Il y a quelques années j’étais en couple avec Dominique. Il était assez classique sexuellement et je l’ai travaillé pour qu’il se lâche et accepte le sexe en dehors du lit pour varier les plaisirs. Il était assez coincé et il lui était impossible d’envisager le sexe en dehors de l’appartement. Je le relançais régulièrement pour le dévergonder, mais il refusait à chaque tentative.
La première fois, c’était dans le parking de notre immeuble. Il était tard, nous revenions d’une soirée chez des amis. Le parking était désert. Durant tout le trajet, je lui ai caressé l’entrejambe. En fait je l’ai carrément branlé. Il était bandé tout du long, et chauffé comme ça je savais qu’il allait me faire ma fête.
En sortant de la voiture, je me suis collé à lui et je l’ai embrassé. Il se laissa faire. Alors j’ai recommencé à lui caresser le paquet. Il me repousse doucement avec toujours la même rengaine : « On risque de nous surprendre, c’est trop risqué, et si quelqu’un vient.. ? » Je lui ai répondu qu’à cette heure il n’y avait aucune chance que quelqu’un passe, et que c’est justement ce risque qui est excitant… mais malgré ses paroles de refus, je sentais bien que sa bite au contraire durcissait encore plus.
Alors, pour qu’il n’ait pas le temps de réfléchir plus, je me suis agenouillé et j’ai ouvert sa braguette. J’entends un « Non ! » sur un ton moins convaincant, et je continue de libérer sa bite de son pantalon. Finalement il ne résista pas du tout et en quelques secondes sa bite bandée sortait par la braguette de son pantalon.
Dominique a une bite dans la moyenne. Environ 16 cm de longueur, et de diamètre normal. Un beau gland légèrement plus large que le reste du membre et recouvert à moitié par son prépuce. Une goutte de liquide pré-spermatique perlait déjà au bord du méat.
Sans attendre, je gobe son gland et je commence à avaler sa queue toute dure. Il gémit un « Non, pas ici ! » pas du tout affirmé. J’ai su immédiatement que j’avais gagné.
Alors je le pompe avidement, je déguste sa bite jusqu’à la base, et je suce du mieux possible. Il se met à gémir, ses mains se posent sur ma tête, et il se laisse faire. Je ne sais pas si c’est le lieu qui finalement l’excitait bien, ou le fait que je l’ai bien branlé pendant presque trente minutes sur le trajet du retour, mais son plaisir monta très vite.
Après seulement quelques minutes de ma pipe, j’ai senti sa bite se durcir encore plus, et ses gémissements devenir plus forts. Le connaissant, j’ai su immédiatement qu’il était sur le point de jouir. Alors j’ai accéléré le mouvement de mes lèvres sur sa hampe et aspiré encore plus fort son membre.
Le résultat escompté ne tarda pas, et en grognant de plaisir il juta plusieurs jets de foutre dans ma bouche. Comme à mon habitude j’ai tout avalé jusqu’à la dernière goutte.
Une fois son éjaculation finie, il remit sa queue encore dure dans son pantalon et referma sa braguette. Je vis sur son visage qu’il avait quand même honte de lui. Et il se précipita dans l’ascenseur. Je l’ai suivi fier de moi, avec le gout de son jus dans ma bouche…
Le lendemain, timidement, et toujours un peu honteux de lui, Dominique m’avoua tout de même que se faire sucer dans le parking lui a donné un plaisir différent, fort, puissant… et qu’en fin de compte ça lui avait plu ! Bingo, j’ai marqué un point !
Plusieurs jours s’écoulèrent, et nous sommes en voiture un beau dimanche vers midi. Nous traversons la forêt de Fontainebleau et je reconnais un carrefour où nous faisions souvent un arrêt pipi quand nous passions par là avec mes parents quand j’étais enfant.
Je dis à Dominique de s’arrêter là. Il me demande pourquoi, un peu suspicieux. Je lui dis que je dois pisser. Une fois garé, je constate que le petit chemin qui s’enfonce entre les arbres est identique à mes souvenirs. Je lui dis de venir avec moi. Il ne comprend pas, refuse. J’insiste en lui disant que je vais lui montrer un truc. Il finit par me suivre.
Après seulement quelques mètres, nous sommes à l’abri des regards aussi bien du côté de la route que du petit chemin forestier. Alors je le fais venir vers moi et derrière un gros arbre et je lui demande : « Ça t’a vraiment bien plu que je te suce dans le parking ? ».
Timidement, et devinant où je voulais en venir, il me répondit à voix basse : « Oui. C’était très excitant ! ».
Alors je pose immédiatement ma main sur sa braguette. Il ne recule pas. J’ouvre rapidement la fermeture éclair pour qu’il n’ait pas le temps de réfléchir et je sors sa bite et ses couilles. Il était totalement au repos, j’ai fait tellement vite…
J’ai commencé à le sucer et la réaction ne s’est pas fait attendre. En quelques mouvements sur sa queue, il était bandé et dur comme le roc. J’ai entrepris de le pomper bien à fond, pour qu’il prenne son pied sans se soucier des risques de la pipe en plein air. Je sentais bien qu’il prenait beaucoup de plaisir…
Mais j’ai senti que malgré cette situation inédite et exposée, il était moins sur la défensive, plus concentré sur les sensations nouvelles qu’il éprouvait. Alors j’ai tenté le tout pour le tout…
J’ai lâché sa bite toute couverte de salive, et je me suis levé. J’ai lu l’étonnement dans son regard. Je me suis tourné face à l’arbre et sans rien dire j’ai ouvert mon jean. J’ai dénudé mes fesses en baissant pantalon et boxer sur mes genoux et je me suis penché en avant, appuyant mes mains contre le tronc…
Dominique devina tout de suite et se défendit : « Tu es fou, on ne peut pas ici, on peut nous surprendre ! ». Je lui ai répondu que plus il mettait du temps à se décider, plus le risque d’être vus augmentait ! Et je rajoutais : « Tu as qu’à me baiser rapidement ! ».
Je devinais les pensées contradictoires qui luttaient en lui. Mais son cerveau fut très rapidement mis hors courses par sa bite ! Rapidement, il s’approcha de mes fesses en tenant sa queue raide d’une main. Sans préambule il posa directement son gland contre ma rondelle, et d’un coup il me pénétra jusqu’aux couilles. Il me prit fermement par la taille des deux mains et me lima en force sans réfléchir.
Il grognait comme une bête en me besognant à grands coups de bassin. Il se lâchait complètement et se déchainait dans mes fesses. Très rapidement, il gémit plus fort et se planta entièrement dans mon cul. Je sentis plusieurs jets de foutre me remplir. Il tremblait sous le coup de la force de son orgasme.
Il ne lui fallut que quelques secondes pour se remettre de ses émotions. Et sans un mot il sortit sa bite à moitié molle de ma rondelle et la rangea immédiatement dans son pantalon. Il ferma sa braguette et prit la direction de la voiture. Il était rouge. De honte ou d’excitation ? Je l’ai vite suivi en remontant mon pantalon, fier de moi.
Dans la voiture, je lui ai demandé s’il avait aimé. Un peu honteux, il réussit à admettre que là situation était très excitante et qu’en fin de compte il avait beaucoup aimé… J’avais gagné la guerre…
Enfin nous arrivons au titre de cette aventure ! Je suis infirmier et à l’époque de ma relation avec Dominique je travaillais de nuit dans un grand hôpital parisien. Mon planning faisait que systématiquement un weekend sur deux je bossais. Mon vestiaire se situait en sous-sol, et le dimanche soir c’était le calme plat. Il n’y avait absolument personne. Mon compagnon avait pris depuis longtemps l’habitude de m’accompagner en voiture le dimanche soir, pour me raccourcir le temps de transport. Il me suivait dans mon vestiaire le temps de me changer et rentrait chez nous juste après.
Le dimanche suivant notre baise à la va-vite dans les bois, Dominique m’accompagna comme à son habitude dans mon vestiaire avant ma prise de poste. Je suis toujours prévoyant et j’arrive avec au moins trente minutes de marge. Je me mets en slip devant lui, tout en parlant de choses et d’autres.
Au moment où je range mes vêtements, il se met derrière moi et me caresse les fesses. Je suis très surpris, car il n’avait jamais fait ça avant. Il me baisse mon slip à mi-cuisses en me disant à l’oreille qu’il avait vraiment adoré me baiser dans la forêt, et que depuis il ne pense qu’à m’enculer dans des lieux insolites… et pourquoi pas dans mon vestiaire ! En disant ça j’entends le bruit de sa braguette qui s’ouvre.
Pour la première fois depuis le début de notre relation il se lâche complètement et dévoile un côté bestial que je ne lui connaissais pas. Il se rapproche de moi par-derrière et me souffle à l’oreille : « Tu aimes ça que je t’encule partout ! Alors je vais te baiser ici ! ». Je sens son gland humide se poser sur mon trou, et les mains qui me saisissent par les hanches. Un râle viril et il donne un violent coup de bassin qui fait entrer son gland en moi. Je retiens un cri de surprise.
Aussitôt il entame un ramonage de mon cul en force. Il a juste fait tomber son pantalon sur ses cuisses et il me donne des coups de reins puissants pour me baiser sauvagement. Il souffle fort dans mon cou. Je le sens excité comme rarement. Ses couilles tapent fort sur mes fesses. Je devine qu’il se concentre pour ne pas exprimer son plaisir autrement que pas des râles étouffés.
Il ne lui faut que quelques minutes pour atteindre la jouissance. Je sens rapidement que ses coups de bite se font encore plus violents et profonds. Son corps se crispe contre moi, ses mains serrent encore plus fort mes hanches, à la limite de la douleur. Un dernier coup de bassin et il enfonce bien sa queue rigide jusqu’à la garde. Je la sens qui se durcit encore plus et palpite dans mes fesses. Sa bouche près de mon oreille laisse s’échapper un grognement de délivrance, et je sens que son jus chaud inonde mes entrailles. Il tremble sous le coup du plaisir tout en larguant en moi de nombreux jets foutre.
Sa queue palpite en moi encore quelques instants après qu’il ait largué sa dernière goutte de sperme. Il reste enfoncé dans ma rondelle jusqu’à la garde, mais sa bite ramollit en moi. Elle finit par glisser d’elle-même hors de mon trou. Un peu de son jus coule dans ma raie.
Une fois qu’il a repris son souffle, Dominique me libère de son étreinte et rapidement remonte son boxer et son pantalon. Je fais de même avec mon slip et je m’habille avec ma tenue d’infirmier. Il me regarde en souriant, comme fier de lui. « Tu avais raison, c’est vraiment bon comme ça. J’aurais dû le faire depuis longtemps ! ».
Il m’embrasse et il rentre à l’appartement, les couilles bien vides, et moi je monte dans mon service avec le cul bien plein de son sperme…
Et depuis j’ai travaillé tous les dimanches avec son foutre en moi…
Nonodt92
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