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Quelques jours plus tard, un soir.
Je suis dans le bus. Il est presque vide. Seuls 2 jeunes rigolent bruyamment à l’arrière.
Tout d’un coups ils se lèvent et viennent à ma hauteur.
L’un se pose face à moi et l’autre à côté.
Celui d’en face, un jeune typé arabe, prend la parole :
« c’est toi qu’on a vu l’autre soir. Tu kiffes la bite ? »
J’avoue, je ne sais pas quoi répondre, en plus je commence à flipper.
Brisant le silence qui s’est installé, il reprend :
« t’inquiète, ya pas de mal, je suis curieux, c’est tout. T’as pris ton pied avec ce mec ? Moi je pourrais pas toucher une autre queue que la mienne. Il paraît que les pédales sucent hyper bien, c’est vrai ? »
Nouveau silence.
« t’étais pas aussi timide l’autre soir. C’est parce que je t’ai pas montré la bête ? »
Là-dessus il descend sa braguette, et en sort une bite épaisse qu’il commence à branler.
« je suis sûr que tu mouilles comme une salope quand tu vois une belle bite. »
Je suis obligé d’admettre qu’elle est belle. Et le mec a des couilles, dans tous les sens du terme.
« aller ! Te fait pas prier ! Si tu me suces bien j’accepterai peut-être de te démonter le cul ! »
Je souris. C’est dingue cette idée qui persiste comme quoi les gays ne jurent que par la sodo…
De toute façon, comme je lui réponds : « on est dans un bus, hors de question »
La main du mec s’arrête de bouger. Il semble réfléchir.
Sa queue est bien tendue maintenant.
« juste après ton arrêt, il y a une petite ruelle, je crois… »
Baiser dans une ruelle ne m’enchante pas, mais ramener ce mec chez moi encore moins, et je suis fan de ce barreau tendu.
Moi : « ok. »
Le mec sourit.
Il se lève, c’est pourtant pas encore mon arrêt.
Il saisit l’arrière de ma tête d’une main, guide sa queue de l’autre, direction ma bouche.
Lui : « allez, sois une gentille salope et suce-moi. »
Il ne me laisse pas vraiment le choix.
Je vois le conducteur jeter un coup d’œil dans son rétro puis je sens le gland épais forcer mes lèvres.
Je cède. Sa verge envahit ma bouche. Ses va-et-vient sont lents, mais il tient à aller tout au fond.
J’agite ma langue et je masse ses boules avec une main.
Lui : « putain, Zach, cette salope suce mieux que ma meuf ! Faut absolument que tu testes ! »
Il passe un moment à se faire plaisir puis se retire, on arrive.
Le mec que je sucais passe devant.
Alors que je sors, je sens la main du dénommé Zach me pousser légèrement le cul.
Je me retourne. Il est assez proche pour que je voie sous sa capuche. C’est un beau black, mince, dans la vingtaine. Il me sourit.
On arrive dans la ruelle. On s’enfonce un peu et on se cale derrière une grosse poubelle verte.
À peine arrivé, le jeune rebeu me met à genoux et commence à me baiser la bouche.
Lui : « le temps de réveiller la bête, ensuite je te laisse la bouche et je vais visiter le cul. »
Zach lui répond par un signe de tête.
Pendant que son pote se soulage avec ma bouche, il enlève son jogging et révèle une queue massive bien qu’au repos.
Il commence à se branler en nous regardant.
Le rebeu sort après quelques minutes et enfile une capote.
Lui : « suce ! Et t’as intérêt à bien saliver, ça sera le seul lubrifiant. »
Je n’aime pas sucer du plastique, mais je m’y colle. Vu l’épaisseur de l’engin, mieux vaut assurer.
Il vient ensuite se poser derrière moi.
Il rentre lentement son gland.
Lui : « cambre toi bien, voilà. »
Son gland rentré, il me saisit la taille d’une main et la bouche de l’autre.
Il rentre sa queue sur toute sa longueur. Je hurle, bien que sa main étouffe une partie du son.
Il se bloque au fond.
Lui : « putain t’es hyper serré ! Tu vas me sentir passer ! »
Il lâche ma bouche. Les mains de Zach viennent saisir ma tête tandis qu’il présente sa bite. Le rebeu commence un va-et-vient soutenu.
Je gémis, mais l’énorme queue du black m’empêche de crier.
Je le fais littéralement labourer le cul pendant 5 minutes.
Lui : « Zach, sors, je vais lui donner le biberon ! »
Il enlève la capote, me plaque assis la tête contre le mur et enfourner sa queue.
Quelques aller-retour suffisent.
Il se vide au fond de ma gorge.
Lui : « putain que c’est bon ! Tu kiffes le jus, hein salope ? »
Il sort sa queue et me fout une claque.
Lui : « Jsuis sûr que y’aurait moyen de se faire du fric en te faisant tourner dans les caves du quartier ! Allez Zach, finie la ! »
Zach me relève et me cale sur la poubelle. Je suis sur la pointe des pieds, le cul offert à lui.
Il crache plusieurs fois puis présente son membre à ma fleur.
Le va-et-vient est lent, mais sa queue est un monstre.
Alors que je sens ses boules toucher mes fesses, je lâche un gémissement aigus.
Il me saisit les hanches et continue à appuyer sur mon cul.
Ses mains viennent me saisir les épaules et le cou, son corps se couche sur le mien, et mes fesses sont écrasées par son bassin.
En moi, je sens son membre massif commencer à donner de petits coups.
Son pote commente : « tu la fais partir dans les aigus ! Wesh démonte la bien comme il faut ! »
Comme pour écouter son pote, Zach augmente l’amplitude du mouvement, continuant à m’écraser les fesses au maximum à chaque fois qu’il revient.
Je sens sa tête se rapprocher de la mienne. Il me chuchote : « désolé, j’ai une réputation à tenir, je vais devoir y aller plus fort, faudra qu’on se revoir seul à seul, t’es mignon. »
J’ai pas le temps de comprendre qu’il se redresse, me saisit les cheveux et commence un pilonnage en mode porno hard.
Zach (bien fort) : « je vais te montrer comment on traite les pédales dans ton genre au quartier ! »
Ça n’a plus rien à voir avec le début. Il me Ramone sur toute la longueur, ses couilles claquent sur mes fesses, ma fleur est douloureuse et je hurle tellement qu’il a dû remettre sa main sur ma bouche.
Enfin, l’une de ses mains vient plaquer ma taille contre la poubelle tandis que l’autre fait de même avec ma tête.
Il frappe littéralement son bassin contre mon cul 5 fois, m’arrachant un hurlement à chaque fois.
Je sens sa queue qui convulse.
Zach : « une salope, on la remplit, et ensuite elle nettoie ! »
Il sort, me prend par la nuque et m’assoit au sol. Il foutre sa queue sans ménagement dans ma bouche.
Quelques coups de langue et il me lâche, puis va rejoindre son pote pour contempler le travail.
Je suis assis au sol, reprenant mon souffle, cul nu, du sperme sur le visage et maintenant sur mes cuisses.
Le rebeu sort son téléphone et prend une photo.
Lui : « on sait jamais, ça pourrait intéresser les frères… Bon, on y va, j’ai la dalle ! À plus pédale ! »
En ramassant ses affaires, Zach me fait un clin d’œil discret et me chuchote « la prochaine fois je serais plus doux, promis. »
Je ramasse rapidement mes affaires et me rhabille. Je ne sais pas quoi penser de cette rencontre.
La seule chose que je sais, c’est que j’ai le cul en feu.
Cali
li.cali@yahoo.com
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