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Prenant une gorgée d'alcool pour me donner du courage, je me lève pour me rapprocher de Daniel toujours assis. Mon bassin était à la hauteur de son visage. Il recula sa tête, me repoussa avec sa main que je saisis, pour la plaquer sur la serviette. Il ne bouge pas. Je défais le noeud, la serviette tombe au sol. J'étais entièrement nu face à Daniel, sa main directement en contact avec mon sexe demi bandé. Je dis à Daniel :
- ton histoire commence à me faire bander !
- On n'a plus grand-chose à se cacher, tu peux te mettre à l'aise en écoutant la suite.
Devant cette proposition j'enfilais ma main dans mon pantalon pour me caresser en attendant la suite.
J'avais donc Adrien nu devant moi avec son sexe dans la main. Je suis resté un instant sans bouger à regarder ce sexe que je ne connaissais pas. Il était d'une longueur commune, plus fin que ceux que j'ai connus. Son gland brillant effleurait son prépuce.
Adrien : Comme Daniel ne bougeait pas, j'ai avancé afin que ma queue touche presque sa bouche, j'ai marqué un temps d'arrêt ne sachant la réaction que je provoquais. Il ouvrit sa bouche, sortit sa langue, lécha le bout de mon gland. Rien que ça fit durcir complètement ma verge. Sa main toujours fixe, j'avançais pour entrer dans cette bouche. Cela me décalotta entièrement. Lorsque mon gland entra dans cette cavité buccale. Il retira sa main. Je pus m'enfoncer au maximum. J'étais loin de me douter le plaisir que cela me procurerait.
Daniel : Devant ce sexe dressé, j'ai jeté les armes. J'ai commencé par lécher son gland à fleur de peau, puis accéder à sa demande. Alors il avança un peu plus pour envahir ma bouche. Volontairement je n'ai pas bougé ma main, resserré les lèvres pour repousser ce prépuce. C'est un gland entièrement découvert que j'allais déguster. Une fois introduit, je fis tournoyer ma langue tout autour, n'oubliant aucune partie. Je m'attardais sur les reliefs pour augmenter les sensations. Il faisait voyager sa verge dans ma bouche, passant d'une joue à l'autre dans un bain de salive tiède. Sa queue devenait de plus en plus dure. Alors que je faisais une pause en ouvrant la bouche, il en profita pour s'enfoncer jusqu'à ce que ses poils touchent mon visage. Il fit de lui-même le mouvement de va et vient tout en poussant des gémissements caractéristiques. Je sentais son inexpérience à la force qu'il mettait à chaque mouvement. Il accéléra la cadence au point que ses testicules heurtaient mon menton. Afin qu'il ne se lâche tout de suite, alors qu'il était enfoncé au maximum, je le stoppais quelques instants en posant mes mains sur ses fesses, qui je dois le confesser étaient bien musclées, agréables au toucher.
Je dis à Daniel que son récit me faisait de plus en plus bander, ce à quoi il me répondit :
- Tu peux te foutre à poil si cela te dit, surtout quand tu connaîtras la suite.
Je fis descendre mon pantalon à mes chevilles. Mon état d'excitation semblait plaire à Daniel qui reprit son récit.
Donc je reprends. Je libérais mes mains, il recula un peu. J'en profitais pour aspirer son gland comme avec une paille. Ses onomatopées m'encourageaient à encore mieux à m'appliquer dans sa découverte. Je n'en eus pas le temps. Il me dit :
- je vais tout lâcher !
J'eus le réflexe de me dégager juste à temps avant qu'il ne m'asperge de son sperme. Je voyais son visage rayonnant d'extase du plaisir qu'il venait de ressentir.
Nous sommes allés chacun notre tour nous rincer. Une fois rhabillés, nous avons terminé notre verre. Son visage était toujours aussi beau à voir tant il exprimait la satisfaction de la découverte d'un plaisir nouveau.
En partant, il me serra fortement contre lui comme il ne l'avait jamais fait. Resté seul, je me demandais si j'avais eu raison. Qu'allait devenir de cet instant.
C'est plusieurs semaines plus tard qu'il me surprit une fois encore. En cette fin d'après- midi après avoir bien bossé dans le jardin, je m'autorisai une bonne bière bien fraîche avant d'aller me doucher, lorsque la sonnette retentit. Encore en nage, tout en maugréant : qui venait me déranger alors que je n'avais pas encore pris ma douche, je me retrouvais face à Adrien qui voulait que je lui paye à boire. Je lui dis :
- entre, je viens juste de finir de jardiner et j'allais boire un coup ! Installe-toi dans le salon. Que veux-tu boire ?
- Une bière bien fraîche !
- Commence sans moi, je vais prendre une douche.
Je pénétrais dans la salle de bain. J'appréciais sentir l'eau tiède, presque froide, me rincer de ma sueur. Mon corps enduit de mousse, je me savonnais de fond en combles sans oublier ma verge que je décalottais à fond pour frotter mon gland déjà bien dur passant ma main entre mes cuisses pour atteindre ma rondelle et y mettre un doigt comme j'aime le faire à chaque douche.
Soudain, je sentis des mains me caresser le dos. Je fis volte-face pour me retrouver face à Adrien aussi nu que moi.
- Qu'est-ce que tu fais là !
- Tout seul dans le salon, entendant l'eau couler, j'ai pensé que te faire laver le dos te plairait. La porte de la salle de bain étant ouverte, je t'ai vu te laver, te caresser, derrière la vitre, cela m'a excité.
Par habitude d'être seul, j'avais oublié de fermer la porte. Adrien était en effet très excité, sa queue bien raide se colla à moi, alors que je lui dis qu'il ne fallait pas aller plus loin.
- Ne refuse pas ! tu es mon meilleur professeur !
- Que veux-tu faire ?
- Ce que je n'ai jamais encore fait, qu'avec toi cela restera dans la famille. Ce sera notre secret qui je sais sera bien gardé
- C'est-à-dire ?
- Je veux essayer la sodomie !
- QUOI !
- Ne me dis pas non, je serai trop frustré et malheureux !
- Tu te rends compte ce que tu me demandes !
- Je sais, mais c'était tellement bien l'autre fois que cette partie là sera encore mieux.
Tout en argumentant, ses mains avaient enserrées mon sexe toujours aussi raide, ce qui lui fit dire :
- Tu vois, toi aussi tu es excité !
J'étais pris au piège devant une telle preuve. Je ne pouvais plus reculer et le laissais faire. Nos corps glissaient l'un sur l'autre. Il se recula légèrement. Je sentis son sexe glisser le long de ma raie, puis pénétrer entre mes cuisses, se redresser. Son gland aussi dur qu'un caillou toucha mon anus, pour y pénétrer. Je me penchais vers l'avant pour faciliter l'intromission qui se fit sans difficulté, la mousse l'ayant bien lubrifié. Je le sentis s'enfoncer doucement jusqu'à sentir ses poils toucher mes fesses.
Il resta quelques secondes sans bouger avant d'entamer un lent va et vient qu'il accentua, devenant de plus en plus rapide au point de sentir ses couilles heurter mes cuisses. Pris dans un tourbillon de sensations je me masturbais à son rythme. Il ne lui fallut pas longtemps pour maculer mon dos de son sperme dans des feulements qui me firent à mon tour éjaculer de longs jets dans la douche. Repus, nous sommes restés ainsi, le temps de reprendre notre souffle, puis nous nous sommes mis face à face. Nos sexes délestés de plaisir nous nous sommes lavés mutuellement. Collés l'un à l'autre sous le jet tiède de la douche Adrien me dit à l'oreille :
- Tu es un tonton et un parrain super ! Tu me fais découvrir des plaisirs que j'espère connaître encore.
Lavés, séchés, rhabillés, nous avons siroté notre boisson bien méritée dans le salon. Devant mon visage interrogatif, Adrien me rassura en me disant :
- Personne d'autre que toi pouvais me faire ces plaisirs en toute discrétion et sécurité. Je te remercie pour tout cela, qui me fait m'épanouir. T'en fais pas, cela ne m'empêchera pas d'honorer ma copine avec plaisir. J'espère seulement qu'elle acceptera tout ce que tu m'as fait découvrir.
Ses paroles m'ont réconforté et déculpabilisé, le visage qu'il arborait au moment de partir me fit chaud au coeur, me sentant encore plus proche de lui.
Tout en écoutant son récit, je m'étais mis complètement à poil sur le canapé en face de Daniel. Imaginant la scène décrite par Daniel m'avait bien excitée, encore plus de voir Daniel encore habillé me mater en train de me branler, jambes bien écartées exhibant mon entre jambes avec mes deux couilles pendantes qui gigotaient à chaque mouvements. Je tirais au maximum sur mon prépuce. Plus aucune peau n'entourait mon gland dur et rouge de plaisir laissant voir sa collerette luisante. Au point où j'en étais, j'ai relevé mon bassin afin de me tâter l'anus de mon indexe bien mouillé de salive qui n'eût aucune difficulté à s'enfoncer.
Une main qui me branle, un doigt bien placé, il n'en fallut pas plus pour que plusieurs jets de spermes éclaboussent mon thorax, et les derniers jets mon ventre. J'avais l'impression de n'avoir jamais autant éjaculé. Voyant tout ce sperme sur mes poils, Daniel me proposa d'aller me nettoyer dans la salle de bain. Passant près de lui, il ne pu s'empêcher de caresser mes boules en passant sa main entre mes fesses.
Je restais un certain temps sous l'eau très chaude de la douche pour tout ôter. Ayant laissé mes vêtements dans le salon, en franchissant le seuil de la porte, Daniel n'était pas seul.
Aurige
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