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Chapître 5
Salim, j'appris à mieux le connaître dans les jours qui suivirent...
En effet, Kader, à cause de je ne sais quel problème familial, s'absenta pendant quelques temps mais avant de partir au bled, il prit soin de me recommander aux bons soins de son cousin lequel accepta avec beaucoup d'empressement. Et tout en me fixant du regard, je le vis passer sa langue entre ses lèvres et je l'entendis même ronronner de plaisir tant déjà, il vivait par anticipation tout ce qu'il allait tirer lui, le gros matou, à jouer bien sadiquement avec la petite souris que, sans aucun doute, je représentais pour lui.
Et juste avant de quitter l'appartement, tout en remettant à Salim les clés des menottes qui m'entravaient les poignets et les chevilles, Kader fit une dernière recommandation à son cousin :
- On est bien d'accord, Salim, tu t'occupes de cette petite pute, histoire de parfaire son éducation et qu'il apprenne à toujours mieux servir un vrai zeb de mâle, tu le corriges au besoin aussi sévèrement que possible mais tu ne me l'abîmes pas. C'est que, ce n'est pas si facile que cela à trouver ces petites bêtes là !
Et là dessus, il éclata de rire.
- t'inquiète pas cousin, tu vas la retrouver cette petite pute encore plus soumise qu'au premier jour et ton plaisir en sera décuplé.
Rassuré sans doute, Kader s'en alla mais seulement après m'avoir rappelé que j'allais devoir m'occuper du moindre des désirs de son cousin et que si, à son retour, Salim devait se plaindre de moi alors, un juste et nécessaire châtiment s'en suivrait.
Salim, la porte à peine refermée derrière Kader, se planta devant moi, et, tout en me fixant du regard, dégrafa sa braguette et sortit son membre lequel aussitôt pointa vers le ciel à tout juste dix centimètres de mon visage. Je voulus le prendre en bouche mais une claque magistrale m'en dissuada.
- tu regardes, c'est tout pour l'instant et t'admires, compris ?
- Bien Salim
Une autre claque me cingla le visage ...
- bien Maître
- c'est mieux comme ça, répondit Salim, maintenant dis-moi ce que tu vois ?
- Votre sexe, Maitre
- oui, c'est ça, mon sexe, ma bite, mon zeb, mon bâton de joie comme tu veux ; maintenant dis-moi mon zeb est-il comparable à ta petite nouille ?
- Non, Maître
- bien, en quoi est-il différent ?
- Je dirais qu'il est au moins trois fois plus gros que ma nouille, Maître
- Je pense que oui, au moins trois fois plus gros, alors, maintenant sais-tu pourquoi t'es une petite pédale ?
- Parce que j'aime les grosses bites Maître
Et tandis que je disais cela en baissant les yeux parce que je savais que c'était cela qu'il voulait entendre, je me rendais compte au moment où je le disais, que c'était finalement la vraie vérité, j'aimais les grosses bites ....
- Exactement ! Et voilà pourquoi, tu peux oublier la tienne, petite pute et te concentrer uniquement sur le plaisir de la mienne, vu ?
Et j'aquiescais totalement convaincu que c'était bien cela mon souhait, mon désir le plus profond : satisfaire de vrais zeb de mâles comme Kader ou Salim et oublier tout de ma petite bite qui jamais ne m'avait donné vraiment satisfaction. Déjà adolescent, lorsque je me laissais aller à quelques plaisirs solitaires, j'en ressentais beaucoup de culpabilité et aujourd'hui, enfin, cette culpabilité allait disparaître grâce à l'éducation sévère mais nécessaire de Maîtres comme Salim et Kader, lesquels m'apprenaient à me consacrer à leurs seuls plaisirs et à oublier tout le reste...
Finie la culpabilité solitaire ! Enfin ...
Enfin, je pouvais être moi, tout à fait moi : une vraie petite pute heureuse de pouvoir satisfaire de vrais mâles !
Kader, à peine parti donc, Salim s'installa sur le canapé, jambes écartées, et me plaça à genoux entre ses cuisses. Ce soir-là, Salim avait décidé de m'apprendre à accepter la totalité de son zeb en bouche et d'y parvenir dans la seconde où il me l'ordonnait ...
La seule idée m'excitait déjà...
Bien sûr, cela allait nécessiter des efforts de ma part, bien sûr, il y eut des cris, des insultes de son côté, bien sûr des coups de ceinturon vinrent s'abattre sur mes fesses pour m'aider à réussir cet exploit. Bien sûr, Salim n'avait pas de trop de ses deux mains pour maîtriser l'exercice , les doigts de la main gauche suivaient la progression de son gland à l'extérieur de ma gorge tandis que les doigts de sa main droite forçaient ma nuque vers son bas-ventre ou jouaient du ceinturon sur mes fesses.
Bien sûr, il fallut répéter et répéter encore l'exercice mais enfin, l'objectif fut atteint, je réussissais quasiment à me déboiter la machoire et à avaler les 23 cm de son zeb, à poser mon nez dans les poils de son publis et mon menton sur ses couilles. Certes, j'étais asphyxié tandis que Salim grognait et maintenait ma tête en place mais au bout d'un moment, me voyant onduler de tout mon corps pour tenter une fuite vers l'arrière, il finissait toujours par relâcher sa pression une seconde et je pouvais alors avaler un bol d'air ; il fallait toutefois que je fasse vite car déjà, il s'enfonçait et, à nouveau , il me fallait accepter l'intrusion sans broncher.
Et Salim recommença encore et encore et bientôt, je prenai le rythme et j'ajustai ma respiration sur ses coups de piston puis il eût un dernier et puissant soubresaut et là, je le sentirs se raidir d'un coup et ne plus bouger, ma tête bien calée sur les poils de son pubis ...
Une seconde interminable plus tard, ce fut l'explosion finale : son corps et son sexe dans ma bouche furent secoués de spasmes incontrôlés et des grognements rauques accompagnèrent les salves puissantes qui m'inondaient !
A nouveau, par réflexe, ma gorge voulût battre en retraite pour chercher de l'air et mon corps se mit à onduler par vagues puissantes mais Salim, cette fois, ignora mes contorsions et les yeux fermés, perdu dans son plaisir maintint ma nuque complétement immobile jusqu'au dernier spasme de son zeb.
Surtout, ne pas le mordre ...
J'allais périr asphyxié c'était sûr !
... mais ma bouche docile, ma gorge apprivoisée avaient su combiner leurs efforts pour donner une longue et très intense jouissance à ce jeune mâle qui le méritait tellement et dans une fraction de seconde, je me fis la promesse de recommencer autant de fois qu'il conviendrait pour satisfaire toujours mieux son membre si magnifique, si viril et toujours bandé vers de nouveaux plaisirs !
Quel bonheur pour une petite pute comme moi !
Fin du chapitre 5
...
( Merci à ceux qui m'ont adressé un commentaire, après la parution des précedents chapîtres, ça fait toujours plaisir ! Si certains ont des suggestions, des remarques à me faire, n'hésitez pas.
Enfin, vous voudrez bien noter que cette histoire est une pure fiction se déroulant à une époque rêvée où les MST n'existaient pas. Hélas, cette époque étant révolue, protégez-vous, SVP !)
Ggag92
ggag92@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Moi, Julien, la petite pute