C'était un samedi comme un autre où je tuait le temps. Il faisait gris et je m'ennuyais ferme.
Moi c'est Marc 24 ans, 1,83m pour 76kg, brun aux yeux verts, le corps assez bien sculpté par le tennis et la muscu, mais pas dans l'excès, juste six abdos finement découpés et des petits pecs. Mais largement de quoi faire craquer les mecs.
Je finissais juste la vaisselle, quand soudain on sonne. Je demande qui c'est. Un voix grave et chaude s'annonce :
"Bonjour, je suis vendeur de panneaux solaires. Auriez-vous une minute à m'accorder ?"
Et merde un colporteur ... Je regarde dans le trouve de la porte. J'aperçois un homme proche de la trentaine, assez grand, pas mal en somme. J'ouvre. Après tout, ça marchandise ne m'intéresse pas mais ça peut être bandant quand même.
Quand il entre, c'est le choc : il est grand, 1,85m au moins, châtain clair au yeux bien bleus. Une mâchoire carré avec une barbe de trois jours. Il a l'air bien foutu mais sa chemise est assez large. Par contre je devine un beau paquet à travers son pantalon de costume. Il a une bonne poignée de main et cette dernière est chaude.
Je l'invite à s'asseoir. Il sort son matériel et sa paperasse. Je m'ennuie déjà.
Au bout de 15min, je craque. Je veux me le faire, le voir nu, offert et les jambes écartées. Mais je ne peux pas lui sauter dessus comme ça ! Que faire.
Je réfléchis, je ne l'écoute même plus. Qu'est-ce qu'on s'en fout de ses panneaux solaires ?! Il fait pas beau aujourd'hui !
Soudain, je pense à lui offrir un café bien serré. Il accepte. Je m'éclipse 5min pour faire chauffer le café. Je le sers et lui apporte.
Je m'approche, mon coeur bat. Je sais que je vais "malencontreusement" trébuché et lui renverser le café dessus.
Arrivé devant lui, je me prends le pied avec le pied de la table. Je m'effondre devant lui.
Je peux dire adieu à mes tasses.
En entendant son cri, je devine que je l'ai touché. En me relevant, je remarque une sacré tâche sur son pantalon. Yes ! Mais son visage est crispé. Oups !
Je fait mine de m'excuser :
"Oh merde, je suis vraiment désolé ! Pardon ! Je suis vraiment pas doué !"
"C'est pas vrai min pantalon ! J'ai encore toute l'après-midi à faire."
Mon esprit vacille. Je lui fait une proposition qu'il ne peut refuser et qui m'excite déjà :
"Donnez moi votre pantalon, je vais le laver. Ma machine est rapide et j'ai un sèche-linge."
"J'ai pas vraiment le choix. Où est-ce que je peux me changer ?"
"Oh allez on est entre hommes. Enlevez le ici !"
Il défait ses chaussures et enlève ses chaussettes. il a de beaux pieds. Il se lève et fasse à moi retiré sa ceinture. Il deboutonne son pantalon, ouvre le zip. Son pantalon tombe sur le sol. Il l'enleve rapidement et me le tend.
"Toutes mes excuses, je reviens dans une minute."
Une fois dans la salle de bain, je renifle ce trophée. L'odeur de café se mélange à celui de son parfum de mâle viril. J'ai une érection. Calme-toi Marc, il est encore là ! Je jette l'objet dans la machine et lance un programme court. Dans 30min c'est fini. Juste assez de temps pour apprendre à connaître mon acolyte.
Je le rejoins dans le salon. Je m'excuse encore et remarque une trace rouge sur sa cuisse gauche. Et merde une brûlure !
"Oh mince je vous ai fait en plus !"
"Non c'est rien ça va aller."
"Attendez je vais chercher de la glace."
Je me précipite dans la cuisine et attrapé une poche de glace. Je reviens vers lui et lui colle la glace sur le cuisse. Il a des jambes musclées et fermes, avec des muscles saillants. Il n'est pas non plus très poilu, ce que je j'apprécie. Il porte un caleçon blanc Dim très moulant mais je ne peux voir plus que ses cuisses puisqu'il cache le reste avec sa chemise.
Ma main est posée sur son genou. Je tente une approche furtive. Je lui caresse le genou du pouce, pour déclencher une réaction.
Sans un mot, il pose sa main sur la mienne pour appuyer la glace un peu plus fort. Et dans le même geste, il me caresse la main du bout du pouce. Je lève les yeux vers les siens. Il me regarde et me sourit légèrement. Je plonge littéralement dans son regard un peu vicieux. Je devine son envie.
Je me lève alors, me mets face à lui et défait mon pantalon. Il se jette alors à mes pieds, me descend mon pantalon et mon caleçon et saisit mon chibre.
Sa main est virile mais assez douces, ce qui me perturbe un peu. Mais d'un coup, il fait disparaître toute ma bite dans sa bouche visiblement experte et très demandeuse ! En un rien de temps, il a fait disparaître mon 18*5 tout entier. Mon râle est puissant et traduit à la fois ma surprise et le bonheur qu'il me procure d'un coup.
Ses lèvres sont douces et si langue est chaude. Il me pompe avec une force telle que j'ai du mal à me retenir ! Je vois alors poindre une érection chez lui, qui fait se lever sa chemise.
Ce vendeur m'excite à mort !
Cette séance de pompe dure 10 bonnes minutes. Je le freiné quand je sens la sauce monter. Je le prends par la cravate et le tire à moi.
Je l'embrasse fougueusement. Il pique un peu mais ça me titille encore plus. Il me caresse les couilles avec ses mains fermes. Mais il est délicat et ses caresses sont un délice.
"Suis moi. On va dans chambre."
Il me prends la main et me suis. Je marche d'un pas décidé, décidé à lui exploser l'anus.
À peine arrivés, je le prends par le col et le jette sur le lit. Je me mets sur lui et l'embrasse. Nos baisers sont intenses et nos langues s'entremêlent. Il me caresse en même temps. Je descends doucement dans son coup imberbe et y dépose mes lèvres. Il gémis et se trémousse de plaisir sous mon corps.
Il tente alors de se masturber, mais je l'en empêche.
"Pourquoi, me demande-t-il ?"
"Laisse toi faire bébé."
Je lui défait lentement sa cravate tout en l'embrassant. Je saisis ses mains et les attache au lit. Il est maintenant totalement offert et privé de mouvement. Je defais lentement les trois premiers boutons de sa chemise pour dévoiler le haut de son torse imberbe mais visiblement plus muscle que le mien. Je le couvre de baisers et le lèche allègrement.
Une fois la pression dans mon corps apaisée et l'orgasme repoussé. Je me lève et admire son corps. Sa chemise est remontée avec ses bras et je découvre maintenant barre énorme dans son caleçon. Je lui arrache et le jette dans la chambre. Il râle toujours, les yeux clos. Je découvre un beau 20*5 surgonflé et assez veiné avec un beau gland tout rose. Son pubis est bien rasé, comme son entrejambe. Il s'entretient le salaud !
Mais ce n'est pas sa qui m'intéresse. Je réclame qu'il écarte les cuisses et fonds entre ses jambes. Je dévoile sa rosette parfaitement nettoyée et rasée. Je plonge mon nez et ma langue dedans. Il jouit déjà verbalement.
Je le titille et le doigte doucement pour faire durer le plaisir, pendant quelques longues minutes de torture pour lui, avant de lui mettre un, deux, puis trois doigts. Ça rentre bien.
Je saisis une capote et le pénètre doucement. Il râle de plus en plus et pousse à mon contact. Il en demande.
Je commence de lent vas-et-vient. Il me demande d'accélérer, ce que je refuse d'abord. Je vais le faire languir. La cadence s'accélère doucement, à rythme. Je l'empêche de jouir tant que je peux mais je suis tendu aussi, ce qui devient rapidement un challenge pour nous deux. Ses haletements se font de plus en plus rauques et ses gémissement de plus en plus intenses.
Au bout d'un bon quart d'heure, je sens la sauce monter. J'accélère brutalement le rythme, donnant de violents coup de reins à mon partenaire. Sa réaction à été assez rapide. Dans un hurlement, cette fois plus aigu, a surgi son orgasme. Deux jets puissants sont venus rayer sa chemise grise claire. Deux de plus sur sa veste noire et un étalé sur son chibre encore tendu. Ma réaction n'a pas non plus tardé : trois coups de pine au fond de son troupeau et un flot dans ma capote.
Encore transpirant et haletants nous nous sommes embrassés tendrement. Je l'ai détaché et l'ai laissé se relever. Mais il a vite déchanté en voyant son état :
"Et merde mon costume. C'est encore pire. Il faut que je continue mes visites moi !"
"Viens bébé on va arranger ça."
Je l'ai pris par la main, l'ai entraîné dans mon dressing. Je l'ai complètement dénudé. Son corps était au-delà de toutes mes espérances. Il torse magnifiquement sculpté et huit abdos bien saillants. Des bras puissants, bien qu'assez fins. Un fantasme en direct que je me suis empressé de toucher et embrasser. Je lui ai alors proposé une douche rapide, ce qu'il accepta avec plaisir.
Après avoir mis le sèche-linge en route pour son pantalon, je me suis également débarrassé de mon haut et l'ai rejoint sous la douche. L'eau ruisselait déjà sur son son corps d'Apollon. Nous nous sommes savonnés mutuellement en s'embrassant.
Puisnous sommes sortis et rapidement il s'est habillé dans mes vêtements, les siens étant souillés. Par chance, mon haut de costume lui allait.
Il est rapidement parti, sans même m'embrasser. Mais il devait quand même revenir chercher son costume, ce qu'il ne tarda pas à faire.
PtitGayCurieux
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