cela fait quelques mois que je suis sans emploi et les temps commencent à être rudes, l'argent se fait rare, ma copine me met la pression pour que la situation change. Etant orphelin, je ne peux bénéficier d'aucune autre aide que la mienne. L'entretien a lieu sur Paris, au siège de la société.
Je prends le train de 7H du matin ayant rendez-vous vers 11H près de la gare de Lyon, je n'aurai donc pas à me presser. Aujourd'hui j'ai pris soin de mettre une cravate, même si je préfère ne pas en porter d'habitude. Mais je dois mettre toutes les chances de mon coté, chemise neuve et mon plus beau costume, l'apparence joue pour beaucoup dans ce genre d'entretien.
J'ai bien fait. Alors que je patiente quelques minutes dans le hall de la société, je ne croise que des tailleurs jupe ou pantalon pour les femmes et des costumes cravate impeccables pour les hommes. La vue de ces chignons, de ces corsages et de ces talons-aiguille me provoque un début d'érection et je suis surpris par une secrétaire qui s'était approché de moi.
" Monsieur. Si vous voulez bien me suivre ".
Je me redresse en prenant soin de mettre ma serviette devant mon entre-jambe, histoire d'en cacher la bosse qui s'est formée. Je suis cette femme ou plutôt son splendide fessier divinement mis en valeur sous ce tailleur pantalon noir. Sa taille est fine, ses longs cheveux roux sont rassemblés en une queue de cheval qui oscille sous ses déhanchements. Ses talons claquent sur le sol. Pendant que nous prenons l'ascenseur, j'en profite pour observer discrètement ses traits. Elle fait très slave, si sexy avec ses traits si fins. Encore un coup de déhanché dans un couloir puis elle ouvre une porte m'invitant à y entrer. Je la remercie d'un sourire, que j'espère charmeur.
L'homme qui va mener l'entretien est le DRH, il doit avoir une cinquantaine d'années même si sa chevelure grise lui en fait paraitre plus. Il se lève à ma rencontre et nous échangeons une poignée de main. L'entrevue commence rapidement, avec toujours le même genre de questions. Je suis plutôt détendu et mes réponses sont précises et pertinentes je dirais. Je vois quelques sourires sur son visage, je semble l'intéresser.
" Bon. Votre profil est intéressant mais je dois vous avouer que vous ne collez pas assez à ce que nous recherchons actuellement " m'annonce le directeur.
Je suis atterré par la froideur de sa conclusion. J'avais l'impression que ca se passait bien, du moins, suffisamment bien. Je désespère. Qu'est-ce que je vais pouvoir dire à ma copine ? Mais il reprend,
" Néanmoins, j'ai un dernier test à vous faire passer " dit-il en se levant.
" Pas de problème. De quoi s'agit-il ? " lui réponds-je désireux de le faire changer d'avis.
" De ca ! ".
Après avoir fait le tour du bureau, il se penche sur moi et sa main vient saisir mon sexe visible sous mon pantalon.
" J'ai vu que tu bandais sur le cul de Jeanne quand tu es entré. Moi, c'est plutôt le tien qui m'intéresse. Il pourrait te trouver un job si tu es prêt à t'en servir ".
" Mais je suis pas gay. J'ai une copine, on s'aime ".
" Vraiment ? C'est pas ce que dit ta bite, on dirait que je te fais de l'effet ! ".
Il a raison, mon érection revient de plus belle. Le con, il m'excite. Une fois, bourré, j'avais sucé un inconnu dans une fête de village, mais il y a plus de 15 ans. Plus rien depuis.
" Tiens, je mets 200 euros sur la table, pour toi, en guise de compensation. Y'en a plus à prendre encore! ".
" Ok " lui dis-je en prenant le billet.
" Je savais que tu serais coopératif. Commence avec ca ".
Il tient fièrement son sexe qu'il a sorti par sa braguette, il est énorme. Cet homme est physiquement bien conservé mais n'est pas plus musclé que la moyenne, mais il a entre les jambes un véritable cinquième membre. Sa verge est marquée par quelques veines, son gland luit et rosit de plus en plus. Il l'approche de ma bouche. Je le gobe, puis le recrache. Je le suce comme une glace, ma langue parcourt sa hampe. Je m'applique de tous les cotés.
" Oh oui, c'est bien comme ca. Oui, tu sais y faire. Tu ne serais pas une petite pute à jus au final ? " me demande-t-il en me saisissant par les cheveux.
Cette virilité, cette autorité me dominent. J'aime ce que je suis en train de faire. Je suis soumis à un bel homme, mature, bien habillé, classe quoi. Il se saisit de ma cravate et l'utilise telle une laisse. Je me soumets, qu'il fasse de moi sa pute, j'ai envie de savoir ce qu'est d'être pénétré. Puis-je avoir un orgasme, anal ?
" Oui continue comme ca, bien à fond ! Là, là...oui...oui " gémit le directeur.
Son sperme me pénètre la bouche, il me demande de tout avaler, ce que je fais sans réfléchir. C'est un goût et une texture curieux, mais pas désagréables. J'ouvre la bouche pour prouver mon obéissance.
" Maintenant on va aller manger, je suis affamé. Pas toi ? ".
" Heu...oui, oui " bredouillai-je en guise de réponse.
" Bien, je connais un endroit tranquille, au fait moi c'est Patrick ".
Dans l'ascenseur, je remarque les sourires sous-entendus de secrétaires alors que je sens Patrick, ou plutôt sa main me caresser les fesses. Celui-ci me sourit, fier de me dominer. Arrivés au sous-sol, je prends place à bord de sa grosse Mercedes qui nous emmène rapidement en banlieue.
La voiture s'arrête devant un petit restaurant sur une place de Sceau. D'apparence extérieure rustique, le lieu se trouve être un espace plutôt raffiné et feutré à l'intérieur. Des hommes et femmes, finement apprêtés, discutent autour de quelques tables de deux ou trois personnes. Nous prenons place menés par le maître d'hôtel.
" Que je t'explique, je cherche un amant que je suis prêt à loger et à rémunérer qui soit à ma disposition personnelle deux à trois soirs par semaine. J'attends de lui une totale soumission et obéissance " m'annonce Patrick à voix basse.
" Mais moi je vis avec ma copine à Marseille, je ne peux pas déménager ".
" Je suis prêt à te verser 2000 euros par mois en plus de tes frais de transport. Et puis je te l'ai dit, je mets un appartement dans Paris à ta disposition " enchérit Patrick.
" 2000...vraiment ? ".
" Oui ".
" ... ".
" Alors qu'en dis-tu ? ".
" Je ne sais pas...il faut que je réfléchisse un peu ".
" Cette offre est valable le temps du repas ".
Les plats se succèdent et je ne sais pas quoi répondre. 2000 euros ce n'est pas rien, surtout pour deux ou trois jours par semaine. Mais en échange de quoi ? Devenir la meuf à disposition de cet homme ? Souhaite-t-il me travestir aussi ? J'hésite, j'avoue que je suis tenté malgré tout. Je peux toujours dire à ma copine que je travaille à la maison sauf trois jours au maximum où je dois monter à Paris. Un collègue, parisien par conséquent inconnu, m'hébergera. Progressivement, j'élabore un stratagème. Les desserts sont servis lorsque je m'excuse auprès de Patrick pour aller aux toilettes.
Ils sont situés au sous-sol, au pied d'un escalier en colimaçon. Quand je pénètre du coté homme, je me décide quant à la proposition de Patrick. Je vais dire oui. Mais celui-ci m'a rejoint et m'entraine dans une cabine, m'obligeant à prendre appui sur le réservoir du siège. A peine a-t-il dégagé mon pantalon que son sexe joue avec mon anus.
" Un dernier test, histoire de te montrer ce qui t'attend " me souffle Patrick dans la nuque.
" Je suis vierge de là " tentais-je d'expliquer afin qu'il ne soit pas trop brutal.
" Ah ! Pucelle en plus ! Tant mieux, je vais pouvoir te former alors ! ".
Accroupi derrière moi, il me prépare avec sa langue. Il joue avec ma rondelle, la pénètre finalement. Ca ne me chatouille pas, ca m'excite. Ce sont les premières sensations que je ressens à cet endroit, c'est si bon. J'écarte les jambes au maximum, je me cambre pour mieux offrir mon cul à cet homme. J'en gémis.
" Hmmm... ! ".
" T'as un petit bouton très appétissant et qui répond bien. Ca te plait petite chaudasse ? ".
" Oh oui, ta langue est magique ! C'est tellement bon...continue ! ".
" Attends un peu, y'a mieux ! ".
Se relevant, Patrick présente à nouveau son sexe devant ma fente entre-ouverte. A la première poussée, ma rondelle cède le passage à sa bite mais qui, sitôt le gland passé, rebrousse chemin, et puis revient. Il s'amuse de me voir à chaque fois saisit par un tressaillement accompagné de petits gémissements. Le plaisir et la douleur s'entremêlent dans un ballet étourdissant. Je pousse un cri quand il s'introduit jusqu'au bout.
" Aie ! Ca fait mal, c'est...c'est la pre...première foiiiiiis ".
Un premier orgasme, mon premier orgasme anal déchire la cabine. Je jouis, ma bouche l'encourage, machinalement. Sa bite coulisse maintenant à vive allure dans mes entrailles, il n'y a plus que du plaisir. J'en demande encore, plus.
" Oh oui, oh oui, oui, oui, oui ! Oh la vache c'est bon, c'est bon, oui, oui ! Oh j'accepte, j'accepte...je veux être ta femme...ta chose...oh ! ".
" Une femme, j'en ai déjà une. Toi, tu es ma petite pute personnelle ! Tes trous m'appartiennent ! ".
" Oh oui...ta pute...ta chienne...oooooh encore...ca vient...oooooh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! ".
" Voilà ta vraie nature, regarde ca, tu mouilles ! Tu mouilles comme une salope qui prend son pied ! Oh on va bien s'entendre toi et moi. Maintenant, je vais pouvoir assouvir ma libido débordante que mon épouse dédaigne ".
" Oui...ta salope...ta pute qui aime ca...oh oui...encore...oui, oui, oui, oui ".
" Tiens prends ca dans ton cul...arrrh...ooh...tiens, tiens ! " achève Patrick en m'inondant le cul.
" Humm, c'est bon. Ca t'a plu ? " demandais-je d'une voix naturellement lascive.
" Oui ma poule, t'as mérité un autre petit billet ! " en me tendant un autre billet de 200 euros, puis il se retire.
" Oooooh oui...pffff ! Oh c'est booooon ! " alors qu'un dernier orgasme me traverse.
Puis il me retourne face à lui et m'embrasse avec fougue. Nos langues semblent déjà se connaitre, je gémis alors qu'il porte sa main sur mon sexe. L'érection arrive très vite. Patrick s'accroupi de nouveau et commence une fellation. Sa langue est experte et en seulement deux ou trois minutes je sens l'éjaculation arriver.
" Oh, je vais jouir ! ".
" Vas-y, donne-moi tout, vas-y ! " me dit Patrick tout en ouvrant la bouche et tirant la langue.
Il me branle en frottant mon gland sur sa langue qui se fait recouvrir par ma semence dans plusieurs jets intenses. Il me nettoie jusqu'à la dernière goutte puis réajuste mon costume.
" Viens, allons manger nos desserts et mettre au point les détails de notre engagement " me lance Patrick en me prenant par la main.
Plusieurs semaines ont passé, je m'apprête à me rendre pour la première fois vers cette double vie. Je touche 2000 euros, j'ai le téléphone, le portable, une carte bleue pour mes frais et les clés d'un studio de 30m² pas loin de l'ile Saint Louis. Ma copine est ravie, je fais semblant de bosser à la maison sur l'ordi, j'ai même de faux fichiers et dossiers dessus, on a du fric.
Si elle pouvait s'imaginer que son mec devienne quelques jours par semaine, la pute à jus d'un autre.
Il me tarde d'être demain soir, de libérer la salope qui sommeille en moi.
Bearhand
bearhand@hotmail.fr
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