Épisode précédent
Grace au calendrier des pompiers j'ai fait une heureuse rencontre. Je m'appelle Ludovic, j'ai 20 ans, et mon plus grand plaisir est de me vêtir en belle femme provocante le dimanche. Je fais toutes mes courses le samedi, et tôt le dimanche matin, dans mon petit appart, je deviens femme.
Je passe un très grand moment devant la glace. J'ai du mal à me reconnaître. Mais voila qu'un dimanche matin de décembre, quelqu'un sonna à ma porte, comme je n'attendais personne je regardais par le judas et je vis un pompier avec ses calendriers. J'ai tenté la chance qu'il me prenne pour une vraie femme, j'ai ouvert.
J'étais vêtu d'un ensemble d'intérieur d'un bleu pastel, sous lequel j'avais mis une guêpière bien garnie, des bas noire, et j'avais aux pieds de jolies petites mules en satin ornées de fourrure blanche. Ma perruque brune, mes longs cils, et mon maquillage, faisaient de moi, à mon avis, une nana tout à fait 'mettable' comme dirait quelqu'un que je connais très bien.
Je fis donc entrer mon pompier et je l'invitai à me suivre jusqu'au salon pour me donner le temps de chercher un billet. C'était un beau mec, grand, mais un peu timide. Je lui offris de s'asseoir deux minutes, ce qu'il fit en me disant merci madame.
J'étais flatté, il me prenait pour une vraie femme. Quand je lui ai donné le billet, il a regardé mes mains, et aussitôt ses yeux se sont plantés dans les miens. J'ai senti une petite gêne, mais rien de grave. Quand je l'ai raccompagné à la porte, il m'a dit ''au revoir madame à bientôt''. Le bientôt m'a surpris, mais je retournai à mes occupations de femme d'intérieur avec plaisir en oubliant le pompier et son air surpris.
Je fais tout un tas de manière lorsque je me retrouve seul chez moi, je me commande, je me parle, et je m'appelle Lydie, en souvenir de ma première expérience sexuelle avec une femme. Je ne sors pas encore de chez moi, mais je pense que je serais bientôt prêt à affronter les passants dans la rue, habillé en femme du monde. Je suis assez grand et bien fait, je suis pratiquement imberbe, j'ai un teint laiteux qui prend très bien le maquillage, et pour finir une démarche très souple qui me permet de porter des talons. Un soir, vers 10 heures, on sonna à ma porte. Pensant que c'était un collègue de travail, j'ouvris sans méfiance.
C'était mon pompier qui passait me dire bonsoir. Sur le coup je me suis senti piégé, mais je me suis vite ressaisi en lui demandant à qui j'avais l'honneur.
Je suis venu dimanche dernier pour le calendrier des pompiers, mais c'était une dame qui m'a reçu.
Et alors ?
Je lui avais promis de revenir lui dire bonjours.
Elle n'est pas là en ce moment mais si vous voulez attendre dans le salon, elle sera ici dans dix minutes au plus.
Je lui proposai un café, et aussitôt je m'éclipsai dans ma chambre pour me transformer en femme fatale. Dix minutes plus tard, je faisais claquer la porte d'entrée et arrivai dans le salon.
Tiens, bonsoir, qu'est-ce qui vous amène ?
J'avais envie de vous revoir, alors me voila !
C'est gentil jeune homme, je suis très flatté d'avoir fait aussi forte impression sur un bel homme comme vous.
Je m'appelle Lydie et vous ?
Gildas, j'ai 22 ans et suis très timide.
Tiens, ce n'est pas commun comme prénom.
Alors jeune homme, raconte-moi ce qui te plait chez moi.
Je ne pourrais le définir, mais je sais que j'ai eu envie de vous dés que je vous ai vue, et pourtant, je suis sur que je ne suis pas attiré par les femmes. Je suis très amoureux d'un homme, mais il ne s'en doute même pas, en plus il est toujours avec des femmes.
Je me suis installé à coté de lui sur le canapé, j'ai posé ma main sur son genoux, je l'ai senti tressaillir.
Puis continuant mon approche j'ai pris sa tête entre mes deux mains, et ses lèvres. Il était très docile, il m'a rendu le baiser avec fougue, puis ses mains sont parties à la rencontre de mon sexe. Je ne savais plus quoi faire, et pour faire entracte je lui ai demandé de se déshabiller, que j'allais en faire autant, mais qu'il fallait qu'il ferme les yeux, car il y avait une surprise. Quand j'ai tapé dans mes mains, il a ouvert les yeux, pour s'apercevoir que nous étions faits pareil.
J'en étais sur ! C'est pour ça que je suis revenu. J'aime les hommes travestis, et dés le premier jour je vous ai aimé.
Nous nous sommes jetés dans les bras l'un de l'autre, il m'a avoué être puceau, j'étais heureux et fier de moi. J'ai mis tout mon savoir faire à son éducation sexuelle.
A genoux sur la moquette, je lui ai fait une longue feuille de rose pour le mettre en condition. D'une main je décalottais sa verge puissante qui bavait son premier jus. Puis je me suis retourné pour qu'il me rende la pareille avant que je commence à l'enfiler. J'ai joui tout de suite dans ma main en masturbant, appréciant sa langue sur mon anus. Puis, il m'a pris en bouche pour me redonner forme, mais c'était presque inutile, l'idée de mettre ma bite dans ce cul neuf m'avait redonné vigueur. Je me plaçai derrière lui, la bite lubrifiée, puis je commençai à m'enfoncer doucement en lui. Mon gland était rentré quand j'ai marqué un temps d'arrêt, mais lui, il était tellement impatient qu'il a donné un coup de cul en arrière et s'est embroché à toucher mes couilles. Il se tortillait comme une chienne, je n'avais plus un mouvement à faire, il s'est déchaîne sur mon rouleau de chair jusqu'à sa jouissance.
Puis il s'est mis sur le dos, ses jambes sur mes épaules en criant dans une sorte de délire : ''Vas-y pompe à fond ma bite, défonce-moi encore une fois, délivre ton jus dans mes entrailles, je t'aime, fais moi mal !'' Sa bite était redevenue toute raide, et pendant que je le défonçais de nouveau, elle devenait de plus en plus violacée, et c'est au moment ou j'ai lâché ma semence, qu'elle m'a giclé à la figure plusieurs jets de sperme chaud et gluant.
Notre joute s'est terminée par une crise de fou rire, nous étions heureux tous les deux. Surtout moi, qui grâce à un calendrier avais trouvé de quoi occuper mes soirée auprès de ce jeune pompier, qui de temps à autre, vient me voir avec un cadeau. Et devinez quoi ? Une lingerie, que j'enfile de suite et que nous souillons sur le champ, de nos spermes.
PS : Depuis 1 moi il décidait qu'il été temps de vivre ensemble, et moi je suis très heureux de cette décision.
Nico76500
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