Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre 6 | Barbecue entre amis
La chaleur étouffante de l’après-midi passée, nous étions rentrés de la pêche depuis moins d’une heure quand je décide d’aller rapidement prendre une douche. Je n’y croise pas Gérald qui doit, à coup sûr, aider ses parents à tout préparer avant notre arrivée.
Comme il fait encore trop chaud à mon goût, je prends cette fois-ci l’initiative de me mettre en short.
Nous arrivons aux abords de la caravane de Gérald aux alentours de 18h.
Son père est déjà en train de préparer le barbecue et sa mère fait des va-et-vient entre la table et l’intérieur de l’auvent.
- « Ah vous voilà ! Installez-vous, je vous en prie. »
Mon père s’assoit, ma mère demande à Martine si elle a besoin d’un coup de main avant d’en faire autant.
- « Non non ! t’inquiète ! Je m’occupe de tout ! » puis, se tournant vers moi « Gérald est dans la caravane. Il joue à la console, si tu veux aller le rejoindre. »
Je suis Martine sous l’auvent et m’apprête à monter dans la caravane quand sa mère m’interpelle.
- « Par contre, ferme la porte derrière toi. La musique de ses jeux me casse les pieds ! Je viendrais toquer à la porte quand ce sera l’heure de passer à table ! »
- « Pas de souci, madame. »
Et je referme la porte de la caravane derrière moi.
Gérald est assis sur une banquette, manette en main. Il s’était changé et porte un autre short court et un t-shirt Adidas.
- « Ah cool t’es là. Tu veux jouer ? »
- « Bah disons que je suis plutôt une buse aux jeux vidéo. Suis pas très doué à vrai dire ! »
- « T’inquiète ! On s’en fout ! C’est juste pour s’amuser. »
Gérald me tend une manette, m’explique brièvement le but du jeu et surtout les touches et différentes combinaisons. C’est tout simplement un jeu de combat dans lequel on se frite jusqu’à mettre l’autre KO. Gérald lance la première partie, seulement, ayant plus de pratique que moi, il ne lui faut pas beaucoup d’efforts pour mettre mon personnage au tapis.
C’est au bout du quatrième combat que les choses se corsent pour lui. Je commence à bien prendre en main les différentes combinaisons de touches et il m’arrive parfois de presque réussir à le mettre ko.
- « Ah ! Tu vois, tu t’en sors pas mal pour un débutant. »
- « Ouais merci! même si je pense que tu fais un peu exprès de perdre. »
- « J’avoue. Aller ! On joue sérieusement et celui qui gagne le prochain combat a le droit de demander ce qu’il veut à l’autre. Ça te va ? »
- « Ah ! Ah ! Terrain glissant ! Mais tu me connais, je suis joueur ! »
Pari tenu ! Le combat est lancé, je suis proche de la victoire quand il me sors un combo de dingue et lamine mon personnage.
- « Et merde ! J’me suis fait avoir ! Bon je te dois quoi ? »
- « Le gage. Tu dois faire comme moi cet après-midi. Retirer ton short et rester tout nu durant cinq minutes ! »
- « C’est pas risqué ? Et si quelqu’un débarque ? »
- « T’as entendu ma mère ! Elle a dit qu’elle toquerait quand ce sera prêt et t’inquiètes ! Je surveille à travers la vitre. »
- « Bon ok. Mais on fait la revanche après ? »
- « Oui, s’ils ne nous ont pas appelés pour aller à table avant ! »
Je retire donc mon short et le pose à côté de moi.
- « N’oublies pas tu dois être tout nu et tenir 5 minutes ! »
- « Ok. »
Je finis par virer mon t-shirt et me retrouve complètement nu assis sur la banquette en face de Gérald. Le chrono est lancé. J’ai 5 minutes à tenir dans cette situation. Je devrais être en stress et pourtant je me sens en confiance. Pourvu simplement que je ne me fasse pas surprendre.
Il lance une nouvelle partie quand je sens un de ses pieds venir se poser sur ma queue qui commence à gonfler.
- « Hey, t’essayes de me déconcentrer et me faire perdre ! »
- « Mais non, pas du tout. » Il rigole.
- « Bah, regarde ! C’est quoi qui me tripote sous la table ? » lui dis-je avec un sourire.
- « Je sais pas ! » Il se penche sous la table et, à mon tour, je profite qu’il est perturbé et finis par mettre son personnage ko.
- « Oh l’enfoiré! Tu m’as bien eu ! »
- « Ouais et les 5mn sont passées ! »
Je renfile donc mon short et mon t-shirt.
- « Bon à toi de me demander ce que tu veux. »
- « Ce que je veux ? Vraiment ? »
- « Bah oui, c’est le but. J’ai pas le droit de refuser sinon ça entraîne deux autres gages. »
- « D’accord ! Si tu veux. On fixe cette règle. »
- « Du coup, tu veux que je fasse quoi ? »
- « Sortir ta queue sous la table ! »
- « Quoi ? Là maintenant ? C’est facile ! »
- « Non, non ! Sous la table dehors, pendant le repas. »
- « wouah c’est chaud là ! Je risque de me faire choper, tu crois pas ? »
- « Tu m’as dit tout ce que je voulais » lui dis-je en souriant.
- « Je vais essayer mais je te promets rien et surtout, je le ferai au moment qui me semble le mieux ! »
- « Oui, t’inquiète ! C’est juste un pari. »
Au même moment sa mère vient toquer à la porte.
- « C’est prêt les garçons. Venez nous rejoindre pour boire l’apéritif avec nous à table. »
La console éteinte, Gérald et moi partons rejoindre les autres convives à l’extérieur. Heureusement pour lui, j’avais déjà prévu le coup et vu en arrivant que sa mère avait dressé une nappe en papier qui déborde de chaque côté de la table, ce qui, à coup sûr, lui permet de sortir discrètement sa queue sous la table.
- « T’as vu ? » lui dis-je en nous installant côte à côte.
Gérald regarde la nappe et, une fois assis, s’aperçoit qu’elle tombe aisément jusqu’à ses cuisses ce qui le rassure pour ce qu’il doit faire durant le repas. Nous avons convenus d’un signal pour commencer le début du gage qui doit durer 5 minutes : Gérald devait me donner un petit coup de pied dans le tibia pour me donner le top départ.
L’apéritif se déroule tranquillement, son père est toujours debout auprès du barbecue en compagnie du mien, il vaut mieux attendre un moment plus propice.
L’instant du repas arrive et chacun est servi copieusement. Je m’attends à recevoir un coup de pied à un moment donné mais rien. Gérald semble hésiter et pour le rassurer je lui donne un petit coup de pied sous la table. Il me regarde incrédule et me vois lui faire signe de regarder à terre.
Prétextant d’avoir fait tomber ma serviette, il se penche en même temps que moi pour la ramasser et je lui dis discrètement à l’oreille.
- « On le fait tous les deux si tu veux ? »
- « Ok, c’est cool. »
Après quelques instants, plus personne ne se levant de table depuis un moment, c’est à ce moment-là que je prends l’initiative de baisser mon short. Pour le faire en toute discrétion, je prétexte de chercher quelque chose dans ma poche et descends délicatement mon short à mi-cuisses. Gérald qui a compris mon manège glisse sa main sous la nappe et la pose sur ma queue pour vérifier.
Je lui fais un clin d’œil, histoire de lui faire comprendre que c’était à son tour de se lancer. Il attend quelques minutes puis utilise la même technique que moi et finit lui aussi short baissé.
Nos deux queues à l’air mais cachées par la nappe, nous continuons à manger en essayant, lui comme moi, de contrôler nos érections.
Je regarde ma montre en réfléchissant déjà à une façon discrète de remonter mon short au bout des cinq minutes quand je sens la main de Gérald venir essayer de tirer sur mon short pour le faire descendre plus bas. Personne ne nous observe quand Gerald me fait signe de regarder à mon tour au sol.
Son short est là, par terre, sous la table entre nos deux chaises. Il est donc complètement à poil sous la nappe ! Excité par la situation, je me laisse faire et sens doucement glisser mon short jusqu’à le retrouver à terre à côté du sien poussé jusque là par son pied.
- « Nous voilà bien maintenant » lui dis-je discrètement.
- « T’inquiète ! La nuit commence à tomber. »
Je vois alors la main de Gérald disparaître sous la table et venir caresser ma queue. Ses doigts glissent délicatement sur ma tige dans un mouvement de va et vient. J’ai la queue enflée et ses mouvements répétés risquent de me faire gicler sous la table.
- « Arrête, je vais pas tenir ! » lui dis-je discrètement en enlevant sa main.
Gérald souriant comprend l’allusion et remet sa main sur le dessus de la table puis attrape sa fourchette pour continuer à manger.
On reste quelques instants comme ça puis on entreprend de traîner chacun discrètement nos shorts respectifs jusqu’aux pieds de nos chaises.
Les 5 minutes sont déjà dépassées et il ne reste plus qu’à trouver le moyen de remettre nos shorts sans trop nous faire voir.
C’est à ce moment-là que son père se lève de table.
- « Faut vite fait que j’aille au bar du camping. J’ai bientôt plus de clopes et j’ai pas eu le temps d’en acheter en ville. »
Mon Père se lève à son tour et prétexte le besoin d’une petite balade digestive pour l’accompagner. Nos pères s’éloignent en direction de l’entrée du camping, la mère de Gérald qui a fini, commence à empiler les assiettes et les couverts.
- « Alors les gars, vos assiettes ne sont pas près de se vider à ce rythme. Vous n’avez plus faim ? »
Situation difficile. Toujours culs nus sur nos chaises, il nous faut attendre la moindre occasion de pouvoir nous retrouver seuls à table afin de remonter vite fait nos shorts.
- « Non, non, on prend notre temps mais tu peux commencer à débarrasser quelques trucs, si tu veux maman ! »
- « Ok. Mais dépêchez-vous tant que vous pouvez encore y voir ! La nuit tombe vite. »
Elle se lève de sa chaise, prend la pile d’assiettes dans ses mains et se dirige vers l’auvent suivi par ma mère qui l’aide en portant des bouteilles.
Plus personne ne pouvant observer nos faits et gestes, Gérald et moi nous penchons au même instant sous la table afin de remonter nos shorts. Nos mères au loin finissent de ranger les trucs dans le frigo tout en discutant.
- « Putain, t’as carrément viré ton short ! »
- « Bah, à vrai dire, je ne l’ai pas fait exprès. Il a glissé et j’ai essayé de le retenir mais c’était trop tard. »
- « Ahah ! Du coup, t’as voulu que je me retrouve dans la même situation gênante que toi ! »
- « Ouais j’avoue, c’était stressant au départ. »
- « Tu m’étonnes ! En plus que t’as failli me faire gicler sous la table. »
- « Ouais désolé ! J’avais trop envie de jouer avec ta tige. »
- « Bah, j’aurais bien voulu en faire autant mais il fallait essayer de rester un minimum discret. »
- « Oui, je comprends, t’inquiète ! Du coup, on s’en est pas trop mal sortis ! »
Je regardais Gérald en souriant, lui faisant signe de se regarder.
- « Oui, sauf que moi, je n’ai pas remis mon short à l’envers, imbécile ! Tu risques d’avoir l’air con en te levant avec le short retourné et l’étiquette à l’avant. »
- « Putain merde. Surveille vite fait si elles reviennent vers nous. »
- « Non ! T’inquiète ! Elles nous tournent le dos. Vas-y ! »
Gérald retire à nouveau son short. Il bande toujours. Je profite de le voir accroupi à essayer de renfiler son short dans le bon sens pour prendre sa queue en main et le branler frénétiquement.
- « Putain, déconne pas Ethan ! »
Il est à moitié replié sur lui-même, les mains sur son short essayant difficilement de le remonter, mes doigts caressant délicatement son gland.
- « Vengeance pour tout à l’heure quand t’as failli me faire balancer la sauce ! » Et je retire ma main de façon à le laisser remonter son short.
La petite branlette improvisée dure moins d’une minute et nous sommes toujours seuls à table, nos mères étant toujours sous l’auvent à préparer le café quand nous entendons des pas sur le chemin gravillonné, à coup sûr, nos pères qui reviennent du bar.
- « ça y est, les gars, vous avez enfin fini vos assiettes ? Tu connais la règle Gérald : c’est le dernier à avoir terminé qui se tape la vaisselle ! »
- « Ah ! C’est un peu de ma faute, M’sieur ! Du coup, j’irai la faire avec lui. »
- « Pas de souci, les gars, mais il est tard et on va remettre la vaisselle à demain matin.
Le reste de la soirée se passe tranquillement. Nos parents buvant leur café à table, Gérald et moi sommes retournés dans sa caravane et avons décidé de calmer le jeu, déjà fiers de ce qu’on avait réalisé. On ne veut plus trop courir de risque.
- « On refait une partie ? » me propose Gérald.
- « Ouais, si tu veux, mais je pense à un truc. »
- « Ah bon, à quoi ? »
- « Bah, je me demandais si tu es toujours partant pour la balade cette nuit ? »
- « J’sais pas. C’était déjà bien risqué ce qu’on a fait tout à l’heure. »
- « Ouais, un truc de malade. En plus, tu mouillais quand j’avais les doigts sur ton gland ! » J’esquisse un sourire.
- « Grave ! Dommage qu’on ait dû s’arrêter. »
- « Alors pour cette nuit ? »
- « Au pire je te propose un truc. À vrai dire, ça sera une surprise et, si je me décide à venir, je viendrai secouer ta tente. »
- « Ok mais viens après 2h du mat’ comme ça, on est sûr que le camping est désert. »
- « Pas de souci, mais passé 2h30, ne compte plus sur moi ! Je me serai endormi. »
- « Ou bien tu te seras dégonflé ! » lui dis-je en souriant.
Gérald se penche par-dessus la table et comprenant ce qu’il cherche à faire, j’approche mon visage. Ses lèvres viennent se déposer sur les miennes.
- « J’adore la douceur de tes lèvres. »
- « Attends ! T’as pas encore goûté ma bite. »
- « Putain, t’es con ! »
- « Ouais, mais t’es Love de moi ! »
- « ça se pourrait bien ! »
Après relecture d’Amical072
Ethan world
ethanland.fr@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Vacances au camping
