Il y a quelques années, j’ai fait la connaissance d’un superbe mâle bi qui avait, à l’époque, très peu d’expérience avec les hommes. Christophe est marié, donc avec des disponibilités compliquées, et discrétion absolue demandée. Et au cours des nombreuses conversations bien chaudes, il m’apprend qu’il est gendarme… Mes fantasmes les plus fous me submergent immédiatement. À force vous connaissez mes gouts pour les hommes en uniforme !
Nous finissons par trouver une occasion pour une première rencontre. Il est seul chez lui et a envie de s’occuper de moi… Je sors de mon boulot de bonne heure et dans le métro je le chauffe bien par sms. Je lui précise que je souhaite prendre une douche avant de commencer, et que comme notre rendez-vous s’est fait à la dernière minute je n’ai pas prévu de capote sur moi… Il me dit pas grave, qu’on se débrouillera, car il n’est pas équipé non plus.
Arrivé chez lui, je suis accueilli par un mâle comme je les aime. Il a 45 ans au moment des faits (5 ans de plus que moi), grand (1m82), carrure imposante, style rugbyman. Il n’a pas d’abdos en tablette de chocolat, mais un début de ventre. Ça ne retire rien au charme, car je sens bien que son corps est très puissant et qu’il pourrait me dominer sans problème physiquement. Les cheveux blond coupé très court. Yeux marrons clairs qui me scrutent avec autorité. Et un sourire à la fois carnassier, mais aussi ravi de recevoir l’objet de ses désirs… Même sans son uniforme, mon gendarme en impose par sa présence et je ressens l’autorité émaner de lui. D’ailleurs il me reçoit vêtu simplement d’un boxer noir qui a une jolie proéminence des plus appétissantes !
À peine la porte fermée derrière moi il me prend dans ses bras puissants et me serre très fort. Je me sens écrasé par sa puissance et je sais qu’il me serait impossible d’échapper à son étreinte. De toute façon je n’ai absolument aucune envie de partir… Il vient m’embrasser sauvagement, brutalement. Sa langue fouille ma bouche avec force, et quand j’essaie de faire entrer la mienne dans sa bouche il me la mord doucement. Je suis un peu déconcerté par ce mélange de tendresse et de violence. Mais je sens son désir sexuel, animal.
Il me dit de me déshabiller et me montre la direction de la salle de bain. Sur le chemin il se colle à moi et m’enserre encore dans ses bras. Il frotte son bas-ventre sur mes fesses et je sens une barre bien dure. Et le tissu du boxer est déjà bien humide. Il m’embrasse le cou, l’oreille, me mord l’épaule et me murmure qu’il a envie de moi. Et il me pousse vers la baignoire.
Il vient avec moi sous le jet d’eau et me savonne partout. J’en fais de même et le savonnage se transforme en caresses. Son corps est très massif, puissant. Même si l’âge lui a fait prendre une petite épaisseur de graisse, je sens dessous des muscles durs. Il me savonne les fesses, insiste bien sur ma raie et mon petit trou qui s’ouvre facilement. Il y introduit un, puis deux doigts larges qui glissent rapidement sans difficulté. Je vois sur son visage qu’il est très excité.
Je lui rappelle que nous n’avons pas de capote et que ce ne serait pas raisonnable. Et pour toute réponse, il m’embrasse, puis me sourit, et il me dit le plus tranquillement et naturellement du monde : « J’ai trop envie de te baiser ! Tant pis pour la capote je vais t’enculer et je vais te féconder… ».
Je sens que je n’ai pas le choix, et de toute façon vu le gabarit du mâle, je n’ai pas les moyens de lui échapper et de m’enfuir. Et j’ai bien compris qu’en vrai dominateur, mon gendarme obtiendra de moi ce qu’il veut, de gré ou de force… Mais ai-je vraiment envie de refuser. ? J’ai envie de ce fantasme vivant en moi, je désire son membre dans mes fesses, et je rêve de sa semence en moi, afin de me sentir sa femelle… Et je sais aussi que les militaires se font dépister obligatoirement pour pouvoir être apte et il m’avait dit que sa dernière visite systématique annuelle était récente…
Pour toute réponse, et signifier mon accord, je saisis sa bite qui est rigide depuis un moment déjà. Je lui savonne sa matraque doucement d’une main. Elle n’est pas d’une longueur exceptionnelle, environ 17 cm, mais par contre très large, et avec un très gros gland. Je le décalotte doucement et du bout des doigts je caresse ce gros champignon violacé. Christophe ferme les yeux et soupire de plaisir. Je devine qu’il se fait violence pour contenir son désir.
Je me retourne alors, je pose un pied sur le rebord de la baignoire afin de bien dévoiler ma raie. J’attire vers moi son membre et je dirige son gland encore couvert de gel douche vers ma rondelle. Il a compris que j’étais d’accord pour m’offrir à lui sans retenue et sans couverture… Il me caresse la rondelle, je sens qu’il teste la résistance avec quelques appuis. Je me détends petit à petit, mais malgré le savonnage avec ses doigts, son gland est quand même très large et j’ai besoin de plus de préparation.
Alors que je vais pour ajouter un peu de lubrification, mon gendarme me saisit les hanches avec ses grandes mains. Impossible de me soustraire à cette étreinte ! Et avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, il donne un grand coup de reins et accompagné par un grognement bestial, son gland force le passage et entre dans mon conduit. Je sens une grande douleur à cause de cet assaut bestial, à laquelle s’ajoute une brulure due au gel douche. Je ne peux retenir un cri pas franchement d’extase. Aussitôt il me met une main sur la bouche pour m’empêcher d’ameuter ses voisins, il me mord l’épaule et au lieu de se retirer pour me soulager, il enfonce le reste de sa bite en moi. Je me sens écartelé, et surtout bien rempli par ce pieu épais en moi. Son ventre est collé à mon dos, ses couilles tout contre mes fesses. Il souffle fort à mon oreille, et me dit qu’il est bien dans mon cul, qu’il aime être en moi.
Je tente de reprendre mon souffle, la douleur est encore bien présente. Christophe entame alors un doux et lent va-et-vient. Moi qui m’attendais à un ramonage bestial, je suis agréablement surpris par cette douceur, ce limage tendre. Il en profite pour lâcher mes hanches et m’enfermer dans ses bras puissants. Collé contre moi, il me couvre de baisers un peu partout sur le visage, l’oreille, le cou… Cette sodomie douce apaise la douleur et je commence à ressentir un énorme plaisir.
Mon gendarme me fait l’amour quelques minutes sous l’eau qui coule. Puis il se retire sans prévenir. Je sens comme un grand vide en moi. J’ai commencé à apprécier sa bite. Je suis surpris qu’il arrête de me baiser si soudainement. Il ne dit rien et sort de la baignoire. Il me tend une serviette et commence à s’essuyer. Je sors à mon tour et l’imite. En souriant, il me prend par la main et me dirige vers sa chambre.
Il me pousse sur le lit. Je me retrouve sur le dos. Et aussitôt la masse imposante du militaire me recouvre, m’écrase. Nous nous embrassons, nous caressons. Il frotte sa bite dure contre la mienne. Je sens sa mouille enduire ma queue. Ce moment tendre dure peu de temps. Il me regarde dans les yeux et me dit : « Suce-moi ! ».
Christophe se lève et reste debout sur le côté du lit. Je m’approche à plat ventre de la matraque de chair, et je l’admire de près. Elle est vraiment bien large, ma main n’en fait pas totalement le tour. Son gland est vraiment très gros, bien rouge et luisant de mouille. Je commence à le lécher, puis le reste de sa hampe. Je remarque un grain de beauté à la base du membre. Puis j’avale cette belle bite, je descends le plus loin possible. Je vais doucement, prudemment, en m’efforçant de ne pas abimer ce merveilleux sexe avec mes dents. En effet la difficulté vient du diamètre impressionnant, et ma bouche est remplie comme rarement…
Mon gendarme gémi de plaisir, il me dit que je suce bien. Il me tient la tête avec ses grandes mains, mais sans m’imposer de rythme. Il se laisse totalement faire.
Puis il profite de ma position pour se pencher et ses mains me caressent le bas du dos, puis mes fesses. Ses caresses deviennent plus fermes, et se transforment en massage plus puissant. Il en profite pour écarter mes lobes et admirer ma raie. Il fait couler un peu de sa salive qui atterrit sur mon trou, et un de ses gros doigts vient me masser la rondelle. Je suis encore sensible après l’entrée en force sous la douche, mais son doigt finit par entrer sans difficulté et me procure des sensations agréables.
Il retire son doigt, sort sa bite de ma bouche. Il me fait tourner sur le lit à 180 degrés. Je suis toujours à plat ventre. Je devine ce qui va m’arriver ensuite. Toujours sans prévenir le militaire s’allonge sur moi. Je suis écrasé par sa masse, totalement immobilisé. Je sens sa grosse bite dans ma raie. Il ondule du bassin comme pour simuler le coït. Il me tourne la tête pour me rouler une pelle puissante. Et il me regarde droit dans les yeux et me dit « Je vais te remplir et tu seras ma femelle.. ! »
Aussitôt il pointe son gros gland sur mon trou. Et d’une forte poussée, il enfonce toute sa bite en moi jusqu’à la garde. Je commençais à peine à me remettre du premier assaut… Cette fois il poursuit par un limage puissant et profond. Il me tient par les poignets, me tenant comme un prisonnier, et donne des coups de reins comme un étalon en rut. Je suis baisé sauvagement, bestialement.
Une fois la surprise passée, je sens que la douleur s’estompe très rapidement sous les assauts de mon mâle, et je me mets à gémir de plaisir. Lui aussi râle et gémit d’une voix rauque et très masculine. Il me lime à un rythme plus que soutenu, je me sens complètement défoncé dans tous les sens du terme. Sa large queue glisse en moi sans difficulté, ses lourdes couilles frappent mes fesses bruyamment. Avec ses jambes il écarte bien mes cuisses pour pouvoir s’enfoncer le plus loin possible en moi.
Ce mâle me domine et me possède. Il me baise frénétiquement comme si sa vie en dépend. Au-delà du plaisir physique qu’il tire à aller et venir en moi, je sens qu’il éprouve un grand bonheur à s’accoupler avec moi. Bien entendu à baiser à un tel rythme sa jouissance ne met pas bien longtemps à monter.
Christophe finit par gémir encore plus fort. Ses coups de bite se font encore plus rapides et puissants. Il me crie presque à l’oreille : « Putain je viens, je vais te féconder ! ». Dans un dernier et puissant mouvement de bassin, il se plante à fond en moi. Il me mord l’épaule pour étouffer un cri de délivrance. Et je sens en moi sa bite déjà bien large qui gonfle encore plus. Et soudain son membre viril est pris de spasmes. Et je sens de nombreux jets de sperme chaud jaillir en moi à chaque soubresaut. 5, 6, 7… il n’en finit pas. Une vraie fontaine de semence virile ! Après une bonne dizaine de rasades, le flot se tarit.
Le soldat est à bout de souffle. Il est en sueur, épuisé, affalé sur moi. Je sens battre son cœur à un rythme fou. Je ressens en même temps son pouls dans son sexe qui est encore dur en moi. Il m’embrasse et me regarde sans rien dire. Je vois son regard brillant, pétillant de joie. Il sourit, encore en extase.
Je sens son bassin bouger, reculer doucement. Je lui dis de ne pas bouger, de rester encore en moi. Il semble étonné par ma demande, mais rapidement son visage radieux me fait comprendre qu’il apprécie. Alors il cale bien son membre encore bandé bien au fond de mes fesses et ne bouge plus.
Au bout d’un moment je sens sa masse s’appesantir sur moi. Comme s’il s’endormait. Son sexe est désormais totalement au repos et glisse hors de ma rondelle qui palpite encore suite à cet assaut sauvage. Je sens que son sperme coule sur mes couilles.
Christophe se lève. Je me sens d’un coup beaucoup plus léger ! Il me retourne et m’embrasse tendrement. Je le repousse et me penche sur sa bite flascide et enduite de sa semence. Je la lèche doucement, tendrement, pour déguster le liquide viril et la nettoyer. Je sens mon gendarme frissonner. Il est très sensible après l’éjaculation, comme beaucoup d’hommes. Aussi je caresse le plus doucement possible son gland, moins imposant désormais, du bout de la langue.
Une fois son sexe totalement nettoyé, il me dit juste merci. Et nous allons sous la douche pour nous remettre de nos émotions. Il me dit qu’il est heureux de m’avoir fait l’amour, et qu’il veut recommencer dès que possible.
Je suis reparti avec le cul encore endolori, et avec encore un peu de son sperme en moi. Et surtout heureux. Nous nous sommes revus. Pas souvent hélas à cause de sa vie d’hétéro. Je vous raconterai quelques-unes de ces aventures si ça vous intéresse et vous excite.
Et comme toujours si tu portes un uniforme je te reçois avec plaisir…
Nonodt92
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