Carton rouge

Chapitre 1 | Dressage

Ce connard d'arbitre allait payer. Non content de m'avoir expulsé (bon, j'avais quand même envoyé mon adversaire à l'hôpital avec une jambe cassée), il avait eu le culot de siffler penalty contre nous pendant les arrêts de jeu, offrant une victoire inespérée à nos adversaires.

J'étais furax. J'allais me le faire dés son retour du terrain. Il pèserait pas bien lourd face à mon 1M90 et mes 95Kg de muscles. C'était pas la première fois qu'il nous arbitrait en ligue 1 (oui, je suis joueur pro dans un club du sud de la France, mais chuuut!!!). Lui, vous l'avez sans doute vu arbitrer si vous vous intéressez au foot. Je vous donne juste son prénom: Gérôme. Un beau mâle de 44 ans, tempes grisonnantes, gueule de play-boy et un paquet impressionnant dans son short noir.

OK, je l'avoue, je suis bi. Du haut de mes 23 ans je plais autant aux mecs qu'aux nanas. Je suis actuellement en couple avec ma copine depuis 2 ans, mais je papillonne à droite et à gauche au gré de mes envies. D'ailleurs un de ces jours, il faudra que je vous raconte mon aventure sous les douches avec un des mes coéquipiers. C'était torride!!!

Mais là, j'étais furieux. Mon entraîneur a tenté de me retenir, en vain. Il savait que c'était peine perdue. J'ai déboulé dans le local réservé aux arbitres sans crier gare. Il venait de retirer son short et se trouvait en boxer. J'ai claqué la porte derrière moi et j'ai foncé sur lui.

- Mais, monsieur S... que faites-vous dans mon vestiaire?!

Je lui décochai une droite qui le fit rouler par terre. Il était encore groggy quand je lui écrasai ma queue sur ses lèvres.

- Je vais t'apprendre la vraie autorité, connard.

Le temps qu'il retrouve ses esprits je lui enfonçai mon dard dans sa bouche encore vierge.

- HUMMGH !!!

- Ta gueule! suce. Ça c'est pour mon carton rouge!

Il tenta de résister. Je lui agrippai les oreilles et le bâillonnai de force. Mes 21CM avaient du mal à entrer totalement. Il commençait à étouffer.

Pour sûr, c'était pas la pipe du siècle. Normal, il bectait sa première queue. Je brûlais les étapes. Je décidai de me retirer.

- OK! On arrête tout.

Il parut soulagé, prêt à se relever. Je l'obligeai à rester sur les genoux.

- Pour commencer, à poil!

Il mit quelques secondes avant de retirer sa chemisette jaune. Il était super bien foutu pour un mec de 40 ans passé. Des pects puissants et une ligne de poils noirs qui descendaient depuis ses abdos jusque sous le short.

Je lui administrai sa première gifle.

- TOUT !!! j'ai dit.

Il fit glisser son boxer noir. Ouai, je m'étais pas trompé. Il avait une belle teub avec une forêt de poils autour. J'avais pris l'habitude de le mater discrètement pendant le match. J'adorais voir sa grosse tige ballotter entre ses cuisses musclées. Son short bien rempli alimentait tous mes fantasmes. Et voilà que maintenant je l'avais sous les yeux, pas encore raide, mais c'était juste une question de temps, vu ce que j'allais lui infliger.

- Je t'enseigne d'abord les bases pour être une bonne suceuse. Premièrement, sors la langue. Bien... Maintenant humecte le gland... C'est ça, mouille bien la fente. Hummm, t'es doué toi. T'es sûr que c'est ta première queue???

Je lui laissais pas le temps de répondre. J'enchaînai.

- Deuxièmement, ouvre bien grand la bouche. Plus que ça!... Tu dois sentir ta mâchoire se déformer au contact de mon membre en chaleur. Tu dois l'accepter comme une offrande. Ta langue doit accueillir ce visiteur avec ravissement. Elle doit lui faire fête, comme le ferait un chien à l'arrivée de son maître. Elle doit s'enrouler autour, comme si elle suçait un gros sucre d'orge... Plus elle le sentira palpiter, plus elle sera proche de sa récompense. Une bonne liqueur d'anis... (ah! Les sucettes à l'anis...)

- ALLEZ ! Exécution! Et pas les dents, sinon...

Une deuxième baffe vint rougir sa joue droite.

Voir cet homme mûr, qui aurait pu être mon père, s'exécuter aussi facilement me fit bander davantage.

Nous étions là, dans le vestiaire réservé aux arbitres, avec le référé du match à genoux, une bite de 21CM au fond de la gorge, lorsque deux coups discrets furent frappés à la porte. Avant que nous n'ayons pu réagir, la poignée tourna, dévoilant un grand gaillard africain d'au moins 2 mètres de haut. Il resta bouche bée devant le spectacle qui s'offrait à lui.

Je reconnus Moussa Y... le capitaine de l'équipe visiteuse. Il bredouilla quelques excuses mal assurées.

- Je... Enfin,... C'était juste pour signer la feuille de match... Mais je repasserai.

- Tu peux entrer, Moussa. Et ferme la porte derrière toi. Comme tu vois, Monsieur M... est occupé en ce moment. Mais si tu veux lui signer une décharge...

Je lui fis un clin d'œil complice. Moussa ne semblait pas comprendre ce qui se jouait sous ses yeux. Il voyait l'arbitre du match, ce macho autoritaire, complètement nu, sur les genoux en train de sucer une queue...

Je repositionnai mon quadra entre mes cuisses et l'obligeai à une gorge profonde.

- Et bien, dit Moussa une fois qu'il eut repris son souffle, qu'avons-nous là?

À mesure qu'il avançait, j'admirai sa carrure imposante, ainsi que la bosse obscène qui déformait le devant de son short.

- Hey! Les gars, vous avez un nouvel invité.

Je le sentis instantanément excité. Dans son pays, ce genre de pratique ne devait pas poser problème. Il s'immobilisa près de nous, massant son sexe dans son maillot en sueur.

- Alors, vous allez me sucer aussi, monsieur l'arbitre? - puis s'adressant à moi – ça te dérange pas de partager?

Il abaissa son short, découvrant une bite sombre plus petite que la mienne (17CM) mais extraordinairement épaisse. On aurait dit un manche de pelle. Au moins 10CM de circonférence.

- Allez, montrez-moi vos talents, monsieur l'expert.

Je positionnai mon soumis à quelques centimètres de ce monstre. Il résista, affolé.

- Pitié, arrêtez, je suis marié et...

Une troisième beigne le ramena à la raison. Il ouvrit bien grand la bouche (mes leçons accélérées commençaient à porter ses fruits) et engloutit l'engin comme un pro.

- OOOHH !!! C'est aussi bon qu'avec ma femme. AAAHH !!! Je savais pas qu'il y avait des suceuses chez les arbitres... Aïe!

Nouvelle gifle.

- Je t'ai dit pas les dents. Applique-toi! Sois une bonne bouffeuse de queues.

- Oui, écoute bien ton Maître. Après je te récompenserai généreusement pour nous avoir offert la victoire. Tu verra, tu vas... nager dans le bonheur.

- HUMMMGH !!!

- Et moi je vais noyer ma peine dans ta bouche à cause de ton carton.

Moussa s'activait sans plus aucune retenue. Il s'enfonçait bien profond, labourant la gorge sans ménagement. La bouche de notre beau quadra avait du mal à enserrer son gros tube et un filet de bave s'échappait de la commissure des lèvres. Moussa siffla d'admiration.

- C'est une bonne salope que tu as là. Tu l'as bien formée... Putain, Seb (c'est mon prénom) c'est de la qualité... Vivement le prochain match.

J'esquissai un sourire coquin.

- T'inquiète, d'ici là il sera encore meilleur. Il va pas chômer avec moi.

Je vis Moussa se pencher en avant et tapoter les fesses charnues de notre mâle résigné.

- Et par là, il est bon?

- Faut voir. Y a qu'à l'allonger sur la table de massage.

Devinant ce qui l'attendait, notre bel hétéro se rebiffa . Il me bouscula, puis amorça un pas de côté, prêt à s'enfuir. Mais avant qu'il ne mette son plan à exécution, Moussa et moi-même l'empoignions sans ménagement et le traînions jusqu'à la table. Il continuait à se débattre, mais nous étions bien trop forts. Nous le couchâmes sur le dos. Moussa lui immobilisait les jambes. Moi, les bras. Il se mit à crier à l'aide. J'enfournai aussitôt mon manche dans sa bouche pour le faire taire. L'envie de me mordre lui traversa l'esprit mais les conséquences d'une telle insubordination le ramenèrent à plus de raison. Je sentis bientôt ses lèvres se refermer puis sa langue entreprendre un délicieux travail de sape. Humm! Pas de doute, il serait une bonne suceuse.

Moussa ne restait pas inactif. Il avait hissé les lourdes jambes poilues de notre conquête contre ses propres pectoraux lisses, appuyant son gourdin d'ébène contre la raie humide. Il se mit à coulisser entre les deux globes blancs, faisant jaillir son gland à chaque poussée. Ça faisait un sacré contraste de couleur. Notre arbitre avait l'air d'apprécier le traitement. Il poussait bien loin ses fesses à l'encontre de cette colonne de chair qui le maquait, lui l'hétéro. Et surtout, sa langue sur ma queue devenait incontrôlable. S'il continuait sur ce rythme, pour sûr je ne tiendrais pas longtemps. Putain, il cachait bien son jeu. Quelle salope sous ses airs de play-boy arrogant.

Le spectacle était saisissant. Allongé sur le dos, ses deux trous offerts à nos grosses queues, notre excitant arbitre de 44 ans, marié, père de famille, n'était plus qu'un réceptacle soumis au seul plaisir de deux mâles alfa en rut.

Dés lors, l'abattage pouvait commencer...