J'étais en terminale à l'époque. Fraîchement 18 ans, sportif (hand, foot, piscine, ...) donc bien foutu, mais aussi gay, bien monté bien que toujours puceau. Je n'étais pas le genre de mec à se la raconter. Je n'avais pas beaucoup d'amis d'ailleurs. Je faisais craquer les filles mais ça ne m'interessais pas. Moi ce que je préférais à l'époque, c'était les vestiaires du gymnase, pleins de mecs qui jouent à se tirer le calbut ou à se faire des tapes sur les fesses. Avec le temps, j'étais passé maître dans l'art de la dissimulation, masquant et contrôlant toutes mes érections et jouant même avec les mecs à ses jeux coquins. Tellement discret que personne ne se doutait pour moi.
Mais celui que je préférais, c'était le prof de sport. Un canon, 31 ans, plus musclé que moi, entretenu, viril et un brin macho, marié avec deux gosses. Il me faisait baver et je me branlais en regardant ses photos Facebook.
Au mois de mai, juste avant les épreuves du bac, petit voyage d'une semaine à Barcelone, un voyage qu'on attendait tous, sauf moi, car on allait louper le sport. On partait un lundi pour rentrer le vendredi. Je traînais les pieds, surtout que j'y étais déjà allé deux fois ! Le pire a été quand j'ai mon beau prof entrer dans le lycée. Quelle déception !
Le départ a eu lieu à 8h30. J'avais la tête dans le cul, comme d'hab' et je parlais avec mes potes quand, au moment de monter dans le bus, je suis réveillé par une voix familière qui semble compter les élèves. Je lève la tête. Il est là, à 50cm de mon visage. Gros moment de bug qu'il a du remarquer.
"Bon tu montes ou tu veux qu'on te laisse là ?!"
"Euh ... oui pardon ... je suis pas réveillé."
Je devais devais être rouge tomate. Et les choses ne se sont pas arrangée puisqu'au moment de monter, j'ai senti sa main prendre mon bras pour m'aider à monter. Mon coeur battait à fond.
Au bout de deux heures de route, on fait une pause sur l'autoroute. Je le suis comme une chien ... plutôt une chienne en chaleur qui aurait vu un beau mâle en liberté. Je remarque à l'occasion qu'il n'a pas son affreux jogging noir à bandes jaunes qui ne le met pas en valeur. Il est en t-shirt col-v et jean très moulant. Il a un cul d'enfer et des pecs saillants. Je ne suis pas le seul à mater : il y a une horde de filles sans doute aussi en chaleur que moi qui le suivent. Il faut que je reprenne mes esprits. Je pars en douce aux toilettes, la route va encore être longue et ma vessie est déjà pleine ... comme mes boules. Je fais tranquillement mes affaires dans l'une des cabines. Il y a un monde fou. En sortant, j'ouvre la porte et sors sans regarder et boum ! Je lui rentre dedans comme une balle. Par réflexe, je me rattrape sur ses pecs. Il sont chaud et bien ferme. J'ai envie d'arracher son t-shirt. Lui rigole et me repousse en posant les mains sur mes hanches.
"Eh doucement ! Le car ne va pas partir sans toi !"
"Pardon monsieur !"
Je suis gêné. Je n'ai jamais été aussi prêt de lui. Là encore, il m'effleure le bras au moment où je me sauve, lamentablement, pour fuir les toilettes. C'est déjà la deuxième fois !
Nous arrivons tard dans la soirée. Les profs nous offrent carrément le resto. Visiblement, c'est déjà réservé pour nous. Je me mets à une table avec mes potes. Comme par hasard, il reste deux places pour les profs. Mon apollon est en face de moi, sur la gauche. Il s'assoit, me sourit et me lance un clin d'oeil. Je commence à croire qu'il a deviné pour mon petit secret mais pourquoi il réagit comme ça, je ne sais pas.
Nous allons ensuite à l'auberge de jeunesse où nous sommes hébergés. Je me mets là encore avec mes potes dans une chambre. Mon beau sportif est au bout du couloir, à trois chambres de moi. Comme ça au moins, on ne se croisera pas.
Le début de la semaine se passe tranquillement : visite de musée, parcs, expo, boutiques ... et des cours d'histoire et d'espagnol bien chiant. J'appends que notre prof de sport a des origines espagnoles et qu'il parle un peu la langue. J'essaye de toujours être dans le groupe qui le suit. Par chance, il n'y a dans ce groupe que des sportifs et j'en suis un aussi. Je remarque qu'il me regarde souvent en me lançant des petits sourires en coin aussi discret que je cache mon homosexualité à mes potes. Je sens chez ce mec quelque chose de bizarre. Aurait-il lui aussi des secrets ?
J'ai eu ma réponse le mercredi soir. Je prenais ma douche assez tard, après que tout le monde soit couché, même si nous ne devions pas sortir des chambre. Heureusement, les profs étaient assez loin pour ne pas entendre les douches. Discretement, je file prendre un douche rapide avant de dormir, le temps aussi de me palucher un peu. C'est à ce moment là que j'ai entendu une porte s'ouvrir. J'arrête l'eau et éteint la lumière. Je me fige et entends des pas se rapprocher. Là, je me rends compte que je suis dans la douche avec le verrou cassé et que ma serviette dépasse. Trop tard pour me planquer.
La porte de la SDB s'ouvre, la lumière s'allume, la porte de ma cabine s'entreouvre.
"Je peux savoir ce que tu fais là ?"
Putain, mon prof de sport en plus. Retiens ta gaule !
"Je ... je voulais être tranquille."
"Tu sais ce que c'est un couvre feu ?"
"Ouais je sais j'ai merdé."
"Je vais rien dire ... mais à condition que tu me laisses entrer."
Je manque de m'étouffer. Il veut entrer ?! Avant même que j'ai pu dire quoi que ce soit, il entre dans la cabine et enlève son t-shirt.
"Vous faites quoi là ?!"
"On a le même secret à garder. Je sais que t'es gay et moi aussi. Je dirai à personne ce qui se passe ici. On aura un autre secret en commun."
"Quel autre secret ?"
"Tu m'excites à mort et j'ai te prendre par derrière"
J'ai l'impression de rêver, mais ce n'est pas le cas. Je vais me faire dépuceler par l'homme de mes rêves ! Et en plus, c'est un gay refoulé ultra sexy. Il a un corps de rêve, magnifiquement musclé, avec un peu de poils rasés sur le torse et des cuisses incroyables. Il est là en caleçon, avec moi. Il a pris soin de bloquer la porte d'entrée de la SDB, histoire qu'on ne soit pas dérangés.On est tous les deux en érection.
"Viens m'embrasser ! Touche-moi aussi !"
Je me jette sur lui et, sans même savoir comment on s'y prend, je l'embrasse et caresse ses abdos bien fermes. Je suis surexcité. On se galoche et on se tripote pendant quelques minutes. Lui me prend la bite pendant que moi je lui enlève son caleçon. Je lui pelote un peu le cul, depuis le temps que j'en rêve. Soudain, ferme la porte de la cabine et ouvre l'eau chaude. On est trempé tous les deux. Il est encore plus sexy comme ça !
"Je vais t'enculer maintenant."
"Je l'ai jamais fait."
"T'inquiète pas bébé je vais te faire rêver ! Mets toi face au mur."
Je m'exécute. Il prend une capote dans la poche de son pantalon et la met. Puis il me doigte vite avant de me la mettre direct mais doucement, centimètres par centimètres. Il a pris soin de mettre sa main devant ma bouche pour étouffer ma douleur. C'est vrai que j'en ai bavé mais pas longtemps, le plaisir est venu vite, d'autant plus vite que je me faisais baiser par l'homme de mes rêves. Il me donnait de bons coups de pine, mais sans violence. Son corps était collé au mien, je sentais ses pecs sur mon dos et ses mains sur ma bite. Il me branlait énergiquement. J'ai craché dans sa main en 5min, ce qui l'a fait jouir. Il s'est retiré et s'est vite essuyé avec ma serviette. Il m'a offert son caleçon, m'a embrassé et s'est sauvé.
Mais le vendredi est vite arrivé. Je ne voulais plus partir. Le trajet a été douloureux, autant pour mes fesses à cause des sièges que pour mon coeur qui aurait aimé plus de câlins.
Deux semaines après, à la fin des épreuves, il m'a annoncé avoir quitté sa femme à la fin du voyage. Leur couple ne fonctionnait plus. Il n'arrivait plus à la satisfaire depuis un an et il voulait faire son coming-out. Il l'a ouvertement quitté pour des hommes (moi notamment). Elle l'a fichu dehors. Il avait trouver un appart' avec l'aide du lycée. Il m'y a emmené et on a inauguré toutes les pièces de la maison. Il m'a baisé quatres fois et on en a foutu partout.
J'étais bien avec lui et je suis tombé follement amoureux. D'ailleurs on est toujours ensemble et on baise très régulièrement, entre deux devoirs de chimie ou deux cours de sport. Tout le monde est au courant et bizarrement, pas grand chose n'a changé.
PtitGayCurieux
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