Premier épisode | Épisode précédent
Une semaine passe.
Changement notable : la pouffe est partie, elle est rentrée en France. Mes nuits sont plus tranquilles.
Justement, le jour du départ de la pouffe, Chris nous a rendu visite.
On s’est rapidement éclipser dans ma chambre.
Après la journée de rêve que j’avais passé avec lui, j’attendais avec impatience de le retrouver.
Chose étrange : alors qu’il me prenait en levrette, j’étais sûr d’avoir vu une ombre dans l’entrebâillement de la porte.
Nous sommes à présent mardi. Jano est allé voir Mathilde, son père est allé en quête d’une nouvelle pouffe et Baptiste est au travail.
Je me retrouve donc seul avec JL.
Tandis que je suis posé devant la télé, il sort de la douche nu.
Il vient de poser à côté de moi, sa queue bien en évidence… Et difficile de la louper.
« alors, c’est lequel qui a la plus grosse ? »
Il affiche un grand sourire.
Je lui réponds, amusé :
« faudrait que tu bandes pour que je puisse comparer »
Loin de se démonter, il surenchérit :
« j’aurais besoin d’une main experte. »
Bon, quand c’est si gentiment demandé ^^
Je prends en main le morceau.
J’ai menti : bien qu’au repos, elle est déjà plus grande que celle de Baptiste en forme, et plus épaisse que celle de Jano.
Je la branle sans me presser.
Elle prend peu à peu du volume, en même temps que mes yeux sortent de leurs orbites.
JL :" on dirait que j’ai gagné ! » dit-il fier de lui.
Il faut dire qu’il dispose d’un sacré morceau : 23 cm, aussi épaisse que celle de Baptiste.
JL :" viens on va continuer dans ma chambre. »
Je le suis. Je me pose sur le lit tandis qu’il met de la musique.
Il revient vers moi avec 2 godes.
Il badigeonne le plus petit et me le cale sans cérémonie dans le cul.
JL :" suce-moi ! »
J’ouvre à peine la bouche qu’il enfourne son gland dedans. En même temps il active les vibrations du gode.
J’émets un couinement étouffé.
Je le suce à fond, je salive, mais je m’étouffe dès que j’ai la moitié en bouche.
Après 10 minutes, il se retire. J’ai mal à la mâchoire.
Il m’allonge sur le dos, tête dans le vide.
Il sort le petit gode et entreprend de m’insérer le plus long.
Pendant ce temps, sa grosse queue vient me gifler le visage au rythme de ses mouvements.
Arrivé à mi-chemin du gode, il force mes lèvres et me baise lentement la bouche.
Il joue avec le gode et finit par me le mettre en entier. C’est un peu douloureux, mais je ressens beaucoup de plaisir à être rempli comme ça.
JL : "whouah! Même s’il est moins gros, ce gode fait la longueur de ma queue ! »
Il se redresse et me lime la bouche un peu plus fort et un peu plus profond.
Il finit par la rentrer aux deux tiers, mais les énormes sacoches que je vois se balancer n’atteindront jamais mon nez.
Il sort et vient se placer entre mes jambes.
Il retire le gode doucement et place son gland à l’entrée.
« t’inquiète je suis clean, j’ai pas baisé depuis mon dernier test. »
Honnêtement, sur le moment, c’est pas ça qui m’inquiète.
Je sens le gland pousser sur ma fleur.
« je vais te confier un secret… »
Son gland est en moi.
"... Avoir une grosse bite est une malédiction… »
Il pousse en continu. Sa hampe, épaisse et veineuse, maintient ma fleur grande ouverte. Ma respiration s’accélère, mon anus se contracte et commence à mouiller.
"... Les nanas refusent toujours la sodo… »
Sa hampe glisse encore. Je le vois déposer quelques gouttes de gel dessus.
"... Alors quand je t’ai vu te faire démonter par Chris l’autre jour… »
Cette bite est interminable.
"... Je me suis dit que j’aimerais voir ta petite gueule d’ange dans mon lit. »
Je sens ses sacoches contre mes fesses. Mon corps tremble, convulse, comme pour faire de la place au nouveau venu.
« enfin une vraie meuf »
Je sens JL se coucher sur moi.
Il commence par de petits coups rapides, en mode lapin.
Ça suffit à me faire gémir comme un fou, heureusement que la maison est vide.
Il se redresse et passe mes 2 jambes du même côté. Il sort environ un tiers de son membre et le rerentre aussitôt « tapant dans le fond »
Moi :" oh mon… Oh mon… Continue ! »
Il décide pourtant de changer de rythme de repart en mode lapin, mais sur la moitié de sa longueur.
Je crie, il s’arrête instantanément.
JL :" ça va ? »
Je reprends mon souffle, sa queue toujours en moi.
Il écarte mes cuisses, revient contre moi et m’embrasse.
Moi :" elle est tellement grosse ! »
JL :" t’inquiète, tu l’encaisses très bien. » Avec ce même sourire de tombeur qu’il affiche depuis le début.
Il se redresse et, tout en restant en moi, me bascule sur le côté.
Il ressort lentement, remet un coup de lubrifiant et replonge en moi.
Ma fleur est toute ouverte, je n’oppose aucune résistance.
Il se cale au plus près de moi, je sens son membre en moi et ses boules contre l’une de mes fesses.
Il me saisit par la hanche et commence un long va-et-vient.
C’est un peu trop pour moi, il le voit.
Il ressort, me cale sur le ventre, cul en l’air.
Je sens un liquide froid couler sur ma fleur.
Avec un doigt, il étale le liquide.
JL :" tu verrais comment tu es ouvert !!! »
Il me remet sur le flanc et recommence.
La douleur a disparu. Je sens son membre aller et venir en moi.
Mon esprit est perdu et mon corps lui appartient. De temps à autre il va jusqu’au fond et je lâche un cri plus fort que les autres.
Il finit par me mettre sur le ventre et continue son va-et-vient à un rythme moyen mais régulier.
Tout ce dont je me souviens c’est que, quand il s’est immobilisé, mes mains tenaient fermement les draps.
Il a lâché plusieurs grognements, j’ai senti son bas ventre se convulser une dizaine de fois, je sentais son membre imposant baigner dans la quantité impressionnante de jus qu’il avait lâché.
Alors que je reprends mon souffle, il sort, me retourne, se colle à moi et m’embrasse.
« c’était génial ! »
Il s’allonge sur le dos, moi sur lui, et glisse de nouveau son membre en moi.
Je le sens moins gros, mais pour ma fleur maltraitée, c’est du pareil au même.
Il s’immobilise sans être au fond.
« je veux juste en profiter encore un peu avant que les autres reviennent. »
Je regarde l’heure : 16 h, ça fait 1 h qu’on est au lit.
Je le renifle et fais la grimace :
« va falloir qu’on prenne une douche »
JL :" non pas tout de suite… »
Moi :" si si »
Je lui fais un bisou et part sous la douche.
JL :" sert les fesses, sinon tu vas en mettre partout » dit il en riant.
Il n’a pas tort. En quelques pas je sens déjà un liquide chaud sur mes cuisses.
J’arrive sous la douche et je commence par me rafraichir.
JL me rejoint et commence à masser ma fleur tendrement tout en me câlinant
« profite, je ne serais pas toujours aussi attentionné »
Je rigole. J’ai saisi. Je pose ma tête sur son torse et me laisse aller sous l’eau fraiche.
Au bout d’un temps qui m’a paru trop court, il sort et rejoint sa chambre. J’entends des bruits de portières dehors, nous ne sommes plus seuls.
Cali
li.cali@yahoo.com
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