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Après la colo

Animateur en colonies de vacances assez tard, 25 ans, J'ai eu à m'occuper avec une animatrice un groupe de jeunes.

Après ce premier séjour dans les cévènnes, certains enfants voulaient échanger nos adresses. Je l'ai fait volontiers en me disant que je ne ferais pas la démarche d'écrire le premier, que mes réponses seraient banales.

Comme l'animatrice et moi revenions l'année suivante, certains - comme Frédéric - sont revenus encore et encore. Je les ai vus grandir, jusqu'au premier camp d'adolescents entre 16 et 18 ans que voulait organiser le directeur de l'association.

Lors de ce premier camp, un soir lors d'un spectacle - que je trouvais insipide pour des adolescents - je voyais Frédéric assis à côté de moi qui n'allait pas très bien. Pensant qu'il était malade, je lui propose de sortir.

Une fois dehors, en pleurs, il met ses bras autour de mon cou en disant :

" Je t'aime plus que mon père ! "

Je l'invite à me parler de ce qui ne va pas. Il me raconte que ses parents sont en plein divorce, que sa mère l'implique dans leur histoire d'adultes. Cette nuit là, il dormit dans notre tente entre l'animatrice et moi.

Ce fut la dernière animation que je fis, bien que nous ayons gardé des liens avec quelques ados. Il y a eu même des retrouvailles avec l'animatrice dans la ferme restaurée que j'occupais dans l'Ouest de la France.

Parmi les lettres reçues, il y avait celle de Frédéric maintenant MAJEUR, qui m'annonçait qu'il avait réussi son permis de conduire, et aussi qu'il avait trouvé du travail dans la région parisienne. Comme il ne connaissait personne, il me demanda s'il pouvait venir passer quelques week-ends chez moi.

Il fut convenu que j'irai le chercher à la gare située à 10 km, le vendredi soir et le raccompagnerai le dimanche soir.

Le premier week-end de sa venue, je l'attendais à la gare Il arriva à l'heure avec son sac de voyage. Nous étions contents de nous revoir, alors quelques bises s'imposèrent.

Arrivés à la ferme, je lui proposais de dormir sur un matelas dans ma chambre. Après le repas et quelques heures de discussions, nous sommes montés dans la chambre. Comme d'habitude, je me suis couché nu en prenant soin d'enlever mon slip sous les draps, ne sachant pas sa réaction de me voir nu. En se déshabillant, je pus voir son corps assez maigre, ses fesses rondes, alors que son visage était quelconque Il se glissa en slip dans son lit. Chacun dans son pieu, nous lisions avant l'extinction des feux.

Le lendemain matin je me suis levé le premier. Le soleil diffusait une douce lumière à travers les rideaux. Frédéric semblait encore dormir. Je suis sorti de son côté à poil avec une demi molle du matin. Ramassant mon slip à terre, me suis retourné face à son lit pour le remettre et m'habiller.
Je suis descendu préparer le petit déjeuner. Frédéric est arrivé quelques minutes après. Je lui dis :

" Je croyais que tu dormais lorsque je me suis levé ! As-tu bien dormi ? "
" Pas trop mal " me répondit-il.

Je me posais la question de savoir si il m'avait vu à poil. La journée s'est passée à se rappeler les souvenirs des colos.
Le soir venu au moment du coucher, alors que j'étais déjà sous les draps, Frédéric encore en slip me demanda :

" Je voudrais dormir avec toi ! "

Surpris, je luis répondais

" Tu sais je dors à poil "
" Je sais je t'ai vu ce matin te lever. Et puis moi aussi ".

Sans attendre il fit tomber son slip et se glissa dans mon lit. J'eus juste le temps d'apercevoir ses poils sombres de son pubis, son sexe circoncis au repos sur ses boules.
Il se colla tout de suite à moi. Face à face, nos sexes ne tardèrent pas à gonfler au contact l'un de l'autre. Nous nous enlacions, caressions le corps l'un et l'autre. Dans ses mouvements, je sentais son inexpérience en la matière. Je décidais de l'initier.

Je le mis sur le dos, son corps était tendu. Je virais la couette. Je me couchais sur lui, ma bouche embrassant son cou de baisers tendres, descendant doucement vers ses petits tétons que je commençais à suçoter l'un après l'autre faisant tourner le bout de ma langue autour, les tétant comme un bébé. Aux gémissements qu'il émettait, j'étais sur la bonne piste, au bon endroit.
Je continuais mon exploration linguale jusqu'au nombril, puis un peu plus bas afin que mon menton touche son gland. Son sexe était dur comme du bois. Je ne voulais pas aller trop vite afin qu'il n'éjacule trop tôt, j'avais d'autres plaisirs à lui faire découvrir.
Je remontais doucement vers ses tétons que mes mains avaient continué de titiller, pour revenir sur son cou, vers sa bouche qu'il m'offrit. Nos langues se rencontrèrent, se caressaient, comme des serpents qui joutent.

Décidé cette fois à aller goûter son membre, je descendis de nouveau sans oublier au passage ses tétons. Arrivé à son sexe, je commençais à le sucer comme une sucette, juste le bout que l'on serre entre ses lèvres. Il y avait déjà un petit goût salé. Ma langue contournait le collet, en revenant sur le frein et finir en le prenant en bouche.

Mes mains ne restaient pas inactives, elles caressaient le pli de l'aine, ses testicules, l'intérieur de ses cuisses qu'il écartait au fur et à mesure du plaisir qu'il ressentait, comme s'il m'offrait le passage entre ses fesses. Devant une telle demande, ma langue longea sa verge qui était comme je les aime, c'est-à-dire ni trop longue, ni trop épaisse - aussi dure qu'un piquet, pour arriver sur ses testicules remontées au maximum. Je les léchais, avant de les introduire dans ma bouche. A ce moment, Frédéric se raidit, soulevant son bassin, comme s'il allait tout lâcher. Je m'arrêtais momentanément pour m'occuper de ses cuisses. Je les écartais le plus possible pour y passer ma tête et lécher son périnée. A cet instant ces cuisses furent prisent d'un frisson. Sans tarder, je remontais sur son sexe que cette fois j'engloutis entièrement en faisant un mouvement de va et vient jusqu'à toucher sa toison. Ma salive abondante et tiède le faisait glisser jusqu'à ma gorge. Je me doutais qu'à ce régime il ne tiendrait pas longtemps. En effet, je sentis son corps se raidir, son souffle s'accélérer. A peine me suis-je retiré que plusieurs jets de sperme atterrirent sur son torse, et son ventre.

Ayant retrouvé son souffle, je voyais un sourire de plénitude sur son visage. Avant de se lever pour aller dans la salle de bain se laver, il me roula une superbe pelle. Je profitais de son absence pour me branler. A son retour, en rentrant dans le lit, se collant à moi, il me dit que c'était la première fois qui prenait autant de plaisir, qu'il était désolé de ne pas avoir été plus participatif. Je répondis que j'avais pris autant de plaisir à lui faire découvrir ces émotions, qu'il y en aurait d'autres à explorer.

Nous nous sommes endormis l'un contre l'autre. Dans la nuit, je rêvais qu'une main était posée sur mon ventre, une autre s'amusait avec mon sexe au repos, mon prépuce roulé entre des doigts, tiré juste ce qu'il fallait pour dégager le bout de mon gland, qu'un doigt passait sur le bord de la peau, puis sur le dessus du gland, s'arrêtant à l'entrée de l'urètre. J'étais aux anges lorsque cette main est passée entre mes cuisses pour tirer sur mes boules, me décalotter au maximum.

Je me suis mis sur le dos pour que mon rêve se poursuive dans une autre position.
Je repoussais de mes pieds la couette pour ne pas gêner ces mains inconnues. Peut être la fraîcheur du matin, mais j'ai ouvert légèrement les yeux, le jour pointait, mais surtout ces mains étaient celles de Frédéric. Pour ne pas le déranger, je continuais à faire semblant de dormir. Pensant ne pas être vu, il prenait de l'assurance, sur mon corps mis à sa disposition.
Ses doigts peignaient les poils de mon pubis, d'autres grattaient mes couilles pendantes entres mes cuisses alors que ma verge était tellement raide qu'elle tenait à la verticale toute seule.
Il avait posé sa tête sur mon ventre regardant mon sexe éclairé par les premiers rayons du soleil levant. Toujours les yeux mi-clos, je me demandais ce qu'il allait improviser. Il fit basculer ma verge sur mon ventre juste à côté de sa bouche. Du bout de sa langue, il lécha le haut de mon gland d'où perlait un peu de suc salé. Il ne devait pas trouver cela mauvais, pour avancer sa tête un peu plus afin que mon gland soit entièrement prisonnier de sa bouche. De temps en temps, il le recouvrait de mon prépuce pour jouer avec sa langue, le pincer avec ses lèvres, puis le découvrait de nouveau à fond pour que sa langue puisse faire le tour du collet, passer sur le frein, revenir sur l'urètre.

Je pensais qu'il mettait en pratique mes leçons. Avec un tel traitement, je me suis étiré un peu plus en écartant mes jambes. Il y plongea sa tête comme un petit animal dans le creux d'une fleur pour y recueillir le nectar. Il recherchait mes boules pour les gober. Cette position faisait que mon sexe était coincé sous son menton, et à chaque mouvement frottait sur sa barbe d'un jour. Cela me produisit un effet auquel je ne m'attendais pas, ce qui me fit émettre un gémissement à chaque passage. Il revint sucer mon gland en me masturbant. Voyant mes jambes se relever en rythme avec mes fesses, il savait que l'extase était proche. Il se retira, fini ma masturbation jusqu'à ce que des jets de sperme jaillissent pour maculer mon ventre. Il tourna la tête pour regarder l'expression de mon visage à ce moment. Il vit mes yeux grands ouverts et me dit :

" Tu étais réveillé " ?

" Au début je croyais à un rêve. Lorsque je t'ai vu, j'ai fait semblant de dormir pour ne pas te déranger. Tu te débrouilles vachement bien pour un débutant. "

Le week-end s'est déroulé en ballade, discussions sur les anciens de la colo, si il avait eu des aventures avec certains. Il avait en avait revu deux avec qui il avait pratiqué des branlettes collectives sans plus.
Le dimanche, je l'ai raccompagné à la gare. Avant de partir, il me remercia de cet excellent moment, qu'il m'appellerait pour me dire quand il pourrait revenir.
Après plus d'une semaine sans nouvelle, si ce premier week-end ne l'avait pas braqué.
Lorsqu'il m'appela pour me demander s'il pouvait venir le week-end à venir, j'était très excité.

J'ai pris une douche, mis un jogging sans sous-vêtement pour aller le chercher à la gare. Tout le temps de la route, j'imaginais ce que nous allions faire, ce qui me déclencha une bonne trique. La nuit était tombée lorsque je suis arrivé. Il attendait sur le parking avec d'autres voyageurs. Avec la trique que je tenais, je ne pouvais pas sortir de la voiture, alors j'ai fait un appel de phares. Il est monté, il m'a fait une bise. A peine repartis, je lui donnais la raison pour laquelle je n'étais pas sorti de la voiture pour l'accueillir. A la lueur des lampadaires du village que nous traversons, il a pu constater la protubérance de mon pantalon. Pour en être sûr, posa sa main pour constater à quel point je bandais.

Arrivé à quelques kilomètres de la maison en pleine campagne, Frédéric glissa sa main dans mon pantalon pour me tripoter. J'ai réduit l'allure.
Il me dit :

" J'aimerais bien te voir conduire à poil " !

Je m'arrêtais sur le bas côté. Je suis descendu de la voiture, me suis posté devant les phares, et j'ai tout enlevé. Il pouvait voir ma bite à l'horizontale. Lorsque j'ai fait le tour de la voiture pour remonter, une voiture tous phares allumés sortait du virage et n'a pas pu manquer le spectacle que je lui offrais un mec à poil en pleine érection. Une fois à l'intérieur, en passant à côté, la voiture conduite par un jeune klaxonna.

Ayant repris, la route, Frédéric s'en donnait à coeur joie sur ma queue. Il ne résista pas longtemps pour se déshabiller. Il se contorsionnait, se mit à quatre pattes sur le dossier les fesses faces au pare brise, ce qui laissait voir ses couilles qui bougeaient au rythme de la voiture puis s'est rassis.

Arrivé à la maison, j'ai garé la voiture. Nous nous sommes enlacés dans le jardin sous la lumière du clair de lune. Nous nous sommes embrassés, caressés, une envie de se rouler dans l'herbe. Je me suis allongé le premier. Je pouvais voir au dessus de moi le sexe brandit de Frédéric. Je me suis relevé pour attraper ses cuisses et attirer à moi son sexe circoncis. Je salivais énormément en attendant le moment où il fut facile d'engloutir entièrement ce membre chaud et dur. Il écarta les jambes, je pus passer mes bras entre ses cuisses, poser mes mains sur ses fesses pour pousser son sexe jusqu'à toucher ses poils. Il me tenait la tête pour amplifier mes mouvements.
Il était complètement passif ce qui ne me déplaisait pas.

Je ne sais pas ce qu'il avait vécu pendant la semaine passée, mais il ne me laissât pas le choix, et c'est dans une crispation, ma tête enfouie dans ses poils qu'il envoya dans ma gorge deux grosse giclée de sperme. Il resta quelques instants sans se retirer jusqu'à ce qu'il commence à débander. Juste avant de sortir, j'aspirais les dernières gouttes. Son visage était illuminé. Je bandais toujours autant. Il s'assit sur mon ventre pour me caresser le torse, le cou, se pencha pour m'embrasser. Il sentait ma queue remontée le long de ses fesses, et à chaque fois qu'il se relevait, cela me décalottait.
Son sexe revenu au repos. Ses boules étaient détendues, pendaient entre ses cuisses. Il fit demi tour pour s'asseoir sur mon torse. Je sentais ses boules et son sexe sur ma peau. Il se pencha pour s'occuper de mon chibre toujours aussi raide. Il aimait jouer avec ce qu'il n'avait plus, c'est-à-dire mon prépuce. Avec ses lèvres, il le pinçait, l'étirait, puis il me décalottait légèrement pour que sa langue devenue pointue essaye de la passer entre mon gland et la peau. Il l'écarta de ses doigts et parvint à s'y glisser. Jamais je n'avais ressenti une telle sensation, ce qui fit perler quelques gouttes.
Il me décalotta si loin que j'avais l'impression d'être circoncis. Il releva son bassin pour engloutir ma verge. Je voyais ses testicules et son sexe pendre. Je ne pus m'empêcher d'y passer ma main, sentir la douceur de ses poils blonds. Je me suis vite arrêté pour ne pas le déconcentrer tellement il me procurait de plaisir à passer sa langue tout autour de mon gland.
J'écartais les jambes pour faciliter l'accès à mes boules, voir ma rondelle. Il comprit le message. Sa langue descendit sur mes testicules. Il les butinait. Il écarta légèrement mes fesses pour y laisser couler un peu de salive. Je sentis son doigt atteindre ma rondelle qu'il massa sans essayer d'y pénétrer. A m'entendre gémir, il devait se douter que j'attendais ça.

Il revint s'occuper de ma bite qu'il branla tout en gobant le gland. Au raidissement de mon bassin il sentit que l'extase était proche. Il cessa de me sucer, finit de me branler jusqu'à ce que plusieurs jets de sperme atterrissent sur son torse. Une fois les jets terminés, il suça les quelques gouttes restantes.

Il s'allongea près de moi. Je sentais la fraîcheur de l'herbe sur ma peau, j'étais aux anges en regardant le ciel étoilé pensant que je n'étais pas loin du firmament.
Dans ce silence nocturne, il me chuchota qu'il n'était pas très fan de sperme, qu'il essayait par petite dose. Je lui répondis qu'il m'avait fait ce que personne ne m'avait fait. Nous sommes resté allongés un moment, puis avons ramassé nos affaires, direction la salle de bain, et dodo.
C'est blotti l'un contre l'autre que nous nous sommes endormis.

La journée du lendemain fut très occupée par des tâches matérielles. Vers dix huit heures, je proposais à Frédéric d'aller se détendre en faisant un petit jogging sur le chemin agricole. Nous avons enfilé un short sans sous-vêtement, un débardeur, des tennis et nous voilà partis en petites foulées.

Frédéric se mit face à moi en trottinant en marche arrière, et me fit remarquer que mon service trois pièces gigotait à chaque foulées, cela le faisait rire. Pour l'amuser un peu plus, je le sortis par la jambe du short. il me dit :

- " il ne gigote plus. "

Alors sans me dégonfler, j'ai enlevé mon short et lui dis :

- " Et là ça gigote ? "

Je n'avais pas prêté attention au bruit d'un tracteur qui travaillait dans un champ, et c'est juste au détour d'un bosquet qu'il surgit au bout du champ pour faire demi tour, il ne pouvait que me voir à moitié à poil sur le chemin, même si j'ai vite remis mon short.

Nous sommes rentrés après une petite heure de course. Direction la douche. C'est un moment très agréable qu'un autre vous lave, il passe ses mains sur tout votre corps avec la douceur du gel sans oublier les recoins.

Une fois nos ablutions terminées, j'ai proposé de rester nus jusqu'au coucher avec interdiction de bander sous peine de représailles. Chacun essayait de se maîtriser même si l'un tentait de le faire perdre l'autre par des attouchements.

Assis à table l'un en face de l'autre, j'allongeai ma jambe jusqu'à Frédéric et vérifier qu'il ne bandait pas. Il serrait les cuisses pour enserrer sa verge. En insistant il finit par ouvrir ses jambes. Avec mon pied, je constatais une légère érection. Il en fit de même avec moi, mais je me contrôlais mon sexe et mes boules restaient bien sages entre mes cuisses.
Le repas terminé, il me précédait pour monter dans la chambre. Je voyais son joli cul légèrement duveteux. Sur le lit, nous avons simulé une bagarre. Tout était permis. Nos gestes se dirigeaient toujours vers l'entre jambe de l'autre. A force de gymnastique, nous nous sommes retrouvés tête bêche, le visage entre les cuisses de l'autre. La bagarre s'est calmée pour se transformer en caresses, léchouilles, tripotages. Il n'était plus question de retenue. Nous avions chacun le sexe de l'autre en bouche, s'appliquant dans notre fellation. Mon idée était d'aller explorer sa région anale. J'écartais ses jambes en remontant ses fesses que j'ouvrais de mes mains. Dans cette position je voyais sa rondelle. Je déposais ma salive que j'étalais avec ma langue. Bien humectée, je présentais un doigt. Sa rondelle se contracta un peu, puis laissa mon doigt y pénétrer doucement, acceptant un va et vient. Frédéric cessa sa fellation pour se détendre et se concentrer sur cette sensation. Je remis un peu de salive pour y mettre un deuxième doigt. Il me laissait faire dans ce travail d'assouplissement. J'ai changé de position pour présenter mon sexe à l'entrée de son sphincter. Je poussais doucement ma verge. Bien que je prenne toutes les précautions pour éviter la douleur, il me signifia qu'il avait mal. Avec patience, je renouvelais mon ouvrage. Je réussis à le pénétrer et lentement le limais. Nous ressentions enfin du plaisir.
Je me retirais pour ne pas jouir trop vite.
A son tour, il voulait me prendre, ce qui n'était pas pour me déplaire. Je lui facilitais le travail en me mettant sur le dos, jambes relevées. Il mouilla son sexe de sa salive, le présenta à mon anus. En se rendant compte qu'il y pénétrait sans difficulté, il s'empala jusqu'à la garde. Je sentais ses boules frapper mes fesses à chaque coup de boutoir mes testicules venant buter sur les poils pubiens. Dans cette position, je pouvais voir son visage qui montrait le plaisir qu'il prenait dans cet exercice. Il m'écarta les jambes pour voir les traits de mon visage tantôt crispés, tantôt réjouis. Il devenait brutal dans ses aller et retour, restant collé à mes fesses sans bouger lorsqu'il était au maximum de ce qu'il pouvait entrer. Je mettais cette brutalité sur le compte de son noviciat. A chaque fois, je craignais qu'il jouisse en moi, mettant fin à ce démontage de mon trou.
C'était la première fois que je me faisais prendre avec autant de force. Soit il ne maîtrisait pas sa puissance, soit il me rendait la monnaie de ma pièce.
Il était endurant, je croyais que cela n'allait jamais s'arrêter, que demain j'aurai le cul en feu.
Cela ne me faisait pas débander, bien au contraire. Il voulait me donner tous les plaisirs, car tout en continuant à me pilonner, il me branlait. Sentant que j'allais tout cracher, il se retira, pris nos deux bites dans sa main pour les masturber. Nos jets de sperme se répandirent sur mon ventre, mon torse. Une fois l'énergie évacuée, il s'allongea sur moi. Nous devions sentir la chaleur de nos semences nous unir. Nos corps reposés, il est allé dans la salle de bain le premier.
En revenant dans la chambre, il m'attendait debout pour me prendre dans ses bras de la même manière qu'à la colo. Je sentais couler des larmes sur ses joues.
Cet instant m'a semblé une éternité.
Le week-end s'achevant, je l'ai ramené à la gare. Quelques temps après, il m'annonçait qu'il quittait la région parisienne pour retourner dans le sud où on lui proposait du travail.

Je retrouvais ma solitude, sauf l'agriculteur qui labourait souvent le champ mitoyen à mon jardin, de sa position surélevée lui permettait de voir par-dessus ma haie.
Lorsqu'il repartait à la ferme, il me saluait à chaque fois.
Un après midi ensoleillé, je me suis installé dans le jardin sur un transat avec un bouquin en maillot de bain pour bronzer. Seul le bruit du tracteur du fermier travaillant dans le champ troublait le silence. N'entendant plus le bruit du tracteur, je pensais que le fermier était reparti par un autre chemin. J'ai enlevé mon maillot pour être nu comme j'aime l'être souvent. Dans le silence revenu, je me suis assoupi.

Je fus surpris par une voix :

- " bonjour, excusez moi de vous déranger, je n'ai plus d'eau dans ma bouteille, pourrai-je la remplir au robinet ? "

C'était le fermier.

Il était trop tard pour faire ma mijaurée et remettre mon maillot de bain.
Il se dirigea vers le tuyau d'arrosage, remplit sa bouteille. Il en profita pour s'arroser.
Revenant vers moi, il me dit :

- Il fait chaud aujourd'hui ! vous avez raison de vous mettre à l'aise ! "

A la vue de ce torse ruisselant, velu et bronzé, son short mouillé, ma queue grossissait ce qui n'échappa pas à l'agriculteur.

Il repartit finir son travail. Je savais que j'allais apprendre beaucoup de choses sur l'agriculture locale.

Quant à Frédéric je n'ai plus eu de nouvelle. Aujourd'hui, il doit avoir pas loin de cinquante ans. J'ai essayé de le rechercher sur les réseaux sociaux pour savoir ce qu'il devenait. Mes recherches sont restées vaines.

Note : je ne suis pas resté insensible en écrivant ce passage de ma vie à peine romancé.

Aurige

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