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Jaco embrassa tendrement Miky sur ces mots, tout en agrippant ses fesses à pleines mains, passant ses doigts sous le mini slip et les écartant. " Tu es mon bébé et ma ptite femme " dit-il en retirant sa langue avant de la replonger. Le bout de son majeur titilla le trou de Miky qui gémit la bouche pleine et se cambra mieux. " Mon bébé, mon ptit trou... ma ptite salope... hein ? " Miky était en train de décoller à ces mots, avec le doigt et la langue de Jaco qui le chauffaient. Son mâle lui donna son majeur à sucer et le lui enfonça lentement dans le cul, une phalange, et de sa main gauche il caressa le téton droit de son jeune amant, qui devenait fou de désir. Il continua d'alterner entre mots et baisers. " Mon ptit gourmand, ma ptite téteuse... tête-moi la langue... hmmm... Branle-toi, Miky, je veux te voir.... Hmmm... t'y as pensé hein ? un deuxième corps comme le mien.... " Le majeur à moitié enfoncé le pistonnait à bon rythme maintenant, et le téton pointait tout échauffé, Miky n'arrêtait pas de couiner ; il s'abandonnait et se branlait, sa queue touchait le pieu de son mâle qui n'avait pas débandé depuis la pipe. " Ouiiii, tu mouilles.... Branle-toi, vas-y, tu vas juter sur moi hein ? je veux te voir jouir... Toni doit avoir les couilles archi pleines tu sais... t'imagines nos deux grosses bites à dispo... tu ferais du bien à mon frère, c'est sûr... " Il joignit l'index à son majeur dans le cul qui s'ouvrait. Miky allait jouir. Jaco ne le quittait pas des yeux, il prenait son pied aussi à l'entendre dire oui à tout. Deux doigts sur le téton, deux doigts dans le cul et il l'emmenait où il voulait ; qu'il était beau, punaise, le visage crispé dans le plaisir montant ! le plus souvent Miky voulait que ce soit la main de son mâle qui le branle pour arriver au plaisir ; là il se branlait frénétiquement et soudain, le cri sortit sans pouvoir s'arrêter et sous les " oui, vas-y ! " répétés de Jaco, Miky balança de bons jets sur le tee-shirt, Jaco sentait ses doigts comprimés par la rondelle. Quand Miky s'écroula sur lui, il se retira lentement, félicita son " bébé ", lui caressa le dos pendant qu'il reprenait son souffle. On entendait toujours la douche en haut. Jaco empoigna sa grosse bite, douloureuse : " j'en ai encore pour toi, viens téter, gourmand " ; il écarta ses puissantes cuisses, entre lesquelles Miky vint s'agenouiller, et lécher les couilles à travers le slip. Jaco se branla furieusement, en imaginant Miky offert à la bite de son frère et à la sienne, pour une vie quotidienne idéale. Les jumeaux avaient si souvent niqué à deux dans leur jeunesse... Toni ne pourrait jamais résister aux appétits de Miky, à sa bouche, à son cul, à son savoir-faire... Il visualisa nettement : lui et son frère debout et branlant leur chibre énorme devant la bouche grande ouverte de Miky impatient et à genoux. Il se redressa, et Miky de lui-même ouvrit la bouche ; il avait compris l'envie de son mâle. Jaco le regardait fixement et sentir venir la crème, qu'il balança à cinq reprises, attentif à bien viser malgré le tremblement général de plaisir qui le secouait. Puis il lui saisit la tête et lui fit gober le gland en grognant " gave-toi bébé " ; il lima juste l'entrée des lèvres le temps de se vider complètement. Puis il s'affala sur la chaise, crevé, tandis que Miky le regardait plein de reconnaissance en se léchant les lèvres.
- Ouffffffff je crois que c'est tout pour ce matin !
- C'était géant, merci, pa' !
Ils rirent et reprirent leur place pour finir le ptit déj. La douche s'arrêta.
Toni n'avait rien entendu depuis son arrêt sur le palier. Après avoir vidé tout ce qu'il avait à vider aux toilettes, il avait dû encore se purger sous la douche, incapable de débander : histoire de famille sans doute ! Il regardait sa bite majestueuse en se disant comme souvent ces derniers temps, que c'était bien du gâchis qu'elle ne serve pas plus.... Gabin, lui, avait été vaguement réveillé par un cri assez long ; il se dit à moitié conscient que ce devait être Miky enfilé par les 22/7 de son oncle : cela suffit à le réveiller tout à fait, avec une belle érection à soulager. Il s'imagina défoncer le cul d'une blonde à gros seins en se paluchant, mais prit conscience peu après que c'était le corps de Miky qu'il voyait se faire démonter, penché sur la table de la cuisine, avec le corps colossal de son oncle qui le ramonait comme une brute. Le visage de Miky, criant, la bouche ouverte - Gabin se vit lui mettre sa grosse bite jusqu'aux amygdales... Il juta un geyser de foutre matinal, qui arrosa la tête de lit, l'oreiller, son menton, son torse. Il s'étonna d'avoir juté si vite et si fort et se surprit à sentir qu'il n'avait presque plus rien dans les couilles, chose inhabituelle après ses branlettes. Il s'essuya avec le tee-shirt-au-pied-du-lit, retourna l'oreiller et se rendormit comme un bien- heureux. Il n'entendit même pas son père sortir de la douche.
Quand Toni descendit, Jaco buvait un dernier café à table, tandis que Miky s'affairait à l'évier. Aussitôt le regard de Toni fut attiré par le ptit cul bombé dans un slip trop ptit. Il n'allait pas rebander quand même ! Son frère capta son regard et sourit ; avec un clin d'oeil à son frangin, il finit son café, refit un clin d'oeil en dévoilant à son frère son tee-shirt taché du jus de Miky, et monta. Toni revint à table avec des baskets à enfiler : il était en short et marcel, prêt pour les travaux de jardin. Quand Miky se retourna il le vit un pied sur la chaise à faire ses lacets, ce qui d'une part lui offrait le spectacle de ses cuisses poilues fabuleuses (les mêmes exactement que celle de Jaco) et d'autre part lui rappelait la position dans la quelle souvent Jaco lui donnait son cul à lécher à table, comme un supplément extra dessert. Or Miky n'était pas seulement fou de la bite de son mâle, il vénérait aussi son trou. Il banda immédiatement et dut se retourner face à l'évier. Toni s'assit et ne pouvait du coup éviter le ptit cul bombé...Ca y est, il bandait ! Sous la douche, Jaco se marrait tout seul en se demandant comment les deux créatures en manque d'en bas allaient se débrouiller pour débander ou se cacher. Il ne pensait pas qu'il se passerait déjà quelque chose, mais il était sûr que ça ne tarderait pas : il ferait encore monter la pression entre eux...
Et ces deux créatures parlaient de choses et d'autre, sans savoir que l'un imaginait les petites cuisses bien écartées et les fesses défoncées par le gros piston de 22/7 que Toni renonçait à vouloir calmer, et que l'autre imaginait la rondelle rose et poilue à déguster, à téter, à sucer, à branler du bout de la langue. Jaco était fou des anulingus de Miky et lui ne se lassait jamais, jusqu'à s'en paralyser la langue, de lui bouffer la raie et le trou pendant des quarts d'heure entiers, et même plus parfois.
- Gabin va faire quoi cet aprem ?, demanda Miky, la voix presque tremblante d'émotion à l'idée du cul de Toni à lécher, là.
- Eh bien, répondit Toni, en toussant pour sortir de son embarras, en général le samedi il a entraînement avec son pote Seb, et après ils vont en ville, faire je sais pas quoi et je veux pas trop savoir.
- Il sort pas le soir ? un samedi...
- Ah si bien sûr, et tard ; faut pas compter sur lui le dimanche matin...
- Ouais, je vois.
- Et tu sais... Miky, Jaco et toi faut pas vous gêner pour nous hein... vous êtes chez vous.
- C'est gentil, t'inquiète, ça va Toni.
- Pas question d'être un poids pour vous ; Jaco est déjà sympa de nous héberger...
- Vous pouvez rester ici, tu sais ; il y tient même.
- On verra, oui.
- Vous serez bien ici. Gabin je sais pas, mais pour toi ce serait mieux, retrouver ton frère, et être un peu zen...
- Oui.
Toni n'en dit pas plus car son regard s'était posé sur une petite tache de mouille entre les fesses de Miky. Il ne pensa pas aux doigts de Jaco, mais à plus gros...
- Bon je vais préparer les outils, dit-il en se levant, l'énorme barre en travers du short.
C'est à ce moment que Miky se retourna, vit le barreau saillant en diagonale, et lui-même avait le mini slip tout tendu par sa queue. Les deux se regardèrent, les yeux brillants, mais gênés et Toni fila dehors.
Jaco descendit dans la même tenue que son frère, alors que Miky avait fini de tout ranger. Il l'embrassa, lui dit de réveiller Gabin pas trop tard et sortit. Miky investit la salle de bain, se lava soigneusement, se prépara le cul pour la saillie qu'il espérait l'aprem, de nouveau très excité. Les jumeaux eux se mirent aussitôt à débroussailler, élaguer, chacun dans ses pensées, somme toute les mêmes : baiser à trois avec Miky. Ils firent une pause peu avant 11h, Toni était allé chercher une bouteille d'eau et son tabac à rouler. Jaco eut envie de refumer avec son frère, comme avant. Ils s'assirent sur un tronc coupé là servant de banc. Jaco voulait relancer son idée secrète, et c'est Toni qui lui tendit une perche.
- Alors, il t'a soulagé à table ?
- Oui, ça pouvait plus attendre, pour lui comme pour moi.
- C'est ce que je me suis dit, je vous ai laissés à deux pour ça.
- J'ai bien compris, merci frangin.
- Mais pas discret le tee-shirt trempé de jus, ajouta-t-il en rigolant ; et je croyais qu'il avalait tout ?
- C'était son jus... Du mien il en a eu deux fois...
Et Jaco raconta à son frère les plaisirs du matin. Les jumeaux bandaient.
- Ca fait un bail que je l'ai pas eue, la pipe du réveil...
- Ben ouais... moi je peux plus m'en passer, et lui non plus. Il dit que c'est le " lait de la nuit ".
- Ouais c'est vrai, la nuit ça recharge.
- Tu dois être sévèrement plein toi...
- J'ai une bonne trayeuse, dit Toni en montrant sa main droite ; sinon c'était y a quinze jours la dernière pipe.
- Une pute ?
- Ouais.
Ils se passaient la roulée, toujours bandant, se caressant même. Ils sortirent leur bite d'un côté du short, la même énorme bite gonflée et droite. Côte à côte sur leur tronc, le silence se posait de temps en temps.
- Ouf, c'est mieux à l'air...
- On bande tout le temps dans cette baraque !
- ...tu sais si toi tu voulais...
- Que ?
- Ben... Miky refuserait pas de te la faire, la pipe du matin...
- ...
- Tu lui as pas maté le cul tout à l'heure ?
- Si...
- ...
- J'ai jamais touché un mec...
- Miky c est différent, oui c'est un mec c'est clair.... Mais...
- c'est ton bébé aussi, dit-il en souriant.
- oui, c'est ça, et aussi ma ptite femme, même ma ptite femelle aussi. Tu vois là dans mon état, assis comme ça avec cette trique, j'aurais qu'à l'appeler, à lui montrer ma bite ou à lui dire " viens sucer " et il serait déjà à quatre pattes à téter entre mes cuisses.
- Putain, arrête, Jaco...
- Ok, ok. En tout cas, tu sais. Lui il veut de ta bite.
- Il te l'a dit ?
- A moitié, mais je le connais, tu penses ; il ferait ça en plus pour faire plaisir au frère de son mâle préféré.
- Ok, bon on s'y remet ?
- Allez, go !
mike
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