Épisode précédent
Dans la chambre de Gabin, il y avait encore de l'activité : il en était à sa deuxième branlette. Avec le déménagement et le trajet, la présence constante de son père ce jour-là, il n'avait pas pu se soulager depuis le matin, et il en devenait fou. Une fois monté, il sauta l'étape brossage de dents, adressa un salut à Miky qui entrait dans la salle de bain, et s'enferma au plus vite dans sa nouvelle chambre. Il ne toucha pas aux sacs, se mit à poil direct : il bandait déjà. Il s'allongea sur le dos, et mata sur son téléphone quelques photos et vidéos de cul. Il se branlait furieusement puis s'arrêtait et admirait sa bite. Il savait qu'il avait un vrai pieu magnifique, oui, les 22/7 familiaux. D'ailleurs il était aussi fou de son corps, et quand il baisait, il regardait ses muscles, sa queue, il adorait sentir sa puissance. Aucun doute qu'il était le mieux gaulé et le mieux monté de sa classe, et du lycée même. Quelle bite ! si toutes les filles la voyaient, c'est clair qu'elles seraient à ses pieds ! Il repensa à la dernière qu'il avait sautée, une semaine plus tôt. Elle en avait vraiment pris plein la gueule, la chatte, le cul...
Trois fois dans la nuit, il se l'était faite, les trois fois par les trois trous, et il se souvint de sa façon de descendre l'escalier ce matin-là. Il eut un sourire satisfait. C'est sûr que lui avait la banane au ptit déj, et elle des cernes bien marqués. Elle l'avait repoussé dans la salle de bain : " tu m'as pété le cul, connard ! c'est bon, lâche-moi ". Il l'aurait bien tirée avant qu'elle parte, mais il était en fait trop content de l'avoir démontée, et c'est plus tard qu'il se branla, encore plus content de s'envoyer des litres de foutre sur le torse, en repensant aux doses qu'il avait pourtant jutées, satisfait d'être inépuisable. Et elle qui n'avait pas voulu avaler la soupe ! Du coup il lui avait rincé les loches. Bref, il laissa tomber son téléphone, s'excita un téton et se branla avec délice et il ne fallut pas deux minutes pour qu'une salve bien blanche et crémeuse ne jaillisse de son gland énorme alors qu'il essayait de ne pas gueuler son plaisir. Non seulement il prenait son pied en se vidant les couilles, mais aussi en regardant et comptant tout ce qu'il giclait : un direct entre les pecs, un plus long et puissant qui fit " ploc " sur la tête de lit, un au menton... une vraie cascade de jus qui l'enthousiasmait. Il se massa les couilles un moment, elles aussi des vraies merveilles ! Puis il saisit son éternel tee-shirt-au-pied-du-lit, pour s'essuyer grossièrement. Bien trempé et gluant, le buvard... Il ne put s'empêcher de le prendre en photo et de l'envoyer à son meilleur pote Seb, avec comme message : " où sont les femmes ? ". Ensuite il rêvassa, dialogua un moment, et entendit les pas de son père et de son oncle : ouais, ils avaient dû bien picoler vu la démarche... Saouls comme ça, son père allait sans doute s'endormir d'un coup ; et son oncle ? il aurait la forme d'en tirer un de coup ? Bizarre ce Miky... une crevette... un ptit génie en plus ; pas mal sa bouffe... Qu'est-ce qu'il avait pu faire à son oncle décidément ?! le roi de la pipe ? être très salope ? une lope comme on dit chez les pédés ? Et des images lui venaient, de ce Miky démonté dans toutes les positions par son ogre d'oncle, buvant des gorgées de jus sans fin...
Il rebanda ferme. Quel putain de beau morceau il avait entre les jambes, franchement ! Il se branla encore, il se sentait encore plein. Il se caressa d'un doigt le trou du cul, et se dit en le sniffant : " ouais, pas la rose.... ". Il prit sa queue à deux mains, écarta ses longues jambes musclées et colla ses plantes de pied, ses beaux 45, entre elles, et il se purgea comme un fou en 5mn. Ca lui souleva les reins tellement c'était le pied en jutant : un volcan de foutre ! encore ! des giclées sur le ventre, le haut des cuisses, des coulées lourdes sur ses doigts longs, le gland luisant de sperme, interminablement coulant. Il s'essuyant avec le peu de sec de son tee-shirt-au-pied-du-lit, et enfin se sentit un peu léger pour pouvoir dormir.
Miky lui, ne se réveilla que dans la nuit, avec le contact brûlant de son homme dans le dos ; il était complètement encastré dans ce grand corps fabuleux. Il se rendormit avec la sensation d'être parfaitement protégé ; il tira sur son torse le bras puissant de son homme, replaqua près de son nez le slip qu'il avait lâché dans son sommeil et se rendormit comme un bienheureux.
Quand il ouvrit les yeux le matin, il repensa à la soirée de la veille, aux nouveaux arrivants, et se demanda ce que ça allait changer dans la maison et sa vie avec Jaco. Etre plus discrets, oui, mais il espérait bien que ça n'allait pas réduire les moments de plaisir. Il se dégagea doucement de l'étreinte, regarda son homme dans la lumière faible du jour : quel mâle ! quelle chance de l'avoir rencontré, de l'avoir au quotidien ! Il l'aimait follement. Il banda très vite et voulut se procurer son lait du matin, mais il se dit que Jaco devait encore dormir un peu, et quitta la chambre en peignoir sans bruit pour faire du café et préparer un petit déj pour 4. Son homme le rejoignit dans la cuisine, vêtu d'un tee-shirt et du slip qu'il avait dû chercher dans le lit. Chaque jour c'était pour Miky un émerveillement de voir le mètre 92 de son homme, ses 88kg de maçon typé hispanique apparaître dans l'embrasure de la porte. Visage chiffonné, tétons saillants sous le tee-shirt, slip gonflé à mort. " Bonjour bébé - Bonjour ! ". Et invariablement (quand la pipe du matin ne se faisait pas au lit), Miky s'asseyait, Jaco s'approchait de lui, sortait sa bite déjà bien bandée, et Miky tétait. C'était doux et lent, un moment privilégié bien sûr : pour Miky l'assurance avec cette grosse queue chaude de ne manquer de rien, et pour Jaco la satisfaction, avec l'orgasme matinal, de nourrir son " petit ". Mais le voyant relever un pied sur le siège pour se doigter le trou, il comprit aussitôt et releva le petit gabarit pour le pencher sur la table, ramena le peignoir sur son dos, et regarda les deux petites miches entre lesquelles sa poutre chercha le trou. Ca glissait déjà. Miky poussait de petits cris sous la dilatation et l'invasion énorme et lente. Mais la cadence s'accéléra bientôt : toute la table tremblait, Jaco grognait son plaisir, Miky délirait sous les coups de bite. " Ah d'accord ! " : c'était Toni qui apparaissait dans la cuisine... " Je me finis et je te le laisse ", dit Jaco... La gorge et le cul de Miky étaient ramonés sans cesse par la même bite impressionnante, il dégoulinait de jus des deux côtés... cela coulait sur le sol de la cuisine...
Miky se réveilla soudainement, hyper excité par son rêve. Il pensa réveiller son homme aussitôt, mais se ravisa : il faisait déjà pas mal jour. Il descendit, et cette fois pour de vrai, tout préparer à la cuisine. Il fut surpris d'y trouver Toni, en slip et tee-shirt devant la cafetière, et il lui fallut un moment pour quitter son trouble : son homme, son rêve, le double de son homme...
- Salut Miky, bien dormi ?
- Bonjour ! moi très bien oui... Beaucoup bu ?
- M'en parle pas... Je me suis dit qu'il me fallait un café le plus vite possible... Du coup j'ai commencé à préparer.
- Cool ! Le lit ça a été ?
- Oui, t'inquiète.
- J'installerai mieux tout à l'heure ; vous faites toujours le jardin ce matin ?
- Eh oui... si mon frère veut bien se lever.
- Il va arriver ; il sent quand je suis plus là.
- Ok. Gabin est un lève-tard... mais si à 11h tu le vois toujours pas, tu veux bien le secouer un peu - attention, il est pas aimable au réveil !
- D'accord. Mais je comprends, j'étais comme ça avant.
- Avant ?
- Euh...
Miky aurait bien dit : " avant de savoir que je pouvais pomper à la source dès l'aube avec Jaco près de moi ", mais il fut sauvé par l'arrivée de ce dernier. Avec une trique phénoménale qui distendait le slip et lui mettait son gros gland au-dessus de l'os de la hanche. Les deux frères se saluèrent, mais Toni remarqua le regard enflammé de Miky, hypnotisé par cette bite aussi cachée que pas cachée du tout ; d'ailleurs le ptit lâcha une sorte de souffle étouffé qui l'amusa et surtout l'excita : merde, il bandait lui aussi ! Son frère se pencha pour un baiser et s'assit à côté de son jeune amant. Si je n'étais pas là, se dit Toni, il aurait déjà sorti sa bite pour lui donner à manger... Miky ne parlait plus, obsédé à l'idée d'avoir bientôt son lait du matin. Les deux frères échangèrent quelques phrases sur les excès de poire, et Toni, bon coeur, voulait se retirer pour se préparer sans tarder. Il savait que dès qu'il serait remonté, Miky se jetterait sur la queue de son frère. Mais il lui fallait attendre de débander. Quelques minutes plus tard, une fois connu le programme pour le jardin, ce fut chose faite et il remonta à l'étage, mais s'arrêta sur le palier pour confirmation : le " tiens, bébé " murmuré, le " hmmm " réciproque et les bruits de succion frénétique lui indiquèrent qu'il ne s'était pas trompé. Il continua sa route, avec une érection commençante, et alla se soulager aux toilettes.
Jaco s'était levé et avait sorti sa bite : Miky s'était jeté dessus comme s'il n'avait pas sucé depuis des jours. Tous deux savaient que cette pipe ne visait pas la durée, pas la " pipe-vénération " qu'ils aimaient aussi tous les deux, quand ils avaient tout le temps, quand Miky n'était pas trop affamé et Jaco pas trop compressé ; c'était la purge efficace : Miky pompait aussi vite qu'une masturbation, pressant sa langue sur le frein à chaque mouvement, une main à la base de la bite, l'autre pleine des lourdes couilles remplies à bloc, avec un doigt qui appuyait sur le trou de son homme. Sucé de cette manière, Jaco évidemment ne mettait pas deux minutes à se vider dans de longs grognements, sentant ses giclées parcourir tout son appareil. Rien qu'à regarder son ptit le téter à mort, ça le faisait partir, alors son doigt sur son trou, et pour peu qu'il se caresse les pecs et les tétons, il ne tardait pas à grogner de bonheur en sentant ses couilles expulser le trop plein et en entendant Miky gémir et déglutir bruyamment les gorgées de foutre massives et successives. Miky ne sortait la bite toujours énorme qu'après avoir été sûr d'avoir eu la dernière goutte, et léchait avec adoration la queue nourricière : les regards entre les deux étaient chargés d'amour, d'adoration, de fierté...
- Hmmm.... Merci.... Hmmm, papa !
- Et toi tu ne veux pas jouir, bébé ?
- Tout à l'heure tu t'en occuperas ; on va bien trouver un moment à deux non ?
Jaco comprit aussitôt l'inquiétude de Miky. Il avait bien sûr accueilli avec plaisir la nouvelle de recevoir le frère et son fils, l'avait même à demi-proposé à son mâle. Mais il se demandait aussi si cela réduirait leurs moments à deux ; il se disait déjà qu'il faudrait faire moins de bruit en plus d'être discrets.
- C'est sûr : ça m'étonnerait que Gabin passe le samedi aprem à la maison et j'enverrai Toni faire des courses ; on sera qu'à deux ; et ton ptit cul aura ce qu'il attend, mon bébé.
- Cool ! dit Miky en s'asseyant sur les grosses cuisses poilues. Tu sais, je me doute qu'on trouvera toujours un moyen pour faire des trucs à deux, mais je me dis que si je fais trop de bruit, ce serait pas sympa pour ton frère et Gabin, qui sont célibataires en plus...
- Pour Gabin, je sais pas, mais Toni comprend très bien, et il a aucun problème avec le fait qu'on soit ensemble ; il te l'a déjà dit. C'est vrai aussi que niveau sexe c'est pas la fête pour lui...
- Ah oui, il te l'a dit ?
- Oui, et encore hier.
- C'est triste, avec le corps que vous avez vous êtes vraiment faits pour le cul.
- Ben on est exactement pareils.
- Mais lui il préfère les femmes.
- C'était pareil pour moi avant de te rencontrer...
mike
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