Saison précédente
Les potes de mon grand-frère
Ce qu'ils sont devenus
Désolé d'avoir mis si longtemps à écrire...
Vous vous souvenez peut-être de ce fameux week-end que je vous ai raconté il y a quelques mois, pendant lequel tout avait dérapé. Ce n'est pas fini, voici la suite !
Petit rappel des personnages :
Moi : Marc, 18ans, d'une beauté normale mais plutôt bien foutu et avec une copine,
Fred : 22ans, un très beau jeune homme d'origine italienne, mince, les cheveux brun, qui s'est montré particulièrement attiré par moi, à la fois actif et passif mais avec des tendances un peu étranges à la soumission,
Kamel : 22ans, un rebeu pas très grand, baraqué, plutôt dominateur et brutal, pas très beau de visage mais avec une grande force d'attraction
Et enfin Guy : un grand black de 1m90, mince, musclé, très viril mais beaucoup plus sensuel et doux que Kamel.
Ce drôle de week-end avait eu lieu vers la fin de l'année scolaire. Moi je venais de finir le lycée et les potes de mon frère étaient soient à la fac, soit en BTS. Nous avions tous fini les cours mais au lieu de nous rapprocher, ce week-end nous avait éloignés. Comme si nous avions tous un peu honte de ce qui s'était passé. Mon frère ne comprenait pas trop pourquoi ses amis avaient l'air de se faire la gueule mais il était trop occupé par sa petite amie pour s'interroger plus que ça. Quant à moi, même si tout ça m'avait très troublé, je m'étais dit que je devais me concentrer sur ma petite amie et oublier toutes ces histoires de mecs...
Et donc chacun des personnages a continué sa petite histoire de son côté.
Voici la première histoire, celle de Fred :
Il faut que je précise que Fred avait un petit frère de mon âge, Matteo. Je n'étais pas particulièrement proche de lui mais malgré tout, dans ces villages de campagne, tous les jeunes du même âge se connaissent depuis le primaire ou la maternelle. On se retrouvent parfois aux mêmes soirées, etc. Matteo faisait partie des bad boys du village : mauvaises notes et mauvais coups (et avec un caractère beaucoup plus trempé que son grand-frère !). Il était très beau. Contrairement à son frère, il était complètement imberbe, il n'avait même pas encore de poil au menton malgré ses cheveux très noirs. A l'inverse de son frère, il avait un côté beaucoup plus dur et décidé - un vrai petit caïd. Mais il n'était pas méchant et je n'avais rien contre lui.
Un après-midi de début juillet, je me suis retrouvé à traîner avec Matteo et d'autres du village. Une partie du groupe est partie et on s'est retrouvé à trois : Matteo, Yann et moi. Yann, c'était un pote qui nous connaissait tous les deux, bien foutu mais d'une beauté assez quelconque, je dois dire. Sa particularité était d'être le boute en train de service, celui qui ne dit que des conneries, des jeux de mots à deux balles, qui n'est jamais sérieux. Matteo nous a proposé d'aller chez lui pour jouer à des jeux vidéos. J'ai tout de suite commencé à stresser à l'idée de retrouver Fred même si Matteo raconta que Fred était parti faire un tour en VTT et la maison était vide. Je n'étais qu'à moitié rassuré mais je pouvais difficilement refuser de les suivre sans que ça paraisse bizarre. Chez Matteo, j'avais du mal à me concentrer. Je sursautais au moindre bruit en pensant que c'était Fred qui rentrait. Je ne voulais surtout pas le voir mais en même temps, j'était terriblement excité par la situation. Je bandais et j'avais peur que les deux autres le voient. J'en venais à regarder Matteo avec un regard différent, en me demandant si j'aimerais aussi coucher avec lui ou pas, puis en rejetant ces idées avec force.
J'ai fini par prétexter je ne sais plus quelle excuse pour quitter Matteo et Yann. Comme on le fait à cet âge, ils m'ont dit salut sans quitter leur partie et je suis descendu seul vers la sortie.
C'est évidemment à ce moment que je me suis retrouvé face à celui que je cherchais à éviter : Fred. Il remontait de la cave où il avait rangé son VTT : il était en short très moulant en lycra et tee-shirt, les cheveux collés au front par la sueur séchée, les jambes et les habits recouverts de giclées de boues. Bref, complètement crade et sexy comme jamais. Il fut un peu surpris de me voir, puis il comprit que j'étais avec Matteo. Je me suis faufilé sur le côté en disant " Faut que je file, tchao ! " mais lui m'a attrapé par le bras.
Fred : Non, attends !
Moi : Quoi ? Qu'est-ce que tu veux ?
Fred : On peut discuter, non ?
Moi : Discuter de quoi ? Tu veux me sucer ?
Fred : Pourquoi pas ? A-t-il ajouté avec un sourire pour essayer de détendre l'atmosphère.
Il s'est approché de moi et a commencé à me caresser le visage.
Fred : - Sérieusement, tu voudrais pas qu'on recommence ?
Moi : - Quoi t'es pédé ou quoi ? Lâche-moi !
Fred : Chut ! Moins fort ou Matteo va nous entendre.
Il avait raison. Je me suis tu aussitôt. Fred a compris qu'il avait un avantage sur moi. Lui non plus ne voulait pas qu'on nous entende, mais il a essayé de m'embrasser sur la bouche tout en me tenant fermement par le bras. Je ne pouvais ni crier ni faire de mouvement brusque si je ne voulais pas que Matteo et Yann nous entendent. Je me débattais mais il m'avait coincé contre un mur. Je sentais l'odeur très forte de sa sueur. Il essayait d'atteindre ma bouche mais je tournais la tête et il m'embrassait dans le cou. Il me tenait fortement par une main et il a approché cette main de son short en la frottant à sa queue : je sentais à travers le nylon qu'il bandait déjà à moitié.
Fred : Ca fait deux jours que je me suis pas branlé. Je suis trop en manque là.
Moi : T'es fou ! et ton frère qui est en haut ?
Fred : Bon, d'accord, fais ce que tu veux. Si tu veux partir, tu peux y aller.
Il m'a lâché : je pouvais partir si je voulais. Je me suis reculé, on s'est retrouvé face à face. Il était sale, il puait la sueur - mais il était beau. Qu'est-ce qu'il était beau ! Il avait une énorme bosse au niveau de l'entrejambe. Est-ce que je voulais vraiment partir ? Mais est-ce je pouvais rester avec Matteo et Yann à l'étage ? Je ne me suis pas approché de lui mais j'ai tendu ma main pour caresser sa queue. Le lycra était tellement moulant que je pouvais sentir ses couilles, sa queue, son gland qui grossissait. Puis j'ai sorti sa queue de son short. Ce n'était pas évident parce que le short était vraiment moulant. La queue était moite de sueur elle aussi, et déjà plus qu'à demi-molle. Je l'ai soupesée, je l'ai caressée jusqu'à ce qu'elle devienne bien dure. Fred me regardait faire. Je trouvais ça très excitant, de juste jouer avec sa queue sans le déshabiller, de la voir avec sa queue sortant de son short, avec ses traces de boue un peu partout sur les jambes et le corps. Fred ne bougeait pas, il me laissait faire mais je sentais qu'il appréciait mes caresses.
J'ai fini par m'approcher et on allait s'embrasser sur la bouche quand on a entendu du bruit venant d'en haut : c'était Yann et Matteo qui sortaient de la chambre. Pas le temps de réfléchir : on s'est précipités dans la cuisine et on a fermé la porte le plus silencieusement possible.
Matteo raccompagnait Yann à la sortie. Arrivés en bas de l'escalier, ils se sont mis à discuter sur la partie qu'ils venaient de jouer et ils n'étaient pas d'accord sur la stratégie qu'il aurait fallu adopter. Fred et moi on était collés à la porte pour deviner leurs mouvements - et Fred en profitait pour se mettre contre moi. Il n'avait pas rentré sa bite et je la sentais contre mes fesses. Comme les deux autres semblaient bien partis dans leur discussion, je me suis retourné et j'ai embrassé Fred sur la bouche.
On s'est déplacés sur le côté pour ne pas faire de bruit contre la porte : moi adossé contre le mur et Fred contre moi. Tout en nous embrassant sur la bouche, j'ai fait tomber son short et son slip sur ses chevilles : je sentais sa queue frotter contre mon short et je pouvais caresser ses fesses sous son tee-shirt. Puis je l'ai repoussé, j'ai échangé nos places pour qu'il soit lui contre le mur, je me suis agenouillé et j'ai pris sa queue dans ma bouche. Elle était pas super propre mais je m'en foutais : l'excitation venait à la fois de la situation (faire ça en silence avec son frère dans la pièce d'à côté) et de l'état de Fred (en sueur et avec de la boue partout). Je me suis rendu compte que ça m'avait manqué : je couchais de temps en temps avec ma copine mais le sexe entre mec, c'était pas du tout la même chose. Fred m'avait pris par la tête : il était déjà en train de venir !
C'est à ce moment-là que Matteo est entré dans la cuisine. Il ne savait pas qu'on était là et il s'est arrêté en nous regardant. Je me suis interrompu. Mais Fred était dans sa lancée, il ne pouvait plus s'arrêter et puisque je ne bougeais plus la tête et il m'a agrippé la tête pour me baiser la bouche : j'ai senti le sperme jailli dans ma gorge, Fred ne pouvait plus s'arrêter - et il y en avait vraiment beaucoup. J'ai réussi à me dégager et à recracher le sperme de ma bouche. Il y a eu encore un jet ou deux qui m'ont jailli sur le visage.
Matteo avait tout vu. La seule chose qu'il a trouvée à dire, c'est :
- Putain les mecs, vous foutez quoi ?
Marc-67
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