L'été j'aime bien aller sur une plage naturiste à majorité de garçons de tous âges.
Pour y parvenir je laisse ma voiture sur un parking, puis marcher dans la forêt, soit sur un chemin large et passager, soit prendre des petits chemins de traverses qui cachent des bosquets où les rencontrent sont assez " sympathiques ".
Souvent, l'été les mecs rentrent de la plage à poils et traversent la forêt à la rencontre d'une aventure. Il y a parfois des descentes de police pour les bonnes moeurs, c'est pour cela que j'évitais l'été de traverser cette forêt à poil. En fin de saison, c'est-à-dire vers la fin septembre, les rondes sont plus rares, c'est pour cela qu'un jour de grand soleil, pour retrouver ma voiture, j'ai traversé une partie de la forêt à poil, espérant une bouche pour accueillir ma queue. Car j'adore me faire sucer.
Au détour d'un buisson d'arbres, un type d'un certain âge, lui habillé, m'a accosté pour entamer un brin de causette, il avait vu que je caressais mon sexe, alors il s'est penché pour commencer à me sucer.
Nous sommes allés nous mettre un peu à l'écart. Il suçait super bien, n'oubliant aucun recoin, sachant quoi faire et dire qu'il aimait bien ma bite, pas trop grosse, bien droite et le gland se décalottant jusqu'au fond. Au bout d'un moment j'ai tout craché.
Nous nous sommes séparés. Je suis rentré chez moi (40 km) très satisfait.
J'habite une petite maison individuelle dans un lotissement, donc entourée d'autres maisons, plus ou moins dissimulées par de la végétation.
Quelques semaines plus tard, alors qu'il faisait encore chaud, j'étais sur la terrasse en short et tee-shirt en train de lire, lorsque l'on sonne à la porte. Je me lève et vais ouvrir. Je fus surpris de voir le type rencontré dans la forêt. Comme il m'avait semblé sympathique, je lui ai proposé de prendre une bière sur la terrasse. Il a fait le tour de la maison, s'est assis autour de la table.
Je lui ai demandé comment il avait eu mon adresse, il m'a répondu qu'il avait envie de me revoir, m'avait suivi, avait relevé le numéro d'immatriculation, et comme il travaillait dans une préfecture, ce lui fut facile de retrouver mon adresse.
Je lui proposé de s'installer sur la terrasse pendant que j'allais suis allé chercher deux canettes de bière dans le frigo. Lorsque j'ai posé sa bière devant lui, sans m'y attendre, il posa ses mains sur mes fesses et m'attira fortement contre sa figure, qu'il frottait sur mon ventre, descendait sur mon sexe pour le sentir, le mordiller à travers le tissu. J'étais tétanisé, ne bougeant plus jetant des coups d'oeil autour pour voir si des voisins pouvaient nous voir.
Il retira une main pour la passer dans une jambe du short pour me malaxer le sexe qui commençait à fortement grossir.
Je lui proposais de rentrer, ce serait plus prudent. Il a lâché prise, à peine rentré, qu'il fit descendre mon short jusqu'aux pieds, c'est-à-dire que je n'avais plus que mon tee-shirt.
Arrivé dans le salon, il m'a enlevé mon tee-shirt, j'étais entièrement nu devant lui comme dans la forêt.
Il a commencé par me titiller les tétons, les aisselles, descendu le long de mon ventre, remontant le long de mon sexe encore calotté.
Pour mieux apprécier ses talents de suceur, je me suis allongé sur le canapé, laissant libre cours à son imagination, car il en avait.
Etonnamment, il restait habillé, je tentais une exploration en ouvrant sa braguette, passant ma main à l'intérieur, j'ai senti un gros sexe, des grosses couilles, mais il ne bandait pas. Il a retiré ma main et continué à s'occuper de moi.
Il a repris mon sexe dans sa bouche, le décalottant à loisir, titillant du bout de sa langue l'urètre, passant sa main libre sur mon torse, mes cuisses, remontant vers mes testicules qu'il malaxait, les faisant rouler dans sa grosse main
Pour lui faciliter la tâche, j'écartais une jambe, la remontant le long du dossier du canapé, ce qui lui permettait d'explorer superficiellement ma raie, aussi bien avec ses doigts que sa langue.
Il se leva, passa derrière le canapé, m'attrapa la jambe déjà sur le dossier, me fit pivoter, je me retrouvais, jambes en l'air, le dos sur le dossier du canapé, tête en bas. Je le laissais faire, lorsqu'il écarta mes jambes, me lécha le périnée, remontant le long de mes boules, elles aussi bien remontées, continua en direction du gland brillant et bien dur puis redescendit par le même chemin, mais cette fois en écartant largement mes fesses laisser couler de la salive, essayer de pénétrer avec sa langue dans mon anus. Il se rendait bien compte que j'étais réticent à cette opération, n'insistât pas, préfèrent revenir sur mon sexe qu'il commença à branler, ce qui fit dans l'excitation que je m'éclaboussais le torse de sperme.
L'hiver arrivant, l'hibernation allait avec, la plage plus rarement et surtout la mise à poil plus délicate. Le mois d'avril annonçait les premiers travaux de jardinage, en particulier la tonte de la pelouse.
Cette activité me donnait souvent chaud à force de pousser la tondeuse, ramasser l'herbe, ce qui faisait qu'après chaque tonte, je prenais une douche et restait en peignoir de bain jusqu'au coucher.
Début mai, l'herbe avait bien poussée, et il faisait très chaud, alors j'avais attendu la fin d'après midi pour commencer à tondre la pelouse. J'ai fini vers 18 heures, j'ai donc pris ma douche, enfilé mon peignoir.
J'étais vautré sur le canapé, lorsque la sonnette de la porte d'entrée retentit, j'allais ouvrir, me retrouvais nez à nez avec le gars qui était déjà venu par surprise, mais là il était accompagné d'un autre gars, un peu plus jeune que lui, plus petit et très brun, vêtu d'un polo et d'un pantalon blanc très moulant.
Il me dit : " je ne t'ai pas vu depuis longtemps à la plage, je voulais savoir ce que tu devenais, je suis venu avec un ami ".
Je répondis : " entrez, excusez moi, j'ai tondu la pelouse et j'ai tellement eu chaud que je viens de prendre une douche". Attendez-moi, je vais me changer.
" pas la peine" dit-il, et d'un geste fit tomber mon peignoir, je me retrouvais tout nu devant ces deux mecs alors que la porte était encore entrebâillée.
Tu vois dit-il à son copain, il a une belle queue, et encore elle est au repos. Tu vas voir quand il bandera !
Le copain approcha sa main de ma bite, la tâta, soupesa les testicules, ce qui eut pour effet de commencer à me faire bander. Mon sexe grossissait, s'allongeait, au point que le gland commençait à poindre. De sa main il finit de le décalotter au maximum, son pote ne put s'empêcher de venir le sucer.
En m'attirant vers le canapé, j'entendis le gars que je connaissais dire que j'étais vierge de l'anus et l'autre de lui répondre qu'il allait remédier à cela.
Arrivé au canapé, d'office il me mit le dos relevé sur le dossier du canapé, tête en bas. Je me rendais compte que je devenais leur objet, et cela ne me déplaisait pas pour le moment.
Pendant que le suceur commençait son oeuvre, l'autre m'écarta les jambes, puis les fesses et regarda mon petit orifice. Il dit bien fort " mais il n'est pas rasé du cul " ?
" Il faut faire quelque chose, où est la salle de bain " ? Sans ménagement, ils m'agrippèrent et m'entrainèrent vers la douche.
Le copain s'était déshabillé et entra en même temps que moi, ce que me permit de voir que lui bandait bien, que sa queue était circoncise, longue et fine entourée d'une belle toison frisée d'un noir intense.
Il commença à faire couler l'eau chaude sur mon dos, passant sa main entre mes fesses pour bien mouiller le tout.
Il m'enduit la raie de mousse à raser, jusqu'à mon trou qu'un doigt commença à pénétrer. L'eau chaude plus la mousse, il n'y eut pas de difficulté ce qui lui fit dire " je crois que cela va aller pour tout à l'heure ".
Il me pencha en avant puis doucement commença à me raser les fesses, appela son copain pour qu'il les écarte plus afin qu'il puisse tout raser, je ne bronchais pas de peur qu'il me coupe. Après quelques minutes, toujours dans la même position, il me rinça, guidant l'eau avec sa main, puis tenta de nouveau de me mettre un doigt qu'il enfonça plus profond pour tester. Il était satisfait du résultat, moi j'avais ressenti une douleur supportable.
Une fois séchés, nous nous sommes retrouvés sur mon lit, cette fois tous à poil, même celui qui ne bandait pas, c'était dommage, il était bien monté.
Ils me mirent sur le ventre, fesses en l'air pour vérifier le travail, cela semblait leur convenir, puisque le suceur y mit la langue, bava assez pour y mettre son pouce et y entrer.
" doucement lui dit son pote ", qui s'absenta, alors que le suceur m'avait remis sur le dos pour reprendre son léchage sur mes tétons, mon ventre, mon sexe raidi au maximum qui n'attendait que ça.
L'autre revint avec des accessoires (je n'avais pas vu qu'il était rentré avec un sac), il sortit un gode fait de boules de diamètres différents.
Pendant que le suceur s'occupait de mon sexe, mes couilles, mes fesses, son pote se mit à cheval sur mon torse, bascula en avant pour que je suce son sexe en érection. Je commençais par lécher doucement le gland, il insistait pour le faire entrer. Dès que j'ouvris un peu plus la bouche il l'enfonça à moitié en faisant un va et vient. Il profita que j'ouvra la bouche pour reprendre ma respiration pour enfoncer tout son sexe, au point que ma figure touchait les poils pubiens. J'eus un haut le coeur il se retira. Se fut le tour des boules que je devais lécher, essayer d'en prendre une dans la bouche pendant que son sexe se frottait sur mon visage, puis remit son sexe dans ma bouche ; il y avait quelques gouttes de liquide.
Il demanda à son pote si il avait fini, l'autre répondit oui, à ce moment mon cavalier se retira, pour venir me soulever et écarter les jambes afin de libérer mon anus. Je sentis un liquide couler (je craignais que ce ne soit du sperme), il n'en était rien, seulement du gel. Une petite boule frotta mon anus, puis y pénétra sans difficulté, puis doucement, fit pénétrer les autres une à une, je supportais encore la douleur.
Pendant ce temps, le suceur m'avait pris la main pour que je m'intéresse à son sexe endormi. Je le caressai, descendais sur ses couilles grosses mais inertes, passais ma main entre ses jambes, tentais un doigt entre ses fesse, revenais sur sa bite que rien ne réveillait.
Je m'habituais. Au moment où il retira le gode rapidement, je sentis toutes les boules passer. Ce premier dégrossissage terminé, il en prit un d'une taille supérieure, il commença par frotter le bout sur mon anus lubrifié, puis doucement l'enfonça, j'eus un mouvement de recul, mais l'autre me retint et le gode s'enfonça, je supportais assez bien le glande de silicone, mon trou ayant été préparé avec précautions. Il l'introduit un peu plus, je sentais les aspérités frotter. Il fait quelques mouvements, puis le retire. Il se passe quelques secondes de répit, qui servent au suceur à me mette sur le ventre en relevant mon bassin et mes fesses. Je sentis un autre objet plus chaud, plus doux s'enfoncer sans difficulté, le mouvement était régulier, je compris que c'était le sexe du mec qui m'avait godé. Je sentais ses boules heurter mes fesses. A chaque mouvement je poussais un " han " qui l'excitait. Quelques minutes après, il demanda au suceur de me remettre sur le dos. Jambes relevées et écartées, il se remit à l'ouvrage, accélérant le mouvement. Mon sexe était tendu au maximum car le suceur s'en était emparé ajustant son mouvement à ceux de l'autre mec. Il sentit que je me crispais, se retira pour que plusieurs jets de sperme maculent mon torse. A cet instant, l'autre se retira, juste le temps d'arracher la capote, rajouter son sperme au mien. Nous étions repus de jouissance. Nous nous retrouvâmes tous les trois dans la douche, ils se mirent tous les deux à me laver de fond en comble. Je fus le dernier à sortir.
Je les ai retrouvés, tout nu sur la terrasse que la nuit avait envahie, seul la lumière de la cuisine faisait un halo suffisant pour que l'on se voit, sans trop éclairer la pelouse.
Ils étaient en train de boire la bière que je leur avais proposée, lorsqu'ils me virent arriver avec ma serviette, ils l'enlevèrent me disant que je devais être comme eux, que tous les voisins devaient dormir, de toute façon, il faisait nuit
J'étais assis entre les deux gars, tous avions nos sexes au repos après cette partie. Soudain l'un d'eux se leva et s'allongea sur l'herbe, bras et jambes en croix. L'image était belle à voir.
Leur verre terminé, ils rentrèrent, remirent leurs vêtements, me remercièrent pour cette soirée improvisée. Le suceur dit :
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Parfois je reçois des amis chez moi, si tu veux, échangeons nos numéros de téléphone, je t'appellerai pour savoir si tu peux venir passer la soirée avec nous, tu as été super. .
Aurige
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