Premier épisode | Suite de l'histoire
Chapitre 6 | Ma nuit avec Nico
Je suis excité comme une jeune pucelle, le mec que je kiffe le plus, vient passer une nuit avec moi. Attention, pas LA nuit, mais UNE nuit ! Une seule m’a il finalement concédé après de longues discussions. Pas sûr que ce soit une concession d’ailleurs, car je pense qu’il en a aussi très envie. La durée limitée et définie de notre moment d’intimité, de 20 heures à 8 heures m’a-t-il dit, est censée le rendre intense et exceptionnel. En tout cas c’est sa théorie, pour moi tout ce qui compte c’est qu’il soit là.
Il fait encore jour et cette soirée du mois de mai promet d’être douce, le soleil a réchauffé la ville toute la journée et c’est une agréable odeur de printemps qui rentre par les fenêtres que j’ai laissées ouvertes. Le store baissé nous donne de l’intimité et renverra de belles couleurs orange au coucher du soleil d’ici une heure.
J’ai bien sûr préparé mon stock de préservatifs, lubrifiant, toys. J’en ai mis un peu dans toutes les pièces. Bon je n’ai pas un château non plus, ya pas 40 pièces, mais dans la chambre, le salon, la cuisine et bien sûr la salle de bain. Même dans l’entrée, comme ça quoiqu’il arrive on sera paré.
J’ai même prévu de quoi manger. Menu de sportif à base de sucres lents, de fruits secs de fruits frais et une bonne bouteille de Bordeaux que mon vieux m’a offerte pour mon anniversaire. C’est un grand cru, à garder pour les grandes occasions, m’avait-il recommandé. Et bien nous y voilà !
20 heures pile, Nico sonne.
Waooo, waooo waooo. Je me sens un peu ridicule dans mon short et t-shirt. Nico est là sur le pas de la porte, il a mis un magnifique costume bleu marine, une chemise blanche immaculée qui fait ressortir sont teint mat, des baskets blanches. Je le mate de haut en bas et de bas en haut avec bien sûr un petit zoom sur son sexe. Oui, la bosse est toujours là, bien proéminente, tout est bien en place !
– je peux rentrer ?
– oui, oui, bien sûr excuse-moi.
– Nan t’inquiètes
– Non, mais tu es canon comme ça mon Nico. Je te draguerais bien !
Il sourit, rentre et attrape mon visage par le menton, pour me claquer un tendre smack sur la bouche. Il a changé de parfum et remplacé le « Hugo Boss » par quelque chose de plus léger et frais. Il est juste parfait !
– Va y rentre assieds-toi, je te serre un verre ? Whisky ? Vodka ?
– nan, nan, je ne vais pas commencer trop fort, un jus de ce que tu veux.
– Orange alors !
– Ça marche.
Pendant que je sers 2 grands verres, il s’assied sur le canapé après avoir délicatement posé sa veste sur le dos d’une chaise. Je le regarde, il est vraiment élégant. Il me dit quelques banalités et je suis charmé par sa belle voix douce et masculine en même temps. La façon dont il bouge, dont il remplit l’espace, dont il agite ses belles mains fines me font littéralement craquer.
Ce soir je suis comme hypnotisé de le voir là, pour moi. Je le dévore des yeux et ne peux rien faire d’autre. Il continue de parler, je crois qu’il vient de dire un truc drôle, car il rit un peu alors je souris aussi.
Je dois avoir l’air un peu hébété, debout la bouche ouverte devant lui.
– Ça va me demande t il ?
– Oui oui bien sûr ! dis je en me ressaisissant
Il a diablement raison Rodolphe ! Je suis amoureux de ce mec, grave amoureux même !
Je finis par m’assoir à côté de lui. Je penche ma tête et nous nous embrassons. D’abord des petits bécots. Ma langue va ensuite parcourir le contour de ses lèvres entrouvertes. Puis je les attrape pour les sucer délicatement. Inférieures, puis les lèvres supérieures. Je joue à cache-cache avec sa langue dans sa bouche.
Je l’aime !
Il m’enfonce sa langue vigoureusement. Je sens que nos sexes sont bandés à fond, mais le moment est exceptionnel et on va faire attendre nos verges pour mieux s’en occuper ensuite. Je pose lentement mes lèvres sur son cou pour l’embrasser tendrement. J’inspire à fond par le nez pour me m’enivrer de son odeur.
Je l’aime !
D’une main je commence à déboutonner sa chemise pour le caresser, profiter de sa peau douce et de son corps ciselé et ferme.
Je l’aime !
Je l’entends respirer profondément, je sens qu’il s’abandonne. Il a passé sa main sous mon T-shirt pour me caresser tendrement et me serrer contre lui.
Je l’aime !
Mes lèvres remontent vers son oreille, je lui mordille le lobe et je lui susurre :
– Ce soir, on ne baise pas, mais je te fais l’amour !
Il me serre fort dans ses bras et reprend notre baiser langoureux. Puis à son tour de me susurrer
– J’en ai aussi besoin.
Il faut libérer nos queues qui manquent de place. Ça a l’air un peu douloureux pour Nico, qui déboutonne son pantalon et passe la main pour ramener vers le haut son membre gonflé à bloc.
Je le repousse légèrement sur le dossier du canapé et me mets à genoux devant lui. J’ai très envie de gouter son sexe qui sort de son caleçon. Mais d’abord, méthodiquement, je vais le déshabiller. Je lui délasse ses baskets, retire ses chaussettes jaunes (je l’ai toujours vu avec des chaussettes fantaisie !), je mets à nu ses belles jambes velues en faisant glisser son pantalon que je vais prendre la peine de plier et poser sur la chaise. Debout j’admire ce beau mec allongé sur le canapé presque nu, à part un caleçon trop petit qui ne cache plus rien et sa belle chemise blanche ouverte sur la peau mate de son torse délicatement poilu.
Je me rapproche pour m’asseoir par terre. J’attrape son pied droit et le masse doucement sur la plante ce qui me vaut un sourire d’approbation. Puis je vais embrasser et caresser son mollet et remonter jusqu’à sa cuisse sur laquelle je vais lui faire un suçon qui la va le faire gémir. Je continue de monter et ma langue se trouve maintenait au niveau de ses couilles que je vais sucer et inonder de salive à travers le coton. Je lui mordille la hampe bien épaisse et passe un premier coup de langue sur son gland mouillé qui pointe vaillamment vers le haut.
C’est en respirant de plus en plus fort que Nico se relève, retire sa chemise et son caleçon. Je me lève pour rejoindre sa bouche, ce qu’il me reste de vêtement va être vite retiré.
Nous sommes debout, nus, enlacés, nos mains glissent, profitent de chaque centimètre carré de peau et nos bouches se dévorent.
Il est aussi grand que moi, 1 mètre 85, mais ses jambes sont plus longues, ce qui lui donne cette allure élégante et féline. Mon sexe qui n’a pas bandé comme ça depuis longtemps frotte sur ses 2 grosses couilles et sa hampe.
Nico me titille puis me serre fort les tétons avant de les sucer ce qui me donne la chaire de poule de plaisir. N’en tenant plus, il s’agenouille pour me faire un léchage de boules suivi d’une pipe qui va me faire crier. J’en tremble complètement.
J’ai maintenant besoin de goûter son sexe. Je vais l’emmener sur le lit tout proche pour un 69 qui est ma position préférée. Mais avant, je lui demande de rester debout pour enfin découvrir, admirer, caresser son engin. Sa réputation de Nico alias gros paquet n’est pas usurpée. À la base, deux belles couilles poilues de bonnes tailles, positionnées assez haut et qui ne pendent pas trop. Puis sa queue, large, qui fait bien 20 centimètres et peut être un peu plus. Son gland est parfaitement dessiné et luisant de jus.
Il va m’allonger sur le dos, positionner sa bouche au-dessus de mon sexe dont il va divinement s’occuper et passer sa jambe au-dessus de ma tête pour me laisser disposer de sa bite que je vais attraper, branler, sucer, lécher. Il ne bougera pas trop son bassin, même si je sens qu’il en a parfois envie, pour que je le suce à ma convenance avec des mouvements confortables, ce qui compte tenu de la taille de l’engin est plutôt rassurant n’étant pas spécialiste des gorges profondes avec de tels calibres. Je profite largement de cette position pour faire glisser mes mains en va et viens sur ses belles cuisses, ses fesses, à l’extérieur, puis à l’intérieur en m’approchant à chaque fois un peu plus de son anus que je sens bouillant.
Au bout d’un moment, il avance légèrement vers l’avant et se cambre pour me présenter son cul. Ma langue va partir de ses couilles, puis remonter jusqu’au plus profond de ses fesses sur sa rondelle que je vais masser, lécher, sucer pour la détendre.
Le temps de me relever et attraper ce qu’il faut, je commence à le prendre pendant qu’il est à 4 pattes sur le lit en faisant des mouvements doux, mais il souhaite accélérer et bouge ses fesses d’avant en arrière à une fréquence inimaginable. Je crois que je ne vais pas tenir longtemps. Je vais rester plusieurs secondes sans bouger enfoncées au plus profond que je peux. Il tourne sa tête sur le côté et je me baisse pour rejoindre sa bouche qui m’enivre.
Tout en nous embrassant, je le fais basculer pour qu’il s’installe tranquillement sur le dos, il relève ses jambes pendant que je me positionne pour le pénétrer de nouveau. Cette fois je l’ai face à moi, je peux l’admirer tout entier. Je ne vais pas cesser de regarder son visage à l’affut de chaque expression, chaque mouvement de lèvre, chaque mouvement de paupières, chaque contraction de muscle, chaque grimace qui vont m’indiquer le plaisir qu’il prend. Pendant que j’accélère le rythme, je lui fais des suçons sur ses jambes qui reposent sur mes épaules et je commence à le branler. Je l’entends qui respire de plus en plus fort, il attrape ma main droite qui en train de le masturber pour accélérer le mouvement, il ferme les yeux, son visage se crispe, son bassin commence à trembler, il entrouvre la bouche pour émettre un gémissement qui vient du plus profond de lui, son visage s’éclaire en même temps qu’il expédie à grande vitesse le sperme sur son torse. Cet état le rend irrésistible et cette vision aura raison de moi et de mes couilles qui vont se vider en trois ou quatre spasmes pendant que je crie de bonheur, pour ensuite m’écrouler sur lui pour l’embrasser, encore, encore et encore.
1er round ! Je suis encore tout étourdi et allongé sur le dos, la tête sur l’oreiller. Il vient se positionner près de moi, s’allonge sur le dos et tourne la tête pour me regarder. Il sourit très délicatement sans exhiber ses belles dents blanches, contrairement à d’habitude, le jeu de lumière dans la chambre met en valeur ses beaux yeux bleus. Son regard est lumineux et tellement tendre.
– Tu es très beau !
Pourquoi je lui dis ça ? Il le sait bien qu’il est beau. Par contre, il ne sait pas que je l’aime.
Je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche pour le lui dire, qu’il pose son doigt sur mes lèvres comme pour me dire chut !
Je plonge dans son regard azur, il me sourit de plus en plus, je souris et nous partons dans un éclat de rire qui va nous tenir 10 bonnes minutes.
Une foi le calme un peu revenu, je lui lance :
– Tu n’as pas faim ?
– Ah oui, très faim même !
– OK, je prépare la table de Monsieur et je reviens.
Olivier777
olivier.benedicte@outlook.fr
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