Moi c'est Peter, j'ai 22 ans et j'ai été récemment embauché dans une assez grande entreprise, celle pour laquelle un secrétaire ou un comptable reste un simple pion facile à virer. Je fais malheureusement partie de ces personnes, étant secrétaire.
Il n'y a pas beaucoup d'hommes secrétaires dans cette boîte, et mon patron me l'a vite fait remarquer.
En parlant de lui, il s'appelle Bruno, 34 ans, un bel homme bien foutu pour son âge, qui doit faire beaucoup de sport, vu sa musculature apparente à travers sa chemise de costume. Ce gars m'a vite tapé dans l'oeil et je bave à chaque fois qu'il passe. Et en plus il a un cul magnifique !
Et par chance, j'ai vite remarqué que je lui avait tapé dans l'oeil. Disons que j'ai été embauché de manière particulière.
Cet entretien s'est déroulé ya trois mois. Un beau lundi d'avril très (trop) chaud.
J'arrive en chemise et limite en nage. Pas terrible pour un entretien.
Lui était en costume, la clim devait être bien confortable.
Je rentre, m'installe, nous commençons l'entretien, un entretien basique et chiant. Mais la beauté de mon interlocuteur m'enchante. Il s'en aperçoit rapidement.
Je n'ai pas compris son manège au début, puis tout s'est éclairci. Il a d'abord retiré sa montre, normal il fait chaud, puis sa veste, normal encore. Et là il me sort d'une voix pleine de sous-entendus :
"Il faut drôlement chaud ici non ?"
Sa voix me fait triquer au plus haut point. Puis il me lance :
"Vous ne voudriez pas aller voir le tableau de la clim pour voir si ya pas un problème ?"
Je déchante ! Si je me lève, je dévoile le poteau rose. Comment va-t-il réagir ?! Qu'importe, je me lève et me précipite sur la porte.
"Non ça a l'air bon. 19º monsieur. "
"Parfait revenez."
Je reviens et m'assois.
"Vous avez l'air en forme !"
"Comment ?"
"Je peux revoir ça ?"
Ça question détonne. Il veut matter ma bosse. Je suis excité mais terriblement gêné. Pourtant je me lève et lui expose mon paquet bien gonflé. Il est vrai que mon 19*5 a du mal à tenir là-dedans ! Lui sourit et je sens qu'il trique aussi.
Il me sort alors :
"J'ai plus envie qu'on parle boulot. Vous voulez pas vous détendre un peu ?"
"Pardon ?"
"J'ai envie de vous !"
Sur ses mots, il se lève, me prends par la main et me retourne dos au bureau et face à lui. Il me prend le paquet et l'examine.
"Beau morceau."
Il défait le zip de sa braguette glisse ma main sur son caleçon. Il mouille déjà !
Je ne résiste pas à lui tirer son caleçon et a lui extraire l'engin. Je le branle carrément ! Je ne me gêne plus et il a l'air d'aimer. Il gemit doucement. Puis il m'arrête net.
Là il defait rapidement mon pantalon et le descend en emportant mon caleçon. Il me retourne et me pousse sur le bureau.
Il saisit une capote dans sa poche, se la met et m'encule d'une traite. J'etouffe machinalement mes cris de douleur pour ne pas être entendu.
Rapidement, il me bourrine sauvagement sur le bureau, en me claquant les fesses, sans même m'avoir demandé mon avis ! Mais le plaisir est immense comparé à la douleur qui s'estompe rapidement. La cadence est difficile à soutenir. Il dst tantôt lent, tantôt rapide, j'ai du mal à suivre et m'accroche péniblement. J'en ai mal au dos.
Au bout de 10min, il se crispe brusquement et explose en moi. Son râle est puissant mais contenu, tout comme les saccades qui ont bien failli achever le bureau.
Pensant que tout était fini, je me relève mais il me plaque sur le bureau. Il défait sa cravate et m'attache les mains dans le dos. Cette situation m'excite. Il se baisse et me retire mon pantalon et mon caleçon. Il me relève et me plaque contre lui, me main liées m'obligent à me cambrer et je sens sa bite encore dur sur mes fesses endolories.
Il me susurre doucement :
"Maintenant je vais te baiser la bouche."
Il défait doucement ma chemise et me malace les pecs. Ses mains sont rudes. Il me tire les tétons qui poitent joyeusement. Je suis excite comme un fou.
Puis il me retourne, me mets à genou et m'enfile sa queue jusqu'à la garde. Le goût de latex me fait presque vomir et la gorge profonde n'est pas agréable.
Il me laisse m'habituer et défait sa braguette. Il dévoile son pubis imberbe parfaitement rasé. Puis il m'attrape les cheveux et commence de violents va-et-viens dans ma bouche. Je me fais défoncer mais bizarrement, j'aime ça ! Il me pillone littéralement.
Malheureusement, je peux pas le déshabiller et pourtant, je voudrais bien voir son corps d'appolon. Je me rappelle brusquement que je suis en train de me faire baiser par mon futur patron. Cette idée me fait debander.
Lui s'en cogne et me déglingue la mâchoire.
Au bout de quelques minutes, il se bloque au fond de ma gorge et explose en moi. Je reçois 5 jets de semence chaude et salée direct dans l'oesophage. Je le suce encore pour le nettoyer et il se retire et se rhabille. Je reste bête à genou, comme une salope attendant son ordre. Il me relève finalement et me reboutonne la chemise avant de me détacher. Il me demande de me rhabiller et retourne s'asseoir.
Je m'habille et me rasseoit. Il me tend ce qui ressemble à un contrat et me dit :
"C'est un contrat spécial. Lis-le bien et ne signe que si tu en accepte tous mes termes. Je compte te baiser souvent si tu travailles pour moi."
J'en reste bouche bée. Je me saisit du contrat et sans un mot repart chez moi. Je suis secoué mais déjà ravi de ce boulot.
Depuis, je travaille et de temps en temps, je suis demandé par mon boss pour "discuter". De longues minutes de baise intense. Il se dévoile doucement et j'ai déjà pu entrevoir quelques beaux abdos.
PtitGayCurieux
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