Au mois de juin de l'année dernière, j'ai du subir une incision juste au dessus de la fesse droite, nécessitant des soins infirmier à domicile.
J'ai contacté le centre de soins de ma commune afin qu'un infirmier vienne faire les pansements journaliers jusqu'à cicatrisation complète. Le premier infirmier qui a sonné à ma porte était un homme d'environ 30 ans, aux yeux bleus derrière une paire de lunettes rondes. Il n'était pas moche, mais pas laid non plus. Ces yeux bleus lui donnaient du charme malgré le léger embonpoint. Il se présenta :
- je m'appelle Alexandre, je viens pour vos soins.
Il voulait voir la plaie afin de déterminer la meilleure façon de me positionner pour effectuer son travail. Je baissais juste ce qu'il fallait mon pantalon pour qu'il voye où cela se situait.
- Ok me dit -il, le mieux est de vous allonger sur une serviette de toilette, à plat ventre sur votre lit, les jambes en dehors.
Je m'exécutais. Il descendit assez mon pantalon pour opérer les soins. Il ôta le premier pansement avec délicatesse. Il me prévint qu'il devait mettre une mèche. Effectivement, je sentis qu'il travaillait sur la plaie. Une fois terminé, il me dit qu'il passerait demain entre dix heures et midi, que parfois ces collègues féminines le remplaceraient.
Le lendemain, Alexandre sonna à ma porte. Je me mis en position. Pendant qu'il nettoyait ma plaie, je voulais savoir si mes soins dureraient longtemps. Il pensait une dizaine de jours.
J'eus pendant plusieurs jours des femmes avant qu'Alexandre ne revienne. Nos discussions devenaient intéressantes, la confiance s'installait, si bien qu'il s'excusa de m'avoir tutoyé. Je lui répondis que cela n'était pas important. Il me proposa d'en faire autant.
Il parlait beaucoup pendant les soins, de sa femme qui était enceinte et autres anecdotes.
Une fois le nouveau pansement fait, au moment de remonter mon pantalon, je croise le regard d'Alexandre qui matait le renflement de mon boxer. Gêné, il détourna la tête. En lui serrant la main pour lui dire au revoir, je lui fis un sourire comme pour lui faire comprendre que cela ne me dérangeait pas.
Le lendemain, j'avais mis un short et un slip taille basse. Il était tout sourire et me parlait toujours autant. Je pris ma position habituelle : allongé sur le ventre. Il descendit légèrement mon short, vit le début de ma raie que laissait voir mon mini slip. Il n'en fit pas cas.
Soudain, il pesta :
- Zut, j'ai trop mis de produit désinfectant ! je suis désolé !
Effectivement, je sentis le liquide froid dégoulinant sur mes fesses. Il prit l'initiative de vite baisser mon slip jusqu'à mi cuisses pour éponger à l'aide d'une compresse le surplus. La compresse passa sur mes fesses et le début de ma raie. Il s'excusa, puis repris les soins.
En me redressant, les soins terminés, alors que je remontais mon slip, il se retourna. Il put voir ma bosse que faisait mon matériel et le début de mes poils tant le slip était ajusté.
Toujours avec cette alternance infirmier, infirmière, je revus Alexandre quelque semaines plus tard. Ne sachant pas que serait lui pour mes soins, j'ai mis un caleçon sous mon short. Toujours dans la même position, et volontairement, je mis short et caleçon à mi-cuisses pour voir sa réaction.
Il dit :
- Tu crains encore que je renverse du produit, que cela tache tes vêtements ?
- On ne sait jamais répondis-je !
- Dans le doute, autant les enlever !
Il ne se fit pas prier. Il fit glisser le tissus jusqu'à mes pieds. J'avais gardé les jambes serrées. Tout en effectuant les soins, et j'en fus à moitié étonné, qu'il me parle d'un club gay situé à une 15 de kilomètres. Je le connaissais sans jamais y avoir mis les pieds, alors que lui me dit que l'endroit était glauque. Peut-être distrait par la discussion, il fit tomber un instrument entre mes jambes.
Il dit :
- décidément, je suis maladroit avec toi ! Je suis confus, peux-tu écarter un peu les jambes pour que je le récupère ?
J'écartais donc les jambes. Il avait une vue sur le prépuce de ma verge repliée sur mes boules. Je sentis sa main frôler mes cuisses en cherchant l'objet. Ce frôlement fit gonfler légèrement mon sexe coincé par mon ventre.
- je lui répondis : j'espère que tu n'es pas toujours comme ça !
- Il me dit : heureusement ! car j'avais une patiente qui avait des soins à faire sur son sexe, imagine si j'avais perdu un ustensile !
J'appréciais son humour qui me fit sourire, son nettoyage étant sensible.
Je lui fis part que je trouvais la durée des soins plus longue qu'annoncée. Il me raconta qu'il avait du faire des soins à un étudiant qui n'avait pas pu passer son bac, la cicatrisation du furoncle qu'il avait mal placé avait durée plus de deux mois.
Ma curiosité me poussa à lui demander ce qu'il voulait dire par " mal placé ".
- Voilà c'est terminé pour aujourd'hui !
- Merci, mais tu n'as pas répondu à ma question.
- Je suis un peu pressé, je te raconterai la suite aux prochains soins
Vint le moment de me rhabiller. Bien en face d'Alexandre, je voyais son regard fixé sur le bas de mon t-shirt d'où dépassaient mes boules, et ma verge légèrement en érection.
Alexandre me regardait sans bouger, sa mallette à la main prêt à partir. Je pus voir un léger rougissement sur ses joues et un renflement que je n'avais jamais vu auparavant au niveau de sa braguette.
En le raccompagnant à la porte, nous nous sommes fixés en nous serrant la main. Alexandre me dit à demain.
Alexandre est arrivé plus tôt que d'habitude, et c'est en peignoir sous lequel ne portais qu'un mini slip qui me moulait bien le devant et montrait derrière une partie de ma raie que je l'accueillis. Dans ma chambre, je me dévêtis pendant qu'il préparait son matériel. Une fois tout en place, face à moi, il me demanda de me mettre en position. Je savais qu'il avait remarqué l'entrebâillement de l'élastique du slip provoqué par mon début d'érection. Je me suis allongé sur le ventre avec juste mon petit slip afin qu'il débute les soins qui devenaient moins douloureux. Dans la discussion, je lui reposais la question :
- Comment faisais-tu pour soigner l'étudiant ?
- Ah, tu n'as pas oublié.
- Ben non, je voudrais bien savoir la suite.
- Il fallait trouver la position la plus pratique. On a d'abord essayé la position à quatre pattes sur son lit. Il devait écarter ses fesses avec ses mains. Je voyais pendre ses testicules et son sexe. Cela me perturbait.
- Je te comprends répondis-je, rien que d'imaginer, cela me fait de l'effet.
- On a donc essayé une position un peu acrobatique. Il se mettait sur le dos, jambes relevées pour être presque à la verticale. Pour que je puisse être à l'aise, je lui demandais de maintenir ses jambes avec ses bras et d'écarter ses fesses avec ses mains. J'avais une vue sur son bouton et sa rondelle. Je pouvais tenir ses boules d'une main et pratiquer lessoins de l'autre.
Rien que de penser à cette vision, ma bite s'était bien relevée au point de sortir décalottée par le haut du slip.
- Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Encore une séance et les soins seront terminés.
En me relevant, Alexandre remarque que je bande bien, son regard fixé sur ma queue dépassant de mon slip et mon gland luisant.
- Tu es dans la même condition que j'étais lorsque je faisais les soins de l'étudiant.
- De me le raconter ne te laisse pas indifférent à en juger par la bosse de ta braguette.
- C'est vrai que je n'ai pas souvent connu de pareilles situations !
- Qui sait ? Quand reviens-tu faire mes soins ?
En regardant son planning, il me dit :
- Jeudi.
- Alors à jeudi.
Je comptais bien pour cette dernière séance mettre le " paquet ". Le carillon m'avertit l'arrivée d'Alexandre. Tout sourire, nous nous rendons dans ma chambre. Cette fois je suis nu sous mon peignoir. Alexandre me dit :
- Tu sors le grand jeu pour cette dernière séance.
- Je veux que tu gardes un bon souvenir de tes prestations.
Je ne m'installe pas tout de suite sur mon lit, regardant Alexandre préparer son matériel. Imaginant la suite que je lui prépare, je commence à bander. Se retournant, Alexandre me voit dans cet état avec un sourire encourageant.
- Allez, allonges-toi sur le ventre.
En m'allongeant, je replis ma queue sur mes couilles de façon qu'Alexandre puisse voir mon gland et mes boules entre mes jambes.
- Voilà, j'ai fini ton dernier pansement que tu l'enlèveras dans deux jours.
Puisque tu es en forme, je vais te montrer comment je faisais avec mon étudiant. Tu vas te mettre sur le dos, tu relèves bien ton bassin, tu tiens tes jambes bien écartées avec tes bras et tu écartes tes fesses avec tes mains.
En me retournant sur le dos, cela libère ma verge qui se retrouve perpendiculaire à mon ventre. Je me positionne, écartant bien mes fesses. Je sens le doigt d'Alexandre toucher le bord de ma rondelle qui se contracte et dit :
- Tu sens mon doigt ? C'est juste là qu'il avait son furoncle.
- Effectivement, ce ne devait pas être facile.
- En plus, je devais lui maintenir les testicules, comme cela.
La main d'Alexandre saisit mes boules pour les soulever. Ma rondelle était entièrement dégagée. Je sentais son souffle qui donnait des spasmes à ma rosace.
- Tu n'as aucun problème de ce côté, je trouve cela très agréable à regarder.
- Je lui dis : A quelques millimètres, je ne sais pas comment tu aurais fait !
- Ce n'est pas difficile, j'aurais fait comme ça.
Son indexe commence à me masser doucement l'anus. Je sens qu'il l'avait mouillé de sa salive pour commencer à l'introduire. Ce début d'investigation me fit gémir, alors Alexandre l'enfonça entièrement sans ménagement. Il le fit aller et venir en le faisant tournoyer pour dilater mon sphincter et y mettre un deuxième doigt qui s'y faufila sans difficulté. Alexandre appréciait les sons que j'émettais. Il fit pivoter ses deux doigts pour aller titiller ma prostate. Il avait visé juste puisque à chaque palpation je poussais un râle de plaisir.
Lorsqu'il retira ses doigts, alors que j'écartais encore mes fesses, je sentis quelque chose de plus dur se présenter à l'entrée de mon anus. Il y pénétra doucement sans marquer de pose jusqu'à ce qu'il touche l'autre sphincter. Alexandre vit que je fronçais les yeux, mais ne s'arrêta pas pour autant. Une fois cet obstacle franchit, cela devenait plus agréable. Il était collé contre mes fesses, je sentais sa présence en moi. Dans la position qu'était la mienne, je ne pouvais pas voir sa bite. Je pensais qu'Alexandre avait une sacrée longue queue.
Il saisit ma verge qui avait perdue un peu de sa vigueur pour la ranimer. Il commença àla branler doucement. Sentant la raideur revenir, il accentua le rythme sans oublier de tirer le plus loin possible sur mon prépuce et décalotter au maximum mon gland luisant en laissant apparaître tous ses reliefs, le bourrelet bien dessiné, l'urètre ouvert, le frein prêt àcéder. Il restait quelques secondes ainsi, comme pour en détailler tous les détails. Je repris une position allongée au moment ou je sentis qu'il avait pris dans sa main nos deux sexes. Je compris à ce moment que ce n'était pas son sexe que je sentais toujours dans mes entrailles, mais un gode.
Il masturbait en concert non deux tiges. Sa queue était aussi dure que la mienne. Nos prépuces glissaient en même temps, nos glands se frottaient de concert. Il les faisait rouler entre ses doigts pour étaler le lubrifiant. A ce rythme, nous n'avons pas résisté longtemps avant que je reçoive deux jets puissants de sperme jusqu'à mon visage, le reste s'est répandu sur mon torse, mon ventre. Jamais je n'avais reçu autant de jus. Après avoir repris notre respiration, Alexandre est allé dans la salle de bain pour nettoyer sa queue. Pendant ce temps, j'utilisais la serviette de soins pour ôter une partie de tout ce sperme sur mon corps. Je finis par retirer doucement le gode pour ressentir encore un peu de plaisir. En voyant la longueur du gode, je compris pourquoi je le sentais aussi profond en moi. Une fois ôté, j'avais l'impression que mon trou restait béant.
Alexandre revenu, j'ai vu sa queue pas entièrement au repos. Elle n'était pas trop grosse, mais assez longue. Son prépuce recouvrait la moitié de son gland, ses testicules bien dessinés, sans poil, pendaient au bout de leur enveloppe bien distendue. Peu de poils garnissaient son bas ventre.
Je le regardais se rhabiller. Ses fesses étaient vraiment bien rondes et galbées. Pas de poils au niveau de sa raie que ma langue aurait bien voulu explorer, mais hélas, les soinsétaient terminés. Avant de quitter la chambre, je lui tendis son gode. Il me dit :
- C'est un cadeau.
- Merci, à chaque fois que je l'utiliserai, je penserai à toi.
J'ai croisé Alexandre sur le parking du supermarché, il m'a demandé comment allait ma plaie. Comme souvent, je ne porte pas de sous-vêtement sous mon pantalon ou short, je baissais légèrement ce dernier pour lui montrer la cicatrice.
- C'est parfait.
- Je garde un très bon souvenir des soins. Je dois dire que je pense souvent à toi.
Mon sourire et le brillant de mes yeux fit comprendre à Alexandre ce à quoi je faisais allusion. Il me répondit par le même sourire.
Aurige
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