Saison précédente | Épisode précédent
Voici enfin la suite des aventures des potes de mon grand-frère ! Désolé pour le temps entre chaque texte...
Cette fois, on retourne du côté de Noah et de Kamel.
" Plus jamais je retourne à la boxe ", se dit Noah en s'allongeant sur son lit à côté de sa petite amie Julia.
Julia se tourna vers lui en lui ébouriffant sa tignasse noire.
Julia : - Ce n'est pas grave, ça arrive. On fera ça demain.
Mais Noah n'était pas content. Une panne : ça ne lui était jamais arrivé. Pourtant, ils avaient déjà fait l'amour plusieurs fois et il était plutôt fier de ses érections qui pouvaient durer assez longtemps. Mais là, rien du tout. C'était mou, il se branlait frénétiquement, ça enflait un peu puis ça retombait. Perdu dans ses pensées, il se disait que c'était la faute de Kamel. Cette séance sous la douche, ça l'avait perturbé, ça l'avait traumatisé. Avec le recul, il n'en éprouvait que du dégout : du dégoût pour l'acte en lui-même, pour Kamel et pour lui-même.
Il s'assit sur le bord du lit. Les deux amoureux se trouvaient dans la chambre de Noah, sur son lit d'ado pour une personne. Ils avaient profité d'une après-midi sans les parents pour faire l'amour - ou du moins, c'est ce qu'ils avaient prévu de faire. Plus jamais il ne retournerait à la boxe.
Deux jours plus tard, il retourna au club de boxe.
Il s'était rendu compte qu'il aurait eu trop de mal à inventer un mensonge pour expliquer qu'il abandonnait du jour au lendemain, surtout pour ses parents qui avaient payé toutes les séances à l'avance. Mais ce n'était pas grave. Il était assez fort pour tenir tête à Kamel. Kamel allait lui proposer de rester après la séance pour un cours individuel mais lui, Noah, il refuserait. Il ne mangeait pas de ce pain-là.
Il ne se passa rien. Kamel s'occupa de lui comme les autres, ni plus ni moins. Il ne fit aucune allusion à ce qui s'était passé la dernière fois, il ne lui lança aucun regard particulier, rien. A la fin de la séance, Noah s'était préparé, il avait répété cent fois les mots pour refuser sa proposition à rester pour s'entraîner mais là encore, Kamel ne dit rien. Tout se passait comme s'il avait oublié - ou pire, comme si Kamel s'était servi de lui pour se faire branler sans avoir jamais eu l'intention de lui donner des cours. Noah trouva ça encore plus dégueulasse.
Noah décida d'attendre Kamel à la sortie de la salle de sport pour lui dire ses quatre vérités. Il était vraiment énervé d'avoir été abusé comme un bleu. Quand Kamel sortit, fraîchement douché, son sac de sport à la main, Noah alla à sa rencontre.
Noah : - Salut !
Kamel : Ah tu es encore là ? C'était bien aujourd'hui, tu t'es bien débrouillé.
Noah : Merci. Mais, euh, c'est pas pour ça que je suis là. Je voulais te dire bravo, tu m'as bien eu, tu t'es servi de moi, tu as fait tes petites affaires et ensuite, plus rien. Aucune parole, rien du tout.
Kamel : Ah c'est pour ça que tu as fait la gueule ! Tu voulais ta séance d'entraînement personnalisé, c'est ça ?
Noah : Nan j'en voulais pas ! Enfin, je veux dire, c'est pas la question, on avait fait un marché et tu aurais dû me proposer cette séance, ouais.
Kamel : Je comprends pas, tu la veux ou tu la veux pas ? Parce que si tu la veux, il faut la demander.
Noah : Comment ça ?
Kamel : Ben oui. Pourquoi tu n'es pas venu me parler ? Pourquoi tu ne m'as pas dit ça avant, au lieu de ruminer dans ton coin ? Ton problème, Noah, c'est que tu n'es pas combatif. Tu attends que les choses se fassent sans toi - comment veux-tu devenir un bon boxeur de cette manière ?
Noah : Tu veux dire que c'était un test ?
Kamel : Evidemment que c'était un test. Je voulais voir si tu avais des couilles. Tu l'as raté dans les grandes largeur d'ailleurs. Mais enfin tu es ici, ça peut peut-être rattraper un peu les choses. Mais ça dépend.
Noah : Ca dépend de quoi ?
Kamel : Ca dépend de toi, comme toujours. Est-ce que tu veux qu'on s'organise ces séances personnalisées ?
Noah : Euh oui....
Kamel : Tu les veux vraiment ?
Noah : Oui !
Kamel : Très bien. C'est parti alors. Tes parents sont chez toi là ?
Noah : Non, pas avant ce soir, pourquoi ?
Kamel : Tu vas me montrer ton petit chez toi alors. Monte dans la voiture ! Tu me guideras. On va voir si tu veux vraiment ses séances.
Noah n'avait pas compris ce qui venait de se passer.
Il avait eu l'intention de tenir tête à Kamel, de lui dire tout ce qu'il avait sur le coeur, et au lieu de ça, il avait acquiescé à tout ce qu'il avait dit et il se retrouvait assis dans la voiture de Kamel, juste à côté de lui, en direction de sa maison. Qu'allaient-ils faire chez lui ? Pourquoi avait-il demandé si ses parents étaient là ? Est-ce que Kamel allait lui demander de le branler à nouveau ? Est-ce que c'était ça à quoi Kamel pensait quand il lui avait demandé s'il voulait vraiment ses cours personnalisé ?
Noah ne savait plus quoi penser. Le stress montait à mesure qu'ils approchaient de chez lui. Peut-être pouvait-il encore sortir rapidement de la voiture et fermer la porte de sa maison à clé avant que Kamel n'entre ? Mais non, il lui tint même la porte et Kamel entra dans sa maison. Il visita la maison en roulant un peu les mécaniques, comme s'il voulait marquer son territoire : " Ah c'est ça ton salon ? Sympa. Ok pour la cuisine, tranquille. Et ta chambre ? ".
Ils entrèrent dans la chambre de Noah et aussitôt, Kamel s'affala sur le lit une place sur lequel, trois jours auparavant, Noah avait essayé de faire l'amour à sa copine.
Kamel : Tranquille ta chambre ! Mais on dirait qu'elle a pas beaucoup changé.
Noah s'assit sur le fauteuil de son petit bureau - le plus loin possible de Kamel. Il ne pouvait pas s'empêcher de remarquer la bosse que formait la queue de Kamel sur son short, mais il essayait d'éviter de regarder dans cette direction. Il espérait encore que Kamel allait partir après avoir décidé d'une date et d'une heure pour leur entraînement personnalisé.
Noah : Tu as soif ? Tu veux un verre d'eau ou du jus d'orange ?
Kamel : C'est gentil mais ça ira. Là en ce moment, c'est d'autre chose dont j'ai besoin.
Noah : Ah, euh, comment ça ?
Kamel : Je crois que tu sais exactement comment ça.
Il y eut un silence.
Kamel : Bon, alors ?
Noah : Alors quoi ?
Kamel : Devine ! Tu crois que je suis venu ici pour admirer votre veranda ?
Kamel n'avait l'intention ni de le forcer physiquement, ni de lui donner d'ordre précis. C'était à Noah de prendre l'initiative. Noah aurait pu lui demander de partir, ou partir lui-même, ou ne rien faire. Mais il se leva de son fauteuil, il s'assit à côté de Kamel - Kamel à moitié allongé, appuyé sur un coude, les jambes écartées, les pieds au sol, et Noah assis bien droit juste à côté. Noah se battit un peu pour déboutonner le short - ce qui fit sourire Kamel qui ne fit pas un geste pour l'aider. Noah était sur le point de sortir la queue du boxer noir de Kamel mais Kamel lança :
- Caresse-la d'abord un peu à travers le tissu. Fais-moi un peu bander.
Noah posa sa main sur le boxer. C'était chaud. Il acheva de devenir tout rouge. Ses caresses étaient d'abord assez grossières.
Kamel : Mieux que ça !
Noah changea sa méthode. Il caressa le boxer avec ses doigts plutôt qu'avec la paume. Il put sentir la queue, le gland, les couilles. Il palpa la queue, toucha le gland, joua un peu à travers le tissu. Il sentait le sang pulser et la chair grossir peu à peu.
Kamel : C'est mieux ! Tu peux la sortir maintenant.
Noah prit le bord du boxer et le descendit. La queue sortit comme un ressort et continua sa croissance toute seule, jusqu'à devenir complètement bandée - on aurait dit qu'elle était vivante. Noah coinça le boxer sous les couilles de Kamel, hésita un peu puis serra sa main autour de la queue de Kamel. C'est doux, chaud, et très dur.
Kamel : C'est bien mais c'est sec. Utilise ta salive.
Noah avait abandonné toute résistance. Il cracha dans sa main puis caressa le gland avec sa paume mouillé. Ca fit aussitôt réagir Kamel. Il eut peur de lui avoir fait mal mais non, c'était juste le plaisir. Noah put commencer à faire des mouvements de va-et-vient et à caresser le glands, en humidifiant régulièrement sa main. Kamel s'était mis à l'aise en croisant ses bras derrière sa tête et en fermant les yeux.
Au bout d'une ou deux minutes, Kamel se réveilla brusquement, écarta un peu Noah, enleva son short, son boxer et son t shirt et se remit à moitié allongé sur le lit.
Kamel : Je serai plus à l'aise comme ça.
Noah, encore tout habillé, devint encore plus rouge de voir le corps musclé de Kamel étendu comme ça, devant lui, en tout impudeur, avec son gros sexe raide. Il tendit le bras et recommença ses caresses. De sa propre initiative, de son autre main, il caressa les couilles poilues - ce qui fit gémir Kamel.
Kamel : Trop bon ! Suce-moi maintenant !
Noah s'arrêta brusquement. Il n'avait pas pensé à ça. Kamel avait fermé les yeux et attendait - il ne répéta pas son ordre. Noah contempla la bite luisante qu'il tenait dans ses main. Une odeur de sexe et de corps d'homme avait envahi toute la pièce. Il se pencha, ouvrit les lèvres et prit le sexe de Kamel dans sa bouche. Kamel tressaillit et saisit aussitôt la tête de Noah dans une main pour guider son mouvement. Noah n'aurait pas pu dire s'il était excité ou pas, s'il aimait ou pas les sensations qu'il découvrait - mais il était comme un jouet aux mains de Kamel, il n'avait plus de volonté propre et étrangement, c'était ça qu'il aimait. Il avait peur de la suite mais le magnétisme sexuel de Kamel était plus fort que lui.
La main de Kamel passa de ses cheveux à sa nuque, puis à son dos et se glissa ensuite sous son short et son boxer. Noah tressaillit.
Kamel : Tranquille ! Laisse-toi faire ! Tu verras, tu vas kiffer.
Noah aurait voulu repousser la main de Kamel mais étrangement, sentir les doigts se glisser entre ses fesses et se rapprocher de son cul faisait monter en lui une excitation qu'il n'avait jamais connue. Il ne s'était jamais caressé cette partie-là ! Kamel avait mouillé ses doigts et jouait à caresser son trou et à glisser un doigt à l'intérieur.
Kamel : Mmhhh ! Bien propre et un peu poilu, tout ce que j'aime ! Surtout t'arrête pas de me sucer.
Noah se retrouva donc à sucer Kamel tout en ayant le cul à l'air avec Kamel qui entrait un doigt puis deux. Ca le brûla un peu au début puis, avec la salive, ça finissait par entrer tout seul. Kamel kiffait comme pas possible d'avoir ce jeune minet docile à sa disposition, avec sa gueule d'ange et son beau petit cul. Il sentait le plaisir monter mais il n'avait aucune envie d'éjaculer dans la bouche de Noah. Il passa donc à l'étape suivante.
En deux temps, trois mouvements, il bascula de manière à ce que Noah se retrouve à quatre pattes sur le lit et lui à genoux derrière lui. Il n'avait pas jugé utile de déshabiller Noah : son petit cul se trouvait juste devant lui et ça lui suffisait. Il voulait traiter Noah comme sa chose - il aurait bien l'occasion plus tard de faire ça différemment.
Noah n'a pas eu le temps de comprendre ce qui se passait. Les mains fermes de Kamel l'avaient pris et posé sans qu'il puisse réagir. Il sentit les doigts de Kamel entrer dans son cul et il trouvait ça excitant. Puis Kamel plaça son sexe à l'entrée et là, Noah commença à avoir un peu peur. Kamel força le passage.
Kamel : Détends-toi ! Le secret, c'est de se détendre.
Noah poussa un cri quand le sexe de Kamel fut entièrement entré. Kamel resta un instant immobile à l'intérieur. Le cul de Noah était vraiment délicieux, il en profita pour caresser ses fesses fermes et glisser ses mains sous son tee-shirt pour bien agripper ses hanches. Noah, à quatre pattes, la tête baissée, soufflait fort mais s'était détendu et ne donnait aucun signe de résistance.
Kamel : C'est bien, t'es une bonne meuf toi !
Kamel commença un va-et-vient, d'abord doux et lent, puis plus rapide. Noah encaissait sans rien dire. Il n'avait jamais rien vécu de pareil. Ca le brûlait et en même temps il sentait une excitation monter et des pics de plaisir quand Kamel touchait le fond. Il sentit Kamel accélérer le rythme jusqu'à le baiser assez violemment.
Puis Kamel s'allongea sur lui et le força à s'allonger également sur le lit. Il était encore en tt shirt, ses jambes étaient entravées par son short baissé sur ses genoux et il sentait le corps nu et lourd de Kamel sur lui, qui l'écrasait et l'étouffait. Kamel le tenait de manière à ce qu'il ne puisse plus bouger, tout en remuant les fesses pour continuer son mouvement de va-et-vient en lui. Noah n'était plus qu'une chose, il sentait le souffle de Kamel se son cou, son visage qui était tout prêt du sien, son bras droit qui s'était glissé sous son cou pour le serrer pendant que sa main gauche lui tenait le visage et avait glissé un doigt dans sa bouche. Ses bras à lui, Noah, étaient étendus le long de son corps sans qu'il ne puisse rien en faire.
Kamel : Putain je kiffe ! T'as un bon boule, bien chaud. Ah ça vient !!
Kamel accéléra encore son rythme, sans cesser de coller Noah de tout son corps, puis il donna de derniers coups de reins, pour plonger sa queue bien profondément. Noah sentit tout le corps de Kamel se raidir contre lui, sa queue entrer et le transpercer, le jus jaillir. Puis Kamel relâcha ses muscles et s'affala sur Noah. Noah avait du mal à respirer mais il ne demanda pas à Kamel se se pousser. Il sentait toujours son souffle chaud sur sa joue.
Puis Kamel reprit ses esprits. Il lui fit une petite bise sur la joue, se redressa, se rhabilla rapidement et mit ses chaussures.
Kamel : Demain 10h pour un entraînement à la salle, ça te va ? Bon, faut que je file, ma mère m'attend.
Puis il partit en laissant Noah toujours étendu sur le lit, sans force. Quand il finit par se relever, il se rendit compte qu'il avait mouillé ses draps : il avait éjaculé.
Marc-67
Autres histoires de l'auteur :