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HISTOIRE

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Moi, Julien, la petite pute ....

Chapître 1

Et voilà, on était aujourd'hui le 02 septembre et aujourdhui, je devenais officiellement majeur et j'allais pouvoir voter .... Je me demande bien ce que cela va bien changer pour moi, pas grand chose, je pense ....

Au moins quatre ans déjà, qu'avec Estelle, on se connaissait et maintenant trois mois qu'on n'arrêtait plus de se lancer des vacheries. On avait fait une partie de nos années de lycée ensemble en partageant les mêmes classes et tous les deux, on se faisait une compétition d'enfer mais il n'y avait qu'en Math que j'étais certain de la distancer car dans les autres matières c'était une fameuse compétitrice

Puis en terminale, trois mois avant le bac, sous prétexte de mieux se préparer à l'examen, elle demanda à notre prof de math s'il accepterait de lui donner des cours particuliers. Kader, c'était le nom de notre prof, 35 ans d'origine marocaine, qui la dévorait des yeux depuis le début de l'année accepta avec empressement.

Et c'est ainsi que durant le dernier trimestre, Estelle vit ses notes en math s'améliorer de façon intriguante tandis que de façon concomitante, je la sentis s'éloigner de moi d'abord de façon imperceptible puis ensuite avec de moins en moins de précautions, elle me signifiait de lui lâcher un peu les baskets ....mais ça, justement, je n'y parvenais pas. Et Estelle me fit alors des scènes épouvantables que je parvenais ni à comprendre ni à calmer.

Et puis un jour où nous venions justement de nous engueuler copieusement, je la vis échanger deux mots avec Kader avant que nous ne rentrions en cours avec lui. Moi et Estelle, nous occupions deux places contigues sur l'extrême droite du premier rang et ce jour là, de façon inhabituelle, Kader nous fit une interro écrite surprise. Il distribua à tout le monde un texte de problème comme je les aime habituellement : long et difficile ....

Puis, après s'être assis à son bureau, il commença à nous regarder, je veux dire, il commença à mater Estelle. Ce n'était pas la première fois mais là, il ne se souciait guère de le cacher. Puis, Estelle écrivit deux mots sur un bout de papier et me le glissa. Je le dépliais et n'en croyant pas mes yeux, je lus : "regarde, il bande !"

Je levais la tête vers Kader, j'étais vert, cramoisi, décomposé ... Non seulement, il bandait le salaud mais en plus il n'hésitait pas à se caresser le chibre en nous regardant fixement. J'ai alors voulu me lever et fuir mais mes jambes étaient aussi molles que du coton. Mon regard, hagard, passait du visage d'Estelle - pourquoi souriait-elle celle-là ? - à l'entre-jambe de Kader toujours aussi gonfflée.

Enfin la cloche retentit et tout le monde s'empressa de rendre sa feuille et sortit. Estelle prit la mienne sur laquelle devait figurer à peu près cinq lignes inintelligibles et, ensuite, ostensiblement, plongea dans son sac et en sortit une copie double toute entière rédigée depuis la veille sans aucun doute. Elle donna sa copie puis se saisit de la mienne et la rendit également.

Kader regarda la copie d'Estelle et l'assura qu'à première vue, elle pouvait compter sur du 18/19 tandis qu'après avoir contemplé la mienne de copie tout en me fixant du regard, il me dit calmement : "Vous aussi, Julien, vous deviez prendre des cours particuliers, cela aide à résoudre certains blocages, n'est-ce pas Estelle ?"
Tout à fait vrai Mr le Professeur, tiens Julien, pourquoi, ne viens-tu pas avec nous maintenant ? C'est l'heure de mon cours chez Mr le Professeur ... il habite à deux pas d'ici !

Complétement hypnotisé, je les suivis sans mot dire.
Quand la porte de l'appartement situé au sixième sans ascenceur se referma sur nous, Kader donna un tour de clé avant de la retirer de la serrure et de la ranger je ne sais où. J'étais en sueur, je hâletais après la montée de ces six étages et surtout, je ne savais pas ce que je faisais là...

Estelle me poussa sur le canapé et vint s'assoeir près de moi et passant son bras gauche derrière ma nuque, elle me força à la regarder. Je vis son petit sourire espiègle et très distinctement je l'entendis me dire :
Julien, as-tu déjà vu une nana nue ?

Et j'ouvris grand mes yeux éberlués quand je la vis dégrafait sa mini robe d'été. En moins d'une seconde, Estelle se dandinait devant moi nue comme un ver...

et ça ne te fait rien ...., me dit-elle à genoux devant moi, elle me tripotait l'entrejambe à pleines mains
c'est ça ton problème, Julien, ça fait au moins deux ans que j'avais envie que tu me baises et toi, nada, rien !
Ton problème, Julien, c'est que t'es pédé, allez avoue-le !

Là pour le coup, j'étais assommé !

bon, on va faire un test, balança Estelle, approche-toi Kader, s'il te plaît

Et Kader se planta la braguette à dix centimères de mon visage et recommença à se la caresser tout en ouvrant son pantalon.

alors Julien, qu'est-ce que t'en dis ? Je suis sûr que t'as jamais vu non plus une vraie grosse bite de mâle ? Montre lui, Kader !

Et Kader à son tour se retrouva à poil en moins d'une seconde. Et moi, j'étais là, bouche bée à quelques centimètres de cette bite énorme et bien raide. J'avais la cervelle en ébullition et tout à coup j'ai voulu fuir mais d'un geste Kader me retint assis sur le canapé.

bouge pas Julien, c'est maintenant que cela va devenir intéressant !
Et je le vis faire un geste de la main qu'Estelle interprêta aussitôt en se plaçant à genoux devant lui.

Bon, maintenant, c'est l'heure de la leçon particulières, Estelle, s'il te plait, montre-lui comment on suce une bite

Et Estelle s'empara du membre turgescent de Kader pour faire aussitôt disparaître le gland dans sa bouche et elle commença à faire des aller et retour sur ce membre bien raide tout en gémissant d'abord doucement puis de plus en plus bruyamment. Ce faisant son regard restait fixé sur le mien. Et m'hypnotisant complétement, je vis sa main droite venir chercher ma main gauche pour la guider doucement vers le sexe de Kader. Elle referma mes doigts autour du membre et me montra comment le branler pendant qu'elle le suçait.
C'était la première fois que je tenais une bite qui n'était pas la mienne et cette sensation de chaleur, de douceur, de raideur m'envahit complétement. Estelle libéra un instant le gland tuméfié de Kader pour me faire un petit sourire interrogatif ; tout en la fixant, je crois qu'un coin de ma bouche esquissa quelque chose qu'elle était en droit de penser être aussi un sourire. Alors doucement ses doigts de la main gauche se posèrent derrière ma nuque tandis que les doigts de sa main droite forcèrent la bite de Kader à pointer vers moi. Surpris sans doute, j'écarquillais les yeux et ... les lèvres. Une pression derrière ma nuque fit le reste...

Le gland de Kader avait changé d'écrin et reposait maintenant coincé entre ma langue et mon palais.
Quelle sensation incroyable entre mes lèvres, cette douceur de la peau de Kader et en même temps, cette exigence brutale, bestiale, formulée simplement mais efficacement par les aller-et-retour impétueux, fougueux qui envoyaient le gland au fond de ma bouche tandis que ses mains puissantes me tenaient la tête.

Tandis que je luttais pour respirer, Estelle me retâta l'entre-jambe et fût apparemment satisfaite de ce qu'elle constata :

j'en étais sûre, maintenant il bande à fond.

Et tout à coup, je réalisais ce qu'elle disait, je bandais ! Je bandais pendant que je suçais une bite devant elle ! Je bandais pendant qu'un homme profitait de ma bouche ! Je bandais parce que, comme l'avait dit Estelle, j'étais pédé ! Le plus hypocrite des pédés, puisque j'avais refoulé cela pendant des années et menti à tous, même à moi-même mais là, à cet instant précis, une bite raide en bouche, je tremblais d'excitation et quand Kader reculait un peu le torse c'est moi qui avançait la tête pour ne pas perdre ce biberon auquel déjà, je tenais beaucoup....

Pendant ce temps, Estelle ne perdit pas une seconde et dégrafa les quelques boutons qui protégeaient encore ma virginité et très vite je fus nu à mon tour abandonnant toute idée de résistance.

Et la situation évolua vite, je me retrouvais allongé sur la banquette clic-clac. Kader se positionnant au dessus de moi me fit sucer encore un peu son membre avant filement de nous quiter pour aller boire un verre. Estelle s'allongea près de moi, son regard plongé dans le mien, elle me caressa le ventre et les couilles puis tandis que Kader revenait vers nous, elle glissa un bras sous mes cuisses pour me suggérer de remonter mes genoux vers mon torse. Kader d'accord avec sa proposition se plaça derrière moi et s'aidant des ses mains aida mes dite-cuisses à remonter et à s'ouvrir complétement puis il s'installa à genoux derrière mes fesses et contempla un moment mon trou tout en le titillant de ses doigts. Puis je l'entendis s'exclamer haut et fort : "Putain, quel CUL ! Complétement imberbe ! Un cul de petite blonde, j'en étais sûr ! Je vais adorer ce cul, moi !" Puis l'un de ses doigts força l'entrée, je ne pus m'empêcher de grimacer tandis qu'Estelle s'empressa de me calmer en posant un doigt sur ses lèvres le tout accompagné d'un "chuuuut, laisse toi faire, tout va bien se passer, tu vas voir ! C'est comme ça qu'il m'a dépucelé il y a trois mois et ce soir, c'est ton petit cul qu'il va prendre ..."

Je crois que j'ai eu un dernier sursaut de dignité à ce moment là mais tenu par Estelle d'un côté et par Kader de l'autre, ce sursaut ne fit rien d'autre que l'exciter davantage et avec une brusquerie animale, il plaqua sa bouche sur ma rondellle et là des ondes de plaisir me parcoururent.
Et je gémissais comme une chienne ...
t'as envie qu'il te baise, c'est ça hein ?
Et je fis oui du menton, il n'y avait plus de retour possible à ce moment, je le savais ...
Alors demande-le à Kader, dis-lui que tu as envie de sa queue de mâle dans ton petit trou. Dis lui que tu es une petite salope, juste comme moi, dis lui !
ET là, j'explosais : "OUIIIIIIIII, BAISE-MOI ! ENCULE MOI COMME UNE SALOPE, DEFONCE MOI !" , Je hurlais tout en encerclant mes cuisses pour mieux les écarter et mieux offrir mon trou à ce superbe mâle en rût bien disposé à le prendre !

Ensuite, tout est allé très vite, son gland à l'entrée de mon cul encore vierge pour quelques dernières secondes encore, son regard qui se plante dans le mien, lui qui se penche un peu, une douleur fulgurante, je crie, le gland est entré, Kader ne bouge plus, la douleur s'estompe, mon visage se détend, Estelle qui lui fait un signe et Kader qui s'enfonce tout en s'écroulant sur moi, je crie encore, il m'écrase la bouche avec la sienne et il me pilonne, et je couine de plaisir, j'éjacule, mon anneau enserre le chibre de Kader, il s'arcqueboute, il gueule et me jouit dedans. Kader ne bouge plus, il m'enserre de ses bras puissants, je ne bouge plus. Enfin, il se retire, je sens comme un vide entre mes cuisses, je me soulève, je m'appuie sur mes avant-bras, je regarde sa bite, énorme encore mais maintenant molle, il l'approche, je la prends dans la bouche, Estelle hurle, elle vient de se faire jouir toute seule la main entre les cuisses en me matant et Kader bande instantanément et me tronche la gorge.

Il jouit à nouveau !
J'avale goûlument !

Bon c'est l'heure de programmer la deuxième leçon, demain vous êtes libres ?
Désolé, demain moi, c'est dentiste, dit Estelle
Et toi Julien ?

Et rouge cramoisi, j'indiquais que je pourrais bien avoir besoin d'une deuxième leçon et qui sait peut-être encore davantage.
Et Kader, tout sourire, me montra le chemin de la salle de bains. Une douche, j'en avais bien besoin !
Quand j'en sortis, Estelle était déjà habillée sauf qu'elle tenait à la main sa petite culotte et alors que j'allais saisir mon slip pour l'enfiler Kader m'indiqua que cela l'exciterait davantage de me voir porter la petite culotte d'Estelle.
Je fis signe que "non ! Pas pour moi"
Et il me cingla la figure de deux magistrales giffles
maintenant petite pute, tu vas faire ce que je dis, tout ce que je dis !
Comme je ne répondais pas assez vite, deux autres giffles m'encouragèrent et j'esquissais un "oui " timide
ce sera "Oui, Mr le Professeur", dorénavant, compris ?
Oui, Mr ... le ... Professeur
Bon c'est mieux ! Estelle, m'as-tu fait parvenir un message depuis ton Iphone ?
Oui, Mr le Professeur

Et Kader ouvrit la messagerie de son ordi, cliqua sur le dernier message d'Estelle puis sur les pièces jointes et là, horreur, moi nu comme un ver prenant de la bite par tous les trous. J'étais horrifié ...
qu'en penses-tu Julien, elle a du talent notre Estelle, non ? Bien sûr, il ne faudrait pas que ces photos quittent mon ordi mais il n'y a vraiment aucune chance que cela n'arrive, faut juste ne pas me contrarier mon petit Julien, compris mon petit Julien ?
Oui, Mr le Professeur
Bien ! Voyons si tu as compris, et il sortit d'un tiroir un plug qu'il désigna à Julien, dorénavant tu porteras ça dans ta petite chatte d'accord, vas-y enfonce là maintenant ! Demain, Estelle, entre deux cours, tu vérifieras pour moi que l'objet est toujours là, ok ?
Bien Mr le Professeur

Et c'est ainsi que plugué et portant la petite culotte d'Estelle, Julien enfila son Jeans et quitta l'appartement de Kader avec sa "meilleure amie de toujours".

Fin Châpitre 1

Ggag92

ggag92@yahoo.fr

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