Les internes
J'ai été pion pendant plusieurs années dans une boite privée très bon chic bon genre.
Les élèves, exclusivement des garçons, appartenaient tous à de bonnes familles.
La plupart faisaient du sport, s'habillaient à la mode, bref, étaient particulièrement craquants. Chaque année, il y avait une petite proportion d'homosexuels.
Certains connaissaient déjà leurs pulsions en arrivant.
D'autre les découvraient...et j'étais toujours prêt à les y aider. Pendant mes trois années de pionnicat, je peux vous dire que je me suis bien amusé. Une année je suis tombé sur toute une bande de tapioles. Qu'est ce que nous avons pu baiser !
Parfois nous organisions des partouzes qui duraient presque toute la nuit. Ces petites salopes se disputaient les faveurs de ma queue et ils me mettaient sur les rotules. Heureusement que toutes les promotions ne comportaient pas autant de petits culs à enfiler !
Ma dernière aventure fut une des plus réussie.
Le jeune homme s'appelait Jérémie. Il avait des manières féminines mais il n'était pas encore converti à l'amour des hommes. Moi qui est l'oeil, je peux pourtant vous jurer qu'il était flagrant que ce beau minet était fait pour se faire enfiler.
Je me suis arrangé pour devenir copain avec lui. Un soir, il est venu gratter à ma porte.
Quand j'ai vu que c'était lui, vous pensez bien que je l'ai laissé entrer. J'étais en caleçon et je me suis allongé en travers de mon lit, une main derrière la nuque, cuisses écartées, histoire d'entrebâiller le tissu pour lui laisser entrevoir mes couilles. Jérémie avait trouvé un prétexte bidon pour venir me voir. Tout en parlant, son regard fixait mon sexe. J'ai demandé : ''c'est ma queue que tu mates ?''.
Il s'est mis à rougir comme une pivoine, ce qui le rendait encore plus craquant. J'ai poursuivi : ''Tu veux toucher ?'' Jaime ça tu sais''.
Jérémie n'a pas répondu mais sa main s'est approchée de moi, un peu tremblante. Il a libéré ma queue avec maladresse assez touchante. Sa main était chaude et douce. Son mouvement de piston m'a mis immédiatement en érection. Il avait tout de suite trouvé le bon rythme pur bien branlé. Pour l'encourager, j'ai dit : ''hum, c'est bon. Tu te touche souvent comme ça ? ''. ''Oui m'a répondu Jérémie, et je le fais en pensant à toi''.
Je lui ai donné un long baiser en échange de ce doux aveu. Sa langue s'est enroulée à la mienne, lui livrant un délicieux combat.
Pendant que je lui roulais une pelle, Jérémie continuait à m'astiquer. Une main me décalottait le gland en rythme, l'autre me serrait les couilles. Une branlette comme ça méritait un bon 18 sur 20.
Pour tâter le terrain, j'ai glissé une main sous son pantalon de pyjama et je lui ai caressé la raie.
Jérémie s'est cambré pour mieux se prêter à mes attouchements.
Bonne réaction. Mieux encore : il a remplacé sa main par sa bouche, en me léchant le gland et en le couvrant de baisers mouillés.
Puis ses lèvres sont devenues plus présentes sur ma bite. Il savait déjà tailler des pipes le petit salaud. Pendant sa turlutte, je lui ai travaillé l'anneau en beauté.
Cette fois il était bon pour la découverte.
C'est lui-même qui a décidé le moment. Il a recraché ma pine pour prendre la meilleure position, en levrette, les fesses bien cambrées, les deux mains en appui sur le mur pour donne le contre.
Le lit de la chambre d'internat était petit on ne pouvait pas trop s'étaler mais peu importe. L'important était de bien faire l'amour et pour ça. Jérémie s'est révèle incroyablement doué.
Difficile de dire vraiment pourquoi Il y a des hommes qui savent d'instinct trouver les bons gestes de l'amour.
Ils font peu de choses en plus, mais cela suffit à faire la différence. En tout cas Jérémie s'est laisser enculer comme s'il avait fait ça toute sa vie. Plus tard il m'a pourtant juré que c'était sa première pine au cul.
Je l'ai défoncé bien profond, en lui écartant le boyau avec son gland. Une fois en lui je suis resté immobile, pour qu'il s'habitue à la présence d'une barre de chair dans le cul.
De lui-même il a commencé à rouler du cul. Moi je me suis mis à limer.
Apres quelques va-et-vient il était déjà en transe.
D'une main passée entre ses cuisses, il m'a attrapé par les couilles. On aurait dit qu'il cherchait à se les faire entrer dans le cul elles aussi.
Quel gourmand ! Et quel pied on s'est offert tous les deux. Le lendemain soir Jérémie est revenu dans ma chambre et on a remis ça, encore plus ardemment que la veille.
A cette époque je m'étais trouvé un autre copain. Lui je l'enfilais sous la douche, parce que c'était son fantasme.
Quand il a vu que je l'abandonnais, il m'a fait une scène et m'a menacé de tout raconter.
Je l'ai plaqué quand même. J'étais prêt à prendre le risque. Jérémie m'excitait trop. Il était trop bon. Quand il a du quitter le lycée, ce fut sur une longue nuit d'amour et de larmes.
Je reconnais qu'il m'arrivait souvent de penser a lui ces dernières années. L'autre jour, mon prénom.
Je me suis retourné : c'était Jérémie, plus féminin et plus mignon que jamais.
Visiblement, il n'avait pas renoncé aux hommes. Nous nous sommes embrassés directement sur la bouche, comme de vieux amants que nous étions d'ailleurs.
On a bu un verre. Sous la table, il a commencé à me tripoter la bite avec ses jolis doigts qu'il aime présent laqué en blanc.
Ma queue s'est raidie, Jérémie s'est courbé pour me murmurer quelque chose à l'oreille. Il m'a proposé d'aller le rejoindre aux toilettes
Il est descendu le premier et je l'ai retrouvé quelques minutes plus tard. Il s'est mis à genoux devant moi pour ouvrir ma braguette et me tripoter la queue. J'avais terriblement envie de retrouver la sensation fraiche et mouillée de sa langue et de ses lèvres sur ma bite.
Il m'a donné satisfaction, Je crois qu'il avait encore fait des progrès dans l'art de tirer des pipes bien salopes et bien saliveuses.
Quelques minutes plus tard, j'ai pu constater que son petit cul était toujours aussi tendre et sa façon de la faire rouler toujours aussi sexy .Et maintenant que je tiens le beaux Jérémie, je vais plus le lâcher.
Nicolas76500
nicolasb76500@gmail.com
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