1 | Yaourt Bulgare
Valente vient d'arriver sur cette aire de repos réputée pour ses rencontres chaudes entre mecs. C'est son lieu de chasse de prédilection. Il est jeune, à peine vingt ans, joli comme un cœur,... et voleur comme une pie.
Ses parents l'ont jeté dehors à sa majorité et depuis, il vit de petits larcins et de prostitution. Il aime bien pratiquer les deux. Surtout le vol, ça lui donne à chaque fois une poussée d'adrénaline qui l'incite à recommencer. Même si c'est dangereux.
Aujourd'hui, il est en mode "Lupin". Il vient de repérer un poids-lourd originaire de Bulgarie. C'est souvent sa meilleure clientèle. Pas assez fortunée pour se payer une pute mais suffisamment argenté pour cacher l'argent du voyage dans la cabine.
Le type qui sort du camion n'est pas à son avantage. Courtaud, face bouffie et gros ventre d'ivrogne.
Tout ce que Valente préfère... Ah! Les temps sont durs, que voulez-vous!
Voulant sans doute se dégourdir les jambes, le chauffeur bulgare vient pisser dans les herbes hautes et les broussailles qui bordent le parking. Ils s'observent du coin de l'œil. Valente finit par se rapprocher et sort sa queue à quelques mètres de lui. Complètement scotché par son audace et son sans-gêne, un coup de chaud traverse le corps bedonnant du routier. Valente manipule son engin qui ne tarde pas à s'allonger. Près de 21cm, ça passe pas inaperçu. Il constate que l'autre bande immédiatement. La vue de son sexe en érection est une aubaine pour le jeune prédateur.
Le gros finit de pisser tant bien que mal, presse le gland pour évacuer les dernières gouttes, puis fait signe de la tête à Valente de le suivre. Décidément, ces mecs de l'Est ont peur de rien. Il regarde autour de lui par réflexe, puis le rejoint.
Le routier se dirige vers l'avant de son camion. Il s'est garé un peu à l'écart, dans un endroit où la cabine est presque sous les arbres. Les roues écrasent la végétation mal entretenue, laissée à l'état naturel. L'endroit est tranquille, bien à l'abri des regards. Valente ne pouvait rêver mieux. Il va pouvoir exercer son art en toute quiétude.
Le routier commence à baragouiner quelques phrases dans sa langue natale, mais cesse de parler quand il comprend que Valente ne capte rien. Qu'il économise sa salive, ce con, elle lui servira à tartiner son œillet.
Adossé à l'avant de la cabine du poids-lourd, les genoux contre le tableau de bord, il baisse son short large pour se mettre à l'aise. Le mec est vraiment balèze, avec de grosses couilles bien pleines. Valente est assis côté passager. Il a repéré le portefeuille posé sur le rebord du pare-brise. Oh! L'imprudent! C'est un appel au vol...
Ça donne du cœur à l'ouvrage à Valente qui se penche et gobe cette queue dressée. Elle sent fort, un mélange à la fois de pisse, de sueur, de sperme séché,... Sans doute a-t-elle marinée dans son jus depuis plusieurs jours. Notre jeune voleur lui malaxe les couilles pour le mettre en confiance. Il ne pensait pas qu'on pouvait en avoir d'aussi lourdes ni d'aussi volumineuses.
Valente s'applique à l'astiquer. Il fait taire son dégoût, appâté par son prochain butin. Il a souvent affaire à ce type de personnages: la cinquantaine, corpulents, sales, moches... à croire qu'il est condamné à se taper tous les thons de la société pour survivre.
Le routier a repris sa bite en main et la décalotte complètement. Il joue avec, avant d'obliger Valente à l'emboucher au maximum de ses possibilités.
Le nez dans son pubis, il sent ses grosses baloches taper contre son menton. Sa queue est courte mais sacrément épaisse. Le bulgare lui saisit la tête et imprime des va-et-vient puissants comme s'il baisait une chatte. Valente salive un maximum sur son mandrin et ses lèvres coulissent tout en l'aspirant. Il évite les dents qui râperaient la bite et ouvre la bouche en grand professionnel, même si sa mâchoire finit par devenir douloureuse.
Sentant sa proie de plus en plus excitée, notre suceur s'applique à lui faire des gorges profondes. Sa langue passe sur son gland comme pour le caresser. Sa main s'active à le branler mais une pression de sa grosse paluche fait comprendre à Valente que c'est la douce chaleur de sa bouche qu'il veut et il l'embroche sans façon, le laissant à peine respirer.
De temps en temps, quelques mots bulgare s'échappent de sa bouche. Notre routier a l'air d'apprécier. Sa jouissance ne semble plus très loin...
Valente s'active à le satisfaire. Son manche est maintenant dur comme du bois et le gland gonflé, tendu à l'excès, suinte d'une mouille abondante.
Son bassin se tend vers Valente, ses jambes s'écartent encore plus pour profiter. Il replace sa main derrière la nuque de son jeune suceur et gémit à n'en plus finir. Sans prévenir, il jouit et le gave de son sperme.
Une giclée chaude et gluante vient lui tapisser le palais puis il sent un déferlement de foutre lui remplir la bouche. Le mec crache tout ce qu'il a dans les couilles.
Putain, quel torrent!!! La bouche de Valente est pleine, gluante, et ce gros porc continue de cracher. Il finit par lâcher la pression de sa main et s'assure que son vide-couilles a tout récolté de sa copieuse ration. Le goût de son yaourt bulgare est salé, fort, et la consistance visqueuse, épaisse, vraiment très particulière. C'est toujours agréable de consommer exotique.
Avec deux doigts, il saisit son manche et arrive à extraire deux dernières gouttes de son nectar qu'il porte à sa bouche. Puis il l'oblige à lui nettoyer le bambou.
Il fait mine de remonter son short quand Valente l'arrête. Il n'en a pas fini avec lui. Il en veut pour son...argent. Il retourne le routier encore sonné et le positionne contre le siège, le cul bien exposé et la tête dans la cabine.
Il vérifie que le portefeuille est toujours contre le tableau de bord et pointe son gland à l'entrée de ce gros cul balkanique. Les genoux de Valente écartent ses jambes poilues pour une meilleure pénétration. Le pauvre! Il n'a pas vu l'énorme membre de 21cm qui va le perforer.
Il crache sur ses doigts, les passe sur sa bite et, bien ancré comme un navire sur un banc de sable, s'enfonce d'un coup sec. La pastille cède sous l'assaut, arrachant au passage un juron bulgare. Le gland, la hampe, bref, tout son bazooka investit ce boyau graisseux. Un seul et unique coup de rein avant que ses couilles ne touchent ses fesses. 21cm, pour sûr, va y avoir des séquelles. Il risque de marcher quelques temps les jambes écartées dans les rues de Sofia.
Valente accentue la pression. Le sphincter élargi coulisse mieux et le gland glisse toujours plus loin dans ce fourreau qui le serre à l'extrême. La douleur le fait se trémousser en tout sens, agitant son gros cul poilu autour du chibre d'acier de Valente.
Mais ce dernier n'oublie pas pourquoi il est ici. Il se saisit du portefeuille, regarde les photos de famille tout en le pilonnant. Une femme et deux grands enfants. Que diraient-ils s'ils le voyaient en cet instant?!... Il repère les billets de banque. Mazette! C'est une vraie fortune... Au moins quatre cents balles. Il est tenté de tout prendre, mais si Valente n'est pas le plus grand des voleurs, il n'en reste pas moins un vrai gentleman.
Il décide d'en finir. Il redouble de violence, plonge entre ses cuisses et finit par lâcher six jets puissants qui tapissent son intérieur. À chaque giclée, Valente retire un billet de 20€ de la liasse. Bon prince, il ne compte pas les dernières gouttes qui rejoignent les litres de foutre au fond de son estomac.
Il tapote l'épaule du routier exténué. Il faut savoir donner de sa personne. Toute peine mérite salaire... même en liquide.
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
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