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5 | Soirée Inoubliable
Connaissant l'appétit sexuel incommensurable de Francesco, Dietrich, à qui j'avais donné un double de ma clef et ne m'ayant pas vu ni au petit déjeuner, ni au déjeuner, s'est douté que je devais récupérer d'une baise hors normes. Il est arrivé vers 14h, avec quelques victuailles pour me permettre de reprendre des forces.
Dès son entrée, il a posé le plateau sur la table, ouvert en grand toutes les fenêtres, l'odeur de foutre était trop tenace, et m'a soutenu pour me conduire sous la douche. Lorsqu'il a enlevé le plug de ma chatte, je pissais le sperme tellement il m'avait engrossé. Réveillé mais encore comateux, je le laissais faire dans son nettoyage méticuleux, le foutre avait bien séché, et tendu ma fente pour un lavement, plus qu'en profondeur, ajoutant ensuite, de la crème apaisante. Je n'avais pas été aussi ouvert depuis que Medhi m'avait baisé, mais au vu du nombre d'accouplements de cette nuit, ma vulve était rouge vif.
« Putain Marc, pour un mec dépucelé depuis à peine quelques jours, tu assures… »
« Ma foi, j'aime trop ça et je sais pas résister à une grosse bite. »
« Tu veux que des grosses ? »
« Ben, après Medhi, je pense pas retrouver autant de plaisir avec un sexe normal. »
« Au fait, il revient ce soir pour 2 jours et il m'a demandé de tes nouvelles quand je l'ai croisé sur le chemin. Il veut te baiser encore, mais il vit avec son frère, un peu long à te raconter mais il te le dira lui-même. »
« Zut…. Il pourra pas alors ? »
« Ça dépend de toi… !!! »
« Comment ça… ? »
« Medhi voudrait venir tous les deux, avec son frère, si tu es d'accord. »
« Pourquoi pas, mais est-ce que son frère sera d'accord ? »
« Tu rigoles… !!! Ils attendent que ça… Te baiser ensemble. »
Depuis mon arrivée, je m'étais pas privé de m'adonner à mes pulsions sexuelles si longtemps refoulées.
Même si mon dépucelage avec Medhi, qui m'avait pété les deux sphincters du fait de sa taille avait été hyper douloureux au début, j'avais trop aimé ensuite. Il avait fait le passage, et je voulais qu'il soit utilisé, encore et encore, surtout par lui et son fabuleux membre qui m'avait procuré des plaisirs… inouïs. Si son frère était comme lui… ça allait promettre… !!!
D'un commun accord avec Dietrich, cette journée, ou du moins ce qu'il en restait, allait être dédiée au repos, à la détente, à la plage ou à la piscine, avec un super goûter ingurgité vers 17h qui m'a permis de retrouver une super forme…. On récupère vite à 18 ans. Ma chatte s'était bien apaisée quand même et je ne pouvais pas m'empêcher de mater les beaux mâles autour de moi. J'avais souvent droit à de beaux sourires, sans savoir que ma réputation de garçon « facile » circulait déjà. L'endroit se prêtait très vite à ces rumeurs, colportées facilement par les mâles, venus là pour baiser un max, ça restait quand même hyper rare en Europe. C'était hyper cher, mais avec une sécurité totale, excluant toute violence et tout rapport non consenti.
La plage, barbotter ensuite dans la piscine m'ont fait beaucoup de bien, avant de rejoindre le buffet, que j'ai dévoré. Il est vrai qu'à part le léger plateau de Dietrich, je n'avais plutôt des bonnes doses de sperme dans l'estomac.
Ma chatte a très vite recommencé à me démanger et j'attendais la venue de Medhi et de son frère avec impatience. Ils sont arrivés au moment où nous prenions notre café avec nonchalance sur la terrasse.
Deux monstres de virilité se sont approchés de moi. Après avoir discuté un moment, Medhi a proposé d'aller prendre un thé tous les trois, dans mon bungalow.
J'ai lâché Dietrich, en souhaitant au fond de moi-même qu'il ne soit pas trop jaloux, mais je savais aussi, que du fait de ses nombreux séjours, il n'avait aucun mal à se faire enfiler, sa popularité était bien établie et la plupart des mecs savaient qu'il écartait très facilement. Simple précision que j'avais oubliée de vous préciser, les passifs étaient vraiment très minoritaires, je crois moins de 20% au moment de mon séjour, machisme espagnol oblige, et toutes ces bites étaient trop contentes de trouver un orifice bien accueillant, surtout que très peu d'entre eux supportaient les très grosses bites, davantage habitués au « touche-pipi » entre ados, ce qui expliquait le manque ressenti par les vrais hommes, comme Medhi, Luis ou Francesco.
Ahmed ressemblait pas mal à son frère, en un peu plus grand et plus mince, qui le faisait paraître presque maigre, mais hyper tonique. Ils avaient dû hériter tous les deux du gêne familial, avec poils et testostérone à excès, sans parler de leurs bosses outrageuses et indécentes entre leurs jambes, que même leur bermuda, pourtant bien ample, avait du mal à masquer.
Le proverbe dit « que l'appétit vient en mangeant », mais en ce qui me concernait, le besoin de ce morceau de chair masculine allait croissant depuis mon dépucelage. J'étais trop heureux de revoir celui qui avait pris possession de toutes mes barrières pour la première fois, même si le franchissement de la deuxième avait été hyper douloureux. Mais au moins, j'avais perdu ma virginité en totalité, pouvant offrir un accès complet à mon antre pour tous les membres, qu'elle qu'en soit leurs tailles.
Comme ils arrivaient directement de la ferme, il n'avaient pas le temps de prendre une douche, portant sur eux l'odeur de leur forte virilité, sans doute à l'initiative de Medhi qui savait que j'aimais trop ça. Ils avaient amené avec eux une sorte de sac isotherme dont ils ont sorti une théière en métal avec des verres pour me faire gouter le vrai thé arabe à la menthe, qu'ils avaient préparé juste avant de venir. Ils ont tout installé sur la table, en ayant enlevé leur bermuda et leur T-shirt au préalable, restant en caleçon, dont la moitié de leur bite sortait, remplissant mes narines de toutes ces effluves magiques, la menthe et le mâle.
« Marc, je me suis permis de venir avec mon frère, tu ne m'en veux pas ? »
« Mais non, au contraire. »
« Il a tellement besoin de faire l'amour lui aussi, et c'est pas facile pour nous… Tu sais pourquoi… !!! »
« Pas vraiment… Pourquoi ? »
« Arabes, hyper velus, montés comme des ânes, c'est pas vraiment ce que les espagnols apprécient. »
« Tant mieux pour moi alors… !!! »
Et nous sommes partis à la découverte de nos corps. Ahmed restait quand même super inquiet, sur sa réserve, ne sachant trop comment j'allais réagir. Dans tous les cas, moi je pouvais me régaler de sa réaction, son sexe, qui n'était pas encore totale érection, lui arrivait quasiment à mi-cuisse. Pour nous mettre tous les trois en confiance, j'ai embrassé Medhi à pleine bouche en prenant, en même temps, dans mes mains, le fabuleux sceptre de son frère pour le faire grossir jusqu'à son apogée. Il était moins large que celui de son frère, mais plus long et avec des couilles toutes aussi grosses et tout aussi poilues.
Mes mains parcourant le torse velu de Mehdi, j'ai lâché sa bouche pour approcher la mienne du membre d'Ahmed, que je me suis régalé de sucer sur une bonne moitié quand même, ne pouvant pas davantage. En levant mes yeux, j'ai vu son visage, exorbité… !!! Je me suis reculé un peu, ayant eu peur de lui avoir fait mal, quand Medhi a poussé ma tête vers sa tige, m'engageant à l'avaler le plus profond possible. J'étais quand même un peu désemparé, ne sachant plus trop comment réagir, tout en le laissant éjaculer à grands jets quasiment au fond de ma gorge.
« Marc… C'est la première fois qu'Ahmed se fait sucer, sauf par une pute une fois… Il n'est pas vraiment puceau, mais presque. »
Il est vrai qu'en cette époque francisque, les maghrébins n'étaient pas très bien vus en Espagne et c'est grâce à l'héritage de cette petite propriété familiale à Ibiza, qu'ils avaient pu y vivre, presque reclus, le sexe restant assez rare pour eux, surtout pour Ahmed, n'osant pas accompagner son frère quand Medhi profitait du Club pour pouvoir baiser, pas très fréquemment quand même, son aspect hyper typé et l'énormité de son sexe faisaient souvent fuir les « candidats ».
J'étais trop content d'avoir donné du plaisir à Ahmed, Medhi ne cessait de trifouiller ma vulve pendant que je suçais son frère, son sexe bandé au max dépassait allègrement son nombril quand son instinct de mâle dominant a repris le dessus pour me soulever et m'empaler sur son pieu, d'un trait. J'avais déjà pris ses 28 cm, mais là, l'accouplement était féroce, me défonçant comme un malade, Ahmed, ayant repris toute sa vigueur attendait, à grands coups dans ma bouche, de posséder mon orifice après son frère.
Ce qu'il s'est empressé de faire, une fois la place libérée, remplie de ce lubrifiant naturel de jus d'homme.
La nuit ne faisait que commencer… !!!
CalinChaud
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