P'tite partouze dans le foin
Je viens de vivre une semaine génial, peut être une des plus chaudes de ma vie (mais je n'ai que 19 ans !) laissez moi vous raconter.
Je reviens juste de vacances dans le sud, de chez mon oncle qui élève des animaux.
Le deuxième après midi, comme je m'ennuyais a regarder la télé et a me branler en douce dans les WC, j'ai décidé d'aller faire un tour dans la grange, un peu en retrait de la maison ? là ou est entreposé le foin.
Pour y accéder, il faut se servir d'une échelle, car le foin est seulement en haut, le reste sert de garage. Des que je suis arrivé en haut, j'ai entendu un crissement de paille.
Il y avait donc quelqu'un, mais je ne savais pas encore qui. Soudain, j'ai vu une tête émerger lentement d'une botte de foin tout au fond de la grange.
C'était jean Luc, le garçon de ferme de mon oncle, un solide gaillard de la campagne, carré et bien bâti, et qui doit avoir vingt ou vingt deux ans.
Je lui demande ce qu'il fait là, sans m'approcher. Ce à quoi il répond avec un petit sourire : ''Vien voir si ça t'intéresse ! '' Moi, qui commençait à me douter
De quelque chose, j'approche et je vois jean Luc sur le dos, les jambes écartées, en train de se défoncer avec un gode très long, qui dépassait de quelque centimètre.
De plus en plus excité, je m'approche un peu plus et je contemple sa merveilleuse bite rasée, longue et épaisse, avec ses deux couilles qui semblaient pleines à ras bord.
Entreprenant, je me mets à quatre pattes au dessus de lui, et je commence à lui sucer longuement sa queue, lisse comme du verre.
Jean Luc profita de ce que mes mains étaient occupées à manipuler le gode dans son anneau, rasé également, pour défaire mon bermuda et baisser mon slip.
Ç a me soulagea parce que ma queue bandait tellement que ça commençait à devenir trop étroit pour elle.
Il me branla lentement en tenant bien mon pieu de toute sa grosse main d'ouvrier, tout en gémissant d'extase à la pipe magistrale que je lui taillais. Puis d'un coup je sentis ses muscles se raidir, et je reçus une méchante giclée de foutre dans le cou, bien chaud, bien gluant. Il se releva, Qu'à cela ne tienne, il descendit en bas de l'échelle pour aller nettoyer le gode au robinet, puis il revint, me fit accroupir et, à l'aide d'un lubrifiant qu'il avait à portée de main, il me l'enfonça au plus profond dans le cul.
Ça m'a fait plutôt mal au début, mais après, c'est devenu très bon.
Quelques instants avant que je n'éjecte ma jute sur la paille, j'ai entendu craquer l'échelle par laquelle jetais monté, et, en relevant la tête, j'ai aperçu le visage de Patrick, un voisin et copain de Jean Luc. J'ai commencé à blêmir de peur de sa probable réaction devant le spectacle qu'on offrait...
Mais Jean Luc resta calme.
Je compris alors que cette grange était le lieu de rendez vous des plus intimes pour les deux mecs.
Patrick s'approcha, fit un clin d'oeil à Jean Luc, et défit son froc pour exhiber un superbe string, un truc qui me fait toujours fantasmer. Il quitta le string, et comme il bandait encore mou, il se fit donner quelques coups de langue experts par son copain.
Quand sa queue fut bien raide, il m'ôta le gode du fion pour venir me lécher le trou encore ouvert. J'étais bien parti sur la voie du délire, mais ce que j'allais connaitre allait dépasser toute mes expériences.
Jean Luc, qui avait repris du poil de la bête, s'agenouilla derrière moi, déroula une capote et il me pénétra le minou d'un coup de reins. J'étais tellement ouvert que c'est rentré sans problème, et le contact de son pieu gonflé et dégoulinant de gel me fit saliver de désir.
Patrick s'en aperçut, et il me roula une pelle du tonnerre, en faisant entrer et sortir sa langue dans ma bouche comme une pine qu'on suce. Quand il en a eu assez, il me présenta sa bite, pas très longue, mais plus épaisse que la mienne, et me dit d'un ton qui ne se refuse pas : ''suce !'' Je mis en pratique toutes mes connaissances en ce domaine, et Patrick sembla très satisfait de mes talents, à en juger par ses yeux fermés et son visage, penché en arrière et exprimant un grand plaisir.
J'avais donc deux mecs en moi.
D'un coté Jean Luc occupé à me ramoner l'arrière train, et de l'autre, Patrick qui me limait la bouche pendant que je lui triturais l'anus du bout des doigts.
Pendant un petit moment, leurs deux mouvements réguliers contribuèrent à la montée de mon jus, et soudain je sentis d'abord Patrick, puis Jean Luc accélérer le mouvement. Je ne savais plus ou donner de la tête, entre mon minou déchiré par un gourdin humide d'un coté, et la matraque baveuse de l'autre.
Ce fut le délire total. Je remuais de partout, je me cambrais, je tâtais des culs sans cesser de me branler. Et ce qui devait arriver, arriva.
En quelques secondes, nous avons éjaculé tous les trois une plus grande quantité de foutre que nous n'ayons jamais fournie. De mémoire d'ado, je n'avais jamais connu un tel délice, un tel plaisir. C'était une nouvelle révélation , la baise à trois ! La première ayant été ma toute première pipe que j'avais faite à un inconnu dans des WC public.
J'ai passé toute la semaine avec mes deux mecs. Jean Luc, qui était toujours là, en profita pour me tirer le plus souvent possible, dans les WC, sous la douche, et même sur le tracteur un après midi ou nous disséminions de l'engrais sur un pré, comme on dissémine son foutre sur le pubis d'un male en rut.
J'espere que lorsque je reviendrai, Jaen luc et patrick seront toujours là, et qu'ils auront encore envie d'utiliser mes orifices accueillants.
Nicolas
nicolasb76500@gmail.com
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