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Fred
Encore merci à tous pour vos retours.
La majorité a tranché pour la suite des aventures de Fred, Mattéo et moi. La voici !
Matteo venait d'entrer dans la cuisine, Fred de me gicler au visage et moi, je tenais encore dans ma main sa queue (qui débanda assez rapidement).
Il y eut un long silence, personne ne savait comment réagir. Fred finit par ranger sa queue dans son short en lycra. Mattéo répétait :
Si je m'attendais à ça ! Vous êtes pédés alors ? Vous faites ça depuis longtemps ?
Fred : C'est compliqué...
Mattéo ne semblait pas l'avoir mal pris. Il était surtout très surpris et ne comprenait pas ce qui se passait :
- Y'a quoi exactement entre vous ? C'est juste du sexe ? Vous faites ça avec d'autres ? Vous sortez ensemble ou un truc du genre ?
Finalement, nous nous sommes posés sur le canapé du salon, avec du whisky-coca, histoire de nous détendre un peu. C'est comme ça que j'ai appris que leurs parents ne rentreraient pas avant le lendemain soir. On a un peu picolé - surtout Fred et moi pour nous donner du courage face à Mattéo. Nous avons fini par lui raconter que nous ne sortions pas ensemble, que nous avions juste commencé à faire des trucs lors du week-end que Fred avait passé chez moi avec mon frère. Mais dans notre version, il n'y avait que nous deux : nous n'avons pas raconté tout ce qui s'était passé avec Guy et Kamel.
Mattéo était sur le cul : il n'en revenait pas que deux mecs puissent faire des trucs comme ça sans être vraiment des " pédés " (c'est-à-dire ce qu'il imaginait être des pédés). Ca le faisait marrer. J'étais soulagé qu'il prenne ça sur ce ton là, mais en même temps, je le trouvais un peu trop à l'aise et je trouvais que Fred, qui était pourtant le grand frère, répondait un peu trop docilement à toutes ses questions.
Je me retrouvais donc au milieu des deux frères :
- Mattéo, de mon âge, un peu plus petit que moi, plutôt musclé, avec un peu un visage un peu carré, avec la peau très matte, une épaisse tignasse de cheveux noirs assez raides et deux très beaux yeux noirs.
- Fred, qui avait quatre ans de plus que nous, très différent de son frère : plus grand, plus fin, plus clair, avec des cheveux bruns un peu ondulés.
Mattéo (à son frère) : - Mais y'a que Marc qui te suce ? Ou est-ce que tu les suces aussi ?
Fred : Ben, la nuit chez son frère, je l'ai aussi sucé, ouais...
Mattéo : - Ah ouais donc c'est un peu chacun son tour c'est ça ?
Fred : Y'a pas de règle, c'est selon nos envies j'imagine.
Mattéo : Mais là, Marc, t'as pas envie ? Parce que tu as sucé mon frangin, mais lui, il a pas eu le temps de te sucer j'imagine ?
Moi : Nan mais c'est bon, on peut peut-être parler d'autre chose...
Mattéo : J'ai le droit de me renseigner non ? Déjà que vous faites vos trucs dans la cuisine pendant que je suis juste à côté avec mon pote... C'est la moindre des choses de m'expliquer !
J'attendais que Fred lui dise de la fermer - après tout, c'était Fred le grand-frère - mais non, Fred ne disait rien.
Moi : Tu veux savoir quoi ?
Mattéo : Si j'avais pas été là, après l'avoir sucé, il t'aurait sucé ?
Moi : Je sais pas, peut-être ouais...
Mattéo : Mais Fred, tu veux pas le sucer là ?
Fred : Qu'est-ce que tu racontes ?
Mattéo : Toi tu te fais sucer, tu lui justes dessus et tout, et tu le suces pas en retour ? J'y connais rien à vos trucs de pédés mais ça me paraît pas très cool quand même.
Moi : Nan mais c'est bon, on n'est pas des bêtes non plus.
Matteo : C'est à Fred que je parle ! Toi t'es l'invité. Franchement Fred, t'es pas cool je trouve.
Fred : Nan mais c'est bon, je vais pas le sucer là devant toi !
Matteo : Pourquoi pas ! Je viens de voir ta queue dans la bouche de Marc, alors pourquoi pas l'inverse ? Au point où on en est...
Je n'avais jamais été très proche de Mattéo et la manière dont il se comportait me rappelait ce que j'aimais pas chez lui : même avec les profs, il était toujours dans la provocation. Dès qu'il y avait une limite, il la franchissait, dès qu'un prof disait une règle, il l'outrepassait - au point d'être souvent assez lourd, voire insupportable. Et quand on s'opposait à lui, il pouvait devenir violent. Face à lui, Fred se comportait mollement. Mon frère ne m'aurait jamais laissé lui parler comme ça !
L'idée de me faire sucer devant Mattéo me paraissait bizarre et pas très saine mais, l'alcool aidant, je me disais que moi je n'en avais rien à faire. Après tout, c'était Fred que ça regardait. Pourquoi est-ce que moi je me prendrais la tête ? Je finis par me mettre du côté de Mattéo, juste pour me moquer de Fred et pour le provoquer.
Moi : Ben ouais Fred, pourquoi tu me suces pas ? T'étais bien content que je me m'occupe de toi avant et moi tu me laisses en plan ?
En disant ça, j'avais mis ma main sur mon paquet - et c'est vrai que j'étais bien chaud même si je ne m'en étais pas rendu compte. A ma grande stupeur, Fred s'est agenouillé devant moi.
Fred : Vous faites chier les mecs !
J'ai eu envie de lui dire : " Qu'est-ce que tu fais ! Tu n'as donc rien compris ? Tu vas te laisser ridiculiser par ton petit frère ? " Mais je n'ai rien dit. Je l'ai laissé faire. Il s'est donc mis à genoux sur le sol devant moi et a posé ses mains sur mes cuisses.
Mattéo : Oh putain ! Il va le faire ! Trop chelou la scène.
Fred : Bon je fais quoi alors ?
Moi : Ben vas-y ! Montre ce que tu sais faire. Au point où tu en es, tu peux aller jusqu'au bout.
J'ai dit ça du ton le plus dur que je pouvais, presque méprisant. Je l'ai pris par les cheveux et j'ai collé son visage contre ma queue qui, malgré le tissu du short, se mit aussitôt à grossier. Mattéo se trouvait juste à côté de moi, il regardait la scène avec un drôle de sourire. Ca le faisait marrer et en même temps il devait se demander s'il n'était pas aller trop loin. Mais voir son grand frère aux pieds d'un pote de son âge devait le faire kiffer.
Je finis par sortir ma queue encore demi-molle du short et du boxer. Fred la prit aussitôt en bouche. J'avais beau être assez déconcentré par toute la scène, sentir ma queue dans sa bouche chaude, tout en caressant ses cheveux, ça me fit de l'effet et en quelques secondes, je fus en érection complète.
Mattéo : He ben, belle queue !
Moi : Merci !
Mattéo : Alors, il suce bien mon frère ?
Moi : Comme un dieu ! Il s'y prend super bien et il a une très grande bouche. Tu devrais essayer !
Mattéo : T'es ouf toi ! Je préfère les meufs de toute façon.
Je faisais exprès de discuter avec Mattéo en ignorant Fred qui me suçait - comme si Fred était une sorte de lope à mon service pendant que je discutais et bivais mon verre de whisky-coca. Fred me suçait consciencieusement, en prenant garde à ne pas lever les yeux pour ne pas croiser le regard de son frère. Mattéo, lui, observait au contraire la scène avec beaucoup d'attention.
Mattéo : Putain, mon frère est une suceuse, j'en reviens pas ! Vas-y, suce bien mon pote !
En disant ça, il s'était avancé sur le rebord du canapé et avait saisi Fred par les cheveux pour accélérer son mouvement de va-et-vient. Fred fit " mmh, mmh ! " et tenta d'écarter le bras de Mattéo puis finit par se laisser faire. La scène était complètement dingue : Fred, encore crade de son tour en vélo, qui me suçait (alors que j'étais encore habillé, il n'y avait que ma queue et mes couilles qui sortaient du short), pendant que son petit frère était juste à côté, avec son verre dans un main, et dans l'autre la tête de son frère pour guider son mouvement.
Je voyais bien qu'il était super excité. Il essayait de réajuster sa queue mais son short pouvait difficilement cacher son érection.
J'ai lancé à Mattéo :
- Te gêne pas, sors ta queue. La pauvre, elle doit être toute compressée ! Et puis y'a pas de raison que tu te fasses pas sucer toi-aussi.
Il a dit :
- Tu crois ? J'ai jamais fait ça moi. Mais après tout t'as peut-être raison, pourquoi se gêner.
Il a posé son verre et il a laché Fred pour se lever et enlever entièrement son short. Il avait de belles jambes musclées, assez poilues, et une belle queue - plus petite que le mienne, mais bien droite également et bien épaisse, avec un gros gland qui sortait déjà un peu du prépuce, avec deux couilles bien fermes et une épaisse touffe de poils par-dessus.
Fred s'était arrêté de me sucer pour regarder ce qui se passait. Et c'est là qu'il y a eu le grand malentendu : en disant ça, j'avais pensé que moi, j'aurais pu sucer Mattéo. Mais lui, il a compris ça différemment. Il a sorti à son frère :
- Alors, comment tu la trouves, la queue de ton petit-frère ? Tu veux la voir de plus près ?
Fred : Ouais, c'est ça, dans tes rêves.
Fred s'apprêtait à retourner s'occuper de ma queue mais Mattéo l'a pris par les cheveux.
Mattéo : - Ah nan, y'a pas de raison, regarde dans quel état je suis. Faut s'occuper de moi maintenant !
J'aurais dû intervenir, j'aurais dû me proposer, dire que je pouvais très bien sucer Mattéo pendant que Fred me suçait - et c'est vrai que j'aurais volontiers sucé cette belle queue de 18ans. Mais je n'ai rien dit, je les ai laissés se débrouiller entre eux, je me disais que c'était une histoire de famille dont je ne devais pas me mêler. Et je voulais voir jusqu'où Fred serait prêt à aller.
Fred a résisté mais Mattéo a insisté et a fourré sa queue d'un coup dans la bouche de Fred. Fred a bien dû ouvrir sa bouche en grand pour la laisser passer.
Mattéo : Allez vas-y, suce ! Occupe-toi de ton petit frère !
Mattéo avait un côté plus brutal : il imposait à Fred son rythme à lui en le tenant par les cheveux et en bougeant sa tête en avant et en arrière. Je pouvais voir la queue bien bandée de fred sous son short en lycra. Matteo me lança :
Putain t'as raison ! Ca fait du bien, c'est tout chaud ! Attends j'ai une meilleure idée. (à Fred) Bouge, toi !
Il repoussa Fred, enleva également son t-shirt - ce qui fit qu'il se retrouva entièrement à poil alors que Fred et moi étions restés habillés (il avait un très beau torse, mais entièrement imberbe) - et il s'assit à côté de moi et reprit son verre de whisky-coca.
Mattéo : Ah, on n'est pas bien là ? Alors Fred, tu t'occupes de nous ou quoi ?
Fred, à genous devant nous deux, ne savait pas quoi faire. Je lui fis un petit signe de tête et il se mit entre mes jambes et s'occupa de moi à nouveau.
Mattéo : C'est tranquille d'avoir un grand-frère qui s'occupe de nous !
D'une main, je caressais la tête de Fred. Pendant ce temps, j'admirais le beau corps de Mattéo. Je l'aurais bien embrassé sur la bouche mais j'avais peur de sa réaction. En revanche, je pouvais m'intéresser à sa queue tout en restant dans son trip de " potes qui se font sucer ".
Moi : T'as une belle queue aussi ! Je peux toucher ?
Mattéo : Fais-toi plaisir !
Il s'allongea un peu plus sur le canapé et écarta les jambes. J'ai tendu le bras et j'ai commencé à caresser sa queue, à soupeser ses couilles, à jouer avec tout son attirail. Il soupirait d'aise. Sa queue était douce et chaude, j'aimais beaucoup la caresser. Je me mis même à la branler un petit peu, histoire de la maintenir bien raide.
Mais Fred ne cessait pas de me sucer et je sentis que ça venait.
Moi : Je vais venir !
Mattéo : Déjà ?
Mattéo se redressa pour regarder le spectacle. Je retirais la tête de Fred pour pouvoir me branler plus rapidement. je jouis très rapidement : plusieurs jets qui giclèrent sur mon tee-shirt puis le gros du jus qui coula sur ma main, juste devant le visage de Fred. Fred trouva des mouchoirs qui traînaient et je pus m'essuyer.
Matteo s'adressa alors à Fred :
- Bon, maintenant que c'est fait, n'oublie pas ton petit frère !
Après une hésitation, avec une moue un peu contrite, mais sans un mot, Fred se déplaça pour se mettre entre les jambes de Mattéo et pour recommencer à le sucer. Je finis de m'essuyer puis je me suis tourné pour admirer le spectacle : Fred en train de sucer son petit frère tout nu. Je pense qu'il essayait de finir ça le plus rapidement possible car il y mettait beaucoup d'ardeur, en alternant pipe et masturbation vigoureuse. Mattéo appréciait, il reposa sa tête en arrière et ferma les yeux pour profiter des sensations.
J'étais juste à côté. J'ai tenté de le caresser pour voir sa réaction : il me laissa faire, il était déjà parti. Je pus alors un peu caresser son torse et son ventre. Je titillai un peu ses tétons, ce qui le fit tressaillir encore un peu plus. Il avait glissé une main derrière mon dos et il m'avait agrippé au niveau de la hanche et je sentais sa poigne qui se serrait à chaque regain de sensation. Je me suis approché tout contre lui, j'ai approché ma tête de la sienne.
Moi : Alors ? Ca fait du bien ?
Mattéo (sans ouvrir les yeux) : c'est géant !
Il y a peu de choses plus excitante qu'un corps d'éphèbe alangui devant vous, presque abandonné, les yeux fermé. Il avait posé son verre depuis longtemps et il tenait d'une main Fred par la nuque. Je n'ai pas pu m'empêcher de me pencher encore un peu plus pour le lécher dans le cou et mordiller son oreille - il réagit et sa main derrière mon dos se releva pour me prendre par le cou et m'inciter à continuer.
Il se mit à répéter : Ca vient, ça vient, oh je sens que ça vient !
Pris dans le feu de l'action, je l'embrassais sur la bouche et il me rendit mon baiser sans aucune hésitation. En même temps, il jouit et il empêcha Fred de partir ce qui fit que le grand frère avala tout le jus.
Puis il relâcha tous ses muscles, il arrêta de m'embrasser et il s'avachit sur le canapé - il reprenait ses esprits et ne cessait de répéter :
- Oh putain, oh putain.
Fred se leva pour aller à la cuisine - se rincer la bouche j'imagine. Je me suis retrouvé un petit moment seul avec Matteo. Sa bite ramollissait peu à peu, avec encore quelques à-coups. Je lui caressais encore un peu machinalement le torse mais je compris que je devais arrêter.
Puis il se redressa brusquement, comme s'il venait de se réveiller.
Mattéo : Hé ben ça c'est de la pipe ! Si on m'avait dit ça de mon grand frère. Bon, il est tard, moi je vais me coucher.
Et il se leva, entièrement à poil, et monta à l'étage sans même prendre ses habits qui traînaient par terre. Fred réapparut de la cuisine. Il me regarda avec un air gêné, en silence, puis il dit :
- Bon, moi faut que je prenne une douche, je me suis toujours pas lavé.
Et il monta à l'étage.
Et moi, je me suis retrouvé comme un con, tout seul, la queue encore à l'air, sans savoir si je devais rester, rentrer chez moi sans leur dire au revoir ni rien.
Marc-67
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