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Chapitre 9
Qu’est-ce qui m’est arrivé? Qui suis-je devenu?
Le matin, un respectable mari, un brave père, un honnête travailleur. Le soir, un infidèle, un dépravé, un enculé ...
Avec Adrian, il s’est installé une certaine routine. On se donnait rendez-vous dans les maisons de sa boite. Une fois sur les lieux, on s’arrachait les habits. Nos bouches se cherchaient. Il me pétrissait le cul, je me frottais à sa queue toute raide. On se congratulait mutuellement la bite dans un 69 synchronisé. Lui, il quittait souvent ma bite pour me dévorer l’anus. N’en pouvant plus, il me retournait et m’embrochait de sa belle queue de 20cm. Il variait les intensités, il changeait de position. Quand on baise, il me fait vraiment grimper au rideau. Il m’a fait découvrir que l’on pouvait jouir de différentes façons. Une fois, tandis qu’il me labourait les entrailles, j’ai tellement joui que mon cul a produit un liquide claire. J’ai joui du cul.
Parfois après le sexe, Adrian et moi restions allongés l’un sur l’autre à parler de tout et de rien, d’autres fois, on se rhabillait en silence et retournait à la réalité de la vie. Je rejoignais donc ma maison où m’attendaient ma femme et mon fils. Daphney ne se doutait de rien, elle croyait que je trainais avec les gars du boulot. Certaines nuits je la baisais en sentant toujours la queue d’Adrian en moi; des fois, n’arrivant pas à bander, j’accusais le stress du travail, la fatigue qu’infligeait Nathan.
J’étais devenu un bon acteur, un menteur. Jouant le rôle du parfait mari qui embrassait sa femme et son enfant chaque matin avant d’aller travailler, tandis que cette même bouche avalait la queue d’un amant en gorge profonde. Cette même bouche a répondu “Je t’aime” à Adrian quand il me l’a dit en premier. Tandis qu’au plus profond de moi, j’aimais quelqu’un d’autre.
J’étais en chute libre, et j’allais bientôt toucher le fond.
***
Vendredi. Au boulot, j’ai une de ces migraines que j’ai dû aller me passer de l’eau au visage dans les toilettes. A peine ai-je ouvert l’eau, que Alexandre -le mec des ressources humaines- sort d’une cabine.
« Salut Bastien, me dit il sur un air faussement sympathique puis il sort sans même se laver les mains.
Quelques secondes après j’entends quelqu’un tirer la chasse dans la même cabine où venait de sortir Alexandre. Je vois sortir la tête blonde de Gabriel. Il s’est figé quand il m’a vu, puis se dirigea vers un lavabo.
« C’était quoi ça Gabriel? Tu te tapes Alexandre maintenant?
Gabriel continue à se laver les mains en ignorant ma question. Je l’empoignai par le bras mais il se défit de mon emprise.
- C’est quoi ton problème Bastien? Tu penses avoir le droit de me dire ce que je dois faire? Je baise avec qui je veux et quand je veux, c’est compris?
J’avais devant moi un Gabriel en colère que je ne connaissais pas. Je suis resté sans voix.
- Quoi? continua-t-il. Ne me dis pas que tu me fais une pseudo jalousie? Tu veux que mon cul ne soit qu’à toi pour que tu puisses y accéder quand bon te semble?
Gabriel s’attaqua à ma ceinture, tentant de descendre mon pantalon. Je m’oppose comme je peux à ce qu’il fait.
- C’est pas pour me baiser que tu es venu? Donne moi ta queue... Sois pas timide ... Viens me l’enfoncer dans le fion comme la salope que je suis.
- Arrête Gabriel... Dis pas ça.
- C’est bien de ça que tu as envie? Coucher avec moi pour ensuite aller engrosser ta femme?
Je le tiens fermement par le poignet. Il plongea son regard dans le mien. J’y ai lu tellement de colère. Était-il possible que Gabriel soit amoureux de moi? Je finis par le relâcher. Gabriel ne dit plus un mot, se calma puis laissa les toilettes.
***
Ce même vendredi c’était soirée jeux chez Dimitri. Pour des raisons que moi seul connaissais, j’ai beaucoup picolé et déjà, vers 23h, j’étais bourré. J’étais bruyant, je cassais les couilles à tout le monde, j’avais même vomi dans les toilettes. C’était la première fois que les mecs me voyaient dans un état pareille, du coup il se discutait entre eux pour savoir qui d’entre eux allaient me ramener chez moi ainsi, craignant la réaction de Daphney.
« Ne vous inquiétez pas les gars, je le ramène. Mais je l’emmène d’abord se dessaouler.
- Cool mec. Tu nous sauves la vie.
J’avais vaguement entendu cette conversation sans pour autant voir de qui il s’agissait. On me porta jusqu’à une voiture. Quand la porte se referma je regardai du côté du chauffeur. C’était Alexandre.
- Hey... J’te connais, dis-je de ma bouche pâteuse. Tu baises avec Gabriel.
- Toi, t’es clairement bourré, me répond-il d’un air condescendant. Mais c’est vraie que je profite du cul bien serré de Gabriel.
- J’t’aimes pas.
- Moi non plus.
J’appuyai ma tête contre la vitre et regardai défiler le paysage. Je me suis endormi sans m’en rendre compte. J’ouvre les yeux bien plus tard quand je sens la voiture ralentir. Nous sommes devant un portail où des agents de sécurité viennent contrôler la voiture. J’entends la voix de Alexandre
- C’est pour la soirée. Nous avons reçu l’invitation.
L’un d’eux se dirige vers Alexandre tandis que l’autre vient de mon côté. Il m’éclaire le visage avec une lampe torche
- Il a voulu se saouler la gueule avant de venir. Je pense qu’il a trop abusé de la bouteille, dit Alexandre
- Tout est ok. Bonne soirée messieurs.
La voiture s’enfonce dans une allé sombre, quelques secondes après une grande maison émerge devant nous, un manoir. Alexandre se trouve une place dans le parking près d’autres voitures les unes les plus luxueuses que les autres. Il me dit avoir laissé de l’eau et de l’aspirine et de rester bien sage jusqu’à son retour. Je me rendors.
***
Je me réveille en sursaut. L’heure sur le tableau de bord de la voiture indique 2h03 du matin. J’ai une migraine et je reprends conscience d’où je suis et de ce que je fais ici. Je regarde à côté de moi, une pilule et une bouteille d’eau. J’avale directe la pilule et bois une gorgée d’eau que je recrache au même moment. Ce n’est pas de l’eau mais de la vodka.
Je descends la voiture et me dirige vers le manoir. Un son étouffé parvient à mes oreilles, de la musique electro. Mais aucune lumière ne sort des fenêtres. Je sens une douce chaleur m’envahir, ma tête tourne légèrement. Et si on me réclamait une invitation comme à l’entrée? Et si je me rendais à une réunion de cannibale sataniste? Et si la pilule que j’avais avalé n’était pas de l’aspirine?
La porte s’ouvre devant moi, un homme masqué, le torse nu, m’invite à entrer. J’hésite, mais fini par franchir le pas. La porte se referme après moi, je suis plongé dans le noir, trois paires de mains me déshabillent. Ils ne me laissent que mon caleçon. On me met une cordelette autour du cou.
“Ne la perd pas” me dit une voix.
Une main m’entraîne dans un couloir et je suis conduit dans une vaste salle. De la musique electro me dechire les tympans, me frappe le crâne. Je suis transporté dans une boîte de nuit gay, ambiance disco. Devant moi, une foule de mec dansait quasiment nu, ne portant que des sous-vêtements, ils ont tous autour du cou une cordelette avec un petit matricule. Comme toute lumière, il n’y avait que quelques ampoules ultraviolettes. J’ai eu une erection automatiquement.
Je fus rapidement attiré par la foule. Des mains me caressaient le corps, flattaient mon paquet, pressaient mon fessier. Je me laissais faire. Je fermai les yeux. Je laisser mon corps se balancer sur le rythme de la musique. Je sentis un corps chaud derrière moi. Quelqu’un se frottait à moi. Cela n’a pas duré longtemps et je sentis un liquide chaud contre ma cuisse.
Quand j’ouvris les yeux, il était là. J’avais reconnu sa tignasse blonde. Il dansait seul à quelques centimètres de moi. La lumière ultraviolette me donnait l’impression d’être dans un rêve. J’ai tendu la main vers lui, j’ai senti sa peau douce sous mes doigts, il était bien réel. Quand il me vit, il me sourit. Il y avait quelque chose de différent dans ses yeux. Il m’enlaça et nous dansâmes pendant un temps. Il sortit de nulle part un petit sachet contenant des pilules, il m’en mis une sur langue et pris une aussi. Sans réfléchir, j’avalai. Il m’embrassa. Il y avait quelque chose de différent dans sa façon de faire. Un autre mec se rapprocha de nous. Il se colla contre Gabriel. Nous dansâmes tous les trois. Gabriel était pris en sandwich entre nos corps. Nos mains se caressaient mutuellement. Tantôt j’embrassais Gabriel, tantôt il embrassait l’autre mec, tantôt c’est l’autre qui m’embrassait.
L’autre gars chuchota à l’oreille de Gabriel, Gabriel me cria.
«Viens, on monte». Ce n’était pas sa voix.
Nous avons traversé l’immense salle de danse main dans la main. Nous sommes arrivés au pied d’un escalier garder par 2 mecs costauds. Le gars s’est présenté et a montré un tatouage sur sa hanche droite. On nous a laissé passé. De temps en temps, non-Gabriel se tournait vers moi pour s’assurer que je suivais toujours.
Le premier étage était plongé dans une lumière tamisée. Dans toutes les chambres des hommes baisaient à 2 ou à plusieurs. Nous finîmes par trouver une chambre vide et nous y entrâmes.
Nous nous sommes collés, nous nous caressions, embrassions, et comme il n’y avait pas d’habits à enlever, les slips tombèrent rapidement. Non-Gabriel fut le premier à se baisser pour nous sucer à tour de rôle. Debout, je roulais des pelles a l’autre mec tandis qu’il me pinçait les tétons. Je me sentais léger, j’avais chaud, je sentais ma peau extrêmement sensible, j’avais une irrésistible envie de baiser. Je ne savais si c’était naturel ou si c’était dû aux pilules que j’avais avalé.
Non-Gabriel c’était relevé et ce fut moi qui descendu engloutir les deux queues qui attendaient fièrement tendues. Je mis tout mon talent en exergue pour les pomper comme il le fallait. Ces deux queues n’étaient pas les plus grosses que j’aies vi mais les dimensions étaient respectable. Non-Gabriel avait une queue plus mince mais élargie à la base, l’autre gars avaient un gros glands et d’énormes boules poilues.
Je fus jeté sur le lit. Non-Gabriel vint se placer à quatre patte entre mes jambes pour encore une fois me sucer la bite. L’autre mec derrière lui, lui mangeait le fion. Je lui ai demandé son nom à Non-Gabriel. Il m’a répondu “Ronald” entre deux gorges profondes.
Le mec derrière Ronald commença à l’enculer. Il n’attendit pas longtemps pour que ses coups de hanches deviennent plus profonds et rapides. Je regardais le visage de Ronald se deformer par le plaisir tandis que son compagnon le labourait le cul. A chaque coup de butoir Ronald échappait un gémissement et la chambre fut rapidement remplie par les couinements de Ronald. Dans le feu de l’action Ronald s’est déplacé à un point tel qu’il se trouvait maintenant entre le mec et moi.
Une silhouette se dessina à l’embrasure de la porte. Un mec nu assistait au spectacle tout en se touchant la queue. Quand son regard croisa le mien, il se rapprocha de moi, monta sur le lit et me présenta sa queue que j’ai pris en bouche. Je posai ma main sur ses hanches, lui avait mis sa main sur ma tête et m’enfonçait la queue bien au fond dans la gorge. Il ne dura pas longtemps et fini par éjaculer dans ma bouche. Devant moi, Ronald se faisait tirer la tête en arrière par les cheveux tandis que l’autre mec se finissait dans ses entrailles. Le mec se retira et un autre sortant de nulle part s’enfonça sans grande difficulté en Ronald. Une autre série d’ enculade commença, le corps de Ronald se frottait au mien au même rythme qu’il se faisait défoncer. Son torse se frottait contre le mien, sa bite contre la mienne.
La chambre fut rapidement envahit par d’autres mecs. Des jeunes, des vieux, des plus vieux, des gros, des minces, des musclés, des beaux, des moches ... Certains entraient, regardaient, se branlaient puis s’en allaient. D’autres sont restés. Je suçais encore une queue qu’on m’a présenté sur ma gauche et j’en branlais une autre sur la droite. On me plaça ensuite à quatre pattes aux côtés de Ronald qui se faisait sodomiser par un troisième gars. Et tandis que je le regardais crier sous les assauts de son amants, je fus moi même pénétré par une queue dont je ne connaissais pas le détenteur. Quelqu’un s’est glissé sous moi et me suçait la bite tandis que je me faisait enculer. Ronald chercha ma bouche et nous nous roulons une pelle en se faisant tout deux ramoner l’arrière train. Un mec se présenta en face de nous et nous présenta sa queue. Ronald le suça avidement. Le mec dans mon cul se retira brusquement puis je sentis un liquide chaud se répandre dans le creux de mon dos.
Une autre paire de main me pris par la hanche et un autre mec me posséda. Cette nouvelle queue était moins grosse que la précédente. Il me culbutait pendant un moment puis il me fit me tourner sur le dos. Je regardai enfin mon enculeur. C’était un mec chauve, bedonnant, pas mon premier choix s’il ne comptait qu’à moi, mais je le laissais me défoncé le cul tandis que ses boules claquaient bruyamment contre mes fesses. Un autre mec qui s’était contenté de regarder et de se branler se rapprocha de moi et m’éjacula en plein visage. Ronald se penchait sur moi et me lécha le visage pour le nettoyer. Je jetai un coup d’oeil à son enculeur, un grand noir musclé.
Un nouvel homme entra dans la salle. Il était différent des autres, il portait une robe de chambre et un masque doré qui lui cachait le visage. J’ai senti son regard s’attarder sur moi puis passa sur Ronald.
«Prenez le blond. Victor aime les blonds» dit-il d’une voix grave.
A contre-coeur je regardai Ronald s’en aller. Lui, il avait l’air plutôt heureux. Le noir qui s’occupait de Ronald dirigea sa queue vers ma bouche et je le pompai allègrement. Il finit par se déverser dans ma bouche.
Un mec me fit assoire sur lui, et je le chevauchais. Il me baisait ainsi quand un autre mec me fit me pencher encore plus exposant bien mon cul. Je ne me suis rendu compte de ses intentions quand je sentis une autre queue forcer mon anus tandis qu’il y avait déjà une dedans
- Ca va jamais rentré, ai-je crier.
Mais l’autre mec se foutait pas mal de ce que j’avais à dire. Je sentis sa queue me pénétrer. J’ai eu l’impression d’être déchiré en deux. La bouche ouverte, aucun son ne sortait, mais la douleur était bien réel. Mes deux amants s’activaient en moi. La douleur s’estompa et le plaisir vint beaucoup plus vite que je ne l’ai espéré. Avec ces deux queues en moi je me sentais “rempli”. Je n’étais plus maître de mon corps. Je n’existais plus que pour ces deux bites bien membrées qui se partageaient mes entrailles. Ils frottaient partout, ma prostate était aux anges. A mesure que je prenais du plaisir, je sentais un voile noir se jeter sur mes yeux, les voix devenaient lointaines. J’éjaculai dans un râle puissant. Petit à petit, je me sentais défaillir, ma conscience quittait mon corps. J’ai senti les mecs éjaculai à tour de rôle en moi. Ils se sont retirés, mais d’autres les ont remplacés ...
***
«C’est donc là que tu te cachais? Je t’ai cherché toute la soirée. Je me doutais bien que tu descendrais de la voiture?»
J’ouvris les yeux, la lumière du soleil entrait déjà par la fenêtre. Paniqué, je me suis relevé rapidement, mais ma tête se mit à tourner et je suis retombé sur le lit.
- Doucement, me dit Alexandre. Ils t’ont pas raté! Regarde comme ton anus est tou flétri.
Couché sur le ventre, je ne l’ai pas vu se rapprocher de moi. Son corps écrasa le mien et il s’enfonça en moi sans aucune difficulté. Je n’ai pas pu m’empêché de lâcher un gémissement de satisfaction.
- T’es vraiment bien ouvert ... et si juteux. Combien de mecs t’ont inondé de leur sperme?
Il passa sa main sous mon ventre et récupéra ma verge tendue douloureusement. Il me branlait en même temps qu’il me sodomisait. Alexandre avait un excellent jeu de hanche. J’ai pris du plaisir immédiatement. Je me suis mis à onduler de la hanche tandis qu’il me limait le cul. Je couinais telle une salope en manque, ce qui encourageait Alexandre à aller plus fort en moi.
J’éjaculai le premier entre les doigts d’Alexandre. Il me fit bouffer ma propre semence tandis qu’il se terminait en moi.
- Et bien dis donc, ton cul vaut le détour... T’inquiète pas, j’ai déjà appelé Daphney pour lui dire que tu créchais à la maison. Il va falloir que tu prenne un bain, tu est littéralement couvert de sperme.»
NDLA: Ceci est une fiction, protégez-vous!
A suivre ...
Dej407
dej407@yahoo.com
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