Cette histoire se déroule il y a environ 2 ans (pour ceux qui l'ont lu, elle fait suite à la quête maudite).
J'étais en manque de contact masculin et j'avais entendu parler d'un sexshop gay.
Le jour J, j'enfile un jock, un jean et un t-shirt, je prends un flacon de lubrifiant, et je décide d'aller découvrir cet endroit.
J'arrive, je paye l'entrée et le mec de l'accueil fait coulisser une porte derrière lui, découvrant un couloir noir.
J'entends des gémissements de femmes, je me demande si je ne me suis pas trompé d'endroit.
Je rentre. Immédiatement, l'odeur de poppers titille mes narines... Je déteste cette odeur.
J'arrive dans une première salle.
Effectivement, un porno hétéro est diffusé.
3 personnes sont assises et se branlent en le regardant, 2 autres sont debouts contre le mur, et me regardent.
Bon les trucs hétéro, c'est pas pour moi, je change de pièce.
J'arrive à une intersection.
Sur ma gauche, une cabine avec un tabouret, et un trou dans le mur.
J'ai jamais essayé, mais pourquoi pas, tout à l'heure.
Sur la droite, un escalier qui descend, vers un endroit encore plus sombre.
Je décide d'aller en face, dans ce qui a l'air d'être une autre salle de cinéma.
Bingo ! C'est la salle gay.
Il n'y a personne. Je me pose au milieu du carré de siege et commence à me caresser en regardant le film.
L'un des mecs qui m'avait regardé arrive et s'assoit juste à côté de moi.
Il sort sa queue et commence à se branler.
C'est un rebeu maigrichon, mais il a une jolie queue.
Je ne regarde plus le film, mais la main allant et venant sur son membre grandissant.
Il ne dit pas un mot et ne me regarde pas.
Je me pose sérieusement la question : est-ce qu'il veut que je fasse quelque chose ?
Je teste et dirige ma main vers sa queue. Il retire la sienne, toujours sans me regarder.
Je saisis sa bite et le branle.
Elle atteint rapidement sa taille max, je ne résiste pas à l'envie de la prendre en bouche.
Je le suce pendant une dizaine de minutes. Il ne me touche pas avec ses mains, ne me regarde pas et ne parle pas, il ne fait que grogner.
Enfin il lâche la sauce, sans prévenir.
Quand il s'est bien vidé, il me redresse, se lève, remonte son jean et s'en va, toujours sans un mot.
Mouais, moyen tout ça.
Je décide d'aller découvrir le reste et descends l'escalier.
En bas, je passe d'abord devant une petite salle avec 2 couchettes et une chaise, puis j'arrive dans une autre salle de projection, contenant plusieurs couchettes à des hauteurs différentes.
Il n'y a qu'un homme, plutôt vieux. Il est assis sur la couchette la plus haute et se branle. Moi debout, sa queue m'arrive presque à la bouche.
Je m'avance vers lui, il me fait un sourire.
Alors que je m'approche, il me caresse les cheveux. J'attrape son gland avec la bouche. Cette queue est plus grosse que la précédente, je l'aime beaucoup.
Je le suce un moment, le mec est expressif.
II se retire, rejoint l'escabeau et descend.
Arrivé à ma hauteur, il m'enlace tout en me pressant les fesses.
Lui : "tu veux baiser ?"
Je hoche la tête.
Il me guide en me tenant par les hanches vers une étrange couchette.
Elle est à mi hauteur, les 4 coins attachés au plafond par des chaînes.
Je grimpe dessus après avoir enlever mon jean et reste à genoux. Mon cul est pile à la hauteur de sa queue.
Il met une capote, dépose une noisette de lubrifiant sur ma fleur et l'étale avec son gland.
Il se présente mais a dû mal à entrer, ma fleur résiste.
Lui : "détends toi..."
Pas facile, surtout que 2 mecs viennent d'arriver et se branlent en nous regardant.
Il entre enfin, avec un petit cri de ma part.
Il fait de lents va-et-vient, mais pousse tout de même jusqu'au fond.
Dans le même temps il me caresse de partout... Enfin ! Si j'avais été un chat, j'aurais sans doute ronronner.
À l'instar du film diffusé devant nous, où une blonde voluptueuse se fait enfiler par un mec bien musclé sans retenue, le mec derrière moi accélère.
Il me saisit par la taille et tire mon cul vers lui de toutes ses forces. La couchette commence à se balancer en rythme.
J'entends ses bourses claquer sur mes fesses, je gémis à fond.
Je sens une main me caresser les cheveux, pourtant les 2 de mon amants sont sur ma taille...
J'ouvre les yeux et je vois l'un des 2 mecs, son mat bien dressé.
Lui : "je peux?"
Moi : "oui, mais que la pipe"... J'ai pas confiance d'avoir plusieurs inconnus autour de moi.
Il glisse sa verge dans la bouche, me tient fermement par les cheveux et commence à me la baiser sans trop s'enfoncer.
Il ne lui faut pas longtemps pour finir dans ma bouche. Son jus coule le long de mon menton et sur la couchette (je n'avale jamais... Enfin rarement).
Alors qu'il se retire, celui qui me tamponne me plaque la tête contre la couchette poisseuse et entame des aller-retour rapides et brutaux.
Encore quelques minutes et le gars s'arrête au fond de moi et remplie la capote.
Après être sorti, il m'a pris dans ses bras et m'a fait des bisous le temps qu'on reprenne notre souffle.
Sur le trajet de retour, dans le bus, j'avais la désagréable impression d'être flag, entouré par cette odeur de poppers qui ne me lâchait plus et une légère odeur de sperme bien que je me sois essuyé le visage.
Ce fut une expérience mitigée : ça manquait de jeune, ça manquait de monde, et j'aurais aimé pouvoir prendre un douche là bas.
Mais au moins j'ai pris mon pied, c'était le but recherché.
Cali
li.cali@yahoo.com
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