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4 | Soirée et nuit
L’habitude avec Ilyas, j’avais toujours avec moi de la pommade cicatrisante pour apaiser mon orifice et le faire se refermer plus rapidement et facilement. Et avec Omar, elle n’était pas de trop… !!!
Une immense table était dressée, c’était le soir de la rencontre avec la belle-famille, avec, les hommes d’un côté, les femmes de l’autre. Je restais toujours estomaqué de voir comment elles pouvaient préparer des repas aussi savoureux pour un si grand nombre de personnes, même si toutes s’attelaient à la tâche. Il faut dire qu’un mariage se préparait plusieurs mois à l’avance aussi bien en ce qui concernait la nourriture que l’intendance. Dans le cas présent, le frère qui épousait la sœur et la sœur qui épousait le frère simplifiait quelque peu les choses, uniquement deux familles en présence.
J’ai été très surpris de me retrouver à table, très loin d’Omar, pratiquement à l’autre bout, avec toutefois Réda et l’un de ses frères à mes côtés. Si j’en étais tout de même contrarié, je ne laissais toutefois rien paraître, et je contemplais d’un œil gourmand, cette avalanche de mets arriver, dégageant des effluves d’épices, d’herbes aromatiques et bien évidemment, d’huile d’olive.
« Tu m’en veux pas Tonton ? »
« Mais de quoi mon Réda ? »
« De t’avoir placé de ce côté de la table… !!! »
« Mais non, suis trop content d’être près de toi. »
« C’est mieux comme ça Tonton, sinon, Omar aurait eu… comment dire… des difficultés à rester sage. »
C’est vrai que notre complicité était totale, nous nous comprenions facilement avec très peu de mots et son ouverture d’esprit, la très forte affection que nous éprouvions l’un pour l’autre, fils unique, je n’avais pas de neveu de sang, admettaient totalement ma proximité avec Omar, qu’il avait provoquée d’ailleurs, il n’en était sans doute pas de même pour tout le monde. Et ce soir-là, la fête primait avant tout.
En essayant d’être quand même détaché, nos regards se croisaient très souvent, ses yeux noirs me lançaient des feux de braises, si puissants, que j’avais l’impression qu’ils me transperçaient. J’avais du mal à rester jovial, souriant, plaisantant avec mes voisins, dégustant avec plaisir chaque bouchée de ce fabuleux repas, dont Réda me décrivait en détails, tous les plats que je ne connaissais pas.
Malgré l’énorme boule de désir qui me serrait le ventre, j’ai goûté à tout, même à plusieurs reprises tellement tout était bon. Si la cuisine Kabyle avait sa particularité, elle ressemblait néanmoins à ce que me préparait ma grand-mère, dans l’arrière-pays niçois quand je n’étais encore qu’un enfant et un adolescent.
« Réda, je suis plein comme un œuf, tu me permets de sortir de table pour faire descendre un peu tout ça ? »
« Bien sur Tonton, dès que tu auras fini ta salade d’orange à la cannelle, ça va te faire digérer. »
Ce n’était pas une réelle spécialité de la région, mais une des cousines, d’origine marocaine, l’avait préparée pour l’occasion. J’avais quand même remarqué que plusieurs fois, des jeunes se levaient pour aller vers un petit bosquet pas très loin. Effectivement, Omar y avait entreposé dans des glacières les bières qu’il leur avait offertes.
Un peu éloignés d’eux, je marchais tranquillement, seul, reprenant mon souffle après tant de nourriture ingurgitée, quand, malgré toute cette nature autour de moi, mes narines ont descellé une odeur qui s’approchait et que je connaissais si bien, si suave, si forte, si prenante…
Je suis resté immobile jusqu’à ce que ses bras m’enserrent, son corps épousant le mien ses lèvres sur mon cou et ses mains me caressant partout.
« Je n’en peux plus Marc… Te voir de si loin… Je deviens fou… !!! »
« Mais j’aime quand tu deviens fou Habibi… !!! »
Il ne lui a fallu que quelques secondes, après un regard circulaire pour vérifier que nous étions seuls dans notre coin, pour me pencher sur une espèce de mur, baisser le faible rempart qui recouvrait l’objet de ses convoitises et m’envahir d’un trait. J’étais à lui, il était le mâle, et tout mon corps lui appartenait. Et le bougre… Il savait que j’adorais ça… Il m’a défoncé de toutes ses forces, me faisant payer de l’avoir excité pendant tout ce repas en étant loin de lui, avec mes gestes plus qu’équivoques.
Putain que c’était bon… Il me besognait tellement fort que j’avais super mal… Mais quelle magnifique douleur que de se faire prendre violemment par son homme, de toute la violence de son désir… Comme à son habitude, il a eu besoin de deux jouissance pour se sentir satisfait…. Et encore… !!!
« On va rejoindre les autres, passe devant…Mais cette nuit, je te promets que tu vas t’en souvenir »
J’ai rejoint ma place à côté de Réda, qui, comme par hasard avait posé un coussin sur la chaise.
« Ça sera plus confortable, non ? »
« Merci c’est gentil… Effectivement, les chaises sont un peu dures. »
« Au fait, tu as rencontré Omar ? Il est sorti de table peu après toi… »
« Je sais pas, je me promenais un peu au hasard. »
« On va dire ça Tonton. »
Surtout qu’il avait vu Omar revenir, avec un air beaucoup moins contrit, comme apaisé et ayant retrouvé le sourire. La fête a continué encore pas mal de temps, avec des visites régulières des jeunes vers le bosquet où se situait le cadeau d’Omar.
En fait, je ne savais pas grand-chose sur lui et c’est en parlant, ce soir là avec Réda que j’ai pu en connaitre davantage. Jeune fils de la sœur de sa grand-mère, il était enfant unique, assez rare en Kabylie, mais ses parents étaient morts très jeunes, d’un accident d’après ce que j’avais compris. Sa famille paternelle possédait beaucoup de biens, qui lui sont revenus après ces drames, et qu’il gérait d’une manière, parfaite. Il avait été élevé par sa grand-mère, celle de Réda et leur vouait une affection et une reconnaissance sans borne. Malgré son aisance financière, il vivait très simplement, s’occupant de ses domaines d’une manière plutôt, solitaire. Personne ne savait ce qu’il possédait, ni de quelle manière il vivait, tous intrigués néanmoins de savoir pourquoi il ne s’était jamais marié.
Mais moi…. Je savais pourquoi… !!!
Cette fête était vraiment superbe, et même si Omar me comblait à 1.000%, j’avoue que me retrouver en compagnie de tous ces hommes, puant la virilité quel que soit leur âge, me rendait plus que fébrile. Discrètement, mes yeux parcouraient leurs entrejambes dont le rempart de tissu masquait ce que je vénérais tant… Leurs bites.
Je me suis toujours senti PD, Homo, Gay, quels que soient les qualificatifs, depuis tout jeune, sans toutefois bien le réaliser. Je prenais beaucoup plus de plaisir à contempler mon cousin que ma cousine. L’éducation traditionnelle que j’avais reçue m’avait souvent interdit de me laisser aller à mes penchants, non sans me priver, toutefois, de mater des queux dans les urinoirs publics, ne me régalant néanmoins que du plaisir des yeux. Cette barre de chair masculine me fascinait, sans que j’ose l’approcher. C’est tardivement, dans mon adolescence, majorité sexuelle allègrement dépassée, que le désir a été le plus fort.
J’avais suivi un arabe dans une pissotière, ça existait encore à l’époque, espérant mater sa bite en train de pisser. Une fois son affaire finie, il a très vite remarqué mon petit jeu, et au lieu de partir, il s’est mis à se caresser, se branler, jusqu’à ce qu’il atteigne une taille plus qu’exceptionnelle. Très long, très large et il avait sorti ses couilles bien grosses, poilue et pendantes. J’étais tétanisé par ce merveilleux spectacle, le premier que je voyais dans cette ampleur, et je me suis laissé faire quand il m’a poussé dans un cabine, fermant le loquet derrière nous.
« Tu aimes le zeb toi… !!! »
Enfin, je pouvais toucher, avoir dans mes mains cet objet de toutes mes convoitises depuis des années. Que c’était beau… !!! Que ça sentait bon… !!! Ça me paraissait vraiment énorme, même si la toute première bite semble toujours hyper grosse, celle-là l’était vraiment, beaucoup plus grosse que celle de mon cousin que j’avais pu quelquefois entrapercevoir bandée dans son slip à son réveil. Il a appuyé sur mes épaules pour me mettre à genoux devant lui.
« Suce-moi… »
J’en avais eu l’odeur, et maintenant je me délectais de son goût. Mais que c’est bon une bite… !!! Il m’a relevé et m’a baissé mon short, me mettant mon cul à nu, caressant ma rondelle, encore vierge de toute intrusion. Il salivait ses doigts pour les faire pénétrer en moi, me rendant fou d’excitation. Le moment que j’attendais depuis si longtemps était enfin arrivé. Penché sur le siège des toilettes, fesses à l’air, j’ai senti une espèce de crème froide me badigeonner l’orifice, et même à l’intérieur. Il devait être habitué de ce genre de rapports, ayant toujours de la vaseline sur lui, le lubrifiant de l’époque.
« Hmmmm Pucelle… !!! J’adore… »
Son énorme gland a frotté ma fente devenue lisse et humide pour s’enfoncer en moi peu à peu, lentement mais surement jusqu’à ce que je sente son gros sac de couilles taper sur mes cuisses écartées. La douleur a été atroce, j’avais l’impression d’être déchiré en deux, mais à aucun moment je ne me suis dérobé.
Comment vous expliquer ça… Mon corps me faisait horriblement souffrir, mais mon esprit était plus que satisfait. Je me faisais enfin baiser, par un très gros engin, et j’ai compris, ce jour-là, que j’étais fait pour ça.
J’étais devenu PD de la racine de mes cheveux jusqu’à la pointe de mes pieds, que mon vrai sexe n’était pas ce petit appendice qui ne me servait qu’à pisser, mais l’orifice entre mes cuisses qui était, dorénavant, un véritable vagin qui seul, me donnait une réelle jouissance quand il était comblé, fouillé, par cette formidable puissance virile.
Après deux formidables copulations, rempli de sa liqueur qui suintait le long de mes cuisses, putain de doses qu’il m’avait mises, je suis rentré chez moi, pour prendre une douche salvatrice, bien décidé à ce que cela ne s’arrête pas.
CalinChaud
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