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Domination par Stéphane
mon futur mari
Voici de nouveaux textes. J'ai été absent longtemps, merci pour vos messages. J'étais à l'étranger pour ma société. Merci de votre compréhension. Pat
Vendredi je me réveille tôt et je décide d'aller courir, ça va m'aérer la tête et j'en ai besoin. En sortant du lit, je réveille malencontreusement Jona. Il comprend que je vais courir et viens avec moi. Tout compte fait ça ne peut pas lui faire de tort non plus. Nous sommes allées courir une heure et demi avant de rentrer et de passer sous la douche. Rose venait d'arriver et de préparer le café.
Rose : Vous êtes fous d'aller courir dans le noir comme ça. Il est 7h00 du matin et si monsieur l'avait vu ?
Moi : Ecoutez Rose, j'en ai besoin et ce que pense Stéphane à ce sujet je m'en fous.
Stéphane : Je te demande pardon ?
Moi : Tu es là ?
Stéphane : Oui ! Viens ici !
J'ai pris une gifle magistrale mais je n'ai pas bougé d'un centimètre. Il a voulu m'en mettre une autre mais je l'ai stoppé par une clef de bras. Merci Marc et les cours de self défense.
Moi : Tu vas te calmer et fissa ! Je suis allé courir comme j'en ai l'habitude et je n'étais pas seul. Jona était avec moi et les cours de self défense commencent à porter leurs fruits. A partir de ce jour je te défends de lever la main sur moi ou je te rendrais la pareille. Je veux bien t'être soumis, pas battu. C'est la dernière fois que je te le dit. Dorénavant je te rendrais coup pour coup en cas de non punition. Je suis clair ?
Stéphane : Lâches-moi !
Je l'ai lâché mais il n'a pas compris et a voulu recommencer. En ayant marre, je l'ai étalé d'un coup de poing. Le tout sous les yeux de Rose qui avait Jona dans ses bras. Quand j'ai vu le petit, je me suis calmé direct, j'ai ramassé Stéphane à moitié sonné et je l'ai porté dans la salle de bain. Je l'ai mis sous la douche et j'ai fait couler l'eau froide.
Stéphane : Ah c'est froid arrêtes !
Moi : Tu as compris maintenant ? Tu m'avais promis de consulter pour ta violence, tu ne l'a pas encore fait ! Dorénavant, quand j'accepterais d'être puni tu pourras mais sinon il t'en coutera et ce devant tout le monde au besoin. Je suis clair ?
Stéphane : Oui.
Moi : Oui qui ?
Stéphane : Oui mon homme.
Je l'ai ensuite lavé et nous avons mis nos costumes de travail. Le déjeuner s'est fait dans un silence de mort. Désiré m'a conduit au bureau et a ensuite ramené Jona au club. C'est le petit qui a désiré rentrer chez lui et recommencer à travailler. Felipe est venu travailler en moto. Il a voulu une explication à propos de notre dispute.
Moi : J'aime Stéphane mais hier, il m'a détruit moralement et a été très dur avec moi. Ce matin, je suis allé courir avec Jona et à mon retour, je me suis pris la gifle de trop. Je veux bien lui être soumis mais battu c'est fini ! Il m'a détruit une fois le dos et si je le laisse faire, il ira encore trop loin. Il m'avait promis de suivre une thérapie pour sa violence. Il ne l'a toujours pas fait. Je ne me suis pas laissé faire.
Felipe : Toi tu vas finir au donjon ce soir.
Moi : Possible, je lui appartiens mais je ne supporte plus qu'il me frappe pour passer sa colère. J'ai entendu qu'il n'y a pas été de main morte avec toi cette nuit.
Felipe : Oui. Mon maître m'a fait comprendre une nouvelle fois que mon corps lui appartenait. Il m'a torturé et baisé. Il m'a doublement sodomisé avec le plus gros gode. Après cette séance, il m'a fait dormir à ses pieds, attaché et bâillonné pour la nuit. Il m'a tout de même mis de la crème sur le cul.
Nous sommes interrompus par Claudia qui arrive avec un énorme bouquet de fleur pour moi. Est-ce que j'ai une tête à recevoir des fleurs ? Ils me laissent tous les deux. J'ouvre le bouquet et je vois à l'intérieur une boite et un mot de mon homme.
" Mon coeur, je t'aime et je suis désolé pour ce matin. J'ai pris rendez-vous pour ma violence. Tu m'appartiens corps et âme, je le sais. Je suis dur avec toi, c'est pour ton bien mais tu as raison, je ne dois pas te battre. Pardonnes-moi encore. Je sais que tu ne veux pas que je te fasse des cadeaux en permanence mais je ne sais pas quoi faire d'autre pour me faire pardonner. Je t'aime ".
J'ouvre la boite, elle contient un collier en argent, il se ferme par deux petites menottes. Je l'avais vu, ça vient de chez Christian. A mon avis il a discuté avec lui. En principe je ne devrais pas accepter son cadeau, je suis toujours furieux contre lui mais je l'aime. Je lui envoie un SMS.
SMS " Je t'aime "
A midi je suis allé faire mon sport avec Felipe. Celui-ci a refusé les avances de Marc, ce qui est étonnant. Felipe me voit et s'aperçoit de mon regard surpris.
Felipe : J'appartiens comme toi à Stéphane et mon cul n'est plus que pour lui sauf s'il m'autorise et comme il n'est pas là....
Ah oui d'accord, il l'a vraiment formaté sur deux jours mon homme. Je sens bien que ça va être mon tour dans les prochains jours. Désiré s'est entraîné aussi et à ma grande surprise, nous avons vu Olivier arriver. Il a décidé de changer de club. Sûrement pour surveiller Désiré qui, une fois qu'il l'a vu, n'en mène pas large. Olivier viens me saluer.
Olivier : Bonjour Pat, il se tient à carreaux au moins ?
Moi : Désiré travaille pour Stéphane donc, interdiction de baise. Je dois dire qu'il est très professionnel de ce côté-là. Je lui ai décroché trois nouvelles séances photos pour trois campagnes de publicité mais il ne le sait pas encore. Mais dis-moi, comment arrives-tu à le dominer comme ça ?
Olivier : Je ne le domine pas, j'ai juste fixé des règles qu'il ne doit pas dépasser s'il veut me garder. Je sais que ça lui tombe très dur de travailler avec toi et de ne pas pouvoir profiter de toi. Je me demande seulement combien de temps il va tenir.
Felipe : Tu es un sadique.
Olivier : Possessif plutôt. Bon je vais m'entraîner un peu avec lui. Il faut dire que par moment dans la journée il me manque.
Felipe : Tu en est amoureux, c'est normal.
Nous finissons de nous entraîner, douche, une salade à emporter pour moi car j'ai une faim de loup et retour au bureau. J'ai travaillé jusque 17h30. C'est Désiré qui m'a stoppé car il devait être au bar de Sven pour 18h30. Il m'a jeté carrément devant la porte de la maison et est reparti avec ma voiture une fois de plus. Mon homme m'attend sur le pas de la porte et il voit bien que ça m'énerve mais ne me fait pas de remarque. Je prends une douche et me met en beauté pour la soirée. Mon homme lui est dans son bureau. Je vais nous chercher un apéritif et vais le retrouver.
Stéphane : Merci.
Moi : Quel accueil !
Stéphane : Excuses-moi mais je suis dans mes comptes et il me manque de l'argent.
Moi : Sur quel compte ?
Stéphane : Le privé.
Moi : Combien ?
Stéphane : 87000 €
Moi : C'est normal. C'est Francis qui a pris cet argent pour payer les vacances du mois de juillet. Il faut que je te reverse deux tiers. J'ai demandé à Louis de le faire il y deux jours déjà.
Stéphane : Le problème c'est que je ne vois pas de trace du mouvement sur mon compte.
Moi : A mon avis c'est parce que ça vient de se faire. Il y a peut-être un décalage.
Stéphane : Par contre, tes comptes, eux, se portent très bien. Ton salaire plus tes primes et les ventes de voitures. Tu engranges mon homme.
Moi : Oui je sais. Louis m'a envoyé une situation ce matin. Il voudrait en placer une partie.
Stéphane : Laisses-le faire.
Moi : C'est mon intention.
C'est à ce moment-là qu'il lève le nez de son ordinateur et qu'il voit ma tenue.
Stéphane : Tu es magnifique dans cette tenue. J'ai envie de toi là, tout de suite.
Je me suis approché de lui et je me suis mis à genoux. J'ai ouvert son pantalon et je l'ai descendu avec son boxer. Au passage, j'ai pris une gifle de ses 27 cm. J'ai commencé à lui lécher le gland comme je sais qu'il aime, ensuite je suis mis à le sucer de plus en plus profond. Ma position ne me permet pas de le prendre à fond, de plus, j'ai un peu mal à la gorge et ce n'est pas le moment d'irriter un peu plus celle-ci. Il m'a attrapé la tête avec ses mains et a imprimé le rythme à ma fellation. Au bout d'un moment, il m'a relevé et plié en deux sur le bureau. Il a descendu le Zip arrière de mon pantalon, le petit plug qui ne me quitte plus et avec juste un peu de salive, il m'a pénétré d'une traite. J'ai poussé un petit cri de douleur. A chaque fois qu'il me pénètre comme ça il me faut toujours deux minutes pour que ma rondelle l'accepte. Il m'a défoncé me traitant de salope, d'allumeuse, de chienne à son maître. Je lui ai envoyé que j'étais à lui, son soumis, que mon cul n'était que pour lui et que je l'aimais à en crevé. Il a fini par jouir bien enfoncé au fond de moi et moi j'ai joui dans mon pantalon. Il s'est retiré et je lui ai nettoyé sa queue comme il aime. Je me suis relevé et ai voulu me rendre à la salle de bain pour me nettoyer mais il m'a retenu par le bras.
Stéphane : Non, attends. A partir d'aujourd'hui, je veux que tu gardes mon jus et que ton corps l'absorbe. Celui des autres, je m'en fou mais je veux que tu gardes le mien.
Moi : Bien mon homme. Mon maître.
Stéphane me replace le petit plug en douceur et d'une tape sur le cul il m'a envoyé me nettoyer et me changer.
Nous avons repris un apéritif avec Felipe qui me semblait fort fatigué.
Moi : Ça va ?
Felipe : Je suis sur les rotules. J'ai été voir le petit après le travail, il m'a vidé les couilles comme un vorace en manque. Pourtant il a reçu sa dose de tout le monde cette semaine.
Stéphane : Va falloir le contrôler le petit. Il devient accro.
Moi : Il a surtout besoin d'affection pour le moment. Il doit sûrement avoir envie de se changer les idées mais je dois reconnaître que la queue de ses mecs n'est pas le bon dérivatif quoique.
Stéphane : Que veux-tu dire ?
Moi : Simplement que j'aime aussi qu'on me fasse l'amour quand je n'ai pas le moral.
Stéphane : Ouais bon passons, je vais faire comme si je n'avais rien entendu.
Nous avons mangé le repas concocté par Rose et ensuite nous sommes allés nous coucher. Mon homme a retiré mon plug et a planté son membre en moi pour la nuit.
Pattlg
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