La famille de mon coloc

La famille de mon coloc | 2

Quelques jours plus tard, un soir, Jano vient me voir.
« Demain, on se lève tôt. Short de bain et t-shirt, rien de plus. »
Je le connais suffisamment pour savoir que je n’aurais pas de réponse, mais je tente ma chance :
« on va faire quoi ? »
Jano :" tu verras bien. Tout ce que je peux te dire c’est qu’on sera pas seuls ».
Et là-dessus il me fait un clin d’œil.

Je remonte dans ma chambre, me demandant la signification de ce clin d’œil.
Je passe devant la chambre du père, la porte est entrouverte.
Je regarde machinalement et vois le père, de profil, tenant la tête de sa pouffe à genoux, engouffrant dans sa bouche un monstre.
La mâchoire de la demoiselle était ouverte en grand et pourtant le morceau de chair semblait plus large encore.
Elle en avait plein la bouche, mais la majeure partie du pénis de monsieur était encore dehors.

Je sens un tremblement dans mon bas ventre. Je sais, pourtant, qu’un tel mastodonte me ferait du mal.

Je laisse monsieur à son affaire et rejoins ma chambre. Je me pose sur le lit. Putain j’ai la gaule, ça ne m’arrive pas souvent.
On frappe à la porte.
C’est Baptiste.
Il entre et vient s’assoir à côté de moi.
« je voudrais juste être sûr qu’il n’y a pas d’embrouille, rapport à l’autre soir… »
Je lui souris.
« non, t’inquiète. Ton frère m’avait dit que tu étais hétéro, alors je me doutais que c’était juste un coup d’un soir »
Baptiste :" j’ai trouvé ça très bien, tu sais ? »
Moi, rougissant :" moi aussi »

Les cris de la voisine se font entendre.
Baptiste et moi, on explose de rire.
Baptiste :" bon, ben j’ai plus qu’à aller me branler… Elle pourrait être plus discrète quand même… »

Dans ma tête, je me dis que ça ne doit pas être simple avec un monstre pareil en soi.
« tu sais, je peux t’aider si tu veux »
C’est sorti avant même que je réfléchisse.
Baptiste :" Tu n’es pas obli… »
Je pose un doigt sur ses lèvres.
Moi :" par contre c’est moi qui dirige »
Son père et ses frères sont juste à côté, je veux pouvoir contrôler un minimum afin de ne pas crier.

Je passe ma jambe par-dessus les siennes et me retrouve contre lui. Ses mains sont venues instinctivement se poser dans mon dos.
Je l’embrasse tendrement tout en glissant la main sous son short.
Je suis obligé de l’enlever quand il retire mon t-shirt. Je retourne le branler tandis qu’il enlève le sien.
Je descends sur ses pectoraux puis remonte rencontrer ses lèvres.

Je me relève et l’invite à enlever son bermuda. Je me place à genoux entre ses jambes, face à son membre.
Je le branle un peu.
Moi :" je n’en avais jamais vu une aussi grosse »
Dans ma tête passe furtivement l’image du père.
Je salive sur toute la longueur de la hampe puis décide de prendre le gland en bouche.
Il est gros, mais je gère.
Je fais tourner ma langue autour, insiste un peu sur le frein. Baptiste lâche quelques grognements.

Ce mec me fait un effet de dingue.
Je fais rentrer un peu plus son membre, environ la moitié.
Je salive à mort.
Quelques petits coups de langue en plus puis je commence à la glisser.
D’habitude, c’est bien la longueur qui me gêne… Cette fois-ci c’était l’épaisseur.
Je prends l’une de ses mains et la place derrière ma tête tout en le regardant. Il comprend et pousse lentement.
Alors que je pense y arriver, je sens son gland au fond de ma gorge.
Je tapote sur son ventre et il relâche la pression.
Je la sors lentement, en entière, puis étale bien la salive avec ma main.
Moi :" pas plus vite et pas plus fort »

Je reprends sa queue en bouche. Arrivé au même point que précédemment, je bloque, puis repars. Quand je sens que le gland va sortir, je me rapproche de nouveau.
Baptiste lâche des grognements de plaisir.

Après 10 minutes de ce traitement, je me relève et attrape du lubrifiant.
Baptiste :" je n’ai pas pris de capote ! »
Moi :" t’inquiète pas, tu ne vas pas me prendre ».
Je m’allonge sur le ventre.
« verse-moi du lubrifiant dans ma raie et viens te poser sur moi ».
Baptiste s’exécute. Sa verge tendue vient écarter mes deux fesses… J’adore.
Baptiste :" et maintenant ? »
Moi :" tu voulais te branler non ? »

Il comprend enfin et commence à faire des aller-retour le long de ma raie. Sentir ce bout de chair épais se frotter à ma raie me donne des frissons.
Visiblement il aime bien mon idée. Ses mains parcourent mon corps, ses lèvres me couvrent de bisous.
Tout ça avec, en fond sonore, les hurlements de la voisine.

Enfin il se redresse, relève mon cul et accélère le mouvement.
Il stoppe net et, dans un grognement, lâche 6 gros jets dans mon dos.
Le mec me fait un bisou et se relève en riant « attend je vais prendre des mouchoirs je t’en ai mis partout ! »
Il revient et commence à m’essuyer le dos. Je saisis sa bite et lui fait signe de se rapprocher.
Avec un sourire je lui nettoie le gland avec ma langue.

Il se rhabille et me fait un bisou avant de partir.
« sans toi je serais encore devant mon film, je t’en dois une »
Moi :" de rien, bonne nuit ! »
Je me cale sur le dos, pensif. Il est vraiment trop craquant.

Le lendemain, je retrouve Jano au petit déjeuner.
On mange, il attrape un sac à dos et on prend la voiture.
On arrive sur une petite plage, et Jano se dirige vers un petit groupe, 2 femmes et 2 hommes, devant 3 scooters des mers.
Jano :" je te présente des amis d’enfance. Mathilde, Katia, la copine de Didier, et Christophe.

Jano va régler la location des machines pendant que je fais connaissance.
Il revient avec les gilets de sauvetage.
« Bon alors, Katia et Didier ensemble, bien sûr, Mathilde avec moi, et Cali tu monteras avec Christophe » et il me fait son clin d’œil coquin.

Le dénommé Christophe s’approche. Il est très grand, 2 m. Je n’ai pas l’habitude d’être dominé à ce point. Il est mince, mais ses muscles sont un peu dessinés quand même.
« tu as déjà monté ce genre d’engin ? »

Ah Ah ! Ça dépend de quel engin on parle.
« non jamais »
Chris :" OK je vais piloter. Pose-toi devant, tu auras plus de sensations. »
J’enfile le gilet et on va dans l’eau.
Chris m’aide à monter (je rêve ou il a laissé trainer sa main sur mon cul ?) puis s’assoit derrière.
Malheureusement nos gilets empêchent tout contact des torses.
Chris : » je t’apprendrai tout à l’heure, ce n’est pas difficile »
Il accélère.
Je n’ai pas eu le temps de m’accrocher à quoi que ce soit. Mon corps se plaque contre le sien et mes mains s’agrippent à ses jambes.
Je sens sa bosse dans son short, et elle grossit.
J’ai envie de lui parler, mais le bruit est trop fort.
Comme pour répondre à mes désirs, il ralentit. Les autres passent la crête rocheuse.
Chris :" tu me plais beaucoup, tu sais. Enlève ton short ! »
Moi :" quoi ? »
Chris :" aie confiance »

Je m’exécute. Et je peux vous dire qu’enlever un short sur un jet ski, c’est casse-gueule
lui a fait de même. Je le détaille pendant qu’il range nos affaires dans son sac.
Sa queue ressemble à celle de Jano, mais en plus fine, elle est courbée vers le haut et bien lisse.
Je le vois sortir un tube de lubrifiant et un papier plastifié.
Moi :" tu n’as pas de capote ? »
Il me tend le papier « ça fait 2 mois que je sais que tu viens, j’ai fait mes tests… Et je sais que toi aussi »

Effectivement, le papier le confirme… Le mec m’attendait, je viens de tomber dans un piège… Sacré Jano.

Christophe enduit sa tige, me cale direct 2 doigts puis range le tout dans son sac.
« vas-y, cambre-toi bien ! »
Je suis tellement cambré que ma queue frotte contre le siège.
Je sens son gland entrer en moi. Je vais pour me redresser, mais il m’arrête « t’inquiète, on a le temps. Les autres aussi vont se faire plaisir ».
Je reste donc dans cette position inconfortable pendant qu’il rentre lentement en moi.
Je gémis. Il commence à faire de lents va-et-vient sur toute la longueur.
Enfin il la rentre à fond, m’arrachant un cri.
Il m’enlève mon gilet, le sien aussi, et me redresse.
Je suis collé à lui.
Chris :" quand Jano m’a dit qu’il ramenait son pote gay, j’ai tout de suite eu envie qu’on se rencontre. Des petits culs de blancs, yen a pas des masses ici, et toute l’ile leur est passé dessus… Toi tu es bien serré, c’est un régal ».

Il me penche en avant, me tenant par l’épaule et les cheveux, puis commence un ramonage en règle.
Je gémis, je crie. Je sens tout mon corps en chaleur. Il accélère et je sens ses bourses claquer contre les miennes.

Il ralentit enfin, sort et m’attire contre lui. Il attrape de nouveau le lubrifiant pour en remettre une couche sur son membre.
Alors que ma respiration ralentit, j’entends des sifflements et des « salope ».
Nous ne sommes qu’à une dizaine de mètres de la berge. Des touristes nous regardent. L’un d’eux prend une photo de nous puis gueule « sale pute à black ! »
…
Je suis sûr qu’ils étaient jaloux ^^
…

Chris rentre une nouvelle fois sa queue en moi puis me glisse à l’oreille « accroche-toi, on change d’endroit. »
Il me pose bien sûr lui, mes pieds ne touchent même plus les cales, je passe mes bras derrière la tête et me colle à lui.

À chaque petite vague, mon bassin appuie sur le sien. Je commence par gémir puis finis dans un cri, au rythme de la machine.

Au bout d’un moment la machine s’arrête. Chris me penche de nouveau en avant, me tenant par les cheveux, et recommence son ramonage.
Ses coups de reins sont plus durs et saccadés.
« je vais remplir ton cul serré »

Moi je peux rien dire. J’ai le cul en feu, le guidon qui m’entaille le torse.
Dans un dernier coup de reins, sa queue s’agite et déverse en moi son nectar.

Il me ramène contre lui, essoufflé, me tourne la tête et m’embrasse.
« désolé pour cette entrée en matière, mais j’ai perdu la tête quand j’ai senti ton cul contre ma teub »

En guise de réponse je l’embrasse.
Il se lève et se glisse dans l’eau.
« viens ! »
Il me tend les bras. Je me laisse glisser et me retrouve dans l’eau, contre lui.
Il caresse un moment ma fleur. Ma tête est posée sur son torse. Un après sexe parfait.

Il finit par remonter et me hisser sur la machine.
« tu veux ton short ? »
Je suis posé dans ses bras, son corps chaud contre le mien, non je veux pas.
Il remet son sac sur le dos, nos gilets aussi, et reprends sa route.
Je suis dans un état second je pourrais presque m’endormir là.

On arrive enfin face à une petite plage entourée d’arbres et de rochers.
Chris :" comme je te le disais, on avait le temps »
En effet, Katia et Didier sont en plein câlin dans l’eau, et Jano fait faire ses vocalises à Mathilde, en levrette sur le sable.

On rejoint la plage. Chris étend une serviette et s’assoit, je viens m’assoir entre ses jambes.
Il comprend le message et m’enlace. La journée a été magique.