Ahmed est technicien supérieur dans les télécommunications. Marocain, il est de ma taille, 175cm environ. Par contre en carrure et en poids je suis une ablette à ses côtés.
Nous nous sommes connus sur mon lieu de travail après un appel pour un dépannage. Nous avons sympathisé rapidement. A plusieurs reprise nous avons partagé le café devant le distributeur nous devisions de tout et de rien en riant et plaisantant.
Plusieurs fois il m'a invité à venir voir son "antre" professionnel à savoir le bureau dans lequel il passait quelques minutes par jour le reste du temps il courrait dans les longs couloirs de l'entreprise. Aussi un matin alors que de mon côté j'avais une baisse de charge, je me suis rendu dans ce bureau magique. Je frappe et ouvre la porte pour le trouver en train de consulter son ordinateur mais ne voyant pas quoi. Content de me voir venir lui rendre visite, il se lève et me tend la main.
"Ah quelle surprise de te voir comment vas-tu?
Bien merci mais toi tu as l'air en pleine forme "lui rétorquai-je avec un sourire complice alors que j'avais vu la barre déformant son pantalon.
"Oui ca va bien pour moi" répond t il en frottant sa braguette. On va prendre un café?
"Tu as déjà vu le centrale de la boîte?
Non je ne sais même pas où il se trouve.
ça te dit de faire la visite?
Bien sûr quand tu veux,
Allons-y maintenant."
Je passe donc devant lui pour sortir de son bureau et je sens une main qui se pose sur mes épaules puis qui descend doucement jusqu'aux reins. Sans montrer de réaction pourtant bien ressentie, je continue comme si rien ne s'était passé. Nous passons plusieurs portes et escaliers et à chaque fois ce fut le même scénario : main sur l'épaule puis caresse descendante vers les reins.
En fin après plusieurs minutes il s'arrête devant une porte blindée, l'ouvre et m'invite dans un univers fait de machines assez bruyantes et d'échelle pleines de fils.
Je reste pantois devant ces matériels par où passent tant de communications. Un vrai travail pour s'y retrouver.
"Allez avance ne reste pas planté là" me dit-il en me claquant les fesses et en laissant sa main trainée pour me caresser.
"Eh tu t'égare on dirait
Bah tu n'as pas l'air de refuser les caresses non plus !" dit donc
Sur ces paroles, il m'attrape par derrière en collant sa barre entre mes fesses.
"Tu sens bien ma barre
Oh tu me lâches je n'ai pas envie de ça
Mais si tu vas aimer j'en suis sûr"
Je sentais des mouvements de mains sur mes fesses. Je commence à le repousser en gueulant un "Ca suffit tes bêtises" qui le fit rire.
Il saisit alors mon bras droit et me le tire dans le dos au niveau de mon cul sur lequel il frottait sa bite sortie de son pantalon. Surpris je n'ai pas immédiatement retiré ma main mais saisi son membre tendu.
Grosse erreur de ma part; il en a profité pour me retourner face à lui et me mettre à genoux.
"Allez suce, tète bien le biberon"
De voir ce sexe dresser devant moi et se rapprocher de ma bouche j'ai d'abord refusé d'ouvrir mes lèvres. Il a alors mis son gland sur ma bouche fermée en insistant "Allez ouvrir ta gueule où je te force" dit-il en m'attrapant par les cheveux pour basculer ma tête vers l'arrière ce qui obligea à entre-ouvrir mes mâchoires, fente qu'il a aussitôt investie pour s'enfoncer aussi loin que possible.
"Alors t'es content maintenant; suce moi bien salope" me hurla-t-il en bloquant ses mains sur ma nuque et en m'enfonçant encore un peu son dard dans la bouche.
Je ne pouvais que répondre à son attente en le suçant. "Voilà t'as tout compris continues, suces bien tu vas avoir droit à ton lait".
J'avais l'impression de téter un manche de pioche tant il était gros et raide. Je salivais un max pour bien coulisser, et je pris ses boules dans la main pour les malaxer. "Super vas-y occupes toi bien de moi j'aime t'avoir à genoux devant moi. Dégrafe mon froc et sort ma queue en entier. T'es vraiment un bon vide couilles".
Ce n'était pas ma première pipe mais c'était une queue comme jamais ne n'avais sucé. Intérieurement j'appréciais le morceau. Je jouais avec ses boules tout en glissant sa hampe dans ma bouche en l'enfonçant de plus en plus. Je sentis les premiers gonflements des veines et le retirais de ma bouche.
"Eh tu fais quoi là suce encore ça vient,
Je préfère prendre mon temps" je lui réponds avec un grand sourire
"Je t'ai à peine sucé que t'es déjà prêt à jouir, tu veux que je suce, je suce mais comme j'aime ; pas trop vite le jus il y en aura plus à la sortie"
Je repris alors ma pipe lentement toujours en allant au plus profond possible. Je l'entendais gémir de plaisir et m'encourageant tellement il montait au ciel.
Lorsqu'il y arriva il gueula en vidant son foutre dans ma bouche que j'avalais de gourmandise.
Quand il eut fini et après un bon nettoyage il me releva me roua un patin d'enfer en mettant la main sur mon paquet et déclara :
"T'es vraiment une sacré salope mais c'était super bon on recommencera ;
Quand tu veux je te purge gratis" répliquai-je en rigolant.
Quand il fut ré-habillé nous sortîmes de ce nouveau lieu de débauche.
Il me quitta avec un grand sourire et en me disant "à la prochaine",
A ta disposition salut"
Le fond de l'histoire est vrai
Scotch
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