Épisode précédent
Revenu dans mon bureau, je me suis mis la tête entre les mains l'esprit chamboulé par ce que je venais de vivre. J'ai pris beaucoup de plaisir à sucer ce mec qui m'a complètement soumis à son désir. J'ai aimé ça!!!
Trois jours après je le vois débarquer dans mon bureau en se frottant le bas ventre.
"Tu m'as bien dit que tu me purgerais quand je voulais alors viens prendre ton biberon salope"
Je l'ai suivi comme un petit chien, il est rentré dans un petit local technique. Sans attendre que la porte soit refermée il a sorti son mandrin bien raide. "A genoux et suce aussi bien que la dernière fois" Sans me faire prier je me suis baissé pour prendre en bouche ce dard qui m'attendait.
J'ai fini de lui baisser le froc puis le shorty afin d'avoir accès à l'ensemble du service.
Quelle belle paire de couilles il a c'est un plaisir que de les soupeser et de les malaxer pendant que j'englouti sa tige aussi profond que possible. J'arrive à me mettre le nez dans son pubis bien taillé.
Je salive un maximum et fait de longs va-et-vient pour bien le satisfaire.
Son gland gonfle doucement et il commence des mouvements de bassins qui enfoncent sa bite en gorge profonde. Heureusement il ne reste pas trop longtemps dans cette position étouffante. Sa respiration s'accélère de plus en plus; il ne va pas tarder à livrer sa semence. Encore deux aspirations et le premier jet arrive. Il bloque ma tête avec ses mains et je déglutis pour avaler le lait qu'il me fournit. Je l'entends pousser de petits râles de plaisir retenus pour ne pas alerter l'entourage de ce qui se passe.
Nous restons branchés le temps que je fasse l'ultime nettoyage du dard qui ramolli doucement. Enfin il se retire : "t'es vraiment une bonne salope de suceuse. Je vais bien t'utiliser comme vide couilles t'es trop bonne;
- Bah si tu restes discret rien ne s'y oppose. Tu sais où me trouver et tu sais que j'aime ça."
Une certaine habitude s'est installée entre nous et nous nous retrouvions toujours avec plaisir pour une pipe d'enfer.
Après quelques mois de cette routine, il est arrivé un matin avec un sourire carnassier que je ne lui avais encore jamais vu.
"Salut salope met toi à poil là maintenant
-T'es fou pas ici c'est trop dangereux
-Ici tout et de suite à poil je ne te le redirai pas. Donnes moi tes clés que j'ferme".
Abasourdi je lui ai donné les clés et ai commencé le déshabillage. Il n'y avait pas grand-chose: une chemise un pantalon un slip et des chaussettes. Quand j'eus tout retiré il m'a regardé et ordonné : "tournes sur toi-même salope, lèves les bras, écartes les jambes. Bien à genoux maintenant et suce moi en profondeur. Prends bien ton temps". J'ai exécuté ses ordres et pendant plus de vingt minutes je me suis activé sur sa queue conquérante. Il a vidé ses couilles comme d'habitude mais malgré tout avec une sévérité toute nouvelle.
Après le nettoyage habituel, il s'est rajusté. Alors que je prenais mon slip pour le remettre, il me dit : "-pas la peine de le remettre, les salopes n'en portent pas et tu es une salope alors cul nu. A partir d'aujourd'hui quand je viens te voir tu te fous à poil tout de suite et si tu portes un slip tu seras puni.
Compris?
-Pourquoi ça?
-Parce que t'es une salope et que tu dois m'obéir sans broncher. Rappelles toi cul nu à ma disposition sinon...." et il est parti me laissant pour ce que je devenais de plus en plus.
Il m'a laissé tranquille environ une semaine pendant laquelle dès que je franchissais la porte de mon bureau ma première activité était de retirer mon slip et de le ranger dans un tiroir.
Lorsqu'il revint comme il me l'a dit et soumis je me suis mis à poil sans qu'il ait besoin de le demander;
"- voilà comme j'aime les salopes, obéissantes et soumises. Aller prends ton biberon il est plein de lait"
J'allais me mettre à genoux et il m'en empêcha d'un ton glacial
"- Non tu te plies en deux cela me permettra de voir ton petit cul j'ai envie d'y toucher"
Je me suis écrasé comme la chienne que je devenais de jour en jour. De temps en temps il me claquait les fesses puis me flattait les flancs comme on le fait aux animaux.
La pipe fut plus longue et la mâchoire me faisait mal mais je pompais en soufflant au maximum.
Bien qu'il ne manifeste aucun signe de plaisir, j'ai senti son gland grossir dans ma bouche et quelques instants après son foutre se rependre dans ma bouche.
Scotch
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