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Tout vient à point ...

Tout vient à point à qui sait attendre

Mais pourquoi j’ai dit oui ? Une copine m’a invité à son mariage dans un bled paumé au fin fond de la France. Aucun train direct depuis chez moi, obligé de faire un changement et de louer une voiture pour faire… plus de 100 km dans une zone non couverte par la 4G. Logement commun dans une chambre avec une famille que je ne connais pas. Le retour est 24 h plus tard avec 2 h d’attente à la gare train de connexion entre les 2 train. Le week-end s’annonce mal. Plusieurs solutions s’offrent à moi. La première, j’y vais et je fais la gueule. La deuxième, je n’y vais pas. La troisième, j’y vais… en touriste. Tenue donc de touriste. Un pantacourt, une chemisette et des tongs. C’est l’été, ça ne mérite pas plus.

Depuis quelques jours, je discute avec plusieurs mecs et je prends des rendez-vous, pour des rencontres rapprochées prévues le dimanche après-midi à la gare de connexion et pour la semaine qui suit. C’est le rendez-vous du dimanche qui me fait tenir ma promesse de me rendre à ce super évènement. Pour ne pas le rater, il faut donc que je me trouve à la gare le dimanche à l’heure dite.

Samedi matin, je file à la gare la plus proche de chez moi, je prends mon train et fais la liaison 2 h plus tard pour un autre train qui m’arrête dans une gare desservie par les corbeaux. Elle est magnifique, mais… déserte et située au milieu de rien. Je me dirige vers les loueurs de voitures, il n’y a pas la compagnie qui m’intéresse. Génial. Comme c’est une location low-cost, le loueur est à 500 m de la gare au fin fond des parkings.

Les parkings sont aussi grands et étendus que ceux des gares des grandes métropoles, mais là, il n’y a pas une voiture. La personne au guichet me salue et me tend les clés. M’aurait-elle reconnu ? Non, je suis le seul client du week-end. Tu penses ! Et pour le retour de la voiture demain ? Vous verrouillez les portes et glissez les clés dans la boite aux lettres. La voiture est neuve, il y a un GPS qui fonctionne à bord. N’ayant jamais utilisé de GPS de voiture, je rentre ma destination sans choisir le type d’itinéraire. Théoriquement, j’ai un peu plus d’une heure de route… Le précédent locataire avait dû vouloir visiter la région… plus de 2 heures de voiture à travers des forêts et des routes qui serpentent. Je commence à m’angoisser de tant de campagne. Je suis un citadin. J’aime bien la solitude et les grands espaces, mais pas les sous-bois et la campagne, sans rien alentour… Et si je tombe en panne ? Non, pas cette fois, il ne faut pas exagérer. Le voyage est déjà assez galère comme ça.

Je finis pas arriver à destination, dans le village où quelques humains vivants doivent surement habiter. Quelques vaches, des poules, bref, le dépaysement complet pour moi. Ce n’est pas là que je vais faire des plans coquins… Devant boire le calice jusqu’à la lie, je me gare dans un champ prévu à cet effet et me dirige vers le lieu des festivités. Il n’est que 14 h. La cérémonie religieuse est à 17 h. Je me présente aux personnes qui s’affairent aux derniers préparatifs, qui me dirigent vers ma chambre. 3 lits simples pour 3 célibataires, 1 lit double pour 1 couple. Bref, la vie en communauté.

Autant l’idée me plait si c’est pour un plan cul à plusieurs, autant je suis mal à l’aise pour une cérémonie officielle où j’ai une image à conserver. Je choisis un lit simple pour poser mes affaires. On me propose un café, que je décline, je suis déjà assez stressé comme ça. Je préviens que je vais m’asseoir dans le jardin. J’ai mon téléphone avec moi, mais aucun réseau. Les 24 heures vont être longues… En faisant le tour du jardin, je sens mon téléphone vibrer. Victoire, j’ai trouvé LE point qui capte la 4G et le téléphone. C’est inespéré. Je file chercher une chaise et m’installe à l’endroit idéal, mon téléphone pour seul ami.

Je reprends donc mes conversations avec les mecs des plans pour les jours à venir. J’en profite même pour faire des photos de ma queue, en soulevant mon pantacourt, pour les envoyer à mes contacts. De toute façon je suis tout seul… Il faut bien appâter le chaland. Malheureusement, très vite, plusieurs invités arrivent et cherchent désespérément un réseau. Ils me voient avec mon téléphone et comprennent que je détiens le pouvoir de communiquer. Bonjour, ça capte ? Oui, difficilement, mais ça capte. Entre nous, ça captait très bien, mais je ne pouvais plus discuter avec des garçons si des invités étaient collés à moi. Au fur et à mesure, je me retrouve encerclé par des citadins et des citadines en mal de réseau et nous sommes de plus en plus nombreux sur une surface très réduite. Bienvenue sur un quai de métro un jour de grève.

Je reprends mes textos en expliquant la scène surréaliste que je vis à mes amis virtuels, qui meurent de rire. On passe de sextos à l’enfer des citadins largués en pleine nature. Nous sommes de vrais aventuriers. Aucune discrétion de leur part, je connais la vie de tous ces invités en l’espace de quelques minutes accrochés à leur téléphone. Eux ne me voient même pas. Je suis simplement le gars qui sait où il y a du réseau. La situation est cocasse. Je reprends donc mes photos coquines et je reçois en échange des photos explicites, que je regarde en toute impunité.

Les membres de la famille que je connais finissent par arriver. La bise, les paroles inutiles, mais obligatoires. T’as fait bon voyage, ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vus. Tu veux boire quelque chose ? Dans un autre contexte, j’aurais été affable. Là, j’ai envie de baiser. Je ne sais pas pourquoi, mais ça ne rend pas pareil…

17 h, nous nous dirigeons vers l’église. Moi, toujours en tongs. Aucune importance, il fait une chaleur à crever et personne n’est vraiment habillé strict. C’est un mariage champêtre. Donc je suis dans le ton. Et plus je me détache de la scène et plus je fais partie du décor. Comme je suis un mécréant invétéré, je n’écoute absolument rien de la cérémonie. Qui écoute de toute façon ? Mais, comme je ne peux pas continuer mes sextos, puisqu’il n’y a aucun réseau, je mate les invités et recherche désespérément un plan. Le frère du marié est homo, il est venu avec son mari. Un plan excitant. Pas de bol pour moi, ils sont fidèles et exclusifs. Le neveu est mignon comme tout, mais désespérément hétéro. Le mari de la meilleure amie est beau comme un dieu, je le sucerais bien derrière l’église, mais il ne quitte pas sa femme. J’aurais le plaisir de voir sa queue lorsqu’il ira se coucher… Nous partageons la même chambre. Mais il ne se passera rien.

Après la cérémonie, le vin d’honneur champêtre. La soirée est très arrosée, mais comme je ne bois pas, je ne perds pas le contrôle. Je passe de groupe en groupe, je lance une phrase, participe aux conversations, l’œil aux aguets, le radar à mecs activé, mais rien n’y fait.

3 h du matin, je vais me coucher, j’ai prévu de repartir vers 11 h. Mon premier train est à 15 h.

7 h du matin, je me réveille et me connecte à l’application de rencontres qui va bien. Comme tout le monde dort, j’ai la bande passante pour moi tout seul et je peux envoyer et recevoir des messages sans trop de problèmes, même si le débit est faible. Aujourd’hui, les dieux sont avec moi.

Je tombe sur un mec qui habite près de la gare train et qui me semble sympathique. J’ai une trique d’enfer. Je lui propose de le retrouver vers 11 h. Il semble chaud et me propose de nous voir avec un de ses potes. Un plan à trois. C’est vraiment une bonne journée. Je me lève, prends une douche, lui envoie une photo à poils, histoire de vérifier que je lui plais et lui demande de faire pareil, pour être sûr que ses photos sur le site n’ont pas 10 ou 15 ans. Je reçois des photos appétissantes. Ça roule. Prêt à filer à l’anglaise sans un au revoir à la compagnie qui dort, je lui demande ce qu’il aimerait faire.

– Boire un café.

– Hein ? Euh, oui… mais après ?

– On discute.

– Quoi ? Mais je ne suis pas de la région, je suis là de façon accidentelle.

– Ah, mais je ne baise pas à la première rencontre.

– Mais j’habite à plus de 600 km, je ne vais pas revenir de sitôt

– Obsédé ! Efface mes photos et oublie mon numéro. Salut.

Le choc. Jamais vu ça. Le plan tombe à l’eau et je reste sur ma faim. Pas grave, j’envoie un texto à mon plan du dimanche après-midi pour savoir si je peux arriver plus tôt pour rester plus longtemps. Le mec est vraiment chaud. La réponse est oui.

Je file à la gare et je vais bien trouver un train plus tôt pour arriver au point de connexion.

Je gare la voiture, verrouille les portières et dépose les clés à l’endroit indiqué et rejoins le bâtiment de la gare. Il est fermé. Il n’y a personne. On est dimanche, tout de même. Les train sont bien indiqués, il en a 2 avant le mien. Je devrais pouvoir m’en sortir, mais le prochain est… dans 2 h et là, il n’y a vraiment aucun réseau.

L’automate d’échange de billets m’indique que je ne peux pas échanger mon billet. Pourquoi ? Renseignez-vous au guichet. Mais… il est fermé. Je vais rester bloqué là 4 h, dans une gare fantôme avec des distributeurs de boissons et de friandises en panne. Je meurs.

1/2 h avant l’arrivée du train, quelques touristes arrivent. Super, des humains. 10 minutes avant l’arrivée du train, le guichet ouvre. Je demande si je peux échanger mon billet. Il faut voir avec le contrôleur sur le quai lorsque le train arrivera. Génial. Nous sommes 4 sur le quai. Ça valait le coup de construire une telle gare train.

Le train finit par arriver. Une charmante contrôleuse sort du train. Je me précipite vers elle et lui demande si je peux monter dans le train. Faites voir votre billet. J’ouvre l’application, mais comme le réseau est nul, ça met un temps fou. Je vais rater ce p… de train pour un manque de connexion. Je suis voiture 1 ou 2. Ah, vous êtes en première ? Euh… Oui. C’est possible. C’était surtout moins cher qu’en seconde… je comprends pourquoi maintenant. Elle me dit qu’il fallait changer mon billet à l’automate. Ça ne fonctionnait pas. Alors, attendez-moi au wagon-bar. J’arrive. Merci. Euh, je rêve ou elle me drague ? Je suis tellement excité sexuellement, que j’attire même les femelles. Mais c’est un mâle que je veux. Rien à foutre d’une chatte, je veux une queue et un cul.

Je monte dans le train voiture 4 et commande de quoi manger. Il est tout de même 13 h et je n’ai rien avalé depuis la veille. Le barman est charmant. Je lui prends son super menu, au prix d’un restaurant gastronomique 5 étoiles et m’offre le luxe d’un café. Si avec ça, il ne voit pas que je le drague… mais lui, même s’il me sourit, reste professionnel et il est tout content d’avoir fait un tel chiffre d’affaires en si peu de temps. Il confirme, cette gare train n’aurait jamais dû être construite. Elle ne sert à rien. Mais il fallait bien faire plaisir à quelques élus…

La belle contrôleuse me retrouve au bar et vérifie à nouveau mon billet électronique. Elle m’indique que je peux me rendre voiture 1. N’importe quelle place ? Oui, mettez-vous où vous voulez. Je finis mon déjeuner express et file en voiture 1, qui est… vide !!! Dommage que le barman ne sorte pas de son placard et ne vienne pas me retrouver.

J’envoie un message à mon plan et lui dis que je devrais pouvoir être chez lui avec 2 h d’avance. Il confirme sa disponibilité.

J’arrive à destination et le mec est conforme à ses photos. Très vite, je vire mes fringues et le fous à poils. J’ai faim d’une queue et d’un cul.

Je m’empare de sa bouche et mes mains le caressent. Il n’est pas en reste. Il s’agenouille et me prend en bouche. Enfin. Enfin, une bouche s’occupe de ma queue. Je n’en pouvais plus. Elle est raide à m’en faire mal. Il bande aussi. Je le relève et lui roule une pelle, mes mains s’agrippent à ses fesses. Je m’agenouille à mon tour pour avaler sa queue qui grossit dans ma bouche. Mes mains continuent de pétrir ses fesses, de les malaxer et de les écarter. Mon objectif est clair, je veux sa raie.

Je me relève et lui propose de nous installer sur son lit. Un 69 s’impose. Moi dessous sur le dos, lui dessus, les genoux de part et d’autre de mon torse. Je peux ainsi le sucer et profiter de sa raie. Il engloutit ma bite et j’avale la sienne. Chacun se concentre sur la queue de l’autre. Nous sommes les deux affamés, de vrais passionnés de la fellation. Je lâche sa tige pour remonter le long de ses couilles et diriger ma langue vers sa rondelle. Il pousse de petits gémissements de plaisir. J’introduis ma langue dans son fondement, tout en baladant mes mains sur son corps. Elles parcourent ses muscles, sa peau réagit à mes caresses. Il s’acharne sur ma queue et me bouffe les couilles en alternance. C’est divin.

Je reviens à sa bite et lui enfonce un doigt, qui entre tout seul. Ma lubrification salivaire lui a plu. Quelques allers et retours et un deuxième doigt rejoint le premier.

– Encule-moi !

– Déjà ? Je n’ai mis que 2 doigts.

– Pas grave, j’aime ta queue et je la veux en moi, même si je ne suis pas encore ouvert…

Chaud le garçon, ça m’excite encore plus.

Il m’enfile une capote et enduit son cul de gel. Il se met à 4 pattes. J’ajoute du gel sur la capote au niveau du gland et je me positionne en face se son trou. Nous sommes les 2 sur le lit, moi, derrière lui, mes mains sur ses hanches, mes genoux fléchis. Il écarte ses fesses de ses 2 mains. Je commence à entrer. Je pousse, je recule, je pousse un peu plus loin, je ressors, je reviens et progressivement, je sens son trou qui s’écarte. Mes couilles tapent sur ses fesses. J’adore. J’accélère, je me penche sur lui et lui demande de tourner la tête vers moi pour l’embrasser. Pendant que je m’active en lui, je le caresse et l’embrasse. C’est divin. Je relève la tête et me rends compte qu’il y a un grand miroir juste en face du lit et je nous vois nous activer, ce qui redouble ma raideur.

Après plusieurs minutes à ce régime, il me demande de changer de position. Il se met sur le dos et remonte ses jambes, que je mets sur mes épaules. Je peux caresser son ventre et l’embrasser de plus belle. Je me couche sur lui et lui caresse la tête, les épaules, les bras. Il est musclé et sec. Son cul est accueillant et il bouge bien. Ma queue est prise et bien entourée. Une énorme sensualité se dégage de ce plan. Je ne le connais pas, mais j’ai envie de lui faire l’amour, comme à une femme. Est-ce le souvenir de la contrôleuse du train ? Je ne sais pas. Pourtant, c’est bien avec un mec que je suis. Je me redresse et pendant que je l’encule, je me penche pour le sucer. Sa bite est assez longue pour que je puisse réussir cette acrobatie sans me démettre une vertèbre.

– J’aime ta queue, j’aime ton cul. C’est super avec toi.

– Tu me bourres bien. Continue.

Ma queue coulisse en lui lentement, puis rapidement, puis lentement. Je lui demande de mettre ses mains sur mes fesses et de m’écarter les fesses pendant que je l’encule. Il soulève alors sa tête et s’agrippe à mes fesses qu’il écarte. Je sens mon trou s’ouvrir. C’est bon. Ma queue frétille dans son trou. J’ai envie d’une queue en moi. Mais comme nous ne sommes que 2, ça n’est pas possible. Je lui demande de se branler jusqu’à ce qu’il jouisse. Quelques vas et viens et c’est l’explosion. Son sperme le touche jusqu’à l’œil. C’est superbe.

Son trou se referme un peu. Je sors alors de son trou. J’ai bien aimé son cul, ma bite y a trouvé son compte, mais maintenant, c’est à moi d’avoir le cul offert. J’ai envie de sa bite dans le cul. Il a joui et n’aime pas trop pénétrer avec sa queue. Il me propose de m’introduire ses doigts.

Je suis partant. Il se relève et me fait mettre à 4 pattes. Mon cul est au niveau de sa bouche. Il me lèche en profondeur tout en me caressant les fesses. Ma queue est encore raide de désir.

– Vas-y, entre !

– Ne t’inquiète pas, tu vas te régaler…

Mon cul s’ouvre sous les coups de langue experte, c’est extraordinaire. Des décharges électriques me parcourent le corps. Ma bite attend une caresse que je lui refuse. Je veux repousser le moment de la jouissance.

Il met du gel sur ses doigts qui commence à entrer. Il s’enfonce rapidement, ressort et se renfonce. Il tourne dans mon trou, comme pour visiter ses contours.

Un deuxième doigt le rejoint et le cérémonial continue. Mon cul est offert. Je souffle de plaisir en le suppliant de continuer.

Un troisième doigt entre à son tour. Mon sphincter l’accueille et l’aspire.

Un quatrième doigt s’invite et je râle de plaisir. Ils sont enfoncés jusqu’à la paume et me fouillent l’intérieur. Mon gland reçoit des ondes comme si mes spermatozoïdes faisaient la course vers la sortie. J’ai envie d’une queue en moi, mais je sais qu’elle ne viendra pas. Qu’à cela ne tienne, je recule au maximum mes fesses pour m’empaler sur ses doigts. Ils me fouillent, tournent et retournent en moi, c’est au-dessus de tous les plaisirs qui j’ai connus. De sa main libre, il me branle. Une main dans mon cul, une, mais autour de ma queue. Je suis totalement offert. Je ne lui refuse rien. Moi qui l’enculais tout à l’heure, je me tortille sous ses caresses expertes. Je sens l’éjaculation toute proche. Elle vient dans sa main, sur son lit, sur mon ventre. J’ai des soubresauts de plaisir. Je gémis, je ne peux m’empêcher de pousser des petits cris. Je me suis vidé. Il continue à me branler pour récupérer la dernière goutte. Mon cul se referme et expulse ses doigts, qu’il retire et essuie dans la serviette étalée sur le lit et que j’ai déjà couverte de sperme. Je m’allonge pour reprendre mes esprits. Je lui demande de s’approcher de moi, pour que nous puissions nous embrasser. Nous nous embrassons et restons collés, mon sperme, entre nous. Je suis bien.

Mais l’heure tourne. Un œil sur la pendule m’indique que je dois partir dans ¼ d’heure.
Heureusement que j’avais gagné 2 h sur l’horaire prévu.

Je file à la douche et me rhabille. Il prendra sa douche après mon départ. Il se rhabille. Je le remercie chaleureusement. C’est un super plan. Il me dit que je peux revenir quand je veux. Je bois un verre d’eau, car je n’ai plus de salive. Je range mes affaires et sors de chez lui.

Je retourne à la gare, prendre mon train.
Fondu dans la foule, personne ne me voit. Je suis un anonyme. Je peux rentrer chez moi, retrouver mes enfants et reprendre ma vie officielle.

Erox

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