Premier épisode | Épisode précédent
Je suis réveillé au petit matin par une caresse sur la joue et Simon qui m'enlève délicatement mon bâillon. J'ai le torse trempé, je me suis bavé dessus en dormant. Le gode ne vibre plus, la batterie est déchargée. Il me détache et je suis tellement ankylosé que je ne parviens pas à me lever, alors il me porte et me dépose sur le lit.
- Tu m'as manqué cette nuit, dit-il en souriant, et je suppose que tu as soif...
Il m'enfourche et dépose sa queue dans ma gueule, j'ouvre grand pour l'accueillir et referme les lèvres autour de la hampe, lorsque le flot de pisse se déverse, je bois sans le quitter des yeux. Il se saisit de mes mains qu'il guide vers ses fesses, je le caresse et je sens son gode, il a dormi avec, je commence à le sortir et le rentrer lentement, il gémit.
- Ouais, vas-y... Putain que c'est bon, ramone-moi bien le fion pendant que je te lime la gueule pour te donner ton petit-déj ma pute.
Décidément cette relation n'aura jamais rien de normal, mais je me laisse faire, sa queue enfle rapidement et je m'emploie à lui donner du plaisir et aussi pour recevoir ma dose. Il râle, il gémit, il couine même tout en me regardant et en souriant, il prend son pied aussi bien pour ce qu'il me fait que ce que je lui fais. Puis il se contracte, il décharge et je me contracte à mon tour, laissant échapper mes couinements de bâtard excité par l'arrivée du sperme dans ma gueule.
- C'est bon hein mon coeur, t'aimes ça le foutre hein ? Vas-y régale-toi, savoure ma semence moi je savoure ce moment où je te nourris...
Lorsqu'il a terminé, il se lève et disparaît dans la salle de bains, je reste immobile sur le lit encore tout mou après cette nuit à dormir dans une position inconfortable. Mon portable vibre, c'est Alban qui m'envoie un sms " t'es là cousin ? " - " Salut Alban, oui, qu'y a-t-il ? " - " Yan, je te comprends de plus en plus... " - " ? "...
Et je reçois une flopée de MMS montrant Alban en train de se faire prendre, d'être attaché, à 4 pattes, tout un tas de positions où il est soumis. Sur le dernier, il est à 4 pattes, tenu en laisse et bâillonné, enculé par Benjamin pendant que Sarah a posé son pied en talon aiguille sur son dos.
" Ah ben dit donc Alban, t'y vas à fond là... " - " Ouais, jamais je n'aurais cru qu'un jour j'aurais fait ça, mais je te comprends vraiment, c'est génial " - " t'es rentré ? On va prendre le petit-déj ? " - " je descends dans 20mn " - " ok, on se retrouve en bas ".
Simon sort de la salle de bains, nu, mouillé, fier, magnifique, mâle, je me lève péniblement pour aller me laver. Une fois propre, nous descendons et rejoignons Alban qui est comme une pile électrique, il nous raconte toute sa soirée et sa nuit, malgré la fatigue, il est survolté.
- Sarah et Benjamin s'en vont cet après-midi, p'tin j'ai découvert un truc de ouf quand même. Bon je pourrais pas vivre comme ça 24 h/24, mais les sensations sont incroyables.
Le petit déjeuner se poursuit avec Simon qui raconte notre soirée, Alban me regarde en souriant.
- J'ai plus ma cage, j'vais t'enculer grave cousin, déclare-t-il.
- Ils sont dans quelle chambre au fait ? Demande soudain Simon.
- 235, répond Alban.
- Yan, vas vider les couilles de Benjamin immédiatement, m'ordonne Simon très sévèrement.
J'ai bien compris que je n'ai pas mon mot à dire, je me lève et me dirige vers la chambre 235, je frappe à la porte, Sarah ouvre au bout de 30 secondes, je suis mal à l'aise.
- Madame bonjour, je suis envoyé par Simon, il souhaite que je vide les couilles de votre mari...
- Ah oui, tu es le cousin d'Alban, entre, dit-elle sèchement.
La porte fermée, elle me donne l'ordre de me mettre nu, décidément les femmes ne me font aucun effet et je n'ai même pas envie de le faire, mais j'obéis, elle me palpe et m'inspecte.
- Beau morceau, dommage que les femmes ne t'intéressent pas, Simon a beaucoup de chance. Benjamin est sous la douche, vas te mettre devant le lit, mains posées sur le matelas, cul tourné vers la porte, il pourra te fourrer à peine sorti comme ça.
Quand c'est un mec qui me dit ça, ça m'excite, là j'ai juste envie de sortir en courant. Elle part dans la salle de bains puis revient quelques minutes plus tard pour s'assoir dans le fauteuil en face de moi. Elle défait son peignoir, elle est nue dessous, elle écarte les jambes et sourit.
J'entends la porte de la salle de bains s'ouvrir, Benjamin me fait me positionner pour être à la bonne hauteur, il entre en moi, s'enfonce au plus profond et ne bouge plus. Sarah se touche la chatte, elle voit mon air de dégoût, se met à rire et s'installe confortablement pour continuer à se toucher en nous regardant immobiles devant elle. Benjamin attend ses ordres et moi, je suis là à attendre que ça se termine, si possible très vite. Je finis par baisser la tête, mais dans la seconde qui suit Benjamin me choppe par les cheveux pour la redresser. Je me sens mal à l'aise, mais je ne dis rien. Du bruit dans l'entrée, Alban et Simon entrent. Sarah a dû volontairement laisser la porte ouverte, ceci n'était donc qu'une mise en scène finalement.
Alban se met nu, va s'agenouiller devant Sarah et plonge sa tête entre ses cuisses. Simon s'approche de moi, me regarde, son visage frôle le mien, il grogne de plaisir puis se redresse pour se diriger vers Sarah qui lui descend la fermeture éclair de son pantalon et sort lentement sa bite déjà dressée pour l'engloutir dans sa bouche en soupirant de plaisir. De l'autre côté du lit, c'est toujours le calme plat, Benjamin est en moi, à fond, je sens sa queue se tendre régulièrement, il me tient toujours par les cheveux et il attend.
Côté trio, ça gémit, ça se caresse, Sarah a les mains sur la tête d'Alban qui a mis les siennes sur les seins de son ex-dominatrice et Simon tient bien la tête de la jeune femme pour lui limer la bouche tout en me regardant.
Côté duo, toujours pas de mouvement, je suis debout, les jambes écartées, le buste à l'horizontal au-dessus du lit, les mains posées dessus, je suis tenu par les cheveux d'une main ferme de Benjamin dont la queue palpite dans mon cul.
De son côté Simon prend son pied à bien tenir la tête de Sarah et il fait entrer à coups de bassin sa queue dans sa bouche, il va lentement, il ne me quitte pas des yeux tout en affichant un sourire sadique. Je regarde la scène, impuissant, je sens la jalousie monter en moi, il le voit, il bouge juste les lèvres pour que je puisse bien y lire " vache et salaud... ".
Et le trio s'active, Sarah se lève pendant que Simon se met nu pour prendre sa place dans le fauteuil, elle s'agenouille et pendant qu'Alban bouffe les couilles de mon Mâle, elle lui dévore la queue. Décidément ce mec met tout le monde à ses pieds... Le buste droit, les jambes écartées, mais les pieds bien posés à plat sur le sol, les bras sur les accoudoirs, il les laisse faire en me regardant. Ma respiration s'accélère et sans m'en rendre compte, je me mets à couiner comme ces chiens à qui on a donné l'ordre de ne pas bouger, mais qui n'attendent que l'ordre suivant : celui d'accourir vers leur Maître. Il a fait de moi son chien et je couine à vouloir me précipiter vers lui pour le lécher, recevoir ses caresses et lui obéir. Instinctivement, je fais un mouvement en avant, immédiatement stoppé par la poigne de Benjamin qui me tire sur les cheveux, je redeviens immobile, lui et moi ne sommes là que pour regarder, il est évident que nous ne serons pas conviés à la fête. Mon Mâle trône dans son fauteuil, mon cousin et une dominatrice à ses pieds... Au bout d'un long moment, il donne l'ordre à Sarah de s'empale sur sa queue, ce qu'elle fait sans rechigner, la bite de Simon s'engouffre dans le cul de cette femme pendant qu'Alban continue de lui bouffer la chatte. Les mains de Simon se posent sur les seins de Sarah, il les pétrit vigoureusement pendant qu'elle gémit de plaisir en s'activant sur la queue de mon Mâle.
J'ai envie de pleurer, ça devrait être moi sur cette queue, pas cette nana. Nous sommes mercredi matin, il me reste 2 jours pour donner une réponse à Simon et je remets tout en question car ce qui se passe sous mes yeux, ça se passera encore et encore... Je ne sais pas si je vais supporter. Mais est-ce que je pourrai supporter de ne plus être aux côtés de Simon ? Et bien voilà, il me fait souffrir, je le savais, je l'avais dit et pourtant, j'ai foncé tête baissée. Il m'avait prévenu, " vache et salaud " et ça sera toujours comme ça. Je ne le comprends pas, il m'a pourtant dit lui-même qu'il m'aime, mais il sait que ce qu'il fait me fait mal. Et pourtant, je le contemple depuis l'autre côté du lit, il est comme une drogue pour moi, il peut demander ce qu'il veut, il sait très bien que je vais obéir, que j'aime ou non, il m'a envoûté, charmé, hypnotisé. Mes yeux s'humidifient, il le voit, mais ne change pas, de nouveau il bouge ses lèvres pour que j'y lise " vache et salaud ". Simon, pourquoi te fais-tu un malin plaisir à me faire vivre ça ? Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? Et cette petite voix de merde qui revient toute fière pour me sortir un : " ben c'est ce que tu voulais non ? Humiliation, soumission, limite esclavagisme, ben tu l'as, tu devrais être content... ". Ma mâchoire se crispe, mes dents se compriment les unes sur les autres. Elle a raison cette conne. Parfois on devrait faire plus attention à ce que l'on veut vraiment. Du fantasme à la réalité, ce que l'on ressent n'est pas nécessairement la même chose.
Le trio s'enflamme, Sarah hurle de plaisir, Simon jouit, mais pas Alban. La tension retombe, Simon reste dans le fauteuil, Sarah et Alban soufflent en s'asseyant par terre tout en posant leur tête contre un des genoux de mon homme. Sarah regarde enfin Benjamin.
- Vas-y maintenant, démonte-le et vide-toi bien les couilles, tu seras un long moment avant de pouvoir le faire de nouveau.
À peine la phrase terminée, Benjamin entre en action et me défonce sauvagement, ses mains ont agrippé mes hanches, il est presque totalement sorti pour rentrer de nouveau à fond avec force, il se défoule sur moi, je sens que je lui sers juste à ça. Je garde la tête relevée et regarde le trio, je n'ai aucun plaisir, je n'attends qu'une chose, que ça se termine.
Et mes yeux tombent sur ceux de Simon, il a l'air heureux de me regarder, il trône toujours, fier et nu sur son fauteuil avec Alban et Sarah à genoux à ses côtés. Il est tellement charismatique, un léger sourire se dessine sur son visage, il prend plaisir à me regarder me faire démonter. Ma colère disparaît, mon envie que ça se termine aussi, je me perds dans ses yeux, le " décor " disparaît, il n'y a plus que lui...
" Putain Yan, t'es en train d'en faire un dieu, tu le vénères, plus rien ne compte quand tu le regardes, c'est ça que tu veux ? " me demande la petite voix.
- Oui...
" Y a pas 10 minutes tu te plaignais de la souffrance qu'il t'inflige et maintenant, tu le vénères ? ".
- Ouiiiii...
" Tu veux vivre comme un clébard tant que c'est à ses pieds ? ".
- OUiiiiiiiiiii...
" Alors tu veux continuer à souffrir tant que c'est lui qui te fait souffrir, c'est ça ? "
- OUIIIIIIIII !!!!!!!!
Ce " oui ", je le hurle comme pour dire à cette petite voix de se taire et je reviens à la réalité, Benjamin à joui, le trio me regarde avec un sourire en coin...
- Ben dis-donc Benjamin, tu l'as bien fait gueuler la petite salope, dit Sarah en ricanant.
Je reprends mes esprits, je sens Benjamin sortir, je me redresse et me retourne, mon enculeur était bâillonné pendant toute la séance, il attend en retrait les mains dans le dos.
Le trio se lève et chacun se rhabille sauf Benjamin.
Alban se dirige vers Sarah et la remercie vivement pour cette nouvelle expérience qu'il a vécu.
Simon s'approche de moi, il passe sa main dans mon dos alors que je finis de boucler la ceinture de mon jean.
- Ça va ? demande-t-il sur un ton très prévenant.
Je fais un léger signe de tête positif, je sens son étreinte se resserrer, il me prend dans ses bras, j'enfouis ma tête dans son épaule et pleure en silence.
- J'ai bien vu que ça a été dur pour toi, mais ce sont des moments comme ceux-là que je veux aussi. Si tu ne t'en sens pas capable, je comprendrais, en attendant, je vais en profiter jusqu'à vendredi, j'ai bien compris que je dois m'attendre au pire.
Il me dit tout cela sur un ton attendrissant et compréhensif avec un zeste d'inquiétude. Je me penche pour mettre mes chaussures.
- Non, inutile, on va dans notre chambre, Alban veut te baiser.
Je le regarde l'air choqué.
- Quoi ? On a un deal jusqu'à vendredi oui ou non ?
Je fais un signe de tête positif.
- Qu'est-ce que tu es pour moi jusqu'à vendredi ?
- Ta lope que tu baises et fais baiser comme tu en as envie...
- Parfait, alors joues pas les offusqués, ton cousin veut te sauter, tu vas lui faire ce plaisir.
Je prends une petite tape sur le cul, je sors de cette chambre pour me diriger vers la nôtre, Simon... Je ne sais plus quoi penser, je ne sais plus quoi décider... Avec toi je morfle, loin de toi je me consume...
Yan
ftasm@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Mariage pour tous | Pisse and Love | Déclaration de dépendance | Faites vos jeux | Triangle à géométrie variable... | Mon Maître | Le chalet
