C'était avant les téléphones portables et internet mais...
Entré en terminale je me suis aperçu que j'étais l'un des plus jeunes. Cela dit j'ai un fort caractère et ne me laisse pas faire. Je connaissais quelques uns des condisciples qui constituaient ma classe.
L'un d'eux Christian avait un an de plus que moi et je le trouvais très bandant.
Durant le premier trimestre, j'ai eu le temps de le mater tranquillement surtout pendant les cours de sport mais aussi parfois en rêve lorsque j'avais envie de me soulager les boules. Il était le meneur d'un groupe de 5-6 élèves qui le suivaient comme des toutous. J'avoue que certains étaient mignons et bien foutus. Dans mon coin j'appréciais en silence... rêveur.
Tout a basculé un jeudi de décembre lorsqu'une des élèves a lancé une invitation pour une fête chez elle. Comme les autres j'étais ravi de participer. Christian et ses copains étaient aussi de la partie.
Après plusieurs heures de danses vidage de bouteilles de toutes sortes les participant étaient crevés ; certains rentraient chez eux ; d'autres comme moi étions dispersés dans les différents recoins de la maison au calme.
J'avais trouvé un vieux canapé sur lequel j'étais avachi quand la porte s'ouvrit. Christian était devant moi un verre à la main dans un état aussi trouble que le mien.
" Tu permets que je m'installe à côté de toi ?
Oui bien sûr " dis-je avec des picotements dans le bas-ventre.
" Tu veux boire un coup mais j'ai qu'un verre " me dit-il
" Bah pourquoi pas t'as pas la gale
Non .tiens bois "
J'ai pris deux gorgées de sa boisson dont je ne me rappelle pas de quoi elle était composée.
Lui me regardait avec un sourire goguenard en coin.
Quelques jours plus tard dans la cours du lycée j'ai découvert le reste de la soirée sur les photos qu'il avait prises. Sur plusieurs d'entre elles, je suis à genoux entre ses cuisses son mandrin au fond de la bouche, sur d'autres je suis à quatre pattes le cul rempli du même mandrin et sur l'une le cul bien ouvert semblant attendre d'autres queues.
J'ai eus la honte de ma vie car je n'ai aucuns souvenirs et je comprends que j'ai été drogué. De honte et de rage, j'ai voulu lui reprendre les photos. Dans un grand éclat de rire il me les a données en me disant que de toute façon c'est lui qui les développait et qu'il avait les négatifs prêts à servir.
" - Bien maintenant que tu as vu tes exploits tu as deux solutions tu acceptes ce que je vais te proposer ou tu le refuses.
 De quoi parles-tu, qu'est ce que tu manigances ?
 Hum toujours prêt à la révolte je vois, ça va pas durer tu va devenir un mouton. Mon marché est le suivant : tu acceptes d'être ma salope, ma pute obéissante et soumise et les photos restent sur le négatif ou bien tu refuses et demain toute la classe et lycée pourront voir tes talents. "
Devant mon air effaré par ce qui m'arrivait, il conclut très fier de lui :
" Je vois que tu as bien compris et je doute maintenant que tu refuses. Je te laisse jusqu'à ce midi pour te soumettre en me donnant ton slip. Je sens que tu vas avoir ton premier biberon aujourd'hui.
Ah au fait tu vois le groupe là-bas, il regarde cette photo où tu me suces si bien mais j'ai caché ton visage en le noircissant. Va voir c'est bandant. A toute à l'heure ma poule. "
Il est parti sans plus s'occuper de moi.
Je me suis rapproché du groupe dont certains tenaient des propos bien gras sur le suceur et effectivement la photo était la même sauf que ma tête était toute noire comme indiqué.
Je suis effondré mais je comprends que le choix est simple. Je vais devoir me soumettre si je ne veux pas être la salope publique. Au moment où je prends cette décision, je pose une main sur ma braguette, je bande comme un malade. Discrètement je file aux toilettes ; ouf personne je prends la première cabine venue baisse mon froc et entame une purge impérative. Très vite je décharge mon jus dans la cuvette. Je reprends mon souffle. J'allais tout remettre en place mais une hésitation interrompit mon mouvement. Le slip aux genoux je me suis rappelé l'ultimatum qui m'avait été donné. Il ne restait plus qu'une heure. La sonnerie de reprise des cours retentit. Comme un fou j'ôte les baskets, retire le froc puis le slip et je renfile jean's et chaussures tout en mettant le slip dans la poche. Je cours dans la salle de classe avant que la porte ne se ferme.
Christian en me voyant entré ainsi passe sa langue sur les lèvres puis se frotte l'entre-jambes en me regardant. Il a compris que je suis à poils sous mon jean's.
A la pose du midi, alors que nous sortions des cours il me demande de le suivre aux chiottes ce que je fais avec une révolte dans la tête : je ne vais pas me laisser diriger par ce mec même s'il me plaît.
Il entre dans une cabine et m'invite à le suivre avec des yeux pervers. Il ferme la porte et tend la main dans laquelle je dépose mon slip.
" - Voilà un bon début " dit-il en le reniflant puis en s'adossant au mur " Bon maintenant occupe toi de moi je n'ai pas jouis depuis hier pour te réserver de la bonne crème. "
Je me mets à genoux, desserre sa ceinture, ouvre son pantalon pour apercevoir immédiatement sa toison brune. Il ne porte pas de sous vêtements. Sa tige est raide humide avec un gland bien rosé qui me fait saliver. Il appuie sa main sur ma sur me tête, " arrête de rêver et suce bien profondément pour faire plaisir à ton maître. "
Ce dernier mot me fait l'effet d'un coup de gourdin derrière les oreilles, et je le regarde tout en faisant ma pipe. Même si c'est super bon car sa bite est bien raide et bien droite, je ne lui montre pas mon plaisir et il ne sera pas mon maître. Il commence à se sentir en confiance et ferme les yeux en rejetant sa tête en arrière. J'en profite alors pour défaire l'un de mes lacets. Pour ne pas l'alerter je dois faire très doucement mais enfin j'ai ma vengeance en main. Cela fait cinq bonnes minutes que je suce et je cherche à lui caresser les couilles. Il descend lui même son fut sur ses mollets et écarte les cuisses pour me laisser le passage.
" Ouais vas-y salope profite du service. " J'attrape ses burnes et les malaxe doucement en tout en continuant mon mouvement de bouche le long de sa hampe. Il ferme les yeux de plaisir. Grave erreur!! Je profite de ce moment pour passer mon lacet autour de ses couilles puis fais un joli noeud marin qui sera serré au dernier moment pour bien le tenir. Je passe ma main derrière sa cuisse caresse ses fesses et rattrape mon lacet. Il se demande se qui arrive mais c'est trop tard. Je cesse ma fellation, me redresse avec un grand sourire : " -Bon maintenant c'est moi qui te tiens par les couilles et toi qui suce jusqu'au bout salope" Comme il ne comprend pas tout de suite, je tire sur mon lacet ce qui a pour effet d'entraîner ses balloches en arrière sans douceur.
" Je te répète que c'est moi qui te tiens par les couilles maintenant " lui dis-je en tirant davantage ce qui lui fait ouvrir la bouche bien grande avec les yeux exorbités.
Je lui susurre à l'oreille sans détendre mon lacet " Maintenant tu te plis en deux et tu te régales de ce que tu vas toi même aller chercher. Dépêches toi " lui dis-je en augmentant légèrement le tirage de ses couilles. Comme il ne réagissait pas j'ai tiré un peu plus fort en lui mettant la main sur la tête pour la diriger vers mon entre-jambes.
Avec une belle dextérité, il sortit mon chibre se le mit en bouche sans hésitation.
" Ouah ! Tu n'es pas un novice dans l'art de sucer toi, je ne suis pas le premier que tu tètes? pas vrai ?
Non je l'ai déjà fait plusieurs fois " me dit-il avant de replonger mon gland au fond de sa gorge.
Comme il avait le cul nu, ma main libre a visitée sa raie où j'ai senti l'humidité de son désir. Je suis tombé sur une sacrée salope il mouille pendant qu'il me suce !!!
Je touche son trou qui s'ouvre comme une chatte où sans aucun effort sans préparation je rentre deux doigts. Il gémit de bonheur et se positionne légèrement de coté pour que mes doigts s'enfoncent plus loin encore. J'ajoute un troisième doigt en lui ordonnant de s'écarter les fesses avec ses mains.
Il s'exécute avec un gémissement comme je n'en avais pas encore jamais entendu.
Ma sauce était en train de monter.
" Donne moi ton cul salope je te baise tout de suite. "
Il roucoule un " oh ouiii " en s'empalant de lui même sur mon dard et me branle avec sa chatte en basculant son bassin d'avant en arrière. Je suis obligé de le calmer car ses gémissements sont de plus en plus bruyants.
Avec un tel traitement j'ai vite déchargé mon foutre dans ses boyaux.
Il était ravi et moi aussi. " Allez à genoux fait le ménage et ne jette rien salope "
Je lui fourre ma queue dans le bec et attend la fin du nettoyage.
"- Mets toi à poil complètement maintenant et jette tes fringues dans le coin.
 Mais pourquoi je t'ai obéi.
 Ta gueule salope tu m'as violé en me droguant alors tu vas payer le prix de ton forfait. A POIL !!! "
Une fois nu, je lui intime l'ordre de se mettre à genoux les mains dans le dos. Je remonte le lacet et lui lie les pouces au lacet qui tient toujours ses couilles.
Je me rhabille et en profite pour remettre mon slip.
" - Bon je vais manger attends moi ici
 S'il te plait pas ça je jure de t'obéir
 Fallait y penser avant.
Je suis sorti sans le regarder ; mais je savais qu' il pleurait.
En 10 minutes il est devenu une vraie loque.
Après déjeuner je suis retourné le voir ; il était écroulé le visage déformé par la douleur de ne pas pouvoir bouger sans tirer sur ses valseuses.
En rentrant dans la cabine j'ai ouvert mon froc et lui ai présenté ma tige. Sans un mot il s'est redressé et m'a sucé une nouvelle fois.
" Bien tu as vite compris ; fini ton biberon aujourd'hui tu ne manges que ça. "
Les mains toujours attachées, il a pris ma bite en bouche et très pro m'a vidé les couilles pour avaler tout le jus sans perdre une seule goutte.
" Bien tu vas devoir faire deux choses :
1) me donner les négatifs des photos que tu as prises et pour cela ce soir je t'accompagne chez toi,
2) demain me montrer tes couilles entièrement épilées.
Nous sommes d'accord ?
-Oui d'accord mais j'ai froid s'il te plait détache moi.
Une dernière chose, s'il te prenait l'envie de te tirer sans m'avertir tu auras droit à un régime spécial qui te fera perdre la face devant tes copains. "
Je lui délie les mains mais pas les couilles.
" Tu gardes mon lacet comme ça. C'est lequel de la classe qui te baise ?
-Non aucun c'est mon frère.
-Quoi tu te fais troncher par ton petit frère mais vous êtes une famille de salopes ! Ca dur depuis quand ?
-Depuis un an et c'est moi qui l'ai dépucelé.
-Tu baises ton frère et réciproquement ? Vous êtes homos tous les deux ?
-Oui.
-Je rêve. Bon on se voit ce soir et soit bien sage ".....
Scotch
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