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Premier épisode | Épisode précédent

Mon gendarme | 3

Au cours de mes conversations avec Christophe, il me demande régulièrement ce que ça fait de se faire sodomiser, quel plaisir je ressens. Difficile de lui répondre, car comme tous les passifs peuvent le dire, c’est un mélange physique et psychologique, et le plaisir ressenti est propre à chacun.

Et un jour, il finit par me dire qu’il aimerait que je le prenne. Il y avait pensé avant de me rencontrer, mais n’avait pas encore trouvé la bonne personne. Il se sent en confiance avec moi et me demande de le dépuceler. Je suis un peu surpris que mon mâle dominant dévoile cette envie, mais aussi honoré qu’il se sente si bien avec moi pour me réclamer cette faveur.

Le jour J arrive. Comme il désirait bien sentir la sensation du sperme dans ses fesses, je m’étais abstenu de toute éjaculation pendant une bonne semaine. Une fois chez lui je l’embrasse, le câline. Je le sens un peu nerveux. Il reste quand même dans son rôle de mâle au début. Nous nous déshabillons et sur le lit il me donne sa belle bite à sucer.

Il est nu, sur le dos, ses puissantes cuisses légèrement écartées, et je suis installé entre elles à pomper avec gourmandise sa belle et large bite.  Il apprécie ma pipe en gémissant de plaisir. Doucement, je lui fais écarter un peu plus ses cuisses. J’aperçois sous ses grosses couilles sa raie qui se dévoile. Elle est très légèrement poilue.

Tout en continuant de le sucer, je glisse un doigt vers sa raie et caresse son périnée juste sous ses testicules. Sa seule réaction est de gémir un peu plus fort. Je fais progresser mon doigt un peu plus loin jusqu’à atteindre son anus vierge. Je caresse son muscle du bout du doigt, je le masse délicatement.

Christophe se laisse faire. Puis il finit par me dire timidement de faire entrer mon doigt. Je mets mon doigt en bouche pour bien l’enduire de salive et je le pose à nouveau sur son trou. Je pousse doucement. Ça résiste bien, mon gendarme est très serré. Je le sens se crisper et retenir un grognement non pas de plaisir, mais de douleur.

Je commence à retirer mon doigt, mais il me dit : « Non continue ! Je veux que tu m’encules aujourd’hui ! ».  Il est décidé à se donner à moi, même s’il doit souffrir pour cela… Mais même si lui m’a fait quand même mal en me baisant bestialement, je n’ai pas envie que sa première fois se fasse dans la douleur. Je lui dis juste : « Attends… ».

Je vais chercher dans mon sac un tube de lubrifiant. J’avais quand même préparé mon coup ! Je me repositionne entre ses cuisses et j’enduis mon index d’une bonne dose de gel. Je pose le bout de mon doigt sur son anneau et pousse doucement. Cette fois la résistance est moins forte et mon doigt entre plus facilement. Du moins la première moitié.

Je sens que mon gendarme offert se crispe encore. J’arrête la progression de mon doigt et lui dis de souffler. Pour l’aider à se détendre, je reprends sa bite en bouche.  Son sexe a entre temps totalement débandé et repose, flasque, sur son pubis. Son gland a perdu de sa superbe et est caché par le prépuce qui le recouvre entièrement. Quand je passe ma langue sous le corps de ce joli pénis, je constate qu’un épais filet de liquide pré-spermatique sort du prépuce pour se perdre dans les poils blonds. J’aspire rapidement ce nectar et je décalotte doucement le gland. Il est tout luisant de mouille, entièrement recouvert. Alors je le prends en bouche et me régale de ce lubrifiant naturel…

Christophe gémit de plaisir cette fois, et je sens tout de suite que son gland reprend du volume et m’emplit la bouche. Dès que l’épaisse matraque est totalement prête pour l’action, je repars sur une pipe dans les règles de l’art. Mon mâle se détend pour savourer la sensation sur sa queue, et en oublie mon doigt toujours fiché dans son trou.

Doucement, lentement, je fais progresser mon doigt un peu plus loin. L’avancée est difficile, car le conduit, et surtout l’entrée, est très serré. Mais avec patience je parviens à introduire mon index en totalité. Je libère son membre viril et lui demande si ça va. Il me répond avec une voix calme, mais légèrement crispée : « Oui c’est bon, continue ! ».

Alors je reprends ma fellation et cette fois, en plus de faire coulisser mes lèvres sur la large colonne de chair, je fais aussi coulisser mon doigt dans l’antre chaude de mon militaire. Il se détend petit à petit, mon doigt rencontre moins de résistance à chaque passage. Je sens le corps, et les fesses, se détendre.

Je prépare un second doigt avec le gel et le fais entrer en plus de l’index. Légère crispation quand le bout entre. Puis je sens l’anneau se détendre et je progresse avec les deux doigts. Christophe s’habitue à cette intrusion plus épaisse, et je lui travaille le trou un moment.
Il finit par me demander d’arrêter de le sucer, il risque de juter ! Un peu à contrecœur je libère son sexe de ma bouche. J’en profite pour lui dire de se tourner sur le ventre. Il s’exécute et m’offre ses fesses en écartant les cuisses. J’essuie le trop-plein de gel avec une serviette et lui dis d’écarter ses fesses. Mon gendarme a un cul bien rond et dur, d’une fermeté incroyable acquise après tant d’années d’entrainement physique…

Je me penche vers cette raie offerte, et je lèche la rondelle au milieu. Elle est souple, moins résistante, et je m’essaie à faire entrer la pointe de ma langue. Aussitôt Christophe gémit de plaisir. Il apprécie la sensation de ma langue sur son orifice. Je l’entends ronronner sous mes caresses linguales. Il écarte au maximum ses muscles fessiers avec ses mains afin de me faciliter encore plus l’accès. Et je déguste son orifice longuement.

Sentant mon soldat complètement détendu et prêt à poursuivre le combat, je cesse mon travail de langue et je masse son entrée avec 2 doigts. Je profite qu’il soit encore bien détendu pour les faire entrer en douceur. Il se crispe un peu, enfouit son visage dans un oreiller, et étouffe un léger grognement douloureux qui se transforme rapidement en râle de plaisir. Je fais coulisser mes doigts sur toute leur longueur et la résistance de l’anneau diminue bien.

Au bout d’un moment, une fois bien détendu, il me dit qu’il veut ma bite, il veut que je le baise. Alors je me redresse et m’approche de ses fesses. Depuis un moment déjà je suis bien bandé et je mouille d’excitation. Je ne suis pas spécialement actif en sodomie, mais là l’idée de dépuceler la rondelle vierge de mon gendarme, d’être le premier à le pénétrer et surtout le féconder… Ça me donne des envies de domination !

Je dépose une grosse rasade de gel sur mon gland et je l’étale sur le reste de ma bite raide. Heureusement pour son baptême du feu je ne suis pas aussi bien monté que mon militaire. Même si niveau longueur nous sommes quasi à égalité, ma pine est beaucoup plus fine que la matraque qui m’a si souvent embroché… Quand nous les avions comparés, mon diamètre faisait quasi la moitié du sien. Sur le coup ça avait rassuré le puceau. Il préfèrerait nettement se faire initier par un sexe fin comme le mien plutôt que par un manche épais comme le sien…

Je pointe mon gland sur l’œillet vierge et j’appuie doucement. Après une légère résistance, l’anneau s’ouvre et je fais entrer lentement la pointe de ma bite. Je m’arrête alors. Christophe a étouffé un cri de douleur dans l’oreiller. Il souffle fort, il déguste. Je me dis qu’il se rend peut-être compte que moi aussi je souffre, et encore plus fort que lui, quand il me sodomise violemment… Je lui demande si ça va, si je dois me retirer. Il inspire fort et prend sur lui. Et il me dit de continuer, qu’il me veut entier en lui. Ça, c’est un mec qui n’a peur de rien ! En bon gendarme il encaisse et va au bout…

Je continue de progresser en lui doucement, attentif à la moindre réaction de sa part. Il serre les dents je le sens bien, mais il encaisse l’intrusion de ma queue bien dure en lui. Je finis par coller mon pubis contre ses fesses. Je suis totalement en lui jusqu’aux couilles. Je me cale bien dans son intimité. C’est chaud, doux, et surtout très serré… Je reste bien immobile, le temps de l’entendre respirer plus doucement. Alors je m’allonge sur lui, je l’embrasse sur la joue et je lui dis doucement : « Je suis entièrement en toi. Je t’ai enculé jusqu’au fond ! ». Il tourne son visage vers moi. Je vois qu’il se détend, s’adapte totalement à ce corps étranger en lui. « Baise-moi, donne-moi ton foutre ! ».

Alors je commence à coulisser en lui. D’abord très lentement, je recule ma bite et je la remets à fond à un rythme très doux. Mais rapidement il m’encourage à accélérer, à le prendre plus fort. Je m’exécute et accélère mon limage. Et je me retrouve à le baiser avec force. Je suis allongé sur lui, mes mains sur ses épaules pour bien prendre appui, mon bassin bouge et donne des coups puissants qui résonnent dans la chambre. Christophe a toujours le visage enfoui dans l’oreiller et il gémit de plaisir cette fois. Il m’encourage à l’enculer bien fort, à le baiser sans retenue. Je râle moi aussi de plaisir à posséder ce cul musclé et ferme, serré sur ma bite. Cette sensation est merveilleuse.

Mon militaire souffle fort, je sens qu’il parvient à la limite de ce que ses fesses peuvent encaisser. Il m’encourage : « Vas-y, jute dans mon cul, je veux ton foutre, féconde-moi ! ».  Son conduit serré et doux, et le limage intensif qu’il m’a réclamé, m’ont heureusement pour lui fait monter mon plaisir rapidement. Je sens mon sperme monter dans ma bite. Pour une fois je vais être le mâle qui va remplir sa femelle avec sa semence virile !

J’accélère encore plus mon ramonage, lui arrachant des cris de plaisir mêlé de douleur. Je lui dis : « Je viens, je vais te remplir ! », et je me plante en lui brutalement jusqu’à la garde. Je gémis longuement en sentant mon foutre expulsé en nombreux jets par ma bite et remplir ce cul ferme. Christophe gémit de bonheur, il crie presque des « Oui ! » d’extase à chaque rasade qu’il sent jaillir de mon gland et lui remplir son antre qui n’est plus vierge maintenant. Avec les réserves spécialement faites pour lui, je lui offre une très grande doses de sperme…

Je me sens vidé dans tous les sens du terme. Je suis anéanti par la force de ma jouissance. Je débande vite et ma queue molle sort toute seule des fesses encore bien serrées du gendarme. Je reste allongé sur lui pour me remettre de mes émotions. Il me dit : « Merci, c’est trop bon ! Je sens ton sperme dans mon cul et j’adore cette sensation ! ».

Et sans prévenir, il me fait rouler sur le lit. En un instant je me retrouve à plat ventre. Épuisé comme je suis, je me sens comme une poupée de chiffon que l’on peut manipuler aisément. La masse imposante de Christophe se retrouve entièrement sur moi et m’écrase, m’étouffe. Je sens instantanément un volume bien reconnaissable par sa taille et sa rigidité qui se plaque entre mes fesses, dans ma raie. Mon mâle est bandé à fond, et excité comme jamais, car je sens sa mouille m’humidifier les fesses à grosses gouttes. Visiblement la sodomie qu’il vient de subir ne lui a pas coupé son érection !

Sans s’aider de ses mains, son gros gland dur comme la pierre trouve ma rondelle. « J’ai envie de toi ! » souffle-t-il. Et il pousse son bassin. La grande quantité de mouille que son gland produit m’a lubrifié immédiatement, et l’épais champignon glisse avec une facilité surprenante. Je n’ai presque pas mal à son passage malgré l’absence complète de préparation… Ou bien je m’habitue à ses dimensions. ?

Sans marquer de pause, la matraque de mon gendarme progresse en moi lentement, et ne s’arrête qu’une fois totalement dans mes fesses. Je sens son ventre contre ma peau, ses couilles lisses et bien lourdes sur les miennes. Il intercale ses cuisses entre mes jambes pour que je les écarte en grand et lui permettre de s’assurer que sa bite est au maximum en moi. Il souffle fort à mon oreille, son plaisir est déjà palpable.

Pour une fois il me sodomise doucement, tendrement. Ce n’est pas pour me déplaire, mais venant de sa part je suis étonné. Je gémis de plaisir à son va-et-vient lent. Lui aussi me fait entendre son bonheur à être en moi. Et je comprends rapidement la raison de ce rythme, de cette pénétration calme.  Après seulement quelques minutes de limage, il me murmure : « Je suis trop excité ! Je vais pas tenir ! ».

Je sens mon gendarme au bord de l’explosion. Dans un ultime effort pour faire durer le plaisir, il s’immobilise en moi. Sa bite dure et épaisse est bien calée eu fond de mes fesses. Je le sens se tendre pour lutter contre l’arrivée de son éjaculation, frissonner sous le coup du plaisir qui doit irradier de son membre tendu. J’ai l’impression qu’il parvient doucement à maitriser son orgasme, à faire refluer cette vague de plaisir qui risque de le submerger.

Mais soudain, il crie à mon oreille : « Putain non ! ». Je sens en moi son pieu qui gonfle et se durcit encore plus. Je devine que le plaisir a été plus fort que sa volonté. Immédiatement il entame un pilonnage puissant de mes fesses. Il m’arrache des cris de plaisir en me limant à un rythme endiablé. Et en quelques secondes il pousse un râle rauque et viril, et je sens mes entrailles se remplir de sa semence chaude et abondante. Le rythme de son assaut sur mon trou baisse rapidement. Je sens que son sperme coule hors de ma rondelle à cause du va-et-vient qui continue, et mes couilles sont rapidement complètement enduites de ce jus de mâle. Il cesse soudain ses mouvements et sa bite se retrouve immobile, bien calée à fond dans mes fesses. Je la sens palpiter encore en moi, je perçois les derniers soubresauts de plaisir de cet organe qui me donne tant de bonheur et de satisfaction.

Christophe reprend difficilement son souffle, il est exténué. Je sens qu’il utilise le peu d’énergie qui lui reste pour me dire : « Je suis désolé, je n’ai pas pu me retenir, c’était trop bon ! ». Je le rassure en lui disant que ce n’est pas grave, j’ai adoré comme à chaque fois, peu importe la durée, ce qui me donne mon plaisir c’est l’intensité de sa jouissance ! Et là j’étais bien servi…

Après un mini coma durant lequel nous sommes restés l’un sur l’autre, la large bite du gendarme toujours enfoncée en moi, nous avons pu gagner la douche et nous remettre définitivement de nos émotions. Il était heureux d’avoir enfin pu gouter au plaisir de se faire sodomiser et il a adoré que je le féconde à mon tour.

Même si mon gendarme est resté principalement actif, et toujours sauvage, il a pris gout à se faire prendre et je l’ai gratifié de mon sperme dans ses fesses accueillantes quelques fois encore…

Si tu as un uniforme, policier, pompier, militaire… n’hésite pas à me faire signe, je m’occuperai de toi avec grand plaisir…

Nonodt92

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