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Chapître 06
Nous étions déjà fin Juillet et Kader n'était toujours pas réapparu, non pas finalement qu'il me manquait car avec Salim, j'avais peu de temps pour m'ennuyer et quand ce dernier me laissait enfin seul, alors, je m'endormais instantanément comme une souche afin de récupérer au plus vite car je savais que très vite j'allais devoir à nouveau satisfaire ses fantaisies.
Et des fantaisies, il en avait ...
Ce soir là, son texto était clair : partie de campagne et donc, bottes de cuir montantes, masque et mini-short du même métal ...
Une demi-heure plus tard, il pénêtrait dans l'appartement et inspectait ma tenue. Puis il me montra ses dernières acquisitions : un strict nécessaire de voyage selon lui.
Bien sûr, il fallut essayer tout cela immédiatement et c'est ainsi qu'il m'installa un ball-strecher en acier d'environ trois cents grammes et qu'il enferma mon pénis dans une cage en inox à la fois simple et esthétique cadenacée à un cockring placé à la base de mon pénis derrière mes noix. Mon short, une fois enfilé, ne laissait aucun doute sur l'attirail installé sous mon nombril et ainsi arnaché, il y avait peu de chance que j'oublie ma condition ce soir ....
Et ce n'était pas tout, puisqu'il accrocha encore des pinces sur mes tétons reliées entre elles par une petite chaînette ; enfin pour lever toute ambiguité s'il en restait encore une, il ajouta des menottes en cuir à mes poignets lesquelles s'accordaient parfaitement au collier de cuir noir que je portais déjà depuis un moment.
Ne manquait plus qu'un bon rouge pétard sur ma bouche qu'il appliqua lui même afin de s'assurer que mes lèvres apparaissent encore plus pulpeuses qu'elles ne l'étaient déjà.
Il fit un pas en arrière pour admirer le tableau que je composais et sembla satisfait car déjà il se caressait un entrejambe bien enflé mais il manquait quelque chose, il me fit alors pencher en avant et après avoir ouvert la fermeture-éclair stratégiquement placée sur l'arrière de mon short, il enfila un Plug Rosebud dans ce qu'il appelait ma chatte et dont la garde était constituée d'un strass genre rubis bien rouge ...
- waouuuhhh, une vraie petite pute ! S'il y a un seul mec qui n'a pas envie de te sauter ce soir, c'est qu'il est castré, moi je te le dis ! .... Bon, faut qu'on y aille maintenant sinon, je vais devoir te baiser tout de suite .... Tu me fais bander ma salope mais bon, avant le plaisir, y'a le travail, pas vrai ?
Et ce soir là, il me conduisit en banlieue, dans le 91, je pense et, finalement, après trois-quarts d'heure de route, il emprunta un chemin de terre bien cahotique pendant plus de cinq minutes et ce dernier trajet rappela à mes couilles et ma chatte qu'il peut y avoir un intérêt à rouler sur autoroute .... Je grimaçais, Salim s'en amusa, roula un peu plus vite, n'évita surtout pas les nid-de-poule et il rit de tout son coeur quand à un moment, je ne pus retenir un cri de douleur.
Enfin, Salim stoppa devant une énorme bâtisse devant laquelle stationnaient déjà beaucoup d'autres véhicules. Après avoir accroché une laisse à l'un des quatre anneaux de mon colier, il m'entraîna vers l'intérieur. Nous fûmes acueilli par le maître de maison, un certain Roger, lequel complimenta Salim d'être venu si avantageusement accompagné et il ne se gêna pas pour tâter mon short aussi bien devant que derrière. Salim, un petit sourire vicieux sur les lèvres le laissa faire pendant une longue minute avant de déclarer à ce vieux pervers ventripotent dont les gros yeux globuleux sortaient déjà de leurs orbites :
- doucement, Roger, tu sais que tu dois te ménager et que la viande trop fraîche, ce n'est pas bon pour ton coeur fragile...
t'as raison ... mais j'aimerais quand même que tu me prêtes ce jeune damoiseau pendant une heure ou deux afin que je connaisse le son de sa voix.
Et ce disant, sa main droite glissée dans mon short attrappa mes couilles sous le ball-strecher et il serra vicieusement mes testicules ce qui me fit bien grimacer.
Salim, amicalement, lui fit une claque dans le dos avant de lui répondre :
- Ok, ok, cela peut s'envisager, faut voir ! En tout cas, je vois que tu n'as pas perdu la main !
Et on s'éloigna ...
Salim, voulut bien me rassurer en me précisant que depuis longtemps, Roger, sous son énorme ventre velu, il n'y avait plus rien qui ressembla à une bite donc rien à craindre de ce côté là mais ... ce vieux pervers, à l'imagination débordante avait su aménager chacune des chambres de sa fermette avec toutes sortes d'objets étonnants et chacun d'eux, bien utilisé, savait faire geindre les petits minets comme moi ; et toujours selon les dire de Salim, cela lui procurait beaucoup de plaisir, qu'il soit lui-même à la manoeuvre ou qu'il oberve le tout sur écran car en bon pervers, il avait équipé de caméras un bon nombre des pièces de sa demeure.
Nous traversâmes plusieurs salles enfumées, plongées dans la pénombre. Beaucoup des convives saluaient Salim et me déshabillaient du regard quand ce n'étaient pas leurs mains qui, comme Roger, un peu plus tôt, tâtaient la marchandise. Et pour moi, une longue soirée de labeur commença. Le premier à faire affaire avec Salim fût un grand black, joueur de poker. La partie était entammée et il n'était pas question que le black ne s'absente alors il dégrafa seulement sa ceinture et Salim m'indiqua ma place, à genoux, entre ses cuisses puissantes. Le black avait, semble-t-il, du jeu car il misait gros et simultanément, il m'enfonçait un peu plus son dard énorme dans la bouche. Bientôt, un à un, ses adversaires abandonnèrent et quand il n'en resta plus qu'un qui paya pour voir, le black abatit son carré d'as triomphant et grogna son plaisir dans ma bouche.
Le perdant, de très mauvaise humeur, se leva et s'extirpa du nuage de fumée qui l'entourait tandis que je sortais de sous la table.
- c'est à cause de cette salope, impossible de me concentrer avec cette pute qui lui suce la bite pendant qu'on joue. J'appelle ça de la triche !
Je restai un moment immobile, incrédule, j'avais devant moi mon frère Alex et derrière lui, je reconnus cette garce d'Estelle qui déjà avait deviné qui se cachait derrière le masque que je portais.
J'étais abasourdi ...
Alex continua à vociférer un bon moment avant qu'Estelle ne lui suggère de faire tomber la tension comme le black avait fait un instant avant et comme apparemment, je savais y faire, pourquoi ne pas prendre le même médicament ?
Estelle arrangea tous les détails avec Salim et quand ils furent tous d'accord, Salim me conduisit, sur les conseils de Roger, dans la chambre bleue et là, je fus arimé le ventre contre un cheval d'arçon. Roger disparut non sans avoir vérifié que les caméras fonctionnaient bien puis Salim me laissa entre les mains d'Estelle et d'Alex après avoir d'une main experte arraché mon short.
Estelle, en bonne chienne hystérique était déjà à poil et elle tournait autour de moi en entraînant Alex lequel sembla tout d'abord décontenancé mais le vice de sa femelle eût tôt fait de l'émoustiller.
Puis elle lui montra mon cul tout en plaçant un fouet dans sa main et bientôt, Alex pût libérer toute la tension accumulée lors de sa partie de poker.
Je criais, il ahanait en me cinglant le dos et les fesses, me traitant de tous les noms capables de faire rougir même les putes les plus aguerries. Ce traitement eût de l'effet car bientôt il bandait comme un taureau.
J'entendis à nouveau le feulement de cette chienne d'Estelle, elle le traîna devant moi et guida son membre turgescent dans ma bouche mais avant qu'il n'explose, elle l'entraîna derrière moi, et libéra mon orifice de son joli petit plug rouge. Enfin, elle lubrifia ma chatte avec sa langue et là encore guida le zeb d'Alex d'une main experte tout en tirant vers elle, le mien de zeb, bien encagé, bien empêché de bander.
Un coup d'oeil complice avec Alex fit sourire ce dernier, bien d'accord avec elle, ici, le mâle c'était lui. Alors, pour confirmer ce point, de la main gauche, il me broya les couilles et de la main droite aida sa bite à trouver sa cible vingt centimètres au fond de mes entrailles. L'une ou l'autre de ces actions, ou les deux, ou la conscience coupable que j'avais d'avoir laissé mon frère m'enculer sans rien lui dire me faisait me plaindre doucement...
Quelle sorte de bête étais-je devenu ?
Et Alex allait et venait en moi en matant Estelle qui me forçait à bouffer sa chatte, cuisses bien écartées.
Et Alex bientôt, giclant en moi, vit trente-six chandelles et moi ... comme si j'avais pris un coup violent dans le plexus. J'avais du mal à respirer ...
Estelle se termina avec sa main préférée et après l'orgasme bruyant de cette salope, chacun resta immobile et silencieux un moment puis Alex réenfilant son jeans balança :
-putain, c'était super bon, jamais, j'aurais pensé jouir autant et aussi bien en enfilant un petit pédé ! Faudra que je recommence ...
Estelle ne put retenir un petit sourire et ce faisant, nonchalament, elle souleva ma tête pour placer un bisou sur ma bouche et tandis qu'elle m'embrassait, Alex fixait mon regard et moi le sien et je vis sa bouche s'ouvrir mais aucun son ne sortit. Alex ne voyait plus que cela : un peu de peau sur le côté de mon oeil gauche dépigmenté, visible, si visible chez moi ....
Puis je vis le visage d'Alex se durcir avant qu'il ne se saisisse d'Estelle et quitte brusquement la pièce.
Roger ne tarda pas à rappliquer haletant comme s'il venait de faire un marathon puis se saisissant lui aussi d'un fouet entreprit de terminer une séance que sans doute il avait pensé trop brève. Mais ses coups visaient autant mes couilles que mes fesses.
Je hurlais .... ce qui rapidement le fit jouir sans qu'il n'eût besoin de se toucher ...
Salim vint alors me délivrer et je lui en sus gré car après tout, la soirée ne faisait que commencer et je ne doutais pas qu'il allait me demander de calmer la trop grande tension de beaucoup de patients ce soir là.
Après tout, ils étaient tous venus pour cela, me dit-il encore ....
Et mon frère comme tous les autres, me dis-je à moi-même en essuyant une larme car Salim avait raison, ils étaient tous venus pour cela ce soir et moi, j'étais là pour faire la pute, c'est ce que Salim m'avait demandé et pour mon frère, j'avais bien fait la pute et mon frère savait maintenant quel genre de pute j'étais alors pourquoi ne pourrais-je pas être la meilleure des putes pour tous les autres que Salim me désignerait ?
Pourquoi pas ?
Ensuite, quand j'aurai fini mon travail, Salim me prendra, enfin s'il en a envie et ... s'il le veut bien, moi aussi, je verrai trente-six chandelles, même enfermé dans ma cage, sans bander... sans me toucher !
Son zeb sublime avait maintenant ce pouvoir-là sur moi et pouvait faire vibrer la plus petite de mes cellules jusqu'au tréfonds de moi-même ....
Puisse Kader ne jamais revenir ....
Fin du chapitre 6
( Merci à ceux qui m'ont adressé un commentaire, après la parution des précedents chapîtres, ça fait toujours plaisir ! Si certains ont des suggestions, des remarques à me faire, n'hésitez pas ! [à ce propos, merci Alain !]
Enfin, vous voudrez bien noter que cette histoire est une pure fiction se déroulant à une époque rêvée où les MST n'existaient pas. Hélas, cette époque étant révolue, protégez-vous, SVP !)
Ggag92
ggag92@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Moi, Julien, la petite pute