Premier épisode | Suite de l'histoire
Chapitre 7 | Au cœur de ma nuit avec Nico !
Avant de me lever, je ne résiste pas à l’envie d’embrasser Nicolas qui se laisse faire bien volontiers tout en s’étirant de tous ses membres sur le lit.
Après un passage à la salle de bain pour me rafraichir le visage, me laver le cul et la bite, je prends le chemin du frigo pour préparer notre petite collation. Il fait chaud et après avoir mis une serviette autour de la hanche, je décide finalement de rester nu, je pourrai ainsi bander plus librement !
La table sera vite dressée, le temps de sortir une copieuse salade niçoise que j’avais préparée, le pain, les fruits, les assiettes et il ne me reste plus qu’à ouvrir cette fameuse bouteille de Bordeaux.
Pas le temps d’appeler Nico qu’il sort juste de la salle de bain simplement vêtu de son caleçon. Cà le rend encore plus sexy, la couleur claire de ce morceau de coton met en valeur son teint mat, il serre juste ce qu’il faut ses cuisses musclées et met parfaitement en valeur son entrejambe. Il est beau ! Non il est magnifique ! Et moi je me mets à bander comme un cheval.
- Waoo je meurs de faim, ah tu as prévu aussi du vin ?
- Oui, c’est une bonne bouteille que mon père m’a offerte pour mon anniversaire. Vas y assieds toi.
Nico avise la bouteille, regarde l’étiquette avec une expression admirative, se sert un fond de verre, qu’il porte ensuite à ses lèvres:
- Ah oui, super bouteille même !
- Je ne sais pas, j’y connais rien, tu t’y connais toi ?
- Bah y’a pas besoin de s’y connaître pour apprécier le bon vin ! C’est comme les mecs il faut se laisser guider par ses envies et son instinct ! Mais sinon oui, j’ai eu longtemps une relation avec le sommelier d’un grand restaurant parisien qui m’a aussi initié à ça !
- Ah ? Et à quoi d’autres t’as t il initié ?
- Ah ah ah…
- Allez, dis, je suis sûr que c’est excitant !
- Bah, disons que j’étais plutôt passif quand je l’ai rencontré et qu’il m’a appris à donner du plaisir à mon partenaire avec ma queue.
- Je comprends, ça aurait été dommage de ne pas en faire profiter les autres !
La perspective de me la prendre dans le cul tout à l’heure me fait durcir encore plus.
Cette petite collation se passe merveilleusement bien, nous avons fait l’amour de façon explosive en ce début de soirée, tellement nous étions impatient de nous gouter l’un et l’autre. Surtout, nous savons que nous allons continuer à faire l’amour toute la nuit.
Alors nous avons tout le loisir de profiter de cette petite pause et nous prenons notre temps tout en nous faisant des gestes de séductions par des caresses et des bisous. Nous sommes très détendus. Nos conversations sont libres, drôles et souvent légères. Nous sommes affamés par nos ébats, nous allons engloutir, pratiquement tout ce que j’avais préparé !
Comme je sens Nico plutôt prêt à la confidence, alors je pousse un peu.
- Et « ton » sommelier qui t’as « initié » vous vous voyez encore ?
- Non, c’était juste avant que je rencontre Alex, le garçon avec qui je vie en ce moment.
- T’as du en voir passer des mecs ?
- Non pas tant que ça !
- Déconnes pas, dès que tu rentres dans une pièce tu n’as qu’a claquer des doigts et tu as ce que tu veux.
- Non tu exagères, ce n’est pas si simple de séduire. Je parle de séduire hein, pas de niquer dans le fond d’un sauna.
- Nico, arrête ! on voudrait tous être comme toi, beau comme un dieu et monté comme un cheval !
Cette remarque le fait sourire et semble même le rassurer. Il me lance un regard coquin avant de continuer toujours avec sa voix hésitante et douce, tellement différente de ce qu’il montre d’habitude au bureau et qui le rend encore plus craquant.
- Non, non, je ne vois pas tout à fait les choses comme ça. Je ne sais pas, je n’ai pas cherché à multiplier les conquêtes non plus. Je crois que comme tout le monde je cherchais, du sexe bien sûr, mais aussi de la tendresse sinon de l’amour. En tout cas j’ai essayé de pouvoir construire quelque chose.
Puis il reprend un verre de vin. La petite gorgée qu’il va déguster lentement semble lui procurer beaucoup de plaisir et il reprend:
- Tu sais Oliv, t’es un beau mec aussi, tu devrais voir les filles au taff, comment elle te kiffent.
- Oui, mais moi c’est plutôt les mecs que je préfère !
- Oui, bien sûr. C’est vrai que les homos au bureau restent discrets. A croire qu’il n’y en a aucun. J’en soupçonne bien quelques un, mais ils restent dans leur placard.
- C’est vrai, mais je comprends. C’est toujours un peu risqué de sortir du placard.
- Mais quand même Oliv, il y en a un à qui tu fais beaucoup d’effets.
- Ah ? T’es sûr ?
- Oui
- c’est qui ?
- Ben c’est moi Olivier !
- Oh !
- Oui je te l’ai dit, tu m’as tout de suite charmé quand tu es arrivé dans le service.
Je sens à ce moment là ses jambes qui commencent à caresser les miennes sous la table. Puis son pied monte progressivement à partir de mon mollet puis le genou qu’il chatouille un peu au passage, enfin ma cuisse jusqu’à mes couilles et finalement ma verge en érection.
- Humm, on dirait que tu es en forme !
- C’est toi qui me fais ça Nico, je bande depuis que tu es rentré dans la pièce.
A mon tour de faire glisser mon pieds sur ses jambes ce qui va provoque un large sourire et probablement une explosion du caleçon !
- Pourquoi t’es venu finalement Nico ?
Aïe ! Mauvaise question, les caresses de dessous de table s’arrêtent brutalement et son visage se ferme un peu.
- Non excuse moi, c’est une question stupide. Je suis tellement heureux de passer ce moment avec toi que c’est tout ce qui compte.
- Non finalement, c’est toi qui a raison Olivier, je vais te répondre.
- Comme tu veux, mais je ne veux pas casser l’ambiance !
- En fait c’est tout simple. Je suis venu parce que j’en avais envie. Je pense à toi depuis que je t’ai vu. J’ai essayé de mettre une croix dessus quand je vous ai vu toi et Rodolphe à la sortie de la salle de sport. Je ne savais pas trop quelle relation vous aviez… Et puis aussi je suis bien avec Alex, c’était compliqué à l’époque mais maintenant c’est cool… Mais en fin de compte je n’arrête pas de penser à toi…
- Nicolas !
- Oui ?
- Je t’aime !
Je sens Nico très embarrassé par des sentiments contradictoires qu’il a du mal à gérer.
Comme pour couper court à cette conversation qui le gène et qu’il n’a manifestement pas envi de poursuivre, Nico avise mon enceinte Bluetooth Bose et me demande :
- Je peux connecter mon portable pour mettre un peu de musique
- Ah oui bien sûr, vas y au contraire.
Cela ne prendra que quelques secondes pour qu’une bande son de dance floor envahissent la pièce.
Nico, se concentre, se met debout, prend la pose et entame une dance endiablée. C’est qu’il est doué en plus. Petit à petit, il fait bouger en rythme, sa jambe, puis son bassin, puis ses mains, puis tout son corps. Il est tellement gracieux, que c’est une onde qui traverse son corps de l’extrémité des ses pieds jusqu’à ses mains. Il est souple comme si il n’avait pas d’articulation, il bouge, il avance, il recule, il tourne en rythme dans toute la pièce. C’est enivrant !
Comme je dance comme une enclume, je reste assis sur ma chaise tout en gigotant plus ou moins en rythme. Il est beau, je suis heureux, tout excité, je tape dans les main, je tape des pieds, je l’applaudie. Ce spectacle m’amuse beaucoup.
La suite est encore plus belle. A la fin du morceau, Nico quasiment en transe, arrache complètement son caleçon, me rejoint et s’assied sur mes genoux face à moi en collant bien ses couilles sur mon sexe et me prends le visage pour un baiser mouillé et torride. Nos langues se croisent de nouveau, il prend la mienne pour la mordiller légèrement avec les dents, pendant qu’il me pince intensément les tétons.
Cette fois, après nos premiers ébats fougueux de début de soirée, nous allons prendre le temps de parcourir chaque recoin de nos corps pour découvrir nos zones sensibles, voire érogènes. Je saurai l’amener à mon périnée, mes couilles et surtout mon anus. Mais lui, qu’est ce qui va le faire chavirer ? Pour le découvrir, je pars méthodiquement à la conquête de ce corps.
Tout en gardant nos bouches colées, nous nous relevons, puis je fais glisser mes lèvres entre ouvertes sur son cou, ma langue glisse sur sa peau, mes mains sont sur ses fesses. Ma bouche va descendre, tout doucement, ma langue et mes lèvres ne vont pas cesser de le lécher, de l’embrasser et de lui faire des suçons, pendant que mes mains remontent tout doucement en sens inverse. Je suis concentré, dans un état second à l’écoute de son plaisir. C’est quasiment imperceptible, mais sa respiration s’accélère subtilement pendant que ma langue est sur son téton droit et ma main sur son téton gauche. Je laisse les tétons, quelques secondes pour m’attarder sur une autre partie de son corps. La respiration ralentie. Je reviens à la position antérieure. Accélération de nouveau. Je crois que j’ai trouvé quelque chose qui lui plait !
Alors, je vais profondément malaxer son téton avec ma langue, m’occuper de son autre téton avec la main droite, pendant que je pose les doigts de ma main gauche sur son gland que je malaxe et serre par mouvement alternatifs. Il respire plus vite, plus profondément il commence à gémir, il entame des mouvements de bassin pour frotter sa bite. Il va se laisser aller et va s’allonger confortablement sur le canapé ou je le rejoins pour coller nos corps. Je continue de plus en plus fort mon travail sur ses tétons en faisant des aller retour entre son torse et sa bouche, pendant que nos bites se frottent intensément.
La position allongée me permet d’écarter les cuisses, de relever légèrement mon bassin pour cambrer mon cul et libérer mes couilles. Nico, comprend l’appel et passe une main sur mes fesses, pendant que l’autre malaxe mes couilles. Je sais lui faire comprendre qu’il est sur le bon chemin et je cambre un peu plus mon cul pour que ses mains s’occupent de ma rondelle. Comme pour appuyer le message, je m’allonge encore plus sur lui et ma bouche va dévorer sa langue.
Il me mets 2 doigts dans la bouche que je vais copieusement mouiller, puis écarte mes fesses pour masser très sensuellement mon trou avec ses doigts mouillés en appuyant très légèrement.
Il me repousse doucement pour se relever et me glisse à l’oreille :
- j’ai compris ce que tu veux, abandonne toi, laisse toi aller, détends tous tes muscles, je vais te donner du plaisir.
Quels mots pourraient m’exciter plus ?
C’est moi qui suis maintenant sur le dos sur le canapé, je vois la tête de Nico entre mes jambes relevées et je sens le feu sur mon trou. Sa langue parcourt toute la surface entre mes fesses et malaxe mon anus en poussant à chaque fois un peu plus. Sa main est sur mes couilles, qu’il caresse, sert un peu plus fort, puis caresse de nouveau en faisant de temps en temps des aller retour sur ma queue pour la branler légèrement, mais pas trop car je ne me lasse pas de ce massage torride et je ne veux pas gicler tout de suite.
Mes fesses sont complètement mouillées et bouillantes, mon cul est sûrement ouvert bien que Nico n’y ai pas encore mis de doigt, mais c’est son pieu que j’attends.
- Encule moi Nico, défonce moi le cul toute la nuit !
- Tchhhh, oui je vais te faire ça, mais d’abord prépare ma bite.
A sa demande, je m’allonge par terre sur le dos, il écarte mes jambes et se met au dessus de moi en 69. Ses coups de langues énergiques continue de mouiller mon cul pendant qu’il me masse le périnée en pinçant de plus en plus fort la peau entre mon cul et mes couilles. Je sens un plaisir intense m’envahir et c’est à peine si je peux encore faire un geste. Toute mon énergie va sur sa grosse bite chaude, savoureuse et dure que je goûte, gobe, aspire, malaxe, lèche, suce, mordille. Il aime mon cul, j’adore sa bite, nous sommes fait pour nous entendre !
Ma respiration est intense, je gémis de plus en plus fort et mes ongles commencent à lui lacérer le dos. Je sens sa langue qui rentre de plus en plus en moi, ce qui provoque des mouvements de vas et viens de mon bassin. Je ne me lasse pas de ses caresses et de ce qu’il me fait depuis de longues minutes, mais j’ai le feu en moi et je veux sa bite dans le cul maintenant !
Très doucement, je le lui fais comprendre, il se lève et me positionne les genoux sur l’assise du canapé, mon torse calé sur le dossier, je relève ma tête et cambre mon cul au maximum. Je crains un peu l’arrivée de ce calibre, mais je ne lui dis rien, je lui fais confiance, depuis tout à l’heure il est à l’écoute de mes sens. Alors je ferme les yeux. Je sens la pression sur ma rondelle. Mais même bien dilatée, elle a du mal à laisser passer ce pieu. Je ne tente pas de résister, au contraire je commande à mes muscles de se décontracter. Ca marche. Soudain, la barrière s’ouvre légèrement, et Nico se retire. Puis repart à l’attaque juste pour m’ouvrir un tout petit peu plus et se retire de nouveau. Ce petit jeu va durer quelques minutes, ce qui me détend un peu plus l’anus mais surtout me rend fou d’impatience de me faire profondément enculer quelque soit la douleur que cela pourrait me faire. Finalement c’est moi qui vais donner le départ en reculant mon cul pendant que sa bite pousse sur ma rondelle. Nico, comprend le message et y va d’un coup. C’est un fer rouge qui m’envahit. Putain ça fait mal, mais qu’est ce que j’aime ça. Je crois bien que les gémissements ont laissé place aux cris, les miens et ceux de Nico qui ne cache pas son bonheur d’être dans mon cul serré.
C’est le plaisir total, Nico fait des mouvements amples pour que chacun des 20 cm de bite glissent complètement en avant et en arrière. Rythme lent, puis d’un seul coup rythme effréné. De temps en temps, il recule trop et sa bite sort complètement, il l’attrape alors dans sa main, vise mon cul et enfonce sa teub d’un coup. Nous hurlons littéralement tous les deux. Au bout d’une dizaine de minute de ce traitement, Nico se bloque complètement enfoncé dans mon cul et vient coller son torse sur mon dos. Nous sommes en sueur, nos corps glissent, mais nous trouvons l’énergie pour que nos bouches se retrouvent. Que demander de plus ? Nous sommes en train de bouffer nos langues, Nico a repris le massage de mon cul par sa bite grâce à des petits mouvements de bassin, pendant que ses mains serrent à mort mes tétons et que je frotte mon gland sur le canapé. Ca sent le cul, la bite chaude et la transpiration !
J’ai envie maintenant de changer de position pour me branler en même temps. Je m’allonge sur le canapé, le cul posé sur l’accoudoir pour le mettre à bonne hauteur, Nico relève vigoureusement mes jambes et viens planter la bite sans aucune difficulté dans mon cul béant. Il a repris les mouvements amples pour faire défiler en aller retour ses 20 centimètres et attrape d’une main ma bite en état d’hypersensibilité pour la branler doucement.
Je crois que nous ne sommes pas loin de tout cracher. Ma bite se durcit encore pendant que Nico la branle doucement en la serrant de plus en plus fort, je ne sens plus mon cul complètement éclaté, je rejette la tête en arrière en ouvrant grand la bouche pendant que Nico crie des « oh putain », « Oh putain que c’est bon ».
Puis soudainement, il se bloque avec sa queue au fond de mon trou, sa main interrompt les mouvements de masturbation alors que je suis à 2 doigts du grand frisson.
Puis il m’ordonne :
- Arrête tout, bloque des muscles et respire.
Ce que je fais sans poser de question.
Olivier777
olivier.benedicte@outlook.fr
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