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Fatigué de prendre des baffes, le lendemain je me suis rendu à son bureau pour l'heure dite. J'avais une serviette de toilette et je me demandais bien ce que qui allait se passer pour que j'ai besoin de cet accessoire. Il est arrivé après moi;
"Ah t'es à l'heure la pute c'est bien tu comprends vite; tu as ta serviette?"
Je la lui montre sans dire un mot.
"Bien suis moi on descend au vestiaire des collègues." Il prend au passage un petit sac.
Je me suis mis à angoisser pensant que ses collègues allaient me passer dessus. Non ce ne fut pas le cas ils étaient sur le terrain.
"A poils vite" me dit-il. Je m'exécute très vite ne portant qu'un polo mon pantalon et des chaussettes.
"Suces moi avant que je te baise."
Je me mis sagement à genoux, ouvrit son froc sortit son chibre de son shorty et le mis en bouche. Un "hummm" de plaisir s'entendit.
"T'es vraiment un bonne salope toi je ne regrette pas de t'avoir connu; tu suces bien et ton joli cul m'appartient. Donnes le moi maintenant."
Je me suis relevé, tourné et ai écarté mes fesses pour qu'il n'ait plus qu'à rentrer dans mon fion, ce qu'il fit avec une certaine ardeur pour ne pas dire violence.
J'avais la queue à demi molle qui se secouait au rythme des coups de reins de mon mâle. Cela le fit rire.
"Profite bien de ce que tu vois cela va changer."
Il se finit dans mon intestin, me remet à genoux pour maintenant le traditionnel nettoyage de sa bite.
Cette fois encore j'ai obéis sans rechigner; on s'habitue à tout.
"Bien maintenant sous la douche"; il ouvre alors le robinet d'eau froide et me pousse sans ménagement dessous. J'ai le réflexe de ressortir et il m'attrape par les couilles et me force à rester sous l'eau.
"Salope je suis mouillé à cause de toi tu vas voir ta punition bouge pas."
J'avais froid et de ce fait mon service trois pièces s'est ratatiné. Il avait ce qu'il cherchait. Fouillant dans son sac, il m'ordonne de lui tourner le dos. Après quelques instants, il me dota d'une cage de chasteté.
"Voilà salope à partir de maintenant tu pisseras comme les femmes assis sur la cuvette sans pouvoir te toucher. Tu viendras le matin et le soir que je vérifie que tu n'as pas essayé de la retirer. Habille toi on se casse d'ici."
La journée n'avait commencé que depuis trois quart d'heure et déjà j'avais le cul plein et j'étais monté d'un cran supplémentaire à l'échelle de la soumission.
Tous les jours de la semaine, affublée de ma seule cage, il m'a enculé à volonté une ou deux fois par jour selon ses besoins. Il était content de lui et de ses performances car j'ai jouis du cul deux ou trois fois. Un vrai régal bien que ce fut aussi un vrai supplice.
J'ai dû garder la cage pendant cette période avant que je ne puisse me laver. Il m'a conduit dans le vestiaire ou bien sûr je n'ai eu que de l'eau froide pour me laver. Il m'obligea à me branler pour voir si j'avais encore du jus. Sans plaisir je me suis astiqué le manche et ai rapidement jouis.
"Alors salope te voilà prête pour la suite des festivités je vois; cet après-midi on va où tu sais il paraît que t'es attendu; tu vas encore jouir du cul et te régaler avec du bon lait. On part à midi soit à l'heure."
Je remis mon pantalon, mon polo et mes chaussettes et nous sommes partis; lorsqu'il me quitta il me mit un claque sur le cul.
"C'est à moi tout ça" rigola-t-il
J'ai continué mon chemin Dans le couloir une porte s'ouvre sans que je ne fasse trop attention. La personne me suit quelques instants avant de me chuchoter à l'oreille :
"- Viens je veux te baiser maintenant, ç a fait longtemps que je ne t'ai pas vu tu faisais la gueule?
- Non mais je ne pouvais pas me libérer. Je suis surveillé.
- Qui te surveille?;
- Celui qui m'a dépucelé viens voir."
Je me suis dirigé vers les WC handicapés car plus grands, j'ai baissé mon froc et lui ai montré ma bite encagée.
"- Wouah t'es soumis à quelqu'un!!!
- Oui et il n'est pas toujours commode; il vaut mieux qu'il n'apprenne pas que je te laisse jouer avec moi;
- Allez suce moi avant que je te défonce."
A genoux devant lui j'ai fait une pipe puis lui ai donné mon cul. Après avoir enfilé sa capote, il m'a pris le cul mouillé avec un peu de salive. Il m'a labouré les boyaux et rempli sa protection dans un râle de satisfaction. Je n'ai pas jouis. Un signe supplémentaire que je devenais un simple trou pour satisfaire les hommes.
" Moi c'est Gilbert je veux te revoir vite tu es trop top et ton cul est sublime. Tu as vu mon nom sur la porte le numéro est dans l'annuaire. Appelle-moi STP"
Je lui ai souris puis suis sorti pour rejoindre mon bureau.
Je pensais alors avoir atteint le fond du gouffre mais je n'y étais pas encore.
A l'heure dite je me suis présenté à son bureau. "Alors salope de pute de chienne tu deviens bien obéissante tu commences à comprendre qui est ton maître c'est bien; suce moi vite fait grosse truie"
Je me suis mis en position et l'ai sucé pour finir par avaler son jus.
"-bon en route tu vas avoir un après-midi chargé. Arrivé à sa voiture il m'a donné une djellaba " mets ça tout de suite après tu te mets à poil dessous et tu ne gardes que la cage. Sans rien dire j'obéis.
J'ai osé malgré tout demandé où il m'emmenait "tu vas bien voir n'oublie pas que tu n'es plus qu'un vide couille, un trou à bites, une chienne de pute alors tu la fermes."
Il ne m'a pas conduit chez Farid; nous nous sommes retrouvés dans une cité à la périphérie de la ville.
Je savais par on-dit qu'elle était spéciale et qu'il s'y passait de drôles de choses.
Une demi -heure après Il s'arrête devant un immeuble au pied duquel un homme d'environ 25 ans attendait.
" - Salut ami toujours à l'heure comme d'habitude
- salut Djibril tu vas bien suis content de te voir,
- c'est elle ta nouvelle salope à dresser?
- oui ma nouvelle pute qui est punie elle l'ouvre de trop et oublie que c'est moi le maître; comme prévu je te la loue pour l'après midi je reviens la chercher vers 19h ça te va?
- pas de soucis elle sera toute docile après son passage chez moi. Toi la pute dehors vite"
Je suis sortie de la voiture sans mot dire avec une peur au ventre compte tenu de ce que j'avais entendu; je savais déjà que j'allais prendre cher.
"- Eh Djibril, tu n'abîme pas la marchandise ;
-tu me connais Ahmed je t'ai toujours rendu la camelote en bonne état et docile!! Eh Medhi amène la salope on va la dresser!!"
Le dénommé Medhi m'entraîna alors en direction des caves et plus particulièrement d'une cave aménagée pour recevoir les salopes soumises telles que je deviens un peu plus chaque jour.
Scotch
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