Samedi après-midi
Cela fait maintenant une heure que j'enchaîne les bassins. Près de six kilomètres dans les bras et dans les jambes. Une dernière longueur et je m'accroche au rebord pour reprendre ma respiration. Je suis rompu à ce genre d'exercice de part mon métier. Je suis commandant dans les forces spéciales, sous le commandement de l'OTAN.
Je vois ma toison de poils ruisselants battre à un rythme élevé. Peu à peu, ma respiration s'apaise. Je lève les yeux de ma poitrine pour jeter un coup d'œil dans les vitres de la piscine: cheveux rasés, barbe hirsute, yeux sombres, physique de sportif accompli, j'ai conscience d'être un bel homme malgré mes 45 piges.
J'aime me rendre dans cette piscine municipale pour m'entraîner. Mais je ne suis pas ici uniquement pour le boulot. Il est temps de joindre l'utile à l'agréable.
Je m'accoude tranquillement en observant la population de nageurs, à la recherche de ma proie. Autour de moi, des vieilles qui font leur séance d'aquagym, des jeunes qui chahutent, des mères célibataires avec leurs mioches... et un jeune papa qui joue avec son gamin de huit ans.
Je me transforme immédiatement en mode prédateur, le regard d'un fauve en chasse qui a repéré sa proie.
Mon joli papa, la trentaine, s'amuse dans le petit bassin avec son fils et une grande brune que je devine être sa femme. Il est vraiment craquant avec sa barbe de trois jours, ses cheveux blonds coupé courts, sa musculature bien dessinée et une ligne de poils fin qui part du nombril et disparaît sous le speedo bleu turquoise que je devine bien rempli. Humm!!! Je suis gâté aujourd'hui. Mon adorable papa va goûter à une grosse saucisse et je suis sûr qu'il va adorer. Je vais en faire mon quatre heures. J'en salive d'avance... ainsi que ma queue qui se redresse dans mon maillot.
Je le fixe intensément. Il ne s'aperçoit de rien jusqu'à ce qu'il croise mon regard. Il s'arrête de bouger pendant une seconde, avant d'être gêné par mes yeux inquisiteurs et reprendre ses jeux avec son fils.
Putain, son regard de braise m'a immédiatement allumé. Je l'ai senti troublé. Le type n'en a sûrement pas eu conscience, mais moi j'ai décelé des signes qui ne trompent pas. Ce mec est un soumis. Sous ses airs d'hétéro sûr de lui, il a besoin d'être dominé, rabaissé à sa condition de femelle par un mâle comme moi. Sa bouche ne va bientôt comprendre qu'une chose: téter de la bite. Un de plus qui va enfin découvrir sa vraie nature...
Pour l'heure, je le suis des yeux. Il fait passer son fils entre ses jambes, rajuste son maillot, rit de bon cœur quand son rejeton boit la tasse. Bordel, ce mec me rend dingue. Je suis sûr qu'il va me jeter un nouveau coup d'œil. Impossible qu'il lance ce genre de regard s'il n'a pas des papillons dans l'estomac. Je le fixe intensément pour qu'il sente le poids de mon regard.
Il finit par me regarder à nouveau. Cette fois il tourne immédiatement la tête et devient rouge. Putain, je le savais, je lui ai tapé dans l'œil!
Je regarde autour de moi, et mine de rien, je traverse le bassin à la nage afin de me mélanger aux autres nageurs. Je me retrouve tout prêt de mon joli papa. Lorsqu'il me cherche des yeux, il est surpris et gêné de me voir aussi proche de lui. Cette fois c'est moi qui brise le jeu du regard. Il importe de ne pas être repéré. La centaine de nageurs ne doit se rendre compte de rien. Sans parler de sa femme.
Mais la graine est plantée. Le vers est dans le fruit. J'ai tissé ma toile et il vient de s'engluer dedans. Je sais qu'il va me regarder toutes les quinze secondes. J'ai pris le pouvoir.
Je continue à l'observer par tranches de 5/7 secondes, un sourire amusé sur les lèvres quand nos yeux se croisent. Je m'apprête à lui faire signe quand sa femme l'appelle depuis le banc. Ma proie parait surprise et déçue de devoir quitter le grand bassin. Il rejoint sa petite famille sans me regarder.
- Bordel!!! NON. Ils vont pas partir. Pas maintenant! Je suis capable de le violer dans les cabines en présence de son fils. Ce petit con m'a trop excité.
Il me jette un regard à la dérobée tout en discutant énergiquement avec sa femme. Il doit sans doute négocier quelques minutes supplémentaires. Putain, ce mec en veut. Il est prêt à tout pour se faire crémer la rondelle.
Après moult palabres je le vois abandonner sa femme et son mioche pour plonger dans la piscine. Il entreprend deux longueurs qu'il a du mal à terminer. Il n'est pas aussi sportif que je le supposais. J'ai rejoint l'endroit le plus profond de la piscine où peu de nageurs s'aventurent. Je le vois arriver à ma hauteur, prendre appui sur le rebord, le souffle court. Il n'ose me regarder, rouge de honte et sans doute de désir. Je devine sa main disparaître dans son maillot de bain bleu turquoise. Il faut que j'en ai le cœur net! Je prends une respiration et plonge. Effectivement sa main s'active sous le lycra. Ses fesses s'agitent et se contractent à chaque mouvement de poignet. Quelle petite allumeuse! J'ai envie de lui saisir fermement les jambes et les lui écarter comme une vulgaire pute à violer... Mais non, je ne peux pas, il y a trop de monde. Quoi que... pourquoi ne pas tenter si je reste discret?
Je remonte à la surface à quelques mètres de mon provocateur. Je vérifie autour de moi que personne ne remarque mon manège. Il y a bien le maître-nageur, perché sur sa chaise et qui nous regarde du coin de l'œil, mais je suis trop excité pour me refréner. Tant pis pour les conséquences...
Je reprends une nouvelle respiration et hop! sous l'eau. Mon joli trentenaire s'astique toujours le manche. Je ne suis qu'à quelques centimètres de sa bosse. Je lui agrippe les deux chevilles avec fermeté et les écarte le plus possible. Il est désarçonné mais ne me repousse pas. Le contrôler ainsi me fait légèrement gonfler le zob. Je m'éloigne, par manque d'air dans les poumons. Je le vois, une main accoudée à la margelle, rouge comme un coquelicot. Je regarde autour de moi. Personne ne semble faire attention. Je voit le maître-nageur sur son perchoir. Un beau quadra, cheveux courts, barbe soigneusement taillée, des yeux noisettes qui nous scrutent. Je sais qu'il a tout vu, mais il ne dit rien. Pire, je crois même que son maillot de bain noir a doublé de volume. Il a posé une main dessus sa grosse bosse et je vois son poignet s'activer discrètement. Je vais lui en donner pour son argent à lui aussi. Il ne va pas manquer une miette du spectacle. Il est aux premières loges, mais la prochaine fois c'est lui qui sera l'acteur principal.
Je replonge une troisième fois en direction de ma proie. Mais cette fois, je remonte à sa hauteur. Il veut dire quelque chose mais je lui intime l'ordre de se taire. Avec un sourire féroce, je lui sort la main de son speedo et la plonge d'autorité dans mon maillot de bain. Il entrouvre la bouche à la fois surpris et choqué par ce qu'il touche. Ce doit être sans doute la première fois qu'il tâte le service trois-pièces d'un autre homme. Il est impressionné par ce qu'il a entre les doigts. Vingt-deux centimètres bien épais. À l'aide de ma main, je guide mon puceau. Ses doigts glissent sur mes poils, voyagent dans ma toison jusqu'à prendre possession de mes couilles bien pleines. Après quelques secondes à rester sans bouger, mon joli papa fait rouler mes boules entre ses doigts. Il y prend un réel plaisir, vu la bosse indécente qui étire le fin tissus de son maillot. Je me retiens de soupirer de plaisir et surveille les alentours tout en jetant des regards pervers à mon bel hétéro pour l'inciter à découvrir ma grosse bite bandée. Il semble avoir compris mes attentes. Il attrape mon manche à pleine main. La sensation est grisante et je ne peut m'empêcher de râler de contentement. Il entreprend de lui-même un mouvement de va et vient. Il manque de pratique, il le sait. Il me jette régulièrement des regards pour vérifier qu'il s'y prend bien. Mes râles de plus en plus sonores lui indiquent qu'il est sur la bonne voie. Il accélère... Le salaud va me faire jouir. Putain!!! C'est trop bon. Un dernier coup de poignet et sans attendre mon approbation il me fait décharger des litres de foutres qui se répandent dans le chlore. Une fine traînée blanche qui dérive vers le large. La prochaine tasse risque d'être salée...
Le temps que je retrouve mes esprits, mon beau branleur s'est éclipsé pour rejoindre sa petite famille qui commençait à s'impatienter. Je le vois remonter par l'échelle, une demi molle dans le maillot. Il se dispute avec sa bonne femme avant de ramasser ses affaires et passer devant moi, son fils à ses côtés. Il m'ignore complètement. Ah, ces hétéros, tous les mêmes... Passé le moment d'égarement, ils reprennent leur vie normale comme si rien n'était arrivé.
Je reste encore un peu dans l'eau. J'expurge les dernières gouttes de spermes puis je sors du bassin et me dirige vers les vestiaires. En passant devant le maître-nageur, je me souviens tout à coup qu'il nous regardait bizarrement depuis son promontoire. Il est toujours assis, me dévore du regard et écarte bien grand les jambes quand je passe sous sa chaise. Son maillot de bain noir laisse apparaître deux énormes boules et une longue tige que sa main caresse ouvertement. Putain, ce beau quadra m'allume sur son lieu de travail. Mais je suis vidé. Il n'a qu'à laper mon foutre qui flotte à la surface.
Avant de partir pour une mission de l'ONU, je me promets de revenir.
SAMEDI SUIVANT
Je décide de me rendre à la piscine de ma ville la semaine suivante, même jour mais à une heure de la fermeture. Je sais qu'il y aura moins de monde. Ce sera plus facile pour me lever un hétéro.
Je me change dans les vestiaires. J'ai opté pour un maillot de bain rouge vif qui moule bien mon service trois pièces.
Lorsque je pénètre dans l'espace piscine, j'ai l'heureuse surprise de tomber sur mon allumeur de maître-nageur et sur mon petit papa qui joue avec son fiston. Il ne m'a pas encore repéré. Je m'installe au fond du bassin, au même endroit où j'ai joui la semaine dernière, et j'attends. Il ne met pas longtemps à me reconnaître. Il rougit. Soudain, ses jeux avec son fils ne l'intéressent plus. Il préférerait jouer avec ma queue. Je l'entends appeler sa femme. Elle se charge de leur progéniture pendant que lui entreprend quelques longueurs. Il vient se caler près de moi. Il est beaucoup moins timide. Il me salut de la tête puis plonge directement sa main dans mon maillot. Ben, dis donc, en une semaine il en a fait des progrès, mon jeune papa. Il me malaxe la tige comme un pro. On dirait qu'il a fait ça toute sa vie. Je suis obligé de calmer ses ardeurs. On est moins nombreux dans l'eau à cette heure-ci, quelqu'un pourrait remarquer notre manège. Je pense soudain au maître-nageur. Je lève les yeux dans sa direction. Il nous mate sans retenue. Il voit très bien ce qui se passe depuis sa chaise. Mais il ne dit rien. Mieux, je le vois se caresser discrètement. Qu'il en profite bien car aujourd'hui je ne lui donnerai pas le spectacle de mon sperme dérivant dans la piscine. J'ai d'autres projets pour mon beau papa. Je lui chuchote quelques mots à l'oreille avant de le voir sortir et prendre la direction des douches.
Je sors du bassin à mon tour et me dirige vers les vestiaires, le corps ruisselant d'eau. Je vois bien les regards envieux des nageurs se tourner vers moi. Majoritairement des filles, quelques mecs aussi... mais ce n'est pas eux que j'ai en tête aujourd'hui. Aujourd'hui, je vais taper dans le fond d'un jeune trentenaire marié.
Je passe devant mon beau maître-nageur. Il est dépité. Il fondait tellement d'espoirs sur nos ébats aquatiques. Il aimerait bien nous rejoindre mais il est en plein taf. Il ne peut pas abandonner sa surveillance.
Je rentre dans les vestiaires avant de me glisser dans les douches communes. L'ambiance est bien plus tamisée et humide. L'architecture carrelée produit des sons résonnants et moites très évocateurs de mes idées salaces. Je repère mon jeune papa qui se douche dans le coins le plus sombre. Il me tourne le dos. Je m'installe à côté de lui et lui malaxe le cul. Il se retourne, prêt à riposter mais se calme en me reconnaissant. J'attrape mon paquet à travers le maillot et le secoue vulgairement devant lui, fier de moi.
- Viens, approche! C'est ça que tu veux, hein?!
Il ne dit rien mais ses yeux suivent les rebondissements de mon service trois pièces. Il est transfiguré. Il finit par tendre la main tout en regardant derrière lui pour s'assurer de pas être vu. De lui-même, il attrape ma bite à travers le tissus et la branle doucement. La sensation est grisante. Ce simple contact m'arrache un soupir de bien-être. Mis en confiance, son autre main entreprend de caresser mon torse poilu. Ses doigts se perdent dans l'épaisseur de mes poils. Sa main descend ensuite le long de mes abdos bien sculptés avant de finir sur mes couilles. Il les soupèse délicatement, les fait rouler entre ses doigts. Je sens que ça le fait kiffer de pétrir mes boules à travers le lyra. Il me jette régulièrement des regards pour voir s'il s'y prend bien.
Je décide qu'il est temps de passer aux choses sérieuses. J'appuie sur les épaules de mon mignon petit papa. Il hésite une seconde. Il sait ce que j'attends de lui. Il peut encore faire marche arrière, s'enfuir et retourner voir sa femme et son gosse. C'est toujours un cap fatidique pour un hétéro. Le point de non retour. Je maintiens ma pression. Il se laisse tomber sur les genoux, sa bouche à quelques centimètres de mon gourdin. Il est fasciné par cette tige monstrueuse qui déforme le lycra. Il se dit qu'il peut tenter de la lécher. Après tout, elle est prisonnière du tissus. Il ne sera pas directement en contact avec elle. Il sort une langue timide. Il me jette un dernier regard avant que je n'appuie sur sa tête.
Je profite de son désarroi pour baisser mon maillot de bain. Mon mandrin se redresse tel un ressort trop comprimé. Mon gland rebondit sur son front. Il n'a jamais vu quelque chose d'aussi long, d'aussi gros...
Je promène mon dard sur ses lèvre fermées et lui intime l'ordre d'ouvrir la bouche. Il n'offre aucune résistance. Je passe le barrage de ses lèvres et introduit ma colonne de chair sans ménagement. Mon gland cogne contre son palais. Il a un geste de recul. Il n'a pas l'habitude d'une telle intrusion, c'est sa première pipe. Il faut qu'elle reste gravée à vie dans son cerveau.
Ma queue n'est clairement pas encore raide mais elle a du mal a rentrer entièrement dans sa bouche. Il finit par s'habituer à cet intrus. Il bave bien, me caresse encore les couilles et n'a plus peur de saliver sur ma bite. Mes 22cmX 6 se développent et deviennent aussi rigide que du bois. Ce mec est doué. J'ai très envie de lui violer la bouche. Je lui attrape l'arrière de la nuque et commence à imprimer un rythme de pipe effrénée que je transforme petit à petit en baise de gorge. Mon joli papa bave de plus en plus. Il suffoque, mais le bruit des jets de douche atténuent le son.
À un moment, mon gland tape un peu trop fort au fond de sa gueule et glisse de lui-même à l'intérieur de sa gorge sur une bonne longueur. Je le vois étouffer. Il veut s'extirper mais je le retiens de force. Je veux savourer cette gorge vierge qui me réchauffe si bien le gland.
Je finis par relâcher mon emprise. Je le vois s'effondrer sur le carrelage, les yeux rouges et le bas du visage baveux. Il me jette un regard de chien battu qui me rends fou. Je l'ai définitivement maté. Je l'attrape par dessous les aisselles et le remets sur ses genoux.
- Continue de pomper. T'es super doué pour un hétéro. Ouvre juste ta bouche et laisse-toi faire.
J'en n'ai rien à faire de ce qu'il ressent pour être honnête. Je veux juste lui faire découvrir le passif qui sommeille en lui.
Je reprends ma défonce buccale. Sa cavité est délicieuse. Il bave suffisamment pour donner l'impression de pénétrer un vagin bien gluant. Sa tête ressemble beaucoup plus à un masturbateur qu'à un visage vu la vitesse à laquelle je le pilonne. Il suffoque, râle,... manque de s'évanouir. Mon joli papa hétéro est complètement utilisé et abusé mais j'en ai rien à foutre. Seul mon plaisir compte. Lui qui espérait découvrir les joies de l'homosexualité, avec moi il est servi. La seule chose que je lui offre c'est la violence avec laquelle j'utilise sa bouche.
Des bruits de pas se font entendre et une ombre se profile sur le mur. Merde, quelqu'un arrive. Je relève mon soumis et actionne le bouton d'eau chaude. Un homme, la quarantaine, entre et s'installe entre nos douches. Putain!!! c'est le maître-nageur. Il a réussi à se libérer. Il en pouvait sans doute plus de nous savoir dans les douches en train de nous tripoter. Je le sens chaud, tout comme le jet d'eau qui humidifie son maillot de bain noir. Il prend sa douche tout en me fixant. Il a une trique d'enfer qu'il ne cherche même pas à dissimuler. Je lui fait face et me touche un peu la queue tandis que mon petit papa reste sagement dans le coin le plus sombre en attendant qu'il déguerpisse pour que je puisse continuer mon viol. Il nous tourne le dos et profite de l'eau chaude pour se détendre.
Mon beau quadra tente de m'ignorer. Il a fermé les yeux et commence à se savonner le haut du corps. Il prend une petite noisette de mousse blanche qu'il répartit sur tout le torse puis descend jusqu'à ses abdos qu'il a bien apparents. Il profite des jets puissants pour glisser une main dans son slip de bain et se malaxer les couilles. Bordel!!! Il est en train de m'allumer sur son lieu de travail. À présent, il a empoigné son manche qu'il branle sans retenue dans le maillot. Je vois ses doigts monter et descendre de plus en plus vite... il a l'air d'en avoir une grosse. Ce con me fait triquer. Me voilà devant un choix cornélien. Mon jeune père de famille ou ce bel étalon dans la force de l'âge?! Mes yeux vont de l'un à l'autre... Décidément, le choix est difficile.
Comme s'il voulait emporter la décision, mon maître-nageur vient de se retourner. Je peux admirer son dos puissant, ses trapèzes bien définis et surtout ce petit cul bombé qui pointe dans ma direction. Il actionne l'appareil à savon, fait couler un jet puissant puis s'enfonce un doigt dans la raie à travers le tissus du maillot de bain. Putain, ce mec est prêt à tout pour se faire sauter. Il prend des risques inconsidérés. Je pourrais le dénoncer, il perdrait à coup sûr son boulot. Mais non, cette grosse salope n'a qu'une obsession, ici dans les douches, se faire exploser la rondelle. Peu importe les conséquences...
Des pas résonnent dans le couloir. Bientôt un femme apparaît, avec le logo de secouriste sur le T-shirt.
- Ah! Jeff, je te cherchais. On a besoin de toi à l'infirmerie. Une mamie s'est blessée.
Je le vois sortir précipitamment, sans le moindre regard à mon encontre. Bon, ce n'est que partie remise. Je vais pouvoir me concentrer entièrement à mon petit soumis qui attend bien sagement dans un coin. Je le tire vers moi. Je le trouve soudain moins motivé. Sans doute l'attente ou sa femme qui doit s'impatienter. Sans compter qu'il vient d'être mis en balance avec un mec plus mûr sans garantie de succès.
- Suis-moi!
Je passe le couloir et prends la direction des cabines.
- Je vais bien m'occuper de ton petit cul vierge.
Il me regarde sans répondre. Sans doute regrette-t-il maintenant de m'avoir allumé, même si ses yeux sont incapables de dire non. Il appréhende ce qui va suivre mais au fond de lui, il sait que je vais pouvoir l'utiliser à ma convenance.
Une fois dans la cabine, je lui baisse son speedo et le met dos à moi, les mains en appui sur la porte. Je passe mes doigts sur ses fesses velues. Ma bite prend des proportions démesurée, je la sens palpiter et bondir à chaque fois que j'écarte les fesses de ma pute résignée.
Je crache dans ma main et enduis son trou de ma salive. Il a un geste de recul. Je le repositionne en lui écartant les jambes. Il a la tête baissée, les mains bien à plat sur la porte de la cabine. Je peux voir son alliance scintiller. Ça m'excite encore plus.
Il sent que quelque chose de brutal va bientôt se produire. Il tente de calmer la panique qui monte en lui. Il respire profondément. Je tente de le rassurer.
- Ça va le faire. Écarte bien tes jambes et penche-toi. Penche-toi plus... Voilà!
Je me plaque à lui et colle mon gros gland contre son petit trou vierge. Je force légèrement sans même essayer de le pénétrer, juste pour sentir sa respiration contre mes bras et mon torse. Je suis en extase. J'approche ma bouche de son oreille et murmure:
- Je vais faire de toi ma chienne soumise. Tu vas souffrir mais je sais que tu peux encaisser. Serre les dents et surtout ne fais pas de bruit. Tu voudrais pas que ton mioche t'entende te transformer en femelle?!
Il fait un signe négatif de la tête. Je l'ai vaincu. C'est le moment de vérité, celui où un hétéro se soumet à une queue. Je force sur sa pastille. Elle résiste et m'oblige à y appliquer plus de pression. Mon hétéro se met à gémir. Il allait être incapable de s'empêcher de crier ce con. Je recouvre sa bouche de ma main et donne un violent coup de rein qui perfore sa rondelle.
Ma queue pénètre sur dix bons centimètres. Je le sens anéanti. Mon séduisant père de famille vient de perdre sa virginité anale. Tout son corps est parcouru de spasmes. Mes bras l'entourent de partout, le bloquent contre la porte. Il se débat, mort mes doigts, me maudit en cet instant...
Je ressors complètement, recule mes fesses, puis les pousse fort en avant d'un coup sec. L'œillet de mon nouvel amant cède à nouveau. Ses cris se perdent dans ma main qui le bâillonnent.
Il gigote dans tous les sens, transpire abondamment. Mais j'en ai rien à faire, je continu ma pénétration sauvage. Mes 22 centimètres progressent difficilement, mais au bout d'une minute je sens mes poils de couilles à l'entrée de sa chatte. Mon petit papa souffle, râle, continue de hurler dans la paume de ma main. Mais ce n'est que le début du carnage pour lui.
J'entame un lent mouvement de va et vient. Sa fine paroi anale moule chaque mouvement de mon pieu, ouvrant toujours plus cet intestin vierge de toute pénétration. J'accélère le mouvement. Il me mort les doigts tandis que je le pilonne profondément. Je sens ses boyaux ravagés par mon gland, son cul démonté par ma colonne de chair qui le viole sans ménagement.
Ma baise se fait plus violente. Mon enculé a cessé de bouger et de crier. Il est anéanti. Un filet de bave s'échappe de la commissure de ses lèvres. Je l'ai détruit. Le seul bruit que l'on entend est celui de mes lourdes baloches qui tapent ce cul brisé. Il n'aurait jamais dû croiser mon regard. Il voulait tester du mâle, faire lever une bite? Et bien il en a une dans le cul, dressées, vigoureuse. Prête à le soumettre. Ça lui apprendra à regarder un mâle alpha dans les yeux.
Je me transforme en bête déchaînée et le ramone de plus en plus fort. Il se remet à gueuler. Je ferme les yeux, je le bourre sans réfléchir. Je le pine comme un monstre, me félicitant de briser sa vie au bout de ma bite. Je l'imagine intérioriser toute la douleur que je lui fait subir. Il est né pour être dominé, je le sais et à partir d'aujourd'hui il va devenir une vulgaire pute à jus cherchant désespérément sa dose. J'ai démoli le peu d'amour propre et de dignité qu'il lui restait.
Cette pensée m'envoie au septième ciel. Ma petit pute se remet à grogner alors que je viens de lui planter cinq coups de bite hyper violents qui le projette contre la porte de la cabine. Il hurle de douleur jusqu'au dernier coup qui lui fend le ventre et lui fait perdre connaissance.
Je calme le mouvement le temps qu'il reprenne ses esprits, puis je reprends mes coups de rein de plus en plus puissants. Dans le silence des cabines vides, on entend clairement le claquement de mes couilles sur ses fesses musclées. Puis bientôt les gémissements de mon soumis reprennent. À chaque coup de boutoirs son bassin s'écrase contre la porte de la cabine. Il se débat beaucoup moins. Je jurerais qu'il prend un certain plaisir à être violé par ma grosse queue. En passant une main sous lui je m'aperçois que son sexe est dur et chaud. Il bande comme un âne malgré le traitement de choc que je lui fais subir. Puisque c'est ainsi, je vais le transformer en larve, en vide-couilles, en poubelle à sperme...
Je le reprends par les hanches et lui assène un violent coup de rein. Il en a le souffle coupé mais encaisse bien la charge. Je le lime sans ménagement. Il couine de plaisir, halète comme une chienne en chaleur. Je le sens au bout de sa vie, mais il en redemande...
Je ne peux me retenir davantage. Mon bazooka creuse dans son intestin, ravage sa prostate et crache giclées après giclées mon foutre conquérant contre ses parois d'hétéro brisé. Son cul est tellement démoli qu'à chaque pulsation de ma bite son trou distendu avale ma queue comme une vraie chatte.
Après de longues et intenses secondes d'orgasme, je retrouve lentement mes esprits et desserre mon emprise. Je décule lentement de mon papa tarlouze et pousse un soupir de satisfaction lorsque le gland sort de ses muqueuses ravagées. Je lui écarte les fesses pour admirer mon chef d'œuvre. Son trou est bien dilaté, rougi et boursouflé. Quelques traces de sang indique que l'assaut a été violent et sans pitié. Des coulées de mon foutre gras commencent à fuir de sa rondelle. Je regarde une dernière fois cet abattage de pro avant d'essuyer ma transpiration d'un revers de main et remonter mon maillot.
Je tapote la joue de mon vide couilles avant de m'éclipser. En déverrouillant la porte de la cabine, je remarque de longues traînées blanches contre la paroi intérieure. Ce nouveau soumis n'a pu résister à mon traitement de choc. Il a lâché sa purée contre la porte sans même se toucher.
Un peu plus tard, je rejoins le parking de la piscine. Je monte dans mon bolide de sport, met le contact, quand je vois à son tour sortir le maître-nageur. Il se dirige vers un Break familial. À l'intérieur une femme l'attend. Sans doute sa meuf. Il l'embrasse sur les lèvres puis monter côté passager. Ma bite prend du volume dans mon jogging. La façon dont il m'a allumé sous la douche me revient en mémoire. Putain! Faudra que je revienne un de ces jours...
J'ai un nouveau cul d'hétéro à fourrer.
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
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